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Stress et anxiété


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Le stress (issu par l'anglais de l'ancien français destresse) est, en biologie, l'ensemble des réponses d'un organisme soumis à des pressions ou contraintes de la part de son environnement. Ces réponses dépendent toujours de la perception qu'a l'individu des pressions qu'il ressent. Selon la définition médicale, il s'agit d'une séquence complexe d’événements provoquant des réponses physiologiques, psychosomatiques. Par extension tous ces événements sont également qualifiés de stress. Dans le langage courant, on parle de stress positif (eustress en anglais) ou négatif (distress). Le stress est différent de l'anxiété, celle-ci est une émotion alors que le stress est un mécanisme de réponse pouvant amener différentes émotions, dont l'anxiété.

L’anxiété se définit comme le sentiment d’un danger imminent et indéterminé. C’est la manière pour le corps de faire savoir qu’on doit se préparer à attaquer ou à fuir. Bien qu’on les confonde souvent, l’anxiété est différente de la peur. Cette dernière survient en réaction à une menace réelle, par exemple lorsqu’on se trouve soudainement face à face avec un ours en pleine forêt. L’anxiété est plutôt une anticipation de cette peur. La personne anxieuse n’ira tout simplement pas en forêt au cas où elle risquerait de rencontrer un ours.

devant les nouvelles responsabilités de la vie de jeune adulte, les échecs de tout ordre, les incertitudes face à l'avenir, la pression sociale et familiale, les défis au travail et dans vos études, vous considérez-vous comme une personne stressée ou anxieuse? devant une période de grand stress ou d'anxiété, comment réagissez-vous? quelles sont les réponses physiques et psychosomatiques de votre stress ou de votre anxiété? est-ce que votre stress ou votre anxiété a un impact négatif sur votre vie en général? quels sont vos trucs pour combattre le stress ou l'anxiété?

je peux me tromper n'étant pas une experte, mais je crois que les réponses physiques du stress et de l'anxiété peuvent notamment être de l'eczéma, la perte ou le gain d'appétit, de insomnie, des vomissements, etc, alors que les réponses psychosomatiques sont notamment la dépression, l'insomnie, la dépendance (alcool, drogues, jeux ou autre), une perte de mémoire ou de concentration, etc.

pour ma part, je ne suis pas une personne anxieuse malgré que je peux vivre certaines périodes où je me sens plus anxieuse que d'autres, mais toujours pour des raisons assez rationnelles. je considère que l'anxiété est beaucoup plus difficile à gérer et à vivre dans le quotidien que le stress. souvent, l'anxiété n'a pas de base rationnelle (surtout lorsqu'elle évolue vers des pensées obsessionnelles) ce qui a pour conséquence qu'elle est très difficile à contrôler comparativement au stress.

pour ce qui est du stress, j'en vis beaucoup depuis les 2-3 dernières années. mon stress se manifeste surtout par une perte de concentration, des tics faciaux, de l'eczéma derrière les genoux et sur le ventre et des nuits très agitées dans lesquelles je suis envahie de rêves des plus étranges. aussi, la fréquence des épisodes de paralysie du sommeil augmente, comme hier soir, où j'ai passé une bonne partie de la nuit à combattre mon sommeil, paralysée et paniquée à l'idée que si je m'endormais, j'allais devenir paralysée.

et vous, quelle relation entretenez vous avec le stress et l'anxiété?

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Salut Minh Vy,

Personnellement, il m'est arrivé souvent d'être anxieux durant ma maîtrise, en imaginant notamment des rencontres désastreuses avec des mes directeurs. C'est l'exemple qui m'a le plus affecté dans les dernières années, que j'ai rationalisé. Ça a eu comme conséquence beaucoup de délai entre les rencontres, et tout ce que j'imaginais n'était pas du tout justifié.

Mais il arrive relativement régulièrement de faire de l'anxiété sans qu'il n'y ait de causes identifiées... et j'ai tendance à croire que c'est génétique, parce que j'suis pas le seul dans ma famille. Le symptôme "aigu" commun se manifeste surtout par une sensation de vide au niveau de la cage thoracique. J'peux boire des quantités importantes de bière, quand je me sens pas bien ^^0. (C'est pas un réflexe d'aller en chercher non plus quand ça arrive, mais ça peut coincider...)

Autrement, j'aurais tendance à croire que je réagis bien au stress. Ça ne m'a jamais nuit lors de présentation, par exemple... au contraire, même. Ça peut induire quelques nuits par années d'insomnie (mais c'est peut-être relié à l'anxiété, ça).

Modifié par MrSandMan
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L'anxiété me pousse à toujours avoir un plan d'urgence dans les situations précaires. C'est une mesure de sécurité le cas échéant. Cependant, je viens d'apprendre que mes prêts et bourses ne seront pas versés tant et aussi longtemps que mes rapports d'impôts ne seront pas complétés et remis, c'est un stress additionnel énorme car tout était réglé pour aller de pair avec mes études à plein temps.

Je me retrouve dans une situation où je ne peux pas recevoir d'assurance-emploi ou d'assistance-sociale, de prêts ou de bourses d'études, je dois impérativement travailler en plus de mes 30 heures de classe par semaine de 08:30 à 02:30 autrement je me retrouve sans loyer et sans possibilité de faire l'épicerie.

Je sais que l'été ce n'est pas un problème lors des festivals, je me trouve alors un emploi facilement. Mais nous sommes actuellement en Janvier. J'ai peur d'abandonner des cours parce que obligé de respecter un horaire de travail. J'ai peur de ne pas amasser assez d'argent. J'ignore comment je vais faire pour remplir ces putains de déclarations. J'en ai 3 à faire pour les années 2011 à 2013.

Les solutions sont les bienvenues, je sais que je vais me faire traiter de fraudeur mais j'ai toujours payé les retenues automatiques sur mes salaires.

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le sujet n'est pas tant à l'effet de connaître vos sources personnelles de stress ou d'anxiété mais plutôt de savoir si vous êtes des personnes à tendance stressée ou anxieuse et comment vous le vivez et le gérez dans votre quotidien. aussi, l'examiner d'un point de vue social/scientifique serait intéressant. mais trouve-toi un comptable, pour commencer.

Je procrastine. C'est déjà assez comme ça. Pas d'insomnie ou autre manifestation somatique. Je ne suis pas assez exigeant envers moi-même pour en arriver là.

je suis daccord avec toi que plus tu as d'attentes envers toi-même (qu'elles proviennent de pressions familiales, sociales ou autre) plus tu deviens une personne anxieuse. aux États-Unis, les études démontrent que les enfants provenant de familles asiatiques sont beaucoup plus anxieux que celles provenant de familles hispaniques ou noires, par exemple. la culture asiatique fait en sorte qu'il y a une pression extrême vers la réussite et le conformisme social. souvent, la première question que l'entourage asiatique va poser aux parents est ce que leurs enfants font dans la vie. et lorsque les parents asiatiques présentent leurs enfants à leur entourage, ils vont souvent commencer par leur dire ce qu'ils font dans la vie, surtout si c'est quelque chose de bien vu : "je te présente mon enfant, il/elle étudie en médecine", par exemple.

il importe également que l'enfant se marie avant d'avoir des enfants, avec un conjoint/conjointe qui aura obtenu l'approbation des parents. tout est dans l'apparence et dans l'image que la famille projette sur leur entourage. j'ai également eu cette même impression des familles arabes (libanaises surtout).

les familes de blancs (les québécois du moins), vont plutôt avoir une vision individualiste prônant le "vivre et laisser vivre". il y a évidememnt des exceptions, mais on encourage d'avantage l'enfant à aller vers ce qu'il aime ou le passionne, plutôt que vers ce qui est socialement bien vu. savoir ce que les enfants des autres font dans la vie n'est pas nécessairement une question qu'ils se posent ou, même, qui les intéresse. autant je peux rejeter certaines valeurs et mentalités propres à la culture blanche, autant je préfère de beaucoup leur mentalité sur ces éléments précis.

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Pour un individu provenant d'une famille riche depuis quelques générations, l'attente envers le prochain descendant devient très grande et celui-ci va généralement avoir le choix dans quelques pistes à suivre qui permettront la pérénnité du statut familial. Il ne va pas faire ce qu'il "veut". C'est comme la "noblesse", ou la bourgeoisie qui veut maintenir son embourgeoisement.

J'sais pas, au Québec on a longtemps été un peuple de travailleurs et peut-être que les hivers longs et l'isolement qui y est indirectement relié fait qu'on peut avoir un inconscient collectif qui favorise le développement personnel, l'individualité et l'expressivité d'une personne. Mais quand on y pense, on est pas bien différent d'américains, d'anglais, de français, d'allemands. On est le peuple, c'est tout.

Modifié par MrSandMan
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devant les nouvelles responsabilités de la vie de jeune adulte, les échecs de tout ordre, les incertitudes face à l'avenir, la pression sociale et familiale, les défis au travail et dans vos études, vous considérez-vous comme une personne stressée ou anxieuse? devant une période de grand stress ou d'anxiété, comment réagissez-vous? quelles sont les réponses physiques et psychosomatiques de votre stress ou de votre anxiété? est-ce que votre stress ou votre anxiété a un impact négatif sur votre vie en général? quels sont vos trucs pour combattre le stress ou l'anxiété?

je peux me tromper n'étant pas une experte, mais je crois que les réponses physiques du stress et de l'anxiété peuvent notamment être de l'eczéma, la perte ou le gain d'appétit, de insomnie, des vomissements, etc, alors que les réponses psychosomatiques sont notamment la dépression, l'insomnie, la dépendance (alcool, drogues, jeux ou autre), une perte de mémoire ou de concentration, etc.

Avant cette année je ne soupçonnais pas ma propre relation à l'anxieté.

Aujourd'hui je sais clairement que je somatise. Si je suis stressée, ou anxieuse, mon corps finit par me communiquer le problème.

Quand je suis dans ces états, je n'ai pas l'impression d'aller mal: je garde comme qui dirait la tête hors de l'eau, et j'avance.

Malheureusement, ou heureusement, mon corps finit toujours par se faire remarquer de manière souvent très étrange.

La dernière fois que j'ai eu un pic, c'était lors de ma rupture, déménagement, pressions horribles au travail, nouvelle relation avec son lot d'incertitudes...

J'ai eu mes règles pendant 3 semaines et j'ai perdu 10 kilos.

Je mangeais tellement plus que j'avais l'impression de ne plus en avoir besoin, que j'allais soit mourir d'un coup, soit me transformer en robot.

Le jour où j'ai emménagé pour de bon, les règles ont cessé. C'était bel et bien le stress.

Quand j'ai eu une mise a pied il y a quelques années, j'avais aussi fini par avoir des crampes au plexus solaire, un signe que si je continuais j'allais me faire un joli ulcère. Heureusement je n'ai pas été virée et j'ai pu repartir sur de bonnes bases avec ma hiérarchie ce qui m'a permis de relâcher la pression.

Et cet été, avant de changer de service et fraîchement célibataire, j'avais encore des pics d'angoisses la nuit, et je découvrais les joies de l'insomnie ! Ca a duré plus d'un mois avant que j'apprenne à me calmer. La nuit je serrais mon chat contre moi et son ronron finissait par m'apaiser. J'ai bien essayé de faire une cure de magnésium... Mais pour une fille qui boit un litre d'eau par jour, c'était pas vraiment la solution... Puis tout est rentré dans l'ordre et j'ai donc très vite zappé de faire cette cure sérieusement...

A part ça... je ne vois que le soin et le sport: je sais que le chiatsu est une pratique saine et rephasante sur les énergies. C'est comme l'acupuncture, ça a fait ses preuves en terme d'efficacité... Mon ex, après avoir perdu sa mère, était complètement enragé contre tout. Une séance de shiatsu l'a transformé, c'est comme si ça lui avait permis de digérer sa colère, le poids qu'il avait et dont il ne voulait pas parler.

Je te conseille avant tout de faire du sport pour évacuer. Tout n'est question que de cela, après tout. Moi c'est la piscine (:

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Je ne suis pas de nature stressé ni anxieux. Je ne me rappels pas la dernière fois où j'ai eu de la misère à m'endormir sauf si j'ai pris un café... J'ai toujous dis et pensé que si la terre arrêtait de tourner demain, je dormirais quand même comme un bébé.

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  • 2 semaines plus tard...

J'ai toujours eu des comportements obsessifs-compulsifs. J'ai plusieurs petits rituels. Je regarde si j'ai bien fermé une porte, un robinet, je fais des décomptes. Mais je me rends compte que depuis que j'ai terminé l'université, j'en ai beaucoup plus! Je crois que ça peut être parce que je fais moins de sport et parce que je m'évade moins qu'avant (joints/bières). AUssi, je constate que plus j'ai de responsabilités, plus mon trouble est intense. Des fois, dans mes peaks, je peux prendre 30 minutes juste pour me préparer à aller dormir. Je regarde si j'ai bien barré les portes, si j'ai bien fermé les robinets, le frigo... On dirait que je dois comme "fermer" chaque pièce... Et là, c'est temps-ci, je commence à vérifier si j'ai bien fermé mes lumières. Ce qui commence à m'énerver là-dedans, c'est que j'arrive souvent en retard à des rendez-vous, parce que je gosse trop longtemps à vérifier tout plein de choses avant de partir.

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  • 2 semaines plus tard...

J'ai eu tellement de symptômes de stress d'un coup que ça m'a poussé à ralentir un peu. J'ai tout enchaîné en décembre: problèmes de peau, migraines, mal de dos, de ventre, insomnie. J'ai reconnu le problème assez vite parce j'avais eu exactement le même enchaînement à l'adolescence dans une période de stress intense. A l'époque, le médecin (qui était quand même un gars un peu space, le genre qui passe ses vacances chez des moines bouddhistes) avait attaqué ma mère en lui disant que pour arriver à un tel niveau de stress aussi jeune, j'avais du grandir dans un environnement mauvais pour un enfant, qu'une fois que ces mécanismes étaient en place ils restaient toute la vie. La seule façon que j'ai de limiter ça, c'est de vivre le plus sainement possible (nourriture équilibrée, pas d'alcool, sport, chatons mignons, etc.)

L'attitude de l'entourage joue un gros rôle aussi. Je me trouve un peu dans les cas de figures décrits plus haut, étant avec quelqu'un d'une classe sociale supérieure à la mienne, je me retrouve dans un monde où ce que je trouve impressionnant et honorable leur paraît tout à fait normal, la moindre des choses. Quand je fais part de mon stress, on me dit que c'est mignon, et en plus on me fout régulièrement la pression en me disant que je n'ai pas le droit à l'erreur, ce serait trop ridicule. Mais j'en ai marre qu'on me dise que cette vie là est simple câliss, je suis en galère totale moi, j'ai l'impression d'être entourée de cinglés perfectionnistes.

L'anxiété je n'en ai qu'avant de rencontrer quelqu'un. Même passer un coup de fil est une épreuve qui peut me prendre une petite heure de préparation. Pourtant qu'est-ce qui peut se passer de pire au téléphone? Que ma voix tremblotte un peu? Big deal... Et irl, c'est encore pire, même l'idée d'avoir à marcher devant un recruteur me fait flipper, j'ai l'impression de me mettre à boîter. Pourtant c'est pas justifié, on m'a dit plusieurs fois que j'étais bonne en entretien d'embauche, une fois que ça démarre, je suis très à l'aise. Ca fait aucun sens.

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Ce qui est drôle en te lisant, c'est le blâme que tu fais du perfectionnisme, tout en ayant l'air de l'être envers toi même.

Sans doute l'effet de l'intersubjectivité (;

J'ai vécu dans des atmosphères de stress et de pas droit à l'erreur, et c'est le pire à assumer au quotidien.

Ca te rentre par tous les pores, et c'est très dur de rester sain sous une pression généralisée.

Le problème du téléphone touche beaucoup de monde, dont moi ^^

Ce blocage est assez étrange en vrai...

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  • 11 mois plus tard...

L'anxiété me fait perdre connaissance et je peux vous dire que ce n'est jamais très agréable. Jai des sensations de chaleur, de vertiges,parfois des mots de coeur et avant de tomber je commence a voir floue. Je fais comme des "black out", j'entends les sons qui m'entoure sans être trop consciente, mais je ne vois rien. La dernière fois je ne m'étais même pas rendue compte que je m'étais evanouie , car je me dirigeait dans la chambre de mes parents, je suis tombé .. i guess et rendu dans leur chambre je me suis dit que j'étais probablement tombé étant donné que j'avais mal au crâne et que je me rappellais du bruit de ma tete dans les armoirs. Bref, c'est rendu que j'ai des malaises à avoir peur que ça recommence. Est ce que quelqu'un sest déjà évanouie à cause de l'anxiété ou juste pour des raisons qui vous sont inconnues, car vous êtes en parfaite santé ?

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  • 1 mois plus tard...

Quand je vis de l'angoisse atroce et despotique et de l'anxiété hydrogénique, je pense à demain, à l'avenir.

Non pas mon demain et mon avenir, mais celui du monde qui m'entoure. J'ai lu Isaac Asimov, dacodac ?

Demain les chiens. Car ce qui est important n'est pas ce qui est, mais ce qui adviendra.

Ce n'est pas le futur qui semble si invraisemblable et si lointain, mais le renouveau, la renaissance dont la faible lueur resplendie pourtant.

Les Métamorphoses.

Bref, l'amour triomphant, la masturbation crépusculaire et tout le bazar est ce qui m'aide à passer à travers mes ennuis nerveux.

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