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21 décembre 2012


Déchet(s) recommandé(s)

J'gage que W00t W00t lui-même l'a pas écouté au complet.

J'en ai regardé 15 minutes, mais c'est assez technique et ça devient soulant. En gros ce désastre va avoir des répercussions dans le monde entier et va créer un effet néfaste sur la chaine alimentaire mondiale. Elle va aussi affecter les poissons du pacifique, les oiseaux, la flore et la population humaine du Japon et des pays avoisinants, et ce, pour les décennies, si ce n'est des centenaires à venir. La quantifié de césium qui a fuit de Fukushima Daiichi est plus élevé que tout les essais nucléaire réunie qui ont eux lieux sur Terre depuis le début de l'air nucléaire.

Le fait est que le Japon n'a pas vraiment le choix d'utiliser le nucléaire à cause de son emplacement géographie. Et si le pays change pour le charbon, cela va créer d'autre problème. Les énergies dites vertes ne sont pas assez efficaces pour fournir de l’énergie à une population aussi dense que le Japon.

En gros, attendez vous dans les prochaines decenies à voir crever des 100 de millions d'humain et d'animaux du cancer ou autres maladies reliées à une exposition à la radioactivité. Il ne faut pas non plus oublier les naissances de créatures déformées et la mort d'écosysteme complet et tout la chaine d'événement qui va suivre, ça va être atroce pour ce coin de la planète, le futur est sombre, très sombre.

La globalisation du marché et le marché de l'import /export alimentaire n'aident pas. Le fait que le poisson ne soit reconnu comme bon pour la santé non plus. Maintenant, n'importe qui dans le monde peut manger un sushi avec du poisson qui a respiré de l'eau radioactive.

Je suis amateur de sushi, et à la lumière de cette information, je remets en question mon régime alimentaire.

Une évacuation de masse du japon, en commençant par Tokyo, n'est pas à négliger, cela peut arriver plus rapidement qu'on peut le croire..

Assez épeurant, n'est-ce pas?

Arnold "Arnie" Gundersen is chief engineer of energy consulting company Fairewinds Associates and a former nuclear power industry executive, and who has questioned the safety of the Westinghouse AP1000, a proposed third-generation nuclear reactor.[1] Gundersen has also expressed concerns about the operation of the Vermont Yankee Nuclear Power Plant. He served as an expert witness in the investigation of the Three Mile Island accident.

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Fait des résumés de tes liens sinon toute va prendre le bord de la Fosse. Ça fait littéralement plus qu'un an que je te le demande.

En fait, Fukushima Daiichi est la plus grosse catastrophe que l'être humain n'a jamais eu à faire face. C'est TRÈS grave!! Tu peux imaginer tout la marde chimique qui s'est retrouvé dans l’océan après le Tsunami? sans oublier, que la marré noir de Deepwater horizon (BP) a malmené l’océan aussi il ya peut de temps.

J'ai trouvé le meilleur vidéo conspirationniste du monde.

Les Kit Kat sont démoniaques !!!

@ 1:10 - "On a vraiment eu peu quand on vu la date de péremption"

Le problème sombre idiot, est que Fukushima Daiichi n'est pas une conspiration c'est un fait et c'est réel. Les problèmes que va engendrer cette catastrophe vont affecter la Terre entière. Mais continu à te taponner la mousse dans le nombril et à faire des jokes de débile profond, c'est tellement plus réconfortant.

À mon avis, le plus gros problème présentement et qui s’élève au dessus de tout autres dans le monde est celui-ci. Les êtres humains dans leur entièreté devraient travailler ensemble afin que cette événement catastrophique ait le moins d’impact possible sur notre avenir et notre planète.

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Le problème sombre idiot, est que Fukushima Daiichi n'est pas une conspiration c'est un fait et c'est réel. Les problèmes que va engendrer cette catastrophe vont affecter la Terre entière. Mais continu à te taponner la mousse dans le nombril et à faire des jokes de débile profond, c'est tellement plus réconfortant.

À mon avis, le plus gros problème présentement et qui s’élève au dessus de tout autre dans le monde est celui-ci. Les êtres humains dans leur entièreté devraient travailler ensemble afin que cette événement catastrophique ait le moins d’impact possible sur notre avenir et notre planète.

J'ai établi un lien entre Fukushima et les KitKat quelque part sans le savoir ? lol

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J'ai établi un lien entre Fukushima et les KitKat quelque part sans le savoir ? lol

Ok je comprend maintenant ton niveau de compréhension de problèmes qui s'élèvent au dessus de petites luttes sociales.

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La date du 21 Décembre 2012 marquant la fin du calendrier Maya est définitivement enterrée.

"C'est l'un des enseignements - sans doute le plus anecdotique ! - de la découverte de tables astronomiques mayas datées du IXe siècle par une équipe d'archéologues américains.

Peintes sur le mur d'un bâtiment enfoui, dans les ruines de la cité de Xultun (Guatemala), il s'agit de colonnes de chiffres liés aux phases de la Lune, et peut-être aussi à Mars, Mercure et Vénus. [...]

C'est sur la foi de l'un de ces calendriers, le compte long, que certains illuminés ont prétendu que les Mayas avaient prédit la fin du monde pour le 21 décembre 2012.

Las, les inscriptions peintes sur les murs de Xultun montrent que les Mayas du IXe siècle se projetaient bien au-delà de la période de 5125 ans du compte long"

Source: http://www.cieletespace.fr/node/8960

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La date du 21 Décembre 2012 marquant la fin du calendrier Maya est définitivement enterrée.

"C'est l'un des enseignements - sans doute le plus anecdotique ! - de la découverte de tables astronomiques mayas datées du IXe siècle par une équipe d'archéologues américains.

Peintes sur le mur d'un bâtiment enfoui, dans les ruines de la cité de Xultun (Guatemala), il s'agit de colonnes de chiffres liés aux phases de la Lune, et peut-être aussi à Mars, Mercure et Vénus. [...]

C'est sur la foi de l'un de ces calendriers, le compte long, que certains illuminés ont prétendu que les Mayas avaient prédit la fin du monde pour le 21 décembre 2012.

Las, les inscriptions peintes sur les murs de Xultun montrent que les Mayas du IXe siècle se projetaient bien au-delà de la période de 5125 ans du compte long"

Source: http://www.cieletespace.fr/node/8960

Donc, la fin du monde, c'est quand au juste.

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Ça me soulage, j'avais prévu aller a Cuba entre Noel et le Jour de l'An, l'an prochain et j'hésitais avant de faire un dépôt.

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(modifié)

This Saturday is the BIG day when Armageddon starts.

Prosperandbehealthy 3 hours ago 5

japan is being attacked by the illuminati with HAARP

oleesquivel87 26 minutes ago

TO WORLD: DONT WAIT FOR TOMORROW... TURN TO JESUS TODAY !!! REPENT AND TURN FROM SIN !! JESUS IS COMING SOON !!

canyonwater 39 minutes ago

Remplace le mot ''Jésus'' par ''Godzilla'' pis le message a le même impact lol.

J'sais pas si faut rire ou pleurer.

Modifié par Le Messie
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Je sais pas si vous êtes au courant mais la fin du monde à été annoncer un million de fois donc ça sert à quoi de croire tout ça ?

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(modifié)

http://www.youtube.com/watch?v=UfPWHPyU1u4

W00t W00t, t'as vu ce vidéo ? Creepy as fuck.

Il y aurait des humanoïdes dans l'océan au moment où on se parle.

Question de temps avant que Roland Emmerich nous fasse un film avec ça.

(I just read a message from Animal Planet itself, stating that this documentary was created as a "mockumentary" for entertainment value and that the scientists were actors. This irritates me. Something made fake like this should have been aired on the SciFi channel, not Animal Planet where people (like myself) are going to believe its real. Of course it could still be real, all the facts make sense...but the fact that the scientists were actors, and that it was aired on Animal Planet is not right)

Nevermore, les gens peuvent bien croire aux complots quand on nous fout des conneries comme ça sur une chaîne qui se dit sérieuse.

Modifié par Le Messie
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http://www.youtube.com/watch?v=UfPWHPyU1u4

W00t W00t, t'as vu ce vidéo ? Creepy as fuck.

Il y aurait des humanoïdes dans l'océan au moment où on se parle.

Question de temps avant que Roland Emmerich nous fasse un film avec ça.

(I just read a message from Animal Planet itself, stating that this documentary was created as a "mockumentary" for entertainment value and that the scientists were actors. This irritates me. Something made fake like this should have been aired on the SciFi channel, not Animal Planet where people (like myself) are going to believe its real. Of course it could still be real, all the facts make sense...but the fact that the scientists were actors, and that it was aired on Animal Planet is not right)

Nevermore, les gens peuvent bien croire aux complots quand on nous fout des conneries comme ça sur une chaîne qui se dit sérieuse.

Un très bon divertissement, mais après j'ai fait quelques recherches pour voir que les scientifiques que l'ont voit dans le pseudodocumentaire n'existe pas et que Animal Planet ont fait un gros marketing autour de ce film. Les seules infos disponible sont un site à son nom qui mène vers un site supposément confisqué par le FBI comme celui du barbu : le Dr. Paul Robertson et encore pire celui de Believe in mermaids. Après il y a le site TV Skptic qui attaque de front le film. http://latimesblogs.latimes.com/showtracker/2012/05/tv-skeptic-mermaids-clouds-the-waters.html

Donc, un bon show que j'ai regardé au complet avec quelques bons bouts comme le bras humain qui sort du filet. Mais j'ai décroché quand il ont dit que les gouvernements avaient tout confisqué et qu'ils ont commencé à délirer sur big brothers.

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  • 3 mois plus tard...

La plaque tectonique indo-australienne se déchire

Les séismes «jumeaux» qui ont frappé le nord-est de l’océan Indien le 11 avril 2012, le premier d’une magnitude de 8,6, le second de 8,2, sont exceptionnels à plus d’un titre.

Photo archives Reuters

Les mégaséismes ressentis au cours des dernières années dans l’océan Indien au large de l’Indonésie sont provoqués par la cassure progressive de la plaque tectonique indo-australienne, qui se déchire littéralement en deux au large de Sumatra, selon des études publiées mercredi.

Les séismes «jumeaux» qui ont frappé le nord-est de l’océan Indien le 11 avril 2012, le premier d’une magnitude de 8,6, le second de 8,2, sont exceptionnels à plus d’un titre.

La première secousse a été causée par la rupture d’au moins quatre failles sous-marines en l’espace de seulement 2 minutes et 40 secondes. Elle a été suivie par la rupture d’une cinquième faille deux heures plus tard, ce qui a généré le second séisme, expliquent Thorne Lay, de l’Université de Californie à Santa Cruz, et ses collègues, dans une étude publiée par la revue britannique Nature.

Fait extrêmement rare, ces secousses ont frappé au coeur de la plaque indo-australienne, près de l’île indonésienne de Sumatra, et non pas à la jonction de deux plaques comme c’est ordinairement le cas.

«Ce qu’on est en train de voir ici, c’est la plaque indo-australienne qui se fragmente en deux plaques distinctes», résume Thorne Lay.

«Ce processus géologique va mettre des millions d’années, et il va vraisemblablement nécessiter des milliers d’autres séismes aussi puissants» pour aboutir à la séparation de la plaque indienne d’avec la plaque australienne, ajoute Keith Hoper, de l’Université de l’Utah, co-auteur de l’étude.

La plaque indo-australienne se déplace vers le nord-est mais son mouvement n’est pas uniforme. D’un côté, le versant indien de la plaque entre en collision avec l’Eurasie au nord-ouest, butant contre elle au niveau de la chaîne de l’Himalaya depuis environ huit millions d’années. De l’autre, le versant australien progresse plus facilement car il plonge sous l’île de Sumatra.

C’est dans cette «zone de subduction» au large de Sumatra que sont survenus les mégaséismes d’Aceh (magnitude 9,3) le 26 décembre 2004 et de l’île de Nias (magnitude 8,7) en 2005.

Contrairement à la secousse d’Aceh, qui avait déclenché un tsunami dévastateur faisant 220 000 morts ou disparus dans une dizaine de pays voisins, seules des vaguelettes ont été enregistrées au printemps dernier. En effet, en avril 2012, les failles qui ont rompu coulissaient horizontalement l’une contre l’autre, sans mouvement vertical suffisamment important pour créer une lame de fond.

En revanche, les deux séismes d’avril 2012 ont provoqué un très grand nombre de secousses de par le monde, selon une autre étude publiée dans Nature.

D’après Fred Pollitz, de l’US Geological Survey (USGS), et ses collègues, la fréquence des séismes d’une magnitude supérieure à 5,5 a été multipliée par cinq dans les six jours qui ont suivi ces séismes jumeaux. Certaines de ces secousses ont atteint une magnitude de 7, jusqu’au Mexique. Une puissance et une distances telles que les chercheurs américains excluent qu’ils puissent s’agir de répliques classiques.

Via Sott.net

Environ 23 centrales nucléaires dans le monde sont sous la menace d’un tsunami

Après la catastrophe nucléaire de Fukushima provoquée par le tsunami qui a dévasté le nord-est du Japon le 11 mars 2011, on pouvait se douter que d'autres centrales couraient le même risque dans le monde. Encore fallait-il les identifier. C'est le travail qu'une équipe dirigée par des chercheurs espagnols a réalisé.

Résultat: quelque 23 centrales comprenant 74 réacteurs nucléaires sont implantées dans des zones "potentiellement dangereuses" vis à vis des tsunamis, dans la mesure où ces phénomènes restent difficiles à prévoir.

Dans l'étude publiée dans la revue Natural Hazards, les chercheurs dénombrent 13 centrales en activité abritant 29 réacteurs parmi les 23 centrales à risque. Quatre autres, avec 20 réacteurs, sont en cours d'extension pour disposer de 9 réacteurs supplémentaires. Enfin, 7 centrales, avec 16 réacteurs, sont en cours de construction. (Soit 24 centrales au total et non 23 comme annoncé par les chercheurs...).

Première cartographie mondiale

"Il s'agit de la première vision de la distribution mondiale des réacteurs de centrales nucléaires civiles situées sur une côte et exposées aux tsunamis", indique José Manuel Rodríguez-Llanes, coauteur de l'étude au Centre de recherche sur l'épidémiologie des désastres (CRED) à l'université catholique de Louvain, en Belgique. Les chercheurs ont utilisé des données historiques, archéologiques et géologiques ainsi que des relevés de mesures pour établir les risques de tsunamis.

Les zones géographiques côtières concernées sont très étendues : l'ouest du continent américain, la côte atlantique de l'Espagne, du Portugal et de l'Afrique du nord, l'est de la Méditerranée, certaines partie de l'Océanie et, surtout, le sud et le sud-est de l'Asie. Ainsi, la Chine se trouve particulièrement visée du fait de sa forte expansion nucléaire actuelle. Pas moins de 27 des 54 réacteurs en cours de contruction dans le monde s'y trouvent.

19 réacteurs en Chine et 19 au Japon

"Le fait le plus important est que 19 réacteurs, dont 2 à Taiwan, sur les 27 en construction en Chine sont dans des zones dangereuses", notent les auteurs. Au Japon, les chercheurs ont identifié 19 réacteurs à risque, dont l'un est en cours de construction. La Corée du sud est en train d'étendre deux centrales à risque avec 5 réacteurs. Deux réacteurs en Inde et un au Pakistan pourraient également subir des tsunamis.

Joaquín Rodríguez-Vidal, auteur principal et chercheur au département de paléontologie et de géodynamique de l'université de Huelva, souligne que "les implications des choix d'implantation des centrales nucléaires ne concernent pas uniquement les Etats qui les font mais également ceux qui pourraient être touchés par les fuites radioactives". Et de remarquer que, depuis le tsunami de 2004, les régions de l'Océan indien n'ont pas pris de décisions politiques dans ce domaine.

La leçon de Fukushima

Le drame de Fukushima s'est produit dans un pays techniquement en pointe et doté d'infrastructures modernes. Il aurait sans doute eu des conséquences encore plus graves s'il s'était produit dans un Etat moins développé. Les chercheurs recommandent donc de réaliser des analyses locales qui prennent en compte le risque sismique et celui d'un tsunami afin de déterminer l'adaptation nécessaire des centrales mentionnées dans leur étude.

Un tel conseil aurait pu paraître saugrenu avant Fukushima, tant l'on pouvait alors être persuadé que toutes les mesures anti-tsunami avaient bien été prises. Surtout dans un pays comme le Japon qui vit sous la menace permanente d'un séisme majeur. Désormais, nous savons que l'une des premières puissances économiques mondiales est capable de ne pas protéger efficacement ses centrales contre un tsunami. D'où l'importance de cette nouvelle étude. Mais sera-t-elle suivie d'effets ?

Source © Michel Alberganti/ blog.slate

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  • 2 semaines plus tard...

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