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Déchet(s) recommandé(s)

Nice copy&paste, 'grand

mais tu traine sur quel site homo-érotique pour ramasser des histoires de même viarge!

Out toi comme un grand ou reste dans le wardrobe.

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C'est tout le temps la même poignée de filles à peu près potables que tous les pédophiles semi-avoués qui écoutent la série placardent ad nauseam sur les forums. Ce que les bronies n'ont pas l'air de comprendre, c'est qu'à l'exception d'une très faible minorité, ces filles là sont payées (par Comic-Con, BronyCon, ou peu importe l'événement) pour s'habiller en pouliches (ou en pokémon, ou en tout autre personnage d'anime ou de jeux vidéos) pour faire bander les 3-4 fans de la série qui ne fantasment pas sur des petits gars.

La réalité c'est que la brony typique ressemble à ça:

La réalité c'est que le monde normal s'en calisse pas mal plus que toi.

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Je conduisais, accompagné d' un ami, et nous allions faire un achat pour des travaux à faire chez lui. Nous nous connaissions depuis plusieurs années, et partagions... sa femme, soit ensemble, soit chacun de notre côté, et plus rarement, pour moi, seul avec elle, chez moi ou à l'hôtel...

Quand nous faisions l'amour à trois, nous le faisions jusqu'à son terme, chacun de nous deux assistant, en se masturbant, à la jouissance de l'autre avec la femme partagée... avec la vision, ensuite, des traces de l'éjaculation qu'il ne cachait pas quand elle lui arrivait et la femme se retrouvait avec du sperme sur elles, sur son ventre, ses seins, entre les mains, ou dans elle, ressortant ensuite de l'ouverture de son ventre pour couler contre ses cuisses, avant que l'autre la prenne à son tour, sans se gêner ni être gêné par l'état sexuel de la femme...cependant, nos jeux n'incluaient nullement des pratiques purement sexuelles entre nous deux, hommes.

Sa femme n'était pas chez eux, et tout en conduisant, nous parlions de trucs qui nous excitaient un peu, à propos des femmes, et de de que nous aimions.

A un moment, je me suis rendu compte que j'étais très excité, et que j'avais "envie", situation normale quand je me suis souvenu alors que je n'avais pas éjaculé depuis plus de trois jours...La conversation se prolongeait, et mon excitation se fit nettement sentir en moi, et il me vint une idée bizarre qui me plut, m'excita beaucoup même, à l'évoquer dans mon esprit. La conversation se faisait de plus en plus libre sur ce que nous aimions avec les femmes; il venait de me dire : "j'adore leur écarter les fesses avec mes pouces, et rentrer le bout de ma langue dans leur petit trou du cul !"...j'avais répondu que j'adorais également faire ça..."Tu le sais bien, quand tu vois que je fais ça à ta femme"... je me suis dit alors que j'avais très envie de me masturber...ce qui me conduisit à cette idée bizarre et un peu particulière pour moi...

- Tu sais, c'est difficile de conduire en parlant de tout ça...ça fait trois jours que je n'ai pas éjaculé, et...ça me gêne parce que...parce que...je sens que j'ai les couilles pleines, et c'est gênant !...j'aimerais bien...qu'on s'arrête dans un coin, et que tu me fasses dégorger avec ta main...j'aimerais beaucoup, et ça me soulagerait pour conduire; si tu veux, après je te viderai si tu en as besoin.Tu veux bien faire ça ?...

- ...Ouais...d'accord...

- On va bientôt traverser une forêt, on aura qu'à s'arrêter là, et trouver un coin tranquille.

- Oui.

Nous nous sommes arrêtés, et avons trouvé facilement un endroit couvert d'une végétation serrée; en regardant tout autour pour vérifier que nous étions bien caché, j'ai fait glisser la fermeture de ma braguette, passé la main dans mon pantalon pour descendre mon slip devant et derrière et le baisser au maximum; mon ami était devant moi, sans rien dire, et attendait...ça ne me gênait pas de lui montrer mon érection, quand je faisais l'amour avec sa femme et qu'il regardait, il me voyait intimement, et quand ma verge rentrait entre les cuisses de sa femme et que j'étais sur elle, lui tenant les cuisses écartées ramenées contre sa poitrine, il voyait bien, y compris entre mes fesses...

J'étais très excité, je bandais très fort, je mouillais, j'étais à moitié décalotté quand je fis passer mon sexe et mes bourses à travers ma braguette pour qu'on me donne les caresses qu'il me fallait...sans attendre, mon ami se mis à me caresser, à me masturber doucement; il me décalotta soigneusement, en insistant, tout en regardant ce qu'il me faisait; j'avais très envie de jouir, d'éjaculer pour me soulager, mais je prenais beaucoup de plaisir aux caresses qu'il me donnait...il savait quelles caresses j'aimais, car il avait eu à regarder plusieurs fois quand sa femme me branlait, parce qu'elle voulait montrer à son mari crûment, qu'elle branlait d'autres mecs que lui, qu'elle savait bien les faire jouir, tout en aimant faire subir ça à un homme, sous les regards de son mari, en montrant à celui-ci les jeux les plus pervers que pouvait aimer un amant quand il voulait subir la masturbation lorsqu'ils étaient tous les deux, seuls dans l'intimité...

...mon ami me branlait, son pouce et son index en anneau autour de ma verge, car il savait que et j'aimais beaucoup qu'on me fasse ça...je mouillais, et sous l'effet du plaisir qu'on me donnait, je me retenais, pour prolonger le plaisir..."allez ! vide-toi, me dit-il d'un ton un peu agacé et insistant, tu voulais que je te dégorge, c'est bien ça ?...alors dégorge !", et sa main se mit à aller plus vite autour de ma verge, en me serrant plus fort dans l'anneau, et en tirant bien vers la bas chaque fois, pour faire saillir mon gland à la limite de la douleur...l'effet fut immédiat, je me laissai aller, j'avais trop envie, et mon éjaculation me vint...je me vidai de mon sperme, en gémissant sans me sentir gêné de faire cela sous ses yeux, la respiration accélérée; je me vidai d'un sperme inutile, qui me gênait, et mon ami m'aida donc gentiment avec sa main à m'en débarrasser sous ses yeux en me branlant; il me fit tout ce qu'il fallait pour que je puisse bien tout faire sortir de moi, et tout ce sperme que j'avais dans le ventre se retrouva étalé devant moi, sur le sol de cette forêt...

- A mon tour, me dit mon ami, ça m'a vachement excité de te faire ça...

Pour que ça aille vite, il m'est venu l'idée de l'empêcher de pouvoir se retenir en lui demandant de se mettre dos contre un petit arbre, là devant nous; il a baissé juste son pantalon au-dessus de ses genoux, ses jambes un peu écartées empêchant qu'il descende davantage...j'ai assez vite compris ce qu'il voulait en me rappelant comment sa femme faisait avec lui devant moi quand elle m'avait montré comment il fallait s'y prendre avec lui.

J'ai retiré sa ceinture de son pantalon, et je lui ai attaché les mains derrière l'arbre, en les serrant avec cette ceinture, ce qui lui interdisait de bouger; j'ai alors baissé son slip lentement à ses genoux; il avait une très forte érection, et était tout dur, presque entièrement décalotté, et surtout, tout baveux..."Et bien dis donc ! ça t'a mis dans un état !...mais on va arranger ça tout de suite !"

Je lui ai pris les bourses dans une main, ce qui a encore durci son érection, mais ça, je savais bien ce que ca allait lui faire; de mon autre main je l'ai décalotté entièrement...ensuite, tout est allé très vite avec lui : j'ai pris sa queue dans une main, mais à pleine main, pas en anneau, et j'ai commencé à le branler doucement; de mon autre main j'ai commencé à frotter l'ongle de mon pouce contre le frein de son gland; je savais que l'effet sur lui serait très efficace, j'avais vu sa femme faire...ça n'a pas pris une minute pour le faire éjaculer. Je savais que ça faisait trois jours aussi qu'il ne s'était pas vidé, c'est donc venu très vite. Dés que j'ai senti dans ma main qu'il se contractait intimement dans des spasmes qui allait le faire éjaculer, j'ai vite dit des mots magiques avec lui : "Allez: jette! jette ton sperme par-terre!..et montre-moi que tu jettes ton sperme!"...et c'est venu tout de suite : ça a commencé à sortir, et je l'ai dégorgé à son tour en lui faisant vider son sperme par-terre, en épaisses giclées blanches que, assez fasciné par ce spectacle, je regardais sortir de la petite fente de son gland...

- Bon, dis-je pendant qu'il se rhabillait, on sera quand même mieux comme ça, tu trouves pas ?...

- Oui, après tout, quand Annie n'est pas là pour qu'on s'occupe d'elle ou qu'elle s'occupe de nous, c'est agréable aussi...

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jacob sat on his chair, his fists were curled into a ball. something was terribly wrong. whenever he thought about Edward his heart would pund into his chest. it was painful. This only angered jacob more, there were no reasons for these feelings. edward filled his thoughts and dreams where bella used to reside. Furious jacob stood up knocking his chair aside and walked out of his house. The wolf inside him was racing towards the surface. "It's about time for a run" jacob thought as he let the wolf rise. Fur sprouted all over and where he used to stand on 2 became a sturdy base of 4.

edward was waiting for bella to get out of the shower. Luckily for edward since he was immortal he always smelt faintly of fresh pure roses. He would never break a sweat either, nothing was hard enough that would make him use up enough strength for even a bead of sweat. finally bella was out of the shower smelling faintly of soap, and that intoxicating scent of her blood. although lately a different scent has been plaguing his mind, but not in the bad way. that damn dog was in his thoughts, and he longed to see him again. edward couldn't figure out why. Where he once felt hate he now felt something… different. It infuriarted him to no end. bella sat next to him. "gosh! lets just do it now eddypoo" she squealed taking in every inch of his perfect body. the wonderfully chiseled face, pecs… and what bella was sure was a perfect downstairs.

night had fallen and bella finally fell asleep. edward had increasingly become sick of her naïve babbling. As quietly and perfectly as he could edward slipped out of bellas arms and went outside. the fresh air was a nice contrast to bellas stifling room where all he could smell was her blood. edward began to run, adrenaline pumped through his faultless body. finally he reached his destination, high onto the clifftops where he could be left alone with just him and his thoughts. they quickly turned jacob.

the run had left jacob panting, but feeling better. His head was relatively clear as he bathed in the cool waters at the beach. The sun was slowly setting and jacob took this rare moment to soak in the last rays of the sun as his bodys intense heat dried him off. wind blew through his hair and an odd scent reached his nose. It took only a moment before hbe recognized the scent. it was Edward. "what is he doing so close to the border?" jacob thought annoyed. Standing up as the last rays died jacob quickly shifted and followed the scent.

The scent of Edward brought jacob winding through the forest high up into the mountains to the cliffs. When he was just in range of Edward he slowed. Jacob took this opportunity to study Edward like he hadn't before. Edward truly was beautiful. The moon cast shadows, not masking his features, but showing them off. Edward was a creature of the night and the moon recognized his beauty, showing it off for all the world to envy. the way the moon played off his golden brown eyes. "he must have fed recently" jacob thought absently as he let his eyes drift downward.

Edward knew jacob was somewhere nearby, you can't hide from such perfection. Edward began a show for jacob. Slowly taking off his shirt. He wouldn't have needed it even if it was a blizzard. The moon played off of his chiseled 6 pack. With his shirt as a pillow edward laid down to stare at the stars. "you can come out dog" edward said letting his pristine voice carry over the wind to wherever it was jacob was hiding.

jacob walked out to Edward shapeshifting back to human as he did. "I don't know why id want to come talk to a mosquito like you" jacob said sitting near edward. "then why would you follow me here" Edward asked plainly, "your invading my thinking space." Edward groaned and sat up looking at jacob. "shouldn't you be protecting bella from the next monster that comes to attack her?" jacob asked curiously noticing the look of uneasiness in edward's eyes. "if you don't want to I always could". Edward made no noise to reject this idea. "there must be something serious on his mind" jacob thought, prodding softly with words "you need to talk about something?" Edward scoffed "not with you mongrel." Jacob felt hurt by these words and didn't know why "fine, ill just leave." Jacob got up to go.

Edward jumped up "no wait!" he cried out as jacob walked away. "i just need some company". Edward looked down, his heart pounded and the air suddenly was sickeningly sweet and heavy. Jacob turned and looked at Edward. "those eyes…" Edward thought his heart pounding faster, "something about them….." edward couldn't finish his thoughts as he rushed towards jacob. A need to hold jacob pushed out all other thoughts and needs. Jacobs warmth contrasted his ice cold pleasantly. There bodies tingled with electricity as they touched. Edward looked into Jacobs eyes as their souls met within them and suddenly they were wraped up in eachothers mouths. The warmth of jacob seemingly melting his icey mouth.

Jacob was surprised when Edward nearly attacked him. First he was defensive but when the attack turned out to be a hug he hugged back waiting. When there mouths met exctasy wreacked through Jacobs body. pleasure blocked his other senses as he pulled edward closer to him. "lucky ass" jacob said coming up for a bit of breath from the sudden make out session. "you don't need to breathe." Edward chuckled in a deep throaty comforting tone as he slowly pushed jacob down. A mischievous grin pierced Edwards smile as jacob suddenly realized his run and changing had left him naked. Edward wrapped his lips around Jacobs member as it became harder and harder. Jacob felt wild, Edwards cold tongue was a new sensation, but that tongue was strong as it ran up and down his cock as it shivered and tensed in delight.

Stopping for a moment edward began to strip himself revealing his large beautiful cock. Edward looked down at jacob for a moment as the worship in Jacobs eyes told him all that he needed to know. His cock was magnificent and huge. His recent feeding had allowed him to redirect most of the blood to his cock leaving it pulsing and hard. Jacob was instantly pulled to it and edward was pleased as jacob put edwards beautiful cock intohis small mouth wraping it in warmth. "he may not have the tongue strength or lasting ability I do, but damn he is better than bella" edward thought as jacob sucked his solid manly appendage.

Jacob could feel that edward was nearing the climax and slowly pulled Edwards cock out of his mouth, allowing his lips to linger at the tip just a moment longer. He looked up at edward and turned onto his hands and knees.

Edward took that change in position as a cue to start something else. He bent over and began stroking Jacobs member while rimming his man pussy. Jacob arched in pleasure as he bagan panting. A sweet film of sweat and already coated jacob's body and the cold sensations of Edwards body felt great. Edward continued slowly stroking Jacobs hard cock the warmth nearly burning his hand. Finally edward judged his hole to be ready. "are you ready jacob?" edward asked trying to catcha glimpse of the werewolfs face. Jacob turned desperation in his eyes " oh god yes, fuck me! Hard!" edward wasted no time and rammed his hard man meat into jacobs soft tight, inviting mantaco.

Jacob first felt pain, but the tender love and worship he felt for edward blocked it out as his hole widened to allow for more of Edwards cold hard cock to fit inside. The study rhythm of Edwards fucking him was bringing him over the edge. The climax was just there out of his reach when edward paused. Jacob groaned "please….. d-don't st-op!" he was panting like a dog at this moment and his sweet man pussy begged for more of edwards manhood.

Edward grinned "that's what I like to hear, beg more dog." Jacob moaned exasperated " I cant take it, I need you to fuck me." Edward watched as jacob panted. Figuring it was torture enough edward rammed his member back into jacob. This time however he bent over and allowed his hands to find jacob's manhood. Stroking in time to their rocking bodies. Edward found himself getting off just to the sounds of Jacobs howls of pleasure as they filled the night. Finally edward was getting to that point and allowed himself to push deeper and harder than he had before, reveling in every tiny nuance of Jacobs man pussy.

Jacob bit his lower lip "I can't hold it any longer!" he screamed as Edwards soft moans accompianed him. Jacob arched back a glorious fountain of cum springing forth from his manhood. The moonlight played on the colour allowing it to glow for just a moment. Edward continued to ram his cock up into jacob, and to jacob it felt as though the climax would never stop. Finally edward pulled out and flipped jacob around cumming onto his face. Jacob quickly closed his eyes and stuck his tongue out trying to drink every drop of Edwards magnificent man juice.

"I want you to clean off my cock" edward said in a demanding tone as jacob cupped his mouth over Edwards cock. Edward watched satisfied as jacob licked off every bit of his manly necter from his cock and Jacobs face. Edward leaned down to kiss the dog. A treat for his good behaviour. They stared into eachothers eyes as the sound of a motorcycle cut through the air. Both of them realized at the same time bella was coming…

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Je vis chez maman, j'ai 17 ans, je suis timide et toujours puceau.J'aime les femmes mais, je n'arrive pas � les aborder. Je mesure 1m80pour 72 kg, je me crois plut�t mignon. Je suis tr�s complex� par lataille de mon sexe qui ne d�passe pas 11cm en �rection. Maman,Catherine, est une tr�s belle femme de 46ans, 1m64 pour 42 kg. Elleest m�decin et nous assure une vie agr�able. Elle est veuve depuiscinq ans, et je ne lui connais pas de relation, m�me si je saisqu'elle a des amants. Elle est toujours v�tue de mani�re stricte commeson caract�re, elle est une femme de t�te et surveille mes �tudes,moyennes, et mon �ducation.Tout � d�buter voici trois jours, lorsque maman m'a surpris en train de memasturber dans une de ses paires de sandale et � d�couvert mes penchantsmasochiste.Je dois me d�p�cher, je n'ai pas fini le repassage, il est pr�s de 18heures et maman va arriver. Depuis trois jours, je suis surcharg� detravail. Maman a commenc� mon dressage. Elle s'est d�couverte unepropension � la paresse, depuis trois jours. D�s son travail termin�, elleme rejoint, v�rifie mon travail. Je lui sers un ap�ritif, lui pr�pare sonbain. Je suis nu comme un ver. Mon sexe ne cesse de se dresser devant labeaut� alti�re de maman. Cela l'amuse, elle me nargue, se moque de lataille ridicule de mon p�nis. Elle lit beaucoup, elle a d�vor� mes livres,et en a achet� de nouveau. Elle invente chaque instant de nouvelleshumiliations pour casser ma volont�. Avant-hier soir, elle m'a fait agenouill� � ses cot�s, et nous avonsregard� le film qu'elle m'a confisqu�. A la fin de celui-ci, elle s'estlev�e, a simplement dit:A ton tour!Et d'un seul coup de pied, elle a explos� mon sexe. Je ne pensais pas,lorsque je me masturbais il n'y a pas si longtemps, que cela faisait aussimal. Je me suis effondr� � ses pieds.A pr�sent, j'apprends le r�le de domestique, j'effectue toutes les tachesm�nag�res. Je me l�ve � six heures du matin, et me couche tard suivant lebon vouloir de celle que j'appelle d�sormais: Madame.Le matin elle place sur mon gland un scotch, pour �viter une masturbationintempestive. Elle a d�cid� de m'acheter ce week-end, une ceinture dechastet�. Elle monte souvent dans la journ�e, pour v�rifier mon travail.Elle ne manque jamais l'occasion de fustiger mon manque rapidit�. Elle megifle, me frappe.Soudain la porte s'ouvre, maman est l�. Son travail est termin�. Je pose lefer � repasser et file m'agenouiller devant elle. Elle sourit, caresse mescheveux. Je me l�ve sur son ordre, elle donne une petite tape sur mesfesses.Vodka!Je me pr�cipite, je l'entends rire. Elle se dirige vers sa chambre.Ici!L'ordre est bref, je lui porte son verre dans sa chambre. Elle est assisesur son lit je lui tends le verre et m'agenouille, guettant ses ordres.Cherche une paire de chaussures dans l'armoire!Je me dirige vers son armoire � quatre pattes, pousse la porte et regardeparmi la trentaine de paire.Avec ta bouche! ViteJe me penche, et saisi une ravissante paire de mocassins en cuir noir. Jeme retourne et fonce aux pieds du lit de maman. Dans ma pr�cipitation, unepaire de bottines tombe sur le sol. Je croise le regard de maman, unfrisson me parcours, la punition sera terrible. Elle me fait allonger � sescot�s.Tr�s jolie paire, tu les as d�j� honor�?Oui, Madame.Elle se redresse, pose son verre vide sur la table de nuit. Puis elle sepenche vers moi.Mains derri�re la t�te! Ordonne-t-elle.J'ob�is. Je sens sa main s'emparer de la base de mes couilles, mon p�nisse dresse attendant le ch�timent. Elle prend le mocassin et frappeviolement sur mes �ufs. Je cri de douleur, je la supplie, elle frappe.Pour avoir renverser mes bottines, et pour ne pas avoir fini le repassage.La naus�e me prend, je souffre, enfin la punition cesse. Maman s'assoit surmon ventre, elle se penche, j'aper�ois ses seins, finement retenus dans unsoutien-gorge mauve.Tu sais que je peux exiger que tu me fasses l'amour?Oui ... Oui, Madame.Je suis sid�r�, une femme si belle, si puissante, qui nargue son fils, quile caresse, qui s'emploie � le faire bander. Elle se l�ve, se d�shabille,enl�ve sa jupe stricte, fait valser ses escarpins, enl�ve son soutien-gorgeet le jette sur mon sexe, retire sa petite culotte. Elle l'enfouie dans mabouche, mord mes t�tons.Je te plais?Un hochement de ma t�te approuve. Elle v�rifie la duret� de mon sexe,s'amuse avec.Elle prends le t�l�phone sur sa table de nuit, pose ses fesses sur monventre, compose un num�ro et s'empare de l'un de mes testicules. Elleappelle un ami, la discussion est torride, j'entends maman parler defellation, de cunnilingus. Ses doigts se serrent sur mon testicule, meserre, me meurtri, je pleure. Elle semble avoir oubli� ma pr�sence, si cen'est ses doigts terribles, elle rie, semble heureuse. Elle raccroche, sel�ve.Un autre verre! Et pr�pare mon bain, je sors ce soir.Je me l�ve, pr�t � ob�ir, un sentiment de jalousie m'envahie, maman varencontrer un galant. Cette nouvelle me fait plus mal qu'un coup de pieddans mes testicules.Maman est ravissante, une jupe de cuir noir, une blouse blanche, lesbottines que j'avais renvers�s tout � l'heure. Une veste de fourrurecompl�te son habillement, elle est maquill�e, un rouge � l�vres carmin quitranche avec la p�leur de son visage. Elle vient de m'attacher les brasdans le dos, au radiateur de ma chambre, il est 19h45. Elle sort, jel'entends prendre les cl�s de sa voiture, et d�ambuler dans l'entr�e. Tout� coup je la vois entrer dans ma chambre, elle n'allume pas la lumi�re, sedirige vers moi, � genoux, sexe d�risoirement tendu vers sa beaut�.Bonne soir�e, ch�ri.Elle part, superbe, me laissant gisant au sol, abattu par un terrible coupde pied bien plac�. Je pleure impuissant, jaloux de ses amours, meurtridans mes chaires. En trois jours je ne supporte plus les coups dans mescouilles. Je voudrais tant �tre n� femme, ne plus craindre chaque minute lecourroux de maman.Je m'endors, compl�tement an�anti, par une femme cruelle, qui s'amuse � med�truire � petit feu.

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C'était le matin aussi, et je me masturbais dans mon lit avec une terrible envie d'avoir une éjaculation...je me caressais en me souvenant de ce qui s'était passé avec ma mère quelques jours auparavant, quand elle m'avait surpris en train de me masturber, et qu'elle m'avait fait éjaculer avec sa main...c'était ma mère, mais ça avait été si bon ! j'aurais voulu qu'elle me le fasse encore, là, maintenant; j'aurais voulu qu'elle regarde mon sperme sortir sous les mouvements de sa main,et s'étaler sur mon ventre...j'eus alors l'idée folle de tenter que ma mère me soulage encore...Je remontai mon pyjama, et comme ma mère venait de m'appeler pour le petit-déjeuner, je sortis du lit pour aller dans la cuisine, en sachant que ce que je voulais tenter allait me faire rester en érection...

J'entrais dans la cuisine où ma mère, assise, avait commencé à déjeuner; je me tournai vers l'évier pour m'y laver les mains, et mon érection frotta contre le meuble, me faisant tendre ma verge et mouiller...j'étais très gêné, car si je demandais à ma mère de me masturber, elle allait peut-être se fâcher très fort...ou me soulager ! ne pas savoir si j'allais connaître la frustration ou le plaisir me paralysait...

- Mais qu'est-ce que tu fais ? demanda ma mère. Tu viens t'assoir ou non ?

Je me tournai vers ma mère, assise à la table, juste devant moi..." Maman...c'est...c'est ma grosseur, tu sais, qui me gêne, là...", et j'ai écarté l'ouverture de mon pantalon de pyjama; ma verge est apparue, et de montrer à ma mère mon érection m'a fait durcir très fort, mon gland s'est dégagé un peu plus, sans sortir complètement, et j'ai mouillé, devant ma mère..." Tu peux faire quelquechose ?...s'il te plaît, l'autre jour ça m'a fait du bien...ça me gêne...maman !..." . Et l'envie que j'avais d'être masturbé par ma mère a été si forte que j'ai eu toutes les audaces, et que j'ai ouvert davantage le passage de mon pyjama pour faire sortir tout mon sexe et mes bourses.

Ma mère s'est tournée vers moi, sans rien dire, elle a pris dans sa main mes bourses pour les palper doucement et m'a demandé, agacée :

- Tu t'es touché longtemps dans ton lit avant de venir ? dis-moi la vérité.

- Vingt minutes, peut-être...j'avais...j'ai pas pu m'en empêcher...quand c'est tout dur, le matin, enfin...ça gêne, tu sais...

- Je vois ça dit ma mère ! très agacée

Sa main abandonna mes bourses; elle mis deux doigts à la base de ma verge, et tira vers le bas, franchement; ce geste impudique pour moi, et pour ma mère qui regardait, fit saillir d'un coup mon gland, et sortir une grosse goutte de précum.

- Tu es complètement engorgé !...je comprends que ça te gêne!...

Je restai les bras le long du corps fou de désir d'être masturbé par ma mère, mais ne sachant s'il elle allait vouloir le faire. Je sentis toutefois, nettement, une certaine accélération de la respiration de ma mère, et je sentai bien qu'elle était troublé par ce qui se passait; après tout, j'étais peut-être son fils, mais elle était une femme, et je me suis dit que pour elle voir le sexe d'un homme tout dur et tout mouillé devait provoquer en elle un émoi pour le moins équivoque; surtout que deux de ses doigts tiraient toujours doucement mais avec régularité vers le bas de ma verge, ce qui faisait saillir mon gland...

- Tu veux que je te soulages, c'est ça ? c'est pour ça que tu es venu dans cet état-là dans la cuisine, c'est ça ? réponds ! en fait , tu veux que je te fasse éjaculer ! je suis ta mère, et tu veux que ce soit ta mère qui te fasse éjaculer, c'est ça ?

- Oui...s'il te plaît...s'il te plaît...j'ai tellement envie, ça me gêne tellement !

En un éclair, et dans l'attente qui serait très brève, je le supposais, de ce qui allait suivre, quelque soit sa décision, en un éclair, je sentis ma queue devenir plus dure encore entre les doigts de ma mère, en pensant que ma mère était dans une chemise de nuit qui lui arrivait à mi-cuisses, et je savais qu'elle ne portait jamais de culotte dessous; si j'avais pu lui retirer cette chemise de nuit, ma mère se serait retrouvée entièrement nue devant moi, sans rien pouvoir me cacher...mais je n'aurais rien vu, car je n'aurais pas pu exiger qu'elle ouvre en grand les cuisses par exemple, après s'être assise sur sa chaise, pas plus que je n'aurais pu me faire plaisir en lui écartant les fesses avec mes pouces pour pouvoir mater son petit trou, comme un petit vicieux que je suis...

Ma mère se leva : " Retire ton haut de pyjama"; je m'exécutai, et laissai tomber par-terre mon vêtement. Ma mère me pris alors par le bras, et me conduisit un pas plus loin, à côté de l'évier, devant le plan de travail; elle me tourna, et vint me faire placer, debout, juste contre le bord de cet espace dégagé de tout objet.

- Bon, on va voir ça ! dit-elle d'un ton sec. Mets les mains dans le dos !

Je mis mes mains dans mon dos, et tout de suite, ma mère baissa ma culotte de pyjama à mes chevilles, et je me retrouvai entièrement nu tournant le dos à ma mère, culotte honteusement baissée à mes pieds, en érection, attendant que ma mère veuille bien, purement et simplement, me branler, branler son fils...

Ma mère se mit à côté de moi, et se mit à me masturber, son index et son pouce en anneau autour de ma verge, me procurant un plaisir fou.

- En fait, tu as besoin d'une branlette, c'est ça ?...

- Oui...tu peux pas savoir comme j'en ai envie maman !

Ma mère ralentit alors les gestes de la masturbation qu'elle me donnait..." Le matin, quand tu te caresses, c'est normal...mais tu ne dois pas te masturber trop longtemps. Dés que tu sens que tu as très envie, tu te laisses éjaculer, d'accord ?...tu seras mieux si tu te soulages sans attendre trop; c'est compris ?...tu fais comme ça, c'est compris ?..."

- Oui...

- ...et le mouchoir que tu utilises, tu t'en sers une fois; après tu le poses sous ton lit, et je le prendrai ensuite quand je fais ta chambre, pour le mettre dans la machine. Ne sois pas gêné par tout ça, tous les garçons font ça, même les hommes, après...

- Si tu veux, je peux venir te surveiller, un jour, pour que je vérifie que tu fais comme il faut; je viendrai une quart-d'heure après que ton réveil ait sonné...et si le petit mouchoir n'est pas par-terre, plein...je rabats ton drap et tu me montres que tu ne te retiens pas, et que tu laisses ton éjaculation venir dans le mouchoir...d'accord ?

- Oui maman...

Ma mère me masturba alors plus vite, de manière très active, très agréable...trop agréable, car elle me donnait envie, très envie...et je voulais prolonger mon plaisir...Je retirai ma verge des doigts de ma mère...

- Tu ne veux plus, me demanda-t'elle ? ça te gêne finalement que je te fasse ça ?...tu veux que j'arrête ?

- Non ! n'arrête pas, s'il te plaît ! ...mais...je veux pas encore, pas tout de suite!...

- Ah, non! pas de ça ! il ne s'agit pas de jeux sexuels : je veux bien te soulager, mais tu ne fais pas ça, et tu ne te retiens pas !

Ma mère se plaqua alors contre moi, dans mon dos, pour m'empêcher de me retirer de ses doigts, et se remit à me masturber; bien vite, je compris que je ne résisterai pas plus d'une minute à ce qu'il fallait que je fasse sous ses yeux, pour ma plus grande gêne et mon plus grand plaisir à la fois. Mais il arriva quelquechose qui hâta tout, et provoqua mon éjaculation immédiate : j'avais les mains dans le dos, et ma mère me tenait serré contre le bord du plan de travail; mes mains dans mon dos se trouvaient placées contre le ventre de ma mère...et j'eus une audace insensée: je tendis les doigts d'une de mes mains et les descendis vivement contre le ventre de ma mère, tout chaud à travers la fine chemise de nuit; nous avions la même taille, et en descendant un peu plus mes doigts, je les passais en haut de ses cuisses...je palpai sournoisement et vite la vulve, en sentant nettement les deux grosses lèvres et la fente de ma mère, et ce qui fit venir mon éjaculation fut la surprise de sentir sous mes doigts le tissus de la chemise de nuit de ma mère devenir tout mouillé, parce que ma mère était toute mouillée entre le haut des cuisses; c'était tout baveux et tout chaud dans la fente et entre les cuisses... trempé !

- Ne fais pas ça! dit ma mère tout haut.

Elle se détacha de moi, me plaqua bien fort les fesses de sa main contre le bord du plan de travail en sentant dans son autre main que je commençais à éjaculer; elle me maintint comme ça, en continuant à me masturber pour que j'éjacule complètement...

Ma mère, avec sa main, me vida ainsi de mon sperme; je giclai plusieurs fois sans me retenir et en gémissant sur le plan de travail de la cuisine, je sentai chaque spasme libérateur venir, puis chaque jet de sperme me vider davantage pendant que ma mère continuait à me masturber....puis ce fut fini, j'étais calmé...

- Bon...dit-elle en regardant les traces maculant son plan de travail, je vois que tu avais besoin de ça; il fallait que tu te soulages, c'est vrai...rhabille-toi, vas prendre une douche, et reviens pour déjeuner...et ne sois pas gêné par ce qui vient de se passer...

...

J'ignorais en fait, que tandis que je prenais une douche, puis que je déjeunais, ma mère, partie dans sa chambre, s'y était enfermée. Elle s'était tout de suite assise sur son lit, avait relevé sa chemise de nuit et écartées bien fort ses cuisses pour se calmer en se livrant à l'envie de se masturber qu'elle avait sentie naître en voyant la verge de son fils, grosse et épaisse, pleine d'envies avec son gland rond et baveux...Elle était entrée dans sa chambre toute mouillée entre les cuisses, ça coulait, et bien vite, après deux minutes à peine des caresses qu'elle se donnait, elle alla chercher au fond d'un placard un gode à ventouse qu'elle utilisait quand son mari était absent; elle passa dans la salle de bain, s'y enferma, fixa le gode par-terre, sur le carrelage, retira sa chemise de nuit pour se sentir à l'aise, et se sentir toute nue; elle se mit à genoux au-dessus du gode qu'il n'était pas nécessaire d'enduire de lubrifiant tellement elle se sentait elle-même très lubrifiée; elle se rentra le gode entre les cuisses, le serra dans son ventre, remua avec la plus grande indécence son bassin pour se donner un maximum de plaisir....et en se caressant le clitoris, elle se dit qu'elle devait faire comme son fils, c'est-à-dire ne pas retenir trop sa jouissance, et elle se fit jouir, provoqua son orgasme en se disant que dés demain matin, elle prendrait un plaisir fou à obliger son fils à éjaculer sous ses yeux en lui disant de se masturber, et qu'elle lui dirait de ne pas le faire dans un mouchoir...pour qu'elle puisse bien voir !...

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Ironique pour un gars qui poste d'énormes images de ponies que je laisse même pas le temps de loader avant de quitter la page.

tu navigues les internets avec un 56k !?

je te pleins :P

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Cool.Un grincheux qui pense est plus cool car il est plus ancien.Je suis curieux de savoir depuis quand tu es ici?

2470739-9goi.jpg

Une race extraterrestre avancée a dit a drox de créer le dep pour que moi et gabrielle on se rencontre ok?

t'ayeule

je vais prendre un criss de break du dep boring

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