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Doctorat


Déchet(s) recommandé(s)

Donc, c'est ça. Je termine ma maîtrise (MBA) dans trois semaines. Est-ce que je devrais faire un doctorat?

Je n'y ai jamais vraiment pensé avant, mais je suis comme motivé. Je retourne travailler bientôt et je contemple l'idée. Ça peut sembler bizarre, mais je crois que je pourrais faire un doctorat en philosophie (avec une orientation business management). À l'UdM, c'est 15 crédits de cours plus une thèse. D'un autre côté, ce n'est pas vraiment nécessaire pour le travail, mais ça pourrait être intéressant. Que faire? Y'a-tu quelqu'un qui a déjà considéré un doctorat? Ou qui veut en faire un? Qui connaît un peu ça?

Est-ce que ce serait mieux de faire ça dans une grande université?

D'un autre côté, j'aimerais aussi apprendre à jouer d'un instrument. Je ne crois pas avoir de talent particulier, mais en m'y mettant un an ou deux, je pourrais m'amuser au piano...

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Donc, c'est ça. Je termine ma maîtrise (MBA) dans trois semaines. Est-ce que je devrais faire un doctorat?

Je n'y ai jamais vraiment pensé avant, mais je suis comme motivé. Je retourne travailler bientôt et je contemple l'idée. Ça peut sembler bizarre, mais je crois que je pourrais faire un doctorat en philosophie (avec une orientation business management). À l'UdM, c'est 15 crédits de cours plus une thèse. D'un autre côté, ce n'est pas vraiment nécessaire pour le travail, mais ça pourrait être intéressant. Que faire? Y'a-tu quelqu'un qui a déjà considéré un doctorat? Ou qui veut en faire un? Qui connaît un peu ça?

Est-ce que ce serait mieux de faire ça dans une grande université?

D'un autre côté, j'aimerais aussi apprendre à jouer d'un instrument. Je ne crois pas avoir de talent particulier, mais en m'y mettant un an ou deux, je pourrais m'amuser au piano...

Un doctorat va te prendre au minimum trois ans à temps plein. Es-tu prêt à mettre en veilleuse ton avancement au sein de la compagnie pour laquelle tu travailles pour quelque chose qui va rapporter peu à ta carrière?

Pour ma part, l'option que j'envisage, c'est de suivre des cours du soir comme étudiant libre dans des domaines qui m'intéresse(philosophie, histoire, psychologie). C'est beaucoup moins rigide que de faire des études de troisième cycle surtout quand tu es simplement motivé par un intérêt pour le sujet et non par l'objectif précis de devenir chercheur ou professeur.

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J'ai fait une année de doctorat avant de terminer mon mémoire de maîtrise (passage accéléré pour ceux qui avaient une bonne moyenne dans les cours de maîtrise), mais j'ai laissé tomber car ça ne donnait absolument rien sur le marché du travail et j'avais plein de contrats lucratifs qui m'attendaient. J'ai donc clenché mon mémoire en quelques mois plutôt que de m'éterniser plusieurs années à l'université.

Honnêtement, si tu veux faire un doctorat, essaye de faire en sorte que tu puisses le faire dans le cadre d'un vrai travail rémunéré qui comptent également pour ta thèse. Sinon, c'est un peu une perte de temps, à moins de vouloir devenir prof.

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Mon petit grain de sel.

Je n'aime pas travailler. J'aime étudier.

-Arrange toi pour être payer à étudier. Deviens prof/chercheur.

-Oui!

(Ce qui veut dire Doctorat absolument, oui, oui!)

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Tu complètes ta maîtrise en quelle discipline?

Un MBA = Master of Business Administration = Maîtrise en administration des affaires

Un doctorat va te prendre au minimum trois ans à temps plein. Es-tu prêt à mettre en veilleuse ton avancement au sein de la compagnie pour laquelle tu travailles pour quelque chose qui va rapporter peu à ta carrière?

Pour ma part, l'option que j'envisage, c'est de suivre des cours du soir comme étudiant libre dans des domaines qui m'intéresse(philosophie, histoire, psychologie). C'est beaucoup moins rigide que de faire des études de troisième cycle surtout quand tu es simplement motivé par un intérêt pour le sujet et non par l'objectif précis de devenir chercheur ou professeur.

En fait, j'ai mis mon travail en veilleuse quelques mois pour terminer mon MBA, ça représente un coût d'opportunité d'environ 50,000$. Je ne suis pas prêt à le refaire de sitôt.

Je suis quelqu'un qui a besoin de motivation et d'un but à atteindre, c'est pour ça que je préfère être crédité pour les cours suivis pour éventuellement obtenir un papier. Je ne suis pas très "étudiant libre". J'ai regardé le programme de doctorat en philo de l'UdM, il y a 15 crédits de cours et la thèse ensuite. À la rigueur je pourrais faire seulement les cours (ça doit équivaloir à un DESS ou pas loin) et laisser traîner la thèse.

J'ai fait une année de doctorat avant de terminer mon mémoire de maîtrise (passage accéléré pour ceux qui avaient une bonne moyenne dans les cours de maîtrise), mais j'ai laissé tomber car ça ne donnait absolument rien sur le marché du travail et j'avais plein de contrats lucratifs qui m'attendaient. J'ai donc clenché mon mémoire en quelques mois plutôt que de m'éterniser plusieurs années à l'université.

Honnêtement, si tu veux faire un doctorat, essaye de faire en sorte que tu puisses le faire dans le cadre d'un vrai travail rémunéré qui comptent également pour ta thèse. Sinon, c'est un peu une perte de temps, à moins de vouloir devenir prof.

C'est pas mal ça mon dilemne. Je sais pertinemment qu'un doctorat ne m'apportera pas grand chose au point de vue financier. Si je m'y mets, je m'arrangerais bien évidemment pour que ça ait un lien avec mon travail et écrire la thèse dans le cadre de mon travail.

Mon petit grain de sel.

Je n'aime pas travailler. J'aime étudier.

-Arrange toi pour être payer à étudier. Deviens prof/chercheur.

-Oui!

(Ce qui veut dire Doctorat absolument, oui, oui!)

Moi j'aime faire de l'argent. C'est pour ça que j'ai soigneusement sélectionné les programmes universitaires que j'ai suivis.

Il est hors de question que je devienne prof à l'Université. Je trouve que le monde de l'entreprise privée est plus intéressant et offre plus d'opportunités.

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(modifié)

Apprends le piano. Mozart est bien plus intéressant que la fac.

Personnellement, j'avais débuté une maîtrise dans le seul but de la faire suivre d'un doctorat, j'ai tellement eu l'impression de perdre mon temps et de ne rien apprendre d'utile que j'ai fuit en quelques mois. Tant de temps à moisir dans des bureaux pour finir avec un salaire de m*rde, non merci.

J'y retournerai plus tard, peut-être, quand ma vie sera déjà faite.

Tu devrais attendre un peu, histoire d'être sûr que ce n'est pas une envie passagère, si c'est solide, tu pourras commencer un doctorat dans quelques années, il n'y a pas d'âge pour ça.

Medicated, La Sorbonne? Je viens d'une famille d'universitaires et plusieurs y travaillent, La Sorbonne ça sonne bien mais c'est pas beaucoup plus reluisant que le reste, les universités françaises sont pourries. Je ne m'avancerai pas en parlant des doctorats mais si t'envisages de faire des études supérieures à l'étranger, évite la France.

Modifié par Kal
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Medicated, La Sorbonne? Je viens d'une famille d'universitaires et plusieurs y travaillent, La Sorbonne ça sonne bien mais c'est pas beaucoup plus reluisant que le reste, les universités françaises sont pourries. Je ne m'avancerai pas en parlant des doctorats mais si t'envisages de faire des études supérieures à l'étranger, évite la France.

Tu peux développer?

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En France:

- Amphis surchargés

- Manque de respect pour les profs et les autres élèves (ça parle, ça entre et ça sort comme dans un moulin)

- Pas ou peu de sélection à l'entrée, ça donne un joli tas de déchets analphabètes sur les bancs (Lors de ma première année, plusieurs tarés étaient incapables d'expliquer ce qui s'était passé un 14 juillet ou encore de nommer le 1er ministre, si si).

- Les grèves et les blocages

- Les profs injoignables ou qui ne répondent à leurs emails qu'avec 5 jours de retard.

- Les profs qui ne connaissent pas leurs élèves et qui se fichent éperdument de leur sort (Quand j'ai quitté la fac française, j'ai signalé mon départ à un des profs, sa réponse: "C'est rien. Si tu loupes les TDs 15 jours, t'es automatiquement effacé des listes.")

- Les petites bibliothèques ouvertes de 9h à 17h avec une petite pause à midi, fermées le week-end et durant les vacances. Ha oui, le manque d'ordinateurs disponibles aussi.

- Pas de tuteur, personne pour te conseiller rapidement quand t'as un problème.

- Les problèmes administratifs.

- Les profs qui ne viennent pas et semblent incapables de prévenir à l'avance les 200 étudiants qui vont se déplacer pour rien.

Juste à titre de comparaison, au Royaume-Uni (j'y ai fini mes études):

- Pas un seul élève sur les marches, de nombreux cours en petits groupes.

- T'arrives trop en retard, t'es gêné de rentrer dans l'amphi et personne ne papote pendant le cours.

- Sélection à l'entrée.

- Les profs répondent aux mails dans la journée ou le lendemain. J'avais même certains numéros de téléphones.

- Si un prof voit que tu peines, il te propose son aide. Quand tu es absent, il se peut qu'à ton retour il t'explique lui-même ce que tu as loupé.

- Immense bibliothèque ouverte de 7h à 2h avec pour seule fermeture la nuit du 31 décembre.

- Un tuteur qui aide à régler les petits problèmes de parcours asap.

- Je n'ai personnellement eu aucun problème avec l'administration.

- C'est rarissime qu'un prof loupe son cours sans mailer sa classe et afficher son absence à l'avance.

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J'aimerais faire un post-doc à Oxford un coup mes études terminées. En fait j'aimerais pas juste ça: c'est un rêve que je caresse. Mais bon, à 7-8000 pounds par session, je crois pas pouvoir réaliser ça un jour!

Un des plus bel endroit au monde selon moi, surtout Christ Church et la Camera.

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En France:

- Amphis surchargés

- Manque de respect pour les profs et les autres élèves (ça parle, ça entre et ça sort comme dans un moulin)

- Pas ou peu de sélection à l'entrée, ça donne un joli tas de déchets analphabètes sur les bancs (Lors de ma première année, plusieurs tarés étaient incapables d'expliquer ce qui s'était passé un 14 juillet ou encore de nommer le 1er ministre, si si).

- Les grèves et les blocages

- Les profs injoignables ou qui ne répondent à leurs emails qu'avec 5 jours de retard.

- Les profs qui ne connaissent pas leurs élèves et qui se fichent éperdument de leur sort (Quand j'ai quitté la fac française, j'ai signalé mon départ à un des profs, sa réponse: "C'est rien. Si tu loupes les TDs 15 jours, t'es automatiquement effacé des listes.")

- Les petites bibliothèques ouvertes de 9h à 17h avec une petite pause à midi, fermées le week-end et durant les vacances. Ha oui, le manque d'ordinateurs disponibles aussi.

- Pas de tuteur, personne pour te conseiller rapidement quand t'as un problème.

- Les problèmes administratifs.

- Les profs qui ne viennent pas et semblent incapables de prévenir à l'avance les 200 étudiants qui vont se déplacer pour rien.

Juste à titre de comparaison, au Royaume-Uni (j'y ai fini mes études):

- Pas un seul élève sur les marches, de nombreux cours en petits groupes.

- T'arrives trop en retard, t'es gêné de rentrer dans l'amphi et personne ne papote pendant le cours.

- Sélection à l'entrée.

- Les profs répondent aux mails dans la journée ou le lendemain. J'avais même certains numéros de téléphones.

- Si un prof voit que tu peines, il te propose son aide. Quand tu es absent, il se peut qu'à ton retour il t'explique lui-même ce que tu as loupé.

- Immense bibliothèque ouverte de 7h à 2h avec pour seule fermeture la nuit du 31 décembre.

- Un tuteur qui aide à régler les petits problèmes de parcours asap.

- Je n'ai personnellement eu aucun problème avec l'administration.

- C'est rarissime qu'un prof loupe son cours sans mailer sa classe et afficher son absence à l'avance.

Rapporté par un article de The Economist, il y a quelque années, 15 ou 16 des 20 meilleurs univerisités du monde sont américaines, le reste sont britanniques. Cette année, l'U de Toronto s'est glissé en 20ième position, et la France ne compte qu'une seule université dans le top 100...

Alors va au States.

Allah est Gland, t'as étudié en quoi?

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En France:

- Amphis surchargés

- Manque de respect pour les profs et les autres élèves (ça parle, ça entre et ça sort comme dans un moulin)

- Pas ou peu de sélection à l'entrée, ça donne un joli tas de déchets analphabètes sur les bancs (Lors de ma première année, plusieurs tarés étaient incapables d'expliquer ce qui s'était passé un 14 juillet ou encore de nommer le 1er ministre, si si).

- Les grèves et les blocages

- Les profs injoignables ou qui ne répondent à leurs emails qu'avec 5 jours de retard.

- Les profs qui ne connaissent pas leurs élèves et qui se fichent éperdument de leur sort (Quand j'ai quitté la fac française, j'ai signalé mon départ à un des profs, sa réponse: "C'est rien. Si tu loupes les TDs 15 jours, t'es automatiquement effacé des listes.")

- Les petites bibliothèques ouvertes de 9h à 17h avec une petite pause à midi, fermées le week-end et durant les vacances. Ha oui, le manque d'ordinateurs disponibles aussi.

- Pas de tuteur, personne pour te conseiller rapidement quand t'as un problème.

- Les problèmes administratifs.

- Les profs qui ne viennent pas et semblent incapables de prévenir à l'avance les 200 étudiants qui vont se déplacer pour rien.

Juste à titre de comparaison, au Royaume-Uni (j'y ai fini mes études):

- Pas un seul élève sur les marches, de nombreux cours en petits groupes.

- T'arrives trop en retard, t'es gêné de rentrer dans l'amphi et personne ne papote pendant le cours.

- Sélection à l'entrée.

- Les profs répondent aux mails dans la journée ou le lendemain. J'avais même certains numéros de téléphones.

- Si un prof voit que tu peines, il te propose son aide. Quand tu es absent, il se peut qu'à ton retour il t'explique lui-même ce que tu as loupé.

- Immense bibliothèque ouverte de 7h à 2h avec pour seule fermeture la nuit du 31 décembre.

- Un tuteur qui aide à régler les petits problèmes de parcours asap.

- Je n'ai personnellement eu aucun problème avec l'administration.

- C'est rarissime qu'un prof loupe son cours sans mailer sa classe et afficher son absence à l'avance.

Puisque l'université est gratuite en France, même pour les étrangers, elle est envahie d'Africains qui ne s'inscrivent que pour avoir un statut légal en France. Évidemment, leur présence fait baisser de beaucoup le niveau des universités.

Au Québec, ça ressemble plus à ta description du système au Royaume-Uni. Malgré le laxisme du système d'éducation (il y a encore beaucoup trop de cruches qui sont à l'université alors qu'ils ne devraient même pas avoir de diplôme de secondaire), le fait de devoir payer un peu repousse les plus idiots.

Allah est Gland, t'as étudié en quoi?

Je ne veux pas dire le domaine exact pour ne pas être reconnu (nous sommes très peu de diplômés). Je vais juste dire que je suis spécialiste en statistiques sociales. Dans mon mémoire de maîtrise, j'ai conçu un modèle de prévision qui est aujourd'hui utilisé par quelques ministères et organismes.

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L'Université de Montréal, McGill, Laval et l'Université de Sherbrooke sont relativement bonnes quand même, non?

UDM et Mcgill dans le top 100 mondial et l'UDS et Laval, sûrement dans le top 200, mais quand même pas si poches que ça.

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(modifié)

En France:

- Amphis surchargés

- Manque de respect pour les profs et les autres élèves (ça parle, ça entre et ça sort comme dans un moulin)

- Pas ou peu de sélection à l'entrée, ça donne un joli tas de déchets analphabètes sur les bancs (Lors de ma première année, plusieurs tarés étaient incapables d'expliquer ce qui s'était passé un 14 juillet ou encore de nommer le 1er ministre, si si).

- Les grèves et les blocages

- Les profs injoignables ou qui ne répondent à leurs emails qu'avec 5 jours de retard.

- Les profs qui ne connaissent pas leurs élèves et qui se fichent éperdument de leur sort (Quand j'ai quitté la fac française, j'ai signalé mon départ à un des profs, sa réponse: "C'est rien. Si tu loupes les TDs 15 jours, t'es automatiquement effacé des listes.")

- Les petites bibliothèques ouvertes de 9h à 17h avec une petite pause à midi, fermées le week-end et durant les vacances. Ha oui, le manque d'ordinateurs disponibles aussi.

- Pas de tuteur, personne pour te conseiller rapidement quand t'as un problème.

- Les problèmes administratifs.

- Les profs qui ne viennent pas et semblent incapables de prévenir à l'avance les 200 étudiants qui vont se déplacer pour rien.

Juste à titre de comparaison, au Royaume-Uni (j'y ai fini mes études):

- Pas un seul élève sur les marches, de nombreux cours en petits groupes.

- T'arrives trop en retard, t'es gêné de rentrer dans l'amphi et personne ne papote pendant le cours.

- Sélection à l'entrée.

- Les profs répondent aux mails dans la journée ou le lendemain. J'avais même certains numéros de téléphones.

- Si un prof voit que tu peines, il te propose son aide. Quand tu es absent, il se peut qu'à ton retour il t'explique lui-même ce que tu as loupé.

- Immense bibliothèque ouverte de 7h à 2h avec pour seule fermeture la nuit du 31 décembre.

- Un tuteur qui aide à régler les petits problèmes de parcours asap.

- Je n'ai personnellement eu aucun problème avec l'administration.

- C'est rarissime qu'un prof loupe son cours sans mailer sa classe et afficher son absence à l'avance.

Okay, c'est pas faux du tout! +1 . :good:

Même si à titre personnel je n'ai jamais eu à me plaindre (à part pour les blocages, venant de la fac du Mirail oblige...).

Cependant j'ai tellement eu un bon enseignement que mes années fac restent une expérience agréable.

Quant au classement de Shangaï auquel font référence plusieurs personnes ici il n'a pas vraiment de pertinence...

http://www.sauvonsla...php?article2143

Modifié par Jiti-way
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(modifié)

Ah chanceux! Je vais p'être commencer un BAC (études de premier cycle) en sociologie ou en sciences politiques cet hiver dans le but de faire une maîtrise en relations industrielles par la suite. Je vais dire comme Medicated, si t'as l'argent, tu devrais aller faire ton doctorat à l'Étranger dans une université de prestige (Sorbonne, Havard, etc.). Et si t'es capable d'avoir un arrangement avec ton employeur c'est encore préférable!

Puisque l'université est gratuite en France, même pour les étrangers, elle est envahie d'Africains qui ne s'inscrivent que pour avoir un statut légal en France. Évidemment, leur présence fait baisser de beaucoup le niveau des universités.

Moi j'aurais tendance à dire que t'as raison (quoi que des idiots il y en a de toutes les races!). Cependant, il serait injuste de mettre une barrière financière pour bloquer les "étudiants" indésirables, parceque du même coup tu risques d'empêcher des bons élèves d'accèder à des études supérieures. L'idéal selon moi (Pour le Québec) serait de maintenir des frais de scolarité raisonnables (indexés à la moyenne des pays de l'OCDE) et augmenter les critères d'admission au BAC, tout en augmentant le financement public (augmentation des impôts et des taxes). Si certaines universités acceptent n'importe qui c'est surtout à cause du sous-financement.

Soit on met en place des politiques de gauche et on les assume collectivement, il me semble que la Suède a un taux d'imposition ou de taxation de 67% (je vais chercher les sources mais je l'avais entendu à Télé-Québec dernièrement) soit on applique des politiques de droite comme aux États-Unis et on fait payer la galette aux étudiants.

La France (dans le cas extrème) est un parfait exemple. Des politiques sociales de gauche (accesiblité, gratuité scolaire) combiné à des politiques de droite (rationnement des effectifs de l'État, sous-financement des universités en France). Le coeur à gauche et le porte-feuille bien à droite, c'est exactement ça le problème là-bas (et ici aussi dans une moindre mesure). Mais en tout cas on ne peut pas toujours s'en remettre à la pensée magique, au bout du compte, notre système d'éducation doit se financer d'une manière ou d'une autre (par les étudiants ou par la collectivité).

Modifié par Petrel
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