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Les nouvelles à la télé


Déchet(s) recommandé(s)

Osti que je suis plus capable d'écouter ça. Ils nous prennent trop pour des idiots et se sentent obliger de nous donner des conseils idiots.

Exemple: Il fait chaud, c'est la canicule. Ils vont nous dire de boire de l'eau, aller à des endroits climatisés et éviter les efforts physiques intenses. C'est nécessaire ? Il fait 40°C dehors, j'y aurais pensé seul, merci.

Exemple: Grosse tempête de neige, 60cm en une nuit. Ils vont nous dire d'être prudent, de rouler lentement et de sortir seulement si c'est nécessaire. Merci encore !

Exemple: Même chose pour la pluie. Sortez seulement si vous le devez, dehors y fait pas beau. Merci...

Exemple: Première neige. Ils vont nous dire de changer nos pneus et que les garagistes sont débordés parce que tout le monde y va en même temps, donc il faut réserver.

Je pourrais continuer avec des dizaines d'exemples... Pourquoi ils nous font subir des conseils tellement évidents qu'ils n'en sont pas ? Ça me fruste. Je me sens con quand j'écoute les nouvelles.

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Si le message ne te concerne pas, alors pourquoi tu te sens concerné? Aucunement pour abaisser le sujet vu que ça mérite d'en parler, simplement par curiosité.

Oui c'est con, sauf que quand les hôpitaux se remplissent à cause de personne qui sont déshydraté (et je ne parle pas ici juste de personne âgées) et/ou qui s’évanouisse à cause des coups de chaleur... tu fais quoi? Les gens ont tendances à penser que ça arrive juste aux autres, que lui, pas besoin de toutes les précautions car il est hot.

C'est la même chose avec les personnes qui font pitié à la télé qui ont tout perdu dans un incendie et qu'ils n'étaient pas assurés. Pourtant on en parle tout le temps à chaque fois que ça arrive. Est-ce que les gens écoutent pour autant? Non. S'assurer en appart coûte tellement pas cher que c'est con de s'en passer tout comme les précautions lorsqu'il fait chaud. Pourtant, tu as toujours un certains groupes de personnes à chaque année qui n'ont pas compris le message.

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Les nouvelles? Ils parlent de n'importe quel merde à cause qu'ils n'ont plus d'idée ou de sources pour trouver quelque chose à nous faire gober... TVA est un bel exemple!

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Bref, je ne comprends pas trop ton point.

C'est le sujet qui t'irrites ou bien le contenu qui vient avec ?

Parce que si c'est le sujet, c'est évident que si y'a une canicule dehors, ça fait la manchette et c'est légitime étant donné que c'est un phénomène plutôt rare dans une année.

Et d'après toi, comment doivent-ils traiter cette nouvelle ?

"Bonjour, y fait 43 degrés à l'extérieur, c'est tout, passons maintenant aux sports" ????

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Bien pire que les conseils: la place complètement démesurée accordée:

1-Aux arts et spectacles (un bulletin de nouvelles n'est pas une infopub).

2-Aux témoignages complètement insignifiants de péquenots incultes sur divers événements. Ces témoignages se limitent généralement à de grosses banalités (ex: "ç'a dont pas d'allure le prix de l'essence", "le char roulait pis bang, accident", "c'est dont triste l'histoire de Guy Turcotte", etc.). Ce temps d'antenne aurait été beaucoup plus instructif s'il était laissé à de véritables experts.

Cette critique concerne autant le bulletin de nouvelles de TVA que celui de la SRC.

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Bien pire que les conseils: la place complètement démesurée accordée:

1-Aux arts et spectacles (un bulletin de nouvelles n'est pas une infopub).

2-Aux témoignages complètement insignifiants de péquenots incultes sur divers événements. Ces témoignages se limitent généralement à de grosses banalités (ex: "ç'a dont pas d'allure le prix de l'essence", "le char roulait pis bang, accident", "c'est dont triste l'histoire de Guy Turcotte", etc.). Ce temps d'antenne aurait été beaucoup plus instructif s'il était laissé à de véritables experts.

Cette critique concerne autant le bulletin de nouvelles de TVA et celui de la SRC.

T'as oublié les fameux

"C'était un bon gars" et "Jamais on aurait pu penser qu'il aurait faite ça!"

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Ça fait partie des nouvelles qui arrivent chaque année, des clichés auxquels on n'échappe pas.

Hausse de prix de l'essence de 15¢/L : on interview du monde au pompes

Première neige : gros plan sur des roues qui roulent dans le beurre

Première canicule : vue sur une piscine publique en flou pour pas identifier les enfants

23 décembre : topo en direct des caisses enregistreuses du Toys R Us

St-Valentin : filmer la file d'attente d'hommes qui veulent acheter des fleurs

Fêtes des mères : idem

1er juillet : du monde qui monte une laveuse dans un escalier en colimaçon typiquement Montréalais

Et la liste est longue...

À chaque fois, des reportages de plusieurs minutes où on voit la vie de gens ordinaires, mais où on n'apprend rien du tout. Ils pourraient le tourner une fois et remettre le même reportage année après année et on ne s'en rendrait pas compte.

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Ton sujet est tellement évident que c'en est presque pas un.

"ouaiin ben men check si téh po contan y à le ptii boutond rouge en hau a drette de ta telécomande"

You know what I mean.

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Ton sujet est tellement évident que c'en est presque pas un.

"ouaiin ben men check si téh po contan y à le ptii boutond rouge en hau a drette de ta telécomande"

You know what I mean.

Cool. En te quotant j'ai vu que t'as du mal avec les codes pour l'italique. Pas grave. Merci pour le commentaire et je meurs d'impatience de voir tes premiers sujets.

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Aouch. Un éboueur sympathique. Je m'y attendais pas.

Je t'aime, bonne nuit.

C'était pour... pratiquer mes italiques.

Edit: Merde, j'ai foiré.

Modifié par May
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je travaille avec une ex-réalisatrice à TQS et elle mentionnait qu'en été ou durant les fériés, lorsqu'ils sont à court de staff, ils mettent ce genre de nouvelles qui sont peu exigeantes en terme de ressources et recherches... aussi simple que ça. :fuckerlchien:

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Il y a d'autres raisons de ne pas écouter les nouvelles à la télé.

La boîte à crétiniser – version Radio-Canada

Normand Baillargeon

Je ne m'informe plus à la télé. Depuis longtemps déjà, j'en suis venu à la conclusion que regarder le téléjournal est, au mieux, une phénoménale perte de temps. Pensez-y : combien peut-on lire de textes durant la demi-heure que dure le ronron télévisuel ? Dans le même laps de temps combien de mots lus dans un cas pour combien de mots entendus dans l'autre ?

Quand j'ai abandonné le téléjournal, il y a des années, j'en étais arrivé, très subjectivement je le reconnais, à la conclusion que ce qui y était raconté était trop souvent sans intérêt ou sans importance ; tandis que les choses importantes et intéressantes étaient tues. je trouvais que la formule du nihilisme philosophique le décrivait plutôt bien : ce qui y est ne doit pas y être ; ce qui doit y être n'y est pas.

Que cela soit vrai pour les chaînes privées d'information n'a rien pour étonner qui est familier avec le modèle propagandiste des médias. Que cela le soit aussi de la télévision d'État n'étonne pas vraiment mais ne cesse d'attrister. Qu'en est-il exactement ?

N'écoutant que mon courage que j'ai pris à deux mains - car à en faut - j'ai allumé la télé. C'était le lundi 19 février 2001. J'écoutais Radio-Canada. Pour faire sérieux, je tenais aussi à la main ma montre (ça fait trois mains, dites-vous ? Ah bon !), j'avais mis les lunettes de mon papa, moi qui d'habitude n'en porte pas, et revêtu un sarrau blanc. Ma blonde est entrée en me demandant ce que je faisais là. J'ai expliqué que je me livrais à une importante étude sur la dangerosité de la télé pour la démocratie. Elle m'a dit que si le me mettais à écouter autre chose que les Simpson elle s'abonnerait à La Presse et me lirait à haute voix tous les éditoriaux. J'ai tenu bon. C'est un exercice que je recommande à tout le monde. Seule la montre est indispensable - les lunettes et le sarrau n'ont pas eu l'effet escompté. Restons-en au niveau des faits.

Au téléjournal, ce soir-là, on avait donc ceci.

On ouvre sur les clips de ce qui va suivre, ce qui dure environ une minute : (les durées étant aussi précises que mes moyens le permettaient). Ce soir on vous parlera de... - roulement de tambour : la mort de Trenet (20 secondes) ; les fusions municipales (7 secondes) ; on aura une avalanche en direct (10 secondes) ; au Point, on causera des motards (10 secondes).

Premier sujet : Trenet. Topo du présentateur sur Trenet : 26 secondes. Reportage sur le chanteur : 2 min 45 s. Retopo sur le même sujet, mais vu du Québec : 15 secondes. Rereportage sur le même sujet, 2 min 35 s. Retopo sur Trenet pour dire qu'on en parlera au Point : 25 secondes. Les sept premières minutes ont été consacrées à Trenet, qui est mort - vous ne le saviez pas ?

Deuxième sujet : un prêt accordé à une auberge dans la circonscription électorale du Premier ministre Jean Chrétien. Topo, reportage qui montre un courageux journaliste qui attaque Stockwell Day, lui-même pas très propre côté magouilles : 2 min 30 s en tout.

Troisième sujet : les fusions municipales. Topo, reportage, retopo : 2 min 10 s.

Quatrième sujet : le procès des motards criminalisés et la difficulté de choisir les jurés. Topo, reportage : 2 min.

C'est le moment de la pub. Non ? Si ! Il y a de la pub au téléjournal. Deux minutes de pub pour commencer. Les placements en bourse, une voiture, IBM, un peu de culture, les placements en bourse.

Cinquième sujet : un dangereux criminel arrêté. Il habitait chez une dame rencontrée via Internet. Reportage : soyez prudent sur le ouèbe, les cocos. Total : 2 min 15 s.

Sixième sujet : la compagnie Nortel est tombée. Mais, reportage : le Président de Nortel a donné une conférence aujourd'hui même, il a rassuré les investisseurs, en voici d'ailleurs un tout rassuré, soyez rassurés, 2 minutes.

Septième sujet : Technicolor investit chez nous des millions de dollars. Tout plein d'emplois créés

25 secondes.

Huitième sujet : Ottawa va assainir l'air, notre gouvernement œuvre à contrer les émissions de gaz des voitures. Dormez en paix, citoyens : le gouvernement veille. 20 secondes.

Neuvième sujet : une grève a pris fin. 15 secondes.

La météo. Demain, il ventera (il me semble que c'était ça). 35 secondes. Au Point, on causera des jurés au procès de motards : 10 secondes. Repub. Investissez à la bourse. Achetez une voiture. Investissez donc à la bourse. Un peu de culture. Gnagnagna. 2 ni 30 s.

Dixième sujet. On passe à l'international - et on fermera tout de suite le dossier avec ce seul et unique sujet : les otages ont été libérés au Brésil ; des prisonniers sont morts dans la mutinerie. 25 secondes.

Avalanche en Gaspésie. Ça a bardé, on va vous le montrer. 1 min 40 s.

Le téléjournal est fini. Passons au Point, Topo et reportage sur les jurés au procès de Hell's Angels. 7 min 30 s (enfin, il me semble, car je me suis endormi un peu).

Rerepub. 2 min 30 s. L'industrie pharmaceutique vous fait des Pilules. Investissez en bourse - z'avez pas encore compris ? Rerevoiture.

Trenet. On ressort des extraits d'une entrevue réalisée en 1993. Environ 10 minutes. Rerepub. Rererevoiture ; pharmacie ; informatique ; La Fureur.

Il est 22 h 40. On passe aux sports et à la météo. je demande grâce. Ma blonde revient. Heureusement, les Simpson commencent dans 20 minutes.

C'est la télé d'État, ça. Ils se foutent de nous.

Quelque quarante minutes d'info entrecoupées de neuf minutes de pub. C'est monstrueux. Battez-vous. Battons-nous. Disons non à ça. journalistes, portez un brassard noir. Public, écrivez. Pétitionnons. Plus de pub aux informations à la télévision d'État. Non, non et non à cette sordide farce.

Ensuite - et c'est un fou de chanson et de poésie qui parle ici -les artistes qui meurent : à la fin du téléjournal. En 30 secondes ou une minute. À la télé, il y a bien d'autres lieux pour offrir un hommage. Trenet, ce lundi, a eu droit à 17 minutes sur les 40 qu'ont duré les nouvelles. La pub, elle, a eu droit à neuf minutes.

Donnez-moi aussi de l'information internationale. C'est votre rôle. Il se passe des tas de choses dans le monde : racontez-nous ; expliquez-nous. Inqualifiable qu'il n'y en ait pas ce soir-là. Surtout, décentrez-nous. Sortez-nous de ce qu'on entend et voit partout. Même lorsque vous abordez des sujets qui doivent l'être, ce qui était le cas avec les jurés ou les affaires Chrétien et Day ce soir-là.

Non à ces ficelles grosses comme des câbles pour faire du Allô Police ou du Paris Match. Non aux faits divers. Non à ici, maintenant, près de nous, à tout ce que tout le monde sait et comprend déjà. Non et encore non à l'immédiat, au vécu. Instruisez-moi. Éduquez-moi. Sortez-moi de moi. Donnez-moi d'autres repères, d'autres manières de voir, d'autres points de vue - que celui du président de BCE, par exemple, nom d'une pipe. Aidez-moi à produire du sens. Ne me fourrez pas le nez dans la même pourriture qu'on me fait renifler partout, sans arrêt.

Ce jour-là, le 19 février, il se passait pourtant, comme àchaque jour, des choses importantes dont il était de votre devoir de m'informer.

En vrac. Une importante conférence s'était tenue sur les pêches. Son message était d'une grande urgence : on est en passe d'épuiser la mer. Le GIEC, de l'ONU, remettait son rapport. Son message : le réchauffement planétaire est un phénomène réel et dramatiquement sérieux.

Côté libre-échange, Ottawa cachait toujours les textes du Sommet de Québec. C'est là une donnée dont la portée démocratique est impossible à minimiser.

Irak : le Canada donnait son appui aux récents bombardements américains. (Cela signifie que nous sommes, nous citoyens, les complices, depuis 10 ans, d'un monstrueux génocide.)

Et ainsi de suite.

Refusons de laisser une institution qui pourrait avoir une réelle importance se situer et se définir dans une logique économique de réponse à une demande : le téléjournal ne peut que s'inscrire dans une logique d'offre culturelle et pédagogique.

Mais, pour le moment, et ce soir-là encore, le téléjournal se fout royalement de nos gueules.

Et cela - on regrette de devoir répéter de tels truismes-, c'est très dangereux pour la démocratie.

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Bref, je ne comprends pas trop ton point.

C'est le sujet qui t'irrites ou bien le contenu qui vient avec ?

Parce que si c'est le sujet, c'est évident que si y'a une canicule dehors, ça fait la manchette et c'est légitime étant donné que c'est un phénomène plutôt rare dans une année.

Et d'après toi, comment doivent-ils traiter cette nouvelle ?

"Bonjour, y fait 43 degrés à l'extérieur, c'est tout, passons maintenant aux sports" ????

Ce n'est plus vraiment un phénomène rare depuis quelques années, on en a à chaque été. Minh Vy l'a dit, c'est simplement du temps d'antenne à combler.

Tant qu'à moi, le journaliste qui couvre une canicule perd de sa crédibilité.

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Selon moi, Météo Média est là pour tout ce qui a trait à la température.

TVA, V, CBC, SRC et autres ne devraient pas inclure la Météo dans leur bulletin de nouvelles, ni les arts, ni les sports, ni rien qui détient déjà un canal précis spécialement pour ce type d'information.

Toutefois, si une de ces catégories mène a un événement spectaculaire, tel que les canadiens qui remporte la coupe Stanley et qu'une émeute s'ensuit, alors là, la place au télé-journal est tout-à-fait méritée.

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Moi ce que je trouve plate dans les nouvelles régionales, c'est qu'il parle presque tout le temps de la ville où la station est. Si il parles des autres villes c'Est parce qu'il y a un mort ou une saisie de drogue

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Je pense pas non plus que les bulletins télés ont la prétention d'être la meilleure source d'infos de toutes. Ça donne en général un bon overview de la journée, et si tu es intéressé à aller plus loin, c'est à toi de faire les démarches. Il faut pas avoir un bac pour comprendre que pour se forger une opinion, il faut voir la nouvelle de plusieurs points de vue, donc de plusieurs médias. Je pense que c'est utile, car accessible à tout le monde et "rapide" dans le sens qu'on peut l'écouter en faisant autre chose. Ce n'est pas tout le monde qui peut se permettre un 2 heures par jour sur internet pour s'informer. Les bulletins télé sont une des choses qui, je crois, est là pour rester.

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Je pense pas non plus que les bulletins télés ont la prétention d'être la meilleure source d'infos de toutes. Ça donne en général un bon overview de la journée, et si tu es intéressé à aller plus loin, c'est à toi de faire les démarches. Il faut pas avoir un bac pour comprendre que pour se forger une opinion, il faut voir la nouvelle de plusieurs points de vue, donc de plusieurs médias. Je pense que c'est utile, car accessible à tout le monde et "rapide" dans le sens qu'on peut l'écouter en faisant autre chose. Ce n'est pas tout le monde qui peut se permettre un 2 heures par jour sur internet pour s'informer. Les bulletins télé sont une des choses qui, je crois, est là pour rester.

Je suis bien d'accord, mais où allez chercher nos médias?

Chez TVA, Journal de montréal, 24H pis sa gang?

Un petit récapitulatif de ce que détient Quebecor

Quebecor Media inc. regroupe plusieurs centres d'affaires surtout au Québec et dans le reste du Canada. La plupart des entreprises qui composent cette filiale sont des chefs de file dans leurs secteurs d'activité respectifs :

  • Osprey Media, l'un des plus importants éditeurs de quotidiens et de journaux non quotidiens, de magazines et de publications spécialisées au Canada;
  • Corporation Sun Media, première chaîne de tabloïds et de journaux régionaux du Canada;
  • MediaPages, le guichet unique où sont consolidées toutes les actvités d'annuaires imprimés et en ligne de Quebecor;
  • Groupe TVA, le plus important télédiffuseur privé de langue française d'Amérique du Nord;
  • Canoe.ca, l'un des plus importants réseaux de portails généralistes et spécialisés en langues française et anglaise du Canada;
  • TVA Publications inc., le numéro un de la presse magazine au Québec;
  • Groupe Livre Quebecor Media, le plus important groupe d'édition de langue française au Canada;
  • Groupe Archambault : le plus grand réseau de disquaires de l'est du Canada;
  • Select : le plus important distributeur indépendant de musique et de vidéos du Canada;
  • Le SuperClub Vidéotron ltée. la plus grande chaîne de location et de vente de vidéo loisir du Québec;
  • Nurun inc., un chef de file international du conseil en interactivité.

Donc il reste Gesca (produit la Presse) quis par son géant: Power Corpodation du Canada, domine l'autre part du marché.

De toute façon, ça fait déjà fucking longtemps que je perds plus mon temps à écouter des sujets inintéressant, débile et terriblement subjectif. C'est plus rendu de l'information, mais bien une business.

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