L'Alcool

[Lux]

Sinon, y'a des gens qui consomment pas mal d'alcool et tous les jours et que ça pose pas vraiment de problèmes outre-mesure; ils restent gentils, non-violents, intéressants, etc...

Ce qui peut être inquétant surtout, c'est quand ils vont en manquer.

Tk, chacun ses dépendances.

[VaGaBonD]

Bref, le gars ne prend pas une petite bière par soir pour relaxer, il se tape une douze minimum à chaque soir. On ne parle pas d'un petit vice caché, on parle d'un véritable problème. C'est bien beau relativiser et éviter les jugements faciles, mais à moment donné, il faut savoir tracer la ligne entre le "ok" et le "nocif". Le gars qui se fume un joint par jour, il est pas "malade". Le gars qui vire une brosse de temps en temps non plus. Mon ami, il a un sérieux problème.

Ah ouais, c'est sur qu'il a des cas cliniques; ceux qui se tiennent pas, qui parlent en lettres-attachées, qui sont désagréables et ce tout le temps, ambiance suicide-a-petite-goutte; ça mérite une claque du réel.

Je voulais surtout compliquer le débat en disant qu'il y en a qui tiennent le verre sans être des déchets. Ça existe aussi.

Et pour me comparer? What the fuck?

C'est ton: "Le pauvre mec a bu 36 bières en deux jours. Mon autre ami et moi? 0 combiné." qui m'a fait sourciller.

On était quand même dans la comparaison.

Edit:

Pour le 'vices bien dégueulasses'; ça venait de parce que j'ai su y'a deux jours qu'une connaissance, qui se la joue pas mal dans le jugement des autres justement, ce qui le faisait bien délirer lui dans la vie; c'est de se faire chier dessus. Il le sait pas que je l'ai su par son ex petite-amie, et du coup, je rigole bien doucement maintenant en me l'imaginant se tartiner quand je le vois partir dans ses condamnations ...

[Humbert Humbert]

Je veux un nom!

Dis-moi que c'est genre Bob.

[MattIsGoD]

Ah ouais, c'est sur qu'il a des cas cliniques; ceux qui se tiennent pas, qui parlent en lettres-attachées, qui sont désagréables et ce tout le temps, ambiance suicide-a-petite-goutte; ça mérite une claque du réel.

Je voulais surtout compliquer le débat en disant qu'il y en a qui tiennent le verre sans être des déchets. Ça existe aussi.

C'est ton: "Le pauvre mec a bu 36 bières en deux jours. Mon autre ami et moi? 0 combiné." qui m'a fait sourciller.

On était quand même dans la comparaison.

Edit:

Pour le 'vices bien dégueulasses'; ça venait de parce que j'ai su y'a deux jours qu'une connaissance, qui se la joue pas mal dans le jugement des autres justement, ce qui le faisait bien délirer lui dans la vie; c'est de se faire chier dessus. Il le sait pas que je l'ai su par son ex petite-amie, et du coup, je rigole bien doucement maintenant en me l'imaginant se tartiner quand je le vois partir dans ses condamnations ...

Dans la comparaison servant à démontrer l'ampleur du problème. Un gars qui boit trois douze en trois jours TOUT SEUL alors que ses amis ne consomment pas, il y a clairement un problème. Surtout si on tient compte de l'anecdote que j'ai narrée plus haut. Si j'en avais bu une vingtaine et que mon autre ami aussi, on pourrait conclure à un week-end festif au cours duquel un des trois protagonistes a plus d'endurance. M'enfin, sourcille, sourcille...

Je veux un nom!

Dis-moi que c'est genre Bob.

Pas le "Bob" que je "connais"?

[VaGaBonD]

Haha non.

Mais ça aurait fait tout un foin dans l'Est hahaha.

[nulle part]

Ah ouais, c'est sur qu'il a des cas cliniques; ceux qui se tiennent pas, qui parlent en lettres-attachées, qui sont désagréables et ce tout le temps, ambiance suicide-a-petite-goutte; ça mérite une claque du réel.

Je voulais surtout compliquer le débat en disant qu'il y en a qui tiennent le verre sans être des déchets. Ça existe aussi.

Et y'a des gens qui se sentent comme des déchets à l'intérieur et qui cachent tout sous des airs de 'j'ai le contrôle'. Pour répondre à l'autre crétin, le fonctionnement d'une personne à l'intérieur d'un cadre n'est effectivement pas un critère à partir duquel je juge si la consommation d'une personne est saine ou pas. C'est clair qu'il y a des échelles de degré : la personne qui s'est fait foutre à la porte de son travail est rendue plus loin que celle qui réussit à tenir le cap. Malgré tout, j'ai vu trop de personnes performer socialement sans avoir de contrôle sur leur quotidien, sur la vie à la maison. Ma mère a complété une maitrise par ses soirs tout en assumant ses fonctions de directrice des finances. Elle rencontrait chaque jour son ami la piquette. Ça a duré quelques années avant que ça ait un impact notable sur sa vie publique.

Pendant qu'elle buvait en haut, je potais en bas. J'avais toujours de supers bons résultats scolaires, des projets personnels intéressants, un réseau appréciable. Néanmoins, ma consommation était un problème et je le sais. Ce n'est pas parce que mes 'performances sociales' étaient toujours plus élevées que la moyenne que j'étais à la hauteur de moi-même. J'en discutais avec des amies, et je devais insister pour rappeler que j'avais un problème. Pour elles, il n'y en avait pas. Elles étaient aveuglées par mes performances.

C'pour ça que le dude qui se poudre chaque jour, mais qui 'fonctionne bien', j'm'excuse mais je ne gobe pas ça.

Ce n'est pas parce qu'une personne a un mal-être qu'elle est un déchet, au contraire. Elle a d'autant plus besoin d'amour, d'authenticité, de respect. Ce n'est pas parce que je juge qu'une personne a un comportement nuisible pour elle-même que je la juge en tant que personne.

Il faut d'abord être honnête avec soi-même.

Je pense qu'on aurait tout à gagner à réhabiliter la notion de vie intérieure.

[PCMN]

Je suis clairement alchoolique, mais j'y travail.

Je ne me rappel pas la dernière fois que j'ai passé 24h sans prendre une bière. Je vous dirais que ma consommation était d'environ 7 à 10 bières par soir(les soir de semaine) et un peu plus d'une 24 la fin de semaine et ce à CHAQUE semaines. J'ai cependant grandement diminué ma consommation, voir 2-3-4 par soir. Je sais c'est encore pas mal, mais je dois y aller progressivement, je n'ai pas le choix. Les nombreuses fois où j'ai essayé de ne pas prendre un verre ont été très chiant. Passé 19h, si je n'ai pas pris une consommation je commence à feeler croche en sale. Pour vous donner une idée, je serais mois dangereux sur la route avec 1 bière dans le corps qu'à jeun.

[Humbert Humbert]

Dans la comparaison servant à démontrer l'ampleur du problème. Un gars qui boit trois douze en trois jours TOUT SEUL alors que ses amis ne consomment pas, il y a clairement un problème. Surtout si on tient compte de l'anecdote que j'ai narrée plus haut. Si j'en avais bu une vingtaine et que mon autre ami aussi, on pourrait conclure à un week-end festif au cours duquel un des trois protagonistes a plus d'endurance. M'enfin, sourcille, sourcille...

Je l'avais lu comme tu viens de l'expliquer.

La "comparaison" servait plus à expliquer le contexte.

[Lux]

Je suis clairement alchoolique, mais j'y travail.

Je ne me rappel pas la dernière fois que j'ai passé 24h sans prendre une bière. Je vous dirais que ma consommation était d'environ 7 à 10 bières par soir(les soir de semaine) et un peu plus d'une 24 la fin de semaine et ce à CHAQUE semaines. J'ai cependant grandement diminué ma consommation, voir 2-3-4 par soir. Je sais c'est encore pas mal, mais je dois y aller progressivement, je n'ai pas le choix. Les nombreuses fois où j'ai essayé de ne pas prendre un verre ont été très chiant. Passé 19h, si je n'ai pas pris une consommation je commence à feeler croche en sale. Pour vous donner une idée, je serais mois dangereux sur la route avec 1 bière dans le corps qu'à jeun.

Ça explique pourquoi t'as toujours l'air ben énervé.

[PCMN]

Ça explique pourquoi t'as toujours l'air ben énervé.

Ça ou la coke. Choose your weapon.