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L'estime de soi


Avez-vous une bonne estime personnelle?  

79 membres ont voté

  1. 1. Avez-vous une bonne estime personnelle?

    • Oui.
      26
    • pas vraiment. C'est un problème récurrent.
      19
    • J'y travaille à tous les jours
      34


Déchet(s) recommandé(s)

J'ai une bonne estime de moi en général.

J'ai confiance en mes capacités et des talents.

J'apprécie mon physique et je vais même travailler pour l'apprécier encore plus.

Je trouve que j'ai une personnalité attachante et qui se distingue des autres.

J'ai un bon réseau social.

Ceci-dit, je ne me sens pas parfaite, et je suis en constante amélioration et maintenance. Tant au niveau physique, qu'intellectuel que social.

Parfois je pense que j'ai le contrôle total de moi-même, et je me surprends à échouer. Alors, je corrige.

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Je m'estime beaucoup par rapport à mon travail, par l'appréciation que les autres qui m'entourent ont de moi. Quand je parle des autres, je parle pas de pur inconnu, mais des gens avec qui je traite quotidiennement. C'est important pour moi de sentir que je fais une différence dans la vie des autres au quotidien, et habituellement on me le rend bien. C'est sûr qu'il m'arrive d'avoir des journées où je suis moins à la hauteur de mes attentes, mais en général j'y arrive.

Côté apparence physique, disons que j'y porte un peu plus attention, mais je me considère bien comme je le suis en ce moment après les changements que j'ai apporté.

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Je suis beau.

Je suis grand.

J'ai du succès avec le sexe opposé.

J'ai un travail intéressant et je suis bon dans ce que je fais.

Je fais un très bon salaire.

J'ai une très bonne estime de moi-même.

En bonne partie, oui.

Il est difficile, sinon impossible, d'avoir une bonne estime personnelle en étant laid et en n'ayant que peu de succès professionnels, personnels ou familiaux. Regarde les messages précédents, ceux qui se trouvent laids ont une faible estime d'eux-mêmes.

J'aurais pu ajouter que je suis intelligent, cultivé et que je réussi presque tout ce que j'entreprends.

Sur quels facteurs concrets voudrais-tu que je me base? Sur l'opinion des autres? J'en ai rien à branler de ce que des inconnus peuvent penser de moi (et je t'assure que mon entourage m'apprécie).

Tu me rappelles un certain Dimitri.

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Tu me rappelles un certain Dimitri.

http://www.depotoir....te-narcissique/

Hum, je pense qu'il y a une différence majeure entre se trouver beau et talentueux et avoir un problème de santé mentale relié au trouble de la personnalité narcissique.

Le patient présente au moins cinq des symptômes suivants :
  • le sujet a un sens grandiose de sa propre importance (par exemple, surestime ses réalisations et ses capacités, s'attend à être reconnu comme supérieur sans avoir accompli quelque chose en rapport) ;
  • est absorbé par des fantaisies de succès illimité, de pouvoir, de splendeur, de beauté, de perfection, ou d'amour idéal ;
  • pense être « spécial » et unique et ne pouvoir être admis ou compris que par des institutions ou des gens spéciaux et de haut niveau ;
  • montre un besoin excessif d'être admiré ;
  • pense que tout lui est dû : s'attend sans raison à bénéficier d'un traitement particulièrement favorable et à ce que ses désirs soient automatiquement satisfaits ;
  • exploite l'autre dans les relations interpersonnelles : utilise autrui pour parvenir à ses propres fins ;
  • manque d'empathie : n'est pas disposé à reconnaître ou à partager les sentiments et les besoins d'autrui ;
  • envie souvent les autres, et croit que les autres l'envient ;
  • fait preuve d'attitudes et de comportements arrogants et hautains.

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Hum, je pense qu'il y a une différence majeure entre se trouver beau et talentueux et avoir un problème de santé mentale relié au trouble de la personnalité narcissique.

Au pire, c'était juste une joke. C'pas parce que je fais un bac en psycho que je suis sans cesse en train d'apposer des diagnostics. Ça devient irritant.

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Dans mon cas et surment plusieurs autres aussi, mon estime personnelle se limite en quelque sorte a mes recents succes/echecs .

Dans ce qui a rapport avec le physique: si je suis dans une ''bonne passe'' c'est sur que je vais aller au gym et que je vais prendre soin de mon apparence et si tout va mal, j'aurai tendance a me laisser emporter un peu.

L'intelligence est relative puisqu'il y en a plusieurs sortes.. 8 au total et vos actions/reactions influenceront chacune d'elles a leurs facons distinctive.

Les relations avec les autres deviennent tres difficiles lorsque l'estime de soi en prend un coup dans les balls; je m'expliques : C'est difficile d'aimer les autres quand nous sommes mal dans notre peau.

Qu'est-ce qui influence votre estime personnelle?

Votre physique?

Vos relations avec les autres?

Votre intelligence?

Votre personnalité?

vous sentez-vous fragile à ce niveau-là?

Qu'est-ce qui vous aide à vous aimer davantage?

bonne journée! :)

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Je suis beau.

Je suis grand.

J'ai du succès avec le sexe opposé.

J'ai un travail intéressant et je suis bon dans ce que je fais.

Je fais un très bon salaire.

J'ai une très bonne estime de moi-même.

Quand on a une bonne estime de soi, on ne ressent pas le besoin compulsif de se vanter et de péter de la broue.

Quand on a une bonne estime de soi, on a quelque chose d'autre que son égo au centre de sa vie.

Quand on a une bonne estime de soi, on se possède, on est son propre acquis. Fake on s'intéresse aux autres.

Quand on fait le contraire, c'est qu'on est insécure, comme le caniche qui aboie pour rien alors que le bouvier-bernois, lui, dort et ouvre à peine un oeil.

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  • 12 ans plus tard...

Jadis, nous ne choisissions pas notre femme ni notre métier : notre famille le faisait pour nous. Nous ne choisissions pas notre destinée, nous avions une place dans la société. Nous évolutions désormais dans une société individualiste et compétitive. Il faut s'y montrer capable pour conquérir un travail et une partenaire de vie. La construction de soi est ainsi devenue indispensable, car la formation des liens sociaux dépendant de l’autonomie et la performance individuelle. Il est vain de regretter les anciennes sociétés ou l’individu était soumis au groupe de manière écrasante; l'estime de soi dépendant de la conformité aux normes. La tâche était plus simple, mais au prix d'une soumission à des règles rigides.

Si nous ne prenons pas soin de nous , si nous ne disposons pas d'un minimum d'estime et de respect pour nous même, alors nous n'agirons pas , ou moins bien, et avec moins de lucidité et de sérénité. L'estime de soi est donc l'outil de notre liberté et de notre autonomie psychologique. C'est ce qui nous permet de résister aux pressions et aux manipulations. Sans elle, nous ne serons que le produit limité et prévisible de notre passé (comment nos proches se comportaient et se traitent eux-mêmes ou par leur discours (comment on nous traitait). Si nous ne nous méfions pas des apprentissages du passé, nos jugements sur nous (je ne vaux pas grand-chose) et sur les autres (l'humain est médiocre et absurde) en sera teinté, sans parvenir à s'en affranchir, à devenir nous-même et ne pas être le jouet des influences sociales (faire plus confiance aux publicités pour s'habiller, penser et vivre qu'à notre propre jugement)

Trois fléaux de nos sociétés et de nos psychisme : performance, abondance, apparence

L'estime de soi est une sorte de tableau de bord du moi qui va influencer notre style de conduite psycho-comportemental. Le carburant de l'estime de soi nous signale si nos besoins fondamentaux sont satisfaits, si les signes de reconnaissance sociale (affection, sympathie, amour, admiration, estime reçu de la part des autres personnes) ou les signe de performance (réussite, action couronnées de succès)sont pleins ou vide. L'estime de soi est donc surtout sensible aux rejets et aux succès. C'est elle qui nous rend craintif ou audacieux, qui nous pousse à nous révéler ou à nous rétracter.

Notre ego peut être boursouflé, omniprésent, gavé de mauvaise nourriture, dont il est devenu dépendant. Ce n'est pas un hasard si les troubles de conduites alimentaires sont si étroitement liés aux problèmes d'estimes de soi. Et il est tentant de pousser encore plus loin la comparaison : il y a des boulimies de soi-même, des inflations de l’ego où l'on se rempli de soi , puis ou l'on se vomit : il y a souvent ensuite , des anorexies de soi, ou l'on se réfugie dans l’ascèse et la privation ou l'on se croit grandir et se renforcer en s'ignorant et en se maltraitant.

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