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Mon histoire


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Au début de mon enfance, j'ai toujours été un jeune énergique, qui fesait confiance aux autres et qui n'était jamais stressé. En y pensant comme il faut, j'aimerais que ainsi soit-il cela soit comme ce l'était.

Vers mes 15 ans, je consommais beaucoup de psychotropes comme si c'était ma raison de vivre. C'est là que je regrète de ne pas avoir écouté ma mère qui disait que j'avais plus de chances de devenir schizophrène puisque dans l'arbre généalogique du côté de mère beaucoup avait cette maladie.

C'est alors vers mes 17 ans lorsque j'ai déménagé que j'ai commencé à devenir angoissé, stressé, paranoiaque.

Je vais vous expliquer dans un ordre anarchiste comment je me sentais et à quoi je pensais ... Bienvenue dans ma tête : Je construisais des armes pour me défendre, je regardais souvent dans les fenêtres, même jusqu'à passer des nuits complètes dans les fenêtres car je croyais que j'allais me faire tuer ( à propos de ? je l'ignore encore. ) Je me suis même déjà enfermé dans une pièce avec des couteaux, un bat de baseball et un téléphone car je croyais que mon heure était arrivé. Je croyais que mes parents voulaient m'empoisonner, ou qu'ils crachaient dans ma nourriture. Le développement de la haîne envers eux était rendu vraiment forte. J'ignore comment j'ai pu penser ça. Je ne fesais plus confiance à mes amis, isolement total. Je priais de plus en plus dieu de me guérir en répétant que je serai gentil avec tous. ECT.

Après longtemps, j'ai finalement eu des médicaments. C'est peut être ça qui ma empêcher de me suicider car je sentais que mon disque dur était sur le point d'exploser tellement la pression était puissante. Ensuite, après environ 6 mois, j'ai arrêté de prendre mes médicaments et j'étais finalement heureux. ERREUR, ne jamais se fier aux apparences mais toujours prendre des précautions. J'étais donc rendu au point de départ : les drogues, l'alcool, my life. Fuck that, j'aurais jamais du recommencer à consommer des psychotropes.

Jour après jour, je sentais que je changais ( mais à quel point ? Niveau parce que je vieillis ou parce que je redeviens fou comme avant ? ) Un mélange des deux je dirais. Mon hygiène laissait à désirer, je ne sortais plus encore. Aucune motivation, aucune passion sauf le poker qui ma couté plus chère que beaucoup de joueurs récréatif. Les seules fois ou j'étais heureux, c'est quand je buvais car ça attendrissait mon stresse quotidien. Je croyais même avoir des visions en rêvant. J'ai fait de l'ésotérisme et j'ai fait un ''pacte'' avec un démon ; mon âme contre la richesse avant mes 20 ans. Maintenant, je n'y crois plus. Je croyais même que les gens pouvaient lires à quoi je pensais dans ma tête à cause des ondes .. ECT.

Me voilà rendu à aujourd'hui ; je suis sous médication encore depuis peu et j'ai déjà l'impression que ça m'aide. J'ai la ferme intention de continuer d'en prendre, ne plus consommer de drogues chimiques. Je sort quand même assez souvent, j'me sens mieux qu'au début de mon histoire mais j'ai quand même mes hauts et mes bas. Si j'ai appris quelque chose de tout ça, c'est que la famille est importante ( les VRAIS amis aussi )

Je suis un homme normal .. J'étais le dernier humain sa terre qui croyait alors un jour vivre tout ça. J'ai sous-estimé la vie mais j'en sort plus fort car j'ai conscience de tous plein de choses que tous les humains devraient connaitres.

Sur ce, les drogues ça détruit des vies, même si les âmes de ceux qui en font beaucoup sont encore dans leurs enveloppes corporels.

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Je vais vous expliquer dans un ordre anarchiste comment je me sentais et à quoi je pensais ... Bienvenue dans ma tête : Je construisais des armes pour me défendre, je regardais souvent dans les fenêtres, même jusqu'à passer des nuits complètes dans les fenêtres car je croyais que j'allais me faire tuer ( à propos de ? je l'ignore encore. ) Je me suis même déjà enfermé dans une pièce avec des couteaux, un bat de baseball et un téléphone car je croyais que mon heure était arrivé. Je croyais que mes parents voulaient m'empoisonner, ou qu'ils crachaient dans ma nourriture. Le développement de la haîne envers eux était rendu vraiment forte. J'ignore comment j'ai pu penser ça. Je ne fesais plus confiance à mes amis, isolement total. Je priais de plus en plus dieu de me guérir en répétant que je serai gentil avec tous. ECT.

Modifié par Le Capitaliste
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