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Pierre Lapointe et ses textes absurdes


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j'avais lu '' Eric Lapointe '', j'ai cliqué, j'ai lu les paroles et j'ai répondu oui à ta question s'il était sous l'influence de psychotropes pis j'me suis dit : yes , c nice pour lui. après ça j'ai lu pierre lapointe lorsque j'ai cliqué sur ton lien pis là j'me suis dit ; ok ses poche ça, j'vo en profiter pour compter mon histoire...

Mon père a déjà fait la même erreur.

Quand il a mis le disque laser dans le camion et qu'il a réalisé qu'il avait enrichie un alcolo sa face était priceless.

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  • 1 an plus tard...
  • 3 ans plus tard...

C'est vraiment un de ses textes les mieux construits

Et oui la vulgarité de ce passage là qui contraste avec le lyrisme du reste du texte est justement expliqué dès la phrase suivante

 

Citation

Tu repenses à ta grand-mère, te dis qu'elle t'a vraiment aimé 
Tu revois sa couche pleine venant tout juste de déborder 
Le contraste est trop mince entre début et finalité 
Mais tu te résignes sans peine devant cette fatalité

Le texte est à propos de différente façon de fuir la réalité, le vulgarité de la ligne sur la grand-mère est tellement hors-texte qu'elle déstabilise, comme si elle ramenait à la réalité. 

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  • 2 mois plus tard...
  • 7 mois plus tard...

J'ai pas encore écouté La Science du Coeur (étant pauvre comme un baton et Pierre Lapointe étant complètement invisible vue de la baie des pirates) mais à entendre les singles, ça me donne l'impression que c'est son album le plus fort à date. Je sais pas pourquoi Alphabet m'hypnotise autant, c'est pas particulièrement bon, mais... y'a quelque chose. C'est peut être le fait que c'est justement tellement ridicule et déjanté comme concept de chanson. 

  • HAHAHA! 1
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Hum tu peux l’écouter sur spotify gratuitement non ?

Le 2012-12-13 à 00:45, VotreBoyPoumon a dit :

ben oui ses chansons parlent de fourrer des hommes

tu viens juste de le réaliser ?

Pierre Lapointe >>>>>

J’ai croisé une fois (en fait deux fois )Pierre Lapointe à Osheaga édition 2010. Il y avait les Japandroids qui jouaient comme des déchaînés et pis là y’a un fans qui vient l’accoster ( non c’était pas moi) et l’interroge sur le sens de ses paroles, pis toutes pis toutes. Poli mais vraiment  piss off il a coupé court assez rapidement et à continué à se trémousser.

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Ah peut être, j'ai pas le réflexe de regarder vu que j'ecoute ma musique durant mes déplacements et j'ai pas le net sur mon cell et quel'en plus 99% du temps sur Spotify gratuit les pistes sont sur random, pis je suis vieux jeu sur l'ordre des pistes.

Btw merci pour le flashback sur la fois que je l'ai croisé, j'avais complètement oublié ça.

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  • 4 mois plus tard...

Pierre est devenu WILD

J’ai avalé la bouteille de rhum jamaïcain 
Oui, tu m’auras vraiment fait chier jusqu’à la fin 
C’est si facile de comprendre, maintenant que je sais 
J’ai été con de ne pas voir que tu me trompais 

J’ai réussi à creuver les pneus de ta voiture 
Hé oui, hé oui, je sais, quelques fois la vie est dure 
J’ai volé l’argent que tu cachais sous le sommier 
Tu sauras où il est, pas besoin de le chercher 

J’ai pissé sur le lit en souvenir de ces moments 
Qu’on a passé à s’aimer comme des cons, tendrement 
J’ai parlé à ta mère, elle regrette de t’avoir eu 
Elle a porté une merde, c’est bien fait pour son gros cul 

J’ai envoyé un mot aux amis qui nous connaissent 
Pour leur annoncer que tu préférais d’autres fesses 
 

 


Ton grand ami Mathieu, je te conseille de l’appeler 
C’est fait, maintenant il sait pour toi et sa bien-aimée 

Je pense à cet enfant, celui qu’on désirait tant 
Je lui souhaite de mourir, où qu’il soit dans le néant 
J’ai peut-être trop bu, l’alcool pour moi est si doux 
Dans quelques heures j’aurai peut-être la corde au cou 

Je vais foutre le feu à notre beau nid d’amour 
J’espère que les voisins trouveront le chien dans la cour 
Tu m’as détruit, tu es le plus beau des grands salauds 
Je rêve du jour où tu seras laid, vieux et gros 

Mais toi, toi tu t’en fous 
Mais toi, toi tu t’en fous 
Mais toi, toi tu t’en fous 
Mais toi, toi tu t’en fous

 

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  • 5 ans plus tard...
  • 3 semaines plus tard...

Il enregistre ce titre le 7 janvier 1969, et le grave à la gloire des Moody Blues « Nights in white satin ».

 A la fin du texte, on lit aussi « Les Moody blues qui s’en balancent. Cet ampli qui n’veut plus rien dire. » Si les Moody Blues s’en balancent, c’est peut-être parce que Léo Ferré ne put collaborer avec ces derniers comme il l’avait souhaité.

Dans la chanson, Ferré décrit une fille portant une robe en cuir, évoquant un charme unique et un style sans effort. Elle se déplace d’une manière captivante, comme si elle avait son propre rythme. Cette image montre comment la différence peut être belle et fascinante.

Les paroles de la chanson abordent également la capacité des individus à créer des connexions et à exprimer leurs émotions. Ferré utilise l’image des mains jouant “de l’arc-en-ciel sur la guitare de la vie”, suggérant que nos mains peuvent créer une beauté extraordinaire et donner un sens profond à notre existence.

Ce jazz qui d’jazze dans le noir
Et ce mal qui nous fait du bien

Qu’il est bon, ce « mal « d’amour qui ne nous laisse pas en repos mais qui nous fait sentir si vivants.

On imaginait le cuir noir comme la nuit, la musique blanche comme le satin et voilà tout à coup une explosion de couleurs, comme une jouissance qui touche presque à l’extase religieuse et qui est annoncée par une magnifique image :

Ces mains qui jouent de l’arc-en-ciel
Sur la guitare de la vie
Et puis ces cris qui montent au ciel

Le dernier couplet reprend les images précédentes mais la couleur à fait place au gris alors que la nuit est devenue matin. La musique s’est arrêtée : elle n’a plus de sens à l’heure qu’il est. A double titre donc « elle ne veut plus rien dire » et la jeune femme, lasse et toujours assimilée à la musique, s’est tue elle aussi. Si elle tangue encore, c’est de fatigue.

Le rythme de la vie est toujours là, dans le double sens de la balance de la musique, mais comme un battement de coeur apaisé.

Le silence fait partie de la musique, il en est même un outil indispensable. Cet instant où l’on se tait est magnifique. Les paroles de séduction sont loin, il n’y a rien à dire, juste à profiter de cet instant teinté de nostalgie de l’après. De même que la musique a suivi sa trajectoire et s’est tue, le contraste du noir et blanc puis les couleurs, elles aussi, se sont éteints. Reste le gris.

Une robe de cuir comme un oubli
Qu’aurait du chien sans l’faire exprès
Et dedans comme un matin gris
Une fille qui tangue et qui se tait
C’est extra
Les moody blues qui s’en balancent
Cet ampli qui n’veut plus rien dire
Et dans la musique du silence
Une fille qui tangue et vient mourir

 

WWW.OUEST-FRANCE.FR

 

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