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Déchet(s) recommandé(s)

Les Québécois francophones ont des cours de piètre qualité d'anglais du primaire au Cégep.

Bien que la majorité des anglophones parlent mieux français que les francophones parlent anglais.

Ok et ce "fait" là tu le prend où ?

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«La communauté anglo-québécoise est une des plus bilingues au Canada avec un taux de bilinguisme de 66,1 %. Cependant, les jeunes anglophones ont un taux de bilinguisme plus élevé que la moyenne de leur communauté. Selon les données du recensement de 2001, 79,5 % de la population anglo-québécoise entre 15 et 39 ans est bilingue.»

http://fr.wikipedia....uébécois#Langue

Et: http://www.oqlf.gouv...ort_complet.pdf

Dans cette étude qui se base sur le recensement de 2006, regarde le tableau 1.7.

Français connaissant* l'anglais: 36,1%

Anglais connaissant* le français: 70,4%

*Connaissance étant défini comme un recensé qui dit être en mesure de tenir une conversation.

Il y a le tableau 1.8 d'intéressant aussi.

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^Parce que les anglophone au Québec se trouvent principalement à Montréal, qui est une ville principalement bilingue, alors que les francophones se trouvent principalement ailleurs au québec, et cet ailleurs au québec n'a pas besoin d'être bilingue.

Les anglo-espagnole en Espagne sont aussi plus bilingue que les hispano-espagnole, pour les mêmes raisons.

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^Parce que les anglophone au Québec se trouvent principalement à Montréal, qui est une ville principalement bilingue, alors que les francophones se trouvent principalement ailleurs au québec, et cet ailleurs au québec n'a pas besoin d'être bilingue.

Les anglo-espagnole en Espagne sont aussi plus bilingue que les hispano-espagnole, pour les mêmes raisons.

Et oui, mais le point n'est pas là.

Le point est que les anglophones sont en grande majorité capable de tenir une conversation en français et la tendance va en augmentant. Alors il serait illogique de leur demander d'aller au cégep en français.

Les Québécois, beaucoup moins. Qu'ils soient à Montréal ou en Gaspésie, il est de plus en plus primordial de parler anglais pour ouvrir les régions sur le monde.

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Et oui, mais le point n'est pas là.

Le point est que les anglophones sont en grande majorité capable de tenir une conversation en français et la tendance va en augmentant. Alors il serait illogique de leur demander d'aller au cégep en français.

Les Québécois, beaucoup moins. Qu'ils soient à Montréal ou en Gaspésie, il est de plus en plus primordial de parler anglais pour ouvrir les régions sur le monde.

Oui mais de penser qu'un peut "enseigner" une langue que les gens ne parlent jamais c'est un mythe. C'est à dire que oui, certaines personnes vont avoir un talent mieux que les autres, certains vont écouter plein de films en anglais et consulter plein de contenu anglophones aussi. Mais globalement c'est parfaitement normal qu'à Sept-Iles la majorité de la population ait des bases très faibles en anglais, simplement parce qu'ils ont pas à l'utiliser. C'est pas un problème de qualité dans l'enseignement, c'est juste la nature même d'une langue, qui est remplis de détails qui s'acquiert vraiment dans l'habitude plus que dans l'étude, qui fait que ya une limite à ce que tu peux enseigner à une population.

Quand bien même qu'un étudiant ferais un programme "d'immersion" en anglais à 18 ans, s'il en a pas eu besoin rendu à 30 ans, ça va être perdu en bonne partie.

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Oui mais de penser qu'un peut "enseigner" une langue que les gens ne parlent jamais c'est un mythe. C'est à dire que oui, certaines personnes vont avoir un talent mieux que les autres, certains vont écouter plein de films en anglais et consulter plein de contenu anglophones aussi. Mais globalement c'est parfaitement normal qu'à Sept-Iles la majorité de la population ait des bases très faibles en anglais, simplement parce qu'ils ont pas à l'utiliser. C'est pas un problème de qualité dans l'enseignement, c'est juste la nature même d'une langue, qui est remplis de détails qui s'acquiert vraiment dans l'habitude plus que dans l'étude, qui fait que ya une limite à ce que tu peux enseigner à une population.

Quand bien même qu'un étudiant ferais un programme "d'immersion" en anglais à 18 ans, s'il en a pas eu besoin rendu à 30 ans, ça va être perdu en bonne partie.

http://fr.wikipedia....wiki/Défaitisme

J'ai remarqué que les Français que j'ai rencontré dans ma vie parlent tous très bien anglais (leur accent est pire que le nôtre, mais leur structure est de beaucoup meilleure). Pourtant, ils utilisent aussi peu l'anglais.

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Ouverture sur le monde?

Je suis plutôt d'avis c'est l'ouverture sur le monde qui fait qu'on est bon en anglais, pas l'inverse.

Mais tu parle d'entreprises international plus précisément peut être?

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Je suis plus de l'avis de Gamin. Quelqu'un qui s'ouvre sur le monde va s'ouvrir aux autres langues, mais c'est pas le fait de parler anglais qui fait qu'on est "ouvert sur le monde".

Tsé, il y a plein d'anglophones qui sont énormément fermés sur eux-mêmes. Les États-Unis, pays anglophone, sont vraiment pas reconnu pour leur "ouverture sur le monde". En quoi est-ce que parler anglais en soit "ouvre sur le monde".

Qu'on apprenne l'espagnol, l'allemand, le japonais, c'est aussi valable.

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Je parles au niveau de l'entrepreunariat et des opportunités d'emplois bien rémunérés.

J'ai une meilleure solution: université gratuite et répartir les subventions pendant les prochains années afin de privilégié les régions. Avec ça, d'ici 15 ans on va peut être réussir à avoir une deuxième ville au Québec.

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Je vois mal comment un peu renier que certains contenus ne peuvent être obtenu que par la connaissance de la langue dans laquelle ils sont produit. Juste cela, fait que de connaitre une autre langue permet de plus s'ouvrir sur le monde en ayant accès à de la nouvelle information. Exemple: Avoir accès a des études scientifique seulement dévoiler en anglais. Apprendre la langue est un moyen, ce n'est pas une façon d'adopté une mentalité nécessairement.

Modifié par e028182
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^ Tu es INCOMPRÉHENSIBLE.

TABARNAK

Gamin. Les postes qui demandent une formation universitaire ont très souvent aussi besoin de gens qui savent tenir une discussion en anglais. J'vois pas pourquoi t'essaie de dévier le sujet sur l'éducation gratuite.

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^ Tu es INCOMPRÉHENSIBLE.

TABARNAK

Gamin. Les postes qui demandent une formation universitaire ont très souvent aussi besoin de gens qui savent tenir une discussion en anglais. J'vois pas pourquoi t'essaie de dévier le sujet sur l'éducation gratuite.

Est-ce moi qui est incompréhensible?

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^ Tu es INCOMPRÉHENSIBLE.

TABARNAK

Gamin. Les postes qui demandent une formation universitaire ont très souvent aussi besoin de gens qui savent tenir une discussion en anglais. J'vois pas pourquoi t'essaie de dévier le sujet sur l'éducation gratuite.

Parce que tu nous dit qu'on devrait mettre plus d'argent pour être meilleur en anglais, comme si c'était une solution pour "sauver les régions", comme si tu pensais que dans le reste du monde les gens étaient meilleur en anglais que nous. Tu penses qu'a Bois-de-Boulogne en France ils sont capable de dire une phrase fluide sans accent en anglais? Les gens de Gemünden en Allemagne parle plus anglais que le monde de Longueuil, j'ai beaucoup de doute que ça affecte tant que ça leur économie local.

Si tu veux tant que ça sauver les régions, aider notre économie, l’entrepreneuriat et les emplois supérieur, c'est dans l'éducation qu'il faut investir - et la langue va suivre naturellement avec l'ouverture sur le monde que ça crée, si ça a besoin de suivre. Je n'essaie pas de diminuer l'anglais, ou le bilinguisme, ou l'importance d'apprendre un autre langage parce que c'est réellement sain pour un individu et une culture. Oui, je suis d'avis qu'on doit connaître l'anglais, la différence entre toi et moi ici c'est que tu considère qu'en ce moment le Québec ne connait pas l'anglais, et moi je considère que oui. Je me considère parfait bilingue - je lis constamment des livres et des ouvrages scientifique en anglais, je regarde des films en anglais peut importe l'accent et j'ai aucune difficulté, j'écris en anglais, je forme des phrases en anglais qui sont même de niveau supérieur aux anglophones eux-même et pourtant on aurait une discussion en anglais et tu te fouterais de ma gueule tellement je rush: parce que je ne le parle pas, parce que j'en ai pas besoin.

Fait fleurir des entreprises qui demande l'anglais dans les régions et tes régionneux vont l'apprendre, l'anglais. Mais on en a pas besoin. De la même façon qu'a Jesi en Italie ils n'en ont pas besoin.

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Si tu veux attirer des entreprises d'envergure internationale, ou en développer une; tu dois parler un minimum anglais, exception faites de l'industrie primaire.

Si tu veux tant que ça sauver les régions, aider notre économie, l’entrepreneuriat et les emplois supérieur, c'est dans l'éducation qu'il faut investir - et la langue va suivre naturellement avec l'ouverture sur le monde que ça crée, si ça a besoin de suivre.

Premièrement, je ne vois pas où je dis que je veux tant que ça sauver les régions, ni même que les régions doivent être sauvées.

La logique derrière le cégep français obligatoire (je te ramène sur les rails), c'est que la langue recule de plus en plus et que les francophones abandonnent leur langue maternelle au cégep pour se tourner vers l'anglais (selon les tenants de la logique du Cégep français obligatoire). Or, ce que je dis, c'est qu'il est effectivement de plus en plus important de pouvoir tenir une discussion en anglais afin d'ouvrir les marchés sur le monde (dont les régions), entre autres. Dans cette optique, pourquoi ne pas investir dans l'éducation en anglais au primaire/secondaire, plutôt que d'obliger les francophones d'aller au cégep en français. J'ai l'impression que si ceux-ci obtiennent une bonne formation dans les niveaux inférieurs, ils seront beaucoup moins tenté de se tourner en anglais au Cégep.

Par ailleurs, tu compares des budgets d'ordre de grandeur complètement opposé. Investir pour l'éducation post-secondaire gratuite est une somme beaucoup plus grande que d'investir dans la un programme d'anglicisation, langue seconde, au primaire/secondaire.

la différence entre toi et moi ici c'est que tu considère qu'en ce moment le Québec ne connait pas l'anglais, et moi je considère que oui. Je me considère parfait bilingue - je lis constamment des livres et des ouvrages scientifique en anglais, je regarde des films en anglais peut importe l'accent et j'ai aucune difficulté, j'écris en anglais, je forme des phrases en anglais qui sont même de niveau supérieur aux anglophones eux-même et pourtant on aurait une discussion en anglais et tu te fouterais de ma gueule tellement je rush: parce que je ne le parle pas, parce que j'en ai pas besoin.

La différence entre toi et moi, c'est que toi tu te bases sur ton expérience personnelle, et moi sur des statistiques d'un recensement.

Et je ne me fouterais pas de ta gueule, car je suis dans la même situation que toi.

Fait fleurir des entreprises qui demande l'anglais dans les régions et tes régionneux vont l'apprendre, l'anglais. Mais on en a pas besoin. De la même façon qu'a Jesi en Italie ils n'en ont pas besoin.

De mon côté, je ne pense pas que la poule vient avant l'oeuf. En ce sens où je pense qu'il est assez difficile pour une municipalité de faire immigrer des moyennes et grandes entreprises quand elle présente un avantage fiscal considérable, couplé à des statistiques d'unilinguisme avoisinant les 80% (ça vient de ma tête, il faudrait voir les statistiques). L'entreprise a besoin de haut dirigeants; de personnes capable de démarchage international; de ressources marketing bilingues; d'adjoints administratifs qui peuvent répondre à des clients en anglais; etc.

Et encore là, à suivre ton raisonnement, qui dit que les régions n'ont pas besoin de parler anglais, alors le débat sur le Cégep en français obligatoire en est un faux nécessairement, hors Montréal. Puisqu'ils n'ont pas besoin de l'anglais, ils n'iront pas étudier en anglais: la loi devient donc caduque.

Est-ce moi qui est incompréhensible?

Qui tu penses? Certainement pas Gamin.

Relis ton message.

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L'affaire c'est que "ne pas être capable de tenir une conversation en anglais" c'est vraiment très très différent que "ne pas comprendre l'anglais" et "ne pas être capable de lire et écrire." Parler en soit c'est une compétence assez distincte.

De la même façon, quand j'ai eu ma première job dans un stand touristique à Montréal, ça faisait des années que 90% des films et TV que je consommait étaient en anglais. Que je lisais très souvent des articles en anglais.

Mais quand venait le temps de parler, j'était très mauvais. Je répondais aux questions mais c'était loin de "capable de tenir une conversation". Après quelques années je me suis grandement amélioré à ce niveau là.

Faut pas penser qu'à l'ère de la mondialisation qu'il y a encore une multinationale qui va s'empêcher de faire une partenaria économiquement avantageux avec quelqu'un parce que quand je lui parle au téléphone c'est laborieux ? C'est juste pas comme ça que ça marche. Si Sept-Iles (par exemple, une des rare région économiquement en forte croissance) a été capable d'aller chercher des investissement important de la part de grandes entreprises multinationales (si je me trompe pas, des japonais et des brésiliens), C'est pas parce que le monde parlait dont bien l'anglais à l'école. C'était parce que la région était géographiquement parfaite pour ce qu'ils avaient besoin, au niveau du port, des ressources et l'électricité.

N'importe qui qui a à dealer à l'international pour des partenariat d'affaire le sait que ce qui compte c'est les avantages économiques, pas la capacité de directement parler en anglais avec eux. Sérieusement, n'importe qui qui va dealer en chine ou au japon le sait très bien qu'il va probablement parler avec des interprètes, mais ils sont habitués à ça. Celui qui passe pas par dessus ça finit par "perdre" en bout de ligne.

Le fait que le Québec soit francophone principalement n'est en rien un obstacle à son développement.

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L'affaire c'est que "ne pas être capable de tenir une conversation en anglais" c'est vraiment très très différent que "ne pas comprendre l'anglais" et "ne pas être capable de lire et écrire." Parler en soit c'est une compétence assez distincte.

De la même façon, quand j'ai eu ma première job dans un stand touristique à Montréal, ça faisait des années que 90% des films et TV que je consommait étaient en anglais. Que je lisais très souvent des articles en anglais.

Mais quand venait le temps de parler, j'était très mauvais. Je répondais aux questions mais c'était loin de "capable de tenir une conversation". Après quelques années je me suis grandement amélioré à ce niveau là.

Faut pas penser qu'à l'ère de la mondialisation qu'il y a encore une multinationale qui va s'empêcher de faire une partenaria économiquement avantageux avec quelqu'un parce que quand je lui parle au téléphone c'est laborieux ? C'est juste pas comme ça que ça marche. Si Sept-Iles (par exemple, une des rare région économiquement en forte croissance) a été capable d'aller chercher des investissement important de la part de grandes entreprises multinationales (si je me trompe pas, des japonais et des brésiliens), C'est pas parce que le monde parlait dont bien l'anglais à l'école. C'était parce que la région était géographiquement parfaite pour ce qu'ils avaient besoin, au niveau du port, des ressources et l'électricité.

N'importe qui qui a à dealer à l'international pour des partenariat d'affaire le sait que ce qui compte c'est les avantages économiques, pas la capacité de directement parler en anglais avec eux. Sérieusement, n'importe qui qui va dealer en chine ou au japon le sait très bien qu'il va probablement parler avec des interprètes, mais ils sont habitués à ça. Celui qui passe pas par dessus ça finit par "perdre" en bout de ligne.

Le fait que le Québec soit francophone principalement n'est en rien un obstacle à son développement.

Tu parles d'industrie primaire et secondaire.

Je parle d'industrie du secteur tertiaire.

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