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Il y a 2 heures, Retromantique a dit :

Beaucoup de choses ont été dites et je n'ai pas le loisir de répondre à chacune mais je vais quand même me faire le plaisir de répondre à quelques-unes, et peut-être qu'éventuellement j'irai plus en profondeur.

@Celinere la propriété des contenus sur OF : c'est la même politique que FB, donc j'ai du mal à prendre cet argument-là tel quel. On peut certes s'interroger sur les dérives possibles de ce mode de production, sauf que la majorité du backlash que se mange Hélène Boudreau vient d'osti de vidanges humaines qui se crossent d'une main tout en pointant et invectivant de l'autre. Ce n'est pas sur cette base-là qu'elle se voit attaquée.

D'ailleurs, la fille n'a pas été forcée dans un esclavage sexuel. Elle a fait un choix conscient, comme tant d'entre nous qui choisissons de donner nos photos à FB en échange du réseau qu'il nous offre. La fille a un hustle, elle a payé des milliers à l'UQAM, elle s'est fait un coup de publicité, chose tout à fait normale pour une personne qui hustle. Ça se trouve juste qu'il y a des préjugés sur la nature de son hustle. L'exact genre de préjugés dont l'UQAM prétend travailler à la déconstruction. Donc, la potentialité qu'Hélène Boudreau soit une personne niaiseuse, qui profite du soutien de groupes militants pour cette même déconstruction, c'est secondaire. Hélène Boudreau n'est que le vecteur ayant exposé une incohérence entre la posture que se donne l'UQAM et ses actes. 

 

Je mentionnais la question d'OF pas parce que ça avait un lien dans la poursuite de l'UQAM (j'ai quand même clairement spécifié que je déviais hors-sujet...), mais bien parce que cette question me semble infiniment plus intéressante et importante que la chicane puérile entre Hélène Boudreau et l'UQAM.

Of course qu'elle n'a pas été forcée. Le point sur OF n'est pas là. Il est sur la dynamique qu'une telle plateforme peut entraîner, et le fait que personne n'y force personne, mais que la structure rend justement plus insidieux ce phénomène. Et ce qui permet ça, c'est que les mouvements de gauche contemporains ont intégré la notion d'hyperindividualité qui historiquement provenait de l'individualisme des courants libéraux. À cela, ils y ont ajouté la déconstruction de toute les structures de la société. Et ce qui m'intéresse, c'est l'intersection de ces deux idées, et comment ça va évoluer dans les années futures. Et quel impact ça aura lorsque des plateformes comme OF facilitent cette union, mais qui restent détenues par des entreprises privées. Parce que personne ne force personne à faire du Uber non plus. Ça n'en fait pas pour autant d'Uber le paradis rêvé du taxi (d'ailleurs à l'époque on vantait son approche de covoiturage qui allait soit-disant lutter contre la crise climatique).

 

Après, je vois pas pourquoi le fait qu'elle a donné plein de thunes à l'UQAM pour ses études devrait changer quoi que soit. J'en ai donné plein à l'Université Laval moi aussi, ça me donne pas plus le droit de faire ce que je veux avec l'image Ulaval à priori. On paie l'Université pour un service que l'on reçoit, pas pour s'approprier les droits de son image, à des fins commerciales.

 

 

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Y s'appelle pas Céline pour rien, l'autre. On l'entends jamais, mais quand on l'entends, on comprends pourquoi. 

Je trouve que c'est malhonnête de dire que la nana s'est approprié les droits de l'image de l'UQAM, sachant que poster une photo sur son feed avec n'importe quelle marque ou institution ( même la police) n'est absolument pas préjudiciable dans la plupart des cas, dans un feed. Et en plus, tu te permets de dire que c'est à des fins commerciales alors qu'à aucun moment elle n'a écrit dessus "rejoignez mon onlyfan". 

Il n'y a aucun lien commercial donc rien de préjudiciable, si ce n'est l'exhibition de ses mamelles- qui respectent les consignes contre la nudité sur Instagram, qui plus est. 

L'UQAM perdra. D'autant qu'un préjudice, ça se quantifie. 

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D'autant qu'on parle de son propre diplôme, pas d'une photo de ses boules devant le bâtiment. 

Les gonzes, sur ce coup là, vous avez tout faux. Je comprends bien entendu l'effet bad buzz pour l'UQAM mais ils auraient simplement dû négocier avec elle en privé. Ils sont à 80% responsable du fait que ça a gonflé jusqu'à prendre de telles proportions. La encore l'avocat de la demoiselle risque de ne pas les louper. 

De toute façon, étant donné que cette affaire est un vrai pétard mouillé (y a rien), ça va se régler oklm

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Il y a 2 heures, Celine a dit :

pas pour s'approprier les droits de son image, à des fins commerciales

J'attends que quelqu'un m'explique la logique d'utiliser une universite pour vendre son onlyfans. Quelqu'un avec un cerveau, merci. 

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Il y a 15 heures, Carlos Crasseux a dit :

Je ne vois pas en quoi ce qu'a partagé Retromantique est un contre-argument. Il se peut qu'il me manque quelques connaissances au sujet de Laurent Duvernier-Tardif, mais sur la photo publiée par @mat_chiasson, le logo de l'UQÀM a été rajouté à l'ordinateur.

Concernant l'association : disons que ''pornographie'' eut été un terme plus judicieux ici que ''poitrine partiellement dévoilée''. C'est une pornographe, elle s'exhibe sur ses plateformes grand public comme Instagram et redirige ses abonnés vers son compte OnlyFans, où elle y publie des vidéos et photos explicites. Un compte Instagram, pour une telle TDS, sert d'intermédiaire pour vendre des abonnements payants. C'est entre autres sur ce profil que les photos de finissante ont été publiées.

Joues-tu à l'avocate du diable aux lèvres boursouflées ou tu te demandes sincèrement où se trouve le problème là où une fille raille l'institution académique en participant elle-même à créer une association entre l'école en question et sa pornographie ? École qui, pour rejoindre les mots de Daleko, en arrache déjà un peu avec son image parmi les autres universités montréalaises ? On trace la ligne où dans un cas pareil ? Jusqu'où peut-on se permettre de conjuguer un symbole qui ne nous appartient pas à notre propre personne pour promouvoir les ventes d'un service ou d'un produit qui a toutes les chances de ne pas faire l'affaire de l'institution concernée ?

C'est précisément ma position, oui. Pas certain de sa solidité par contre, j'en conviens. On ne sait pas ce que le vice-recteur lui a écrit précisément, lorsqu'il lui a demandé de retirer les photos. D'abord : est-elle en droit de maintenir en ligne une photo avec le logo de l'UQÀM contre la volonté de cette dernière ? C'est une question sincère à laquelle la réponse m'échappe, et j'imagine que même si ce n'est pas ta spécialisation, t'as une réponse un peu plus affirmée que moi là-dessus sans en avoir le certitude, si je m'en fie à ton ''sûrement le cas''. D'après toi, qu'est-ce qui motiverait l'université à poursuivre la fille pour 125 000$ ? Faut que le préjudice porté soit démontrable, faut qu'il y ait une faute commise.

Je n'ai rien contre la provocation si cette dernière

Ma position, en fait, découle un peu de tout ça. D'abord, je comprends la position d'une personne morale qui refuse de voir un individu faire la promotion de sa porno à travers son nom et son logo. C'est ce qui s'est passé ici, et c'est assez criant. Ensuite, il y a les tentatives de ladite personne morale de faire retirer la méprise de l'individu, en vain, puis les deux mises en demeure qui ne changent rien à la situation. 

Je vais être franc cependant : ce n'est pas tant que j'appuie l'UQÀM dans sa poursuite, mais plutôt la réponse dans la sphère SJW qui me sidère. On fait des liens avec de grands concepts pour justifier sa révolte, on mélange tout, on fait des parallèles boiteux avec Nelly Arcand et autres femmes littéraires, on souligne des incohérences qui n'en sont pas, on fait des analogies pitoyables -- un homme populaire a publié une vieille photo de lui posant torse nu à sa remise de diplôme... à l'École nationale de l'humour (!), prétendant qu'il n'avait pas subi de poursuite simplement en raison de son sexe --, etc. C'est tout ce cirque nauséabond où tous et chacun ressentent le besoin d'exprimer leur révolte en déformant l'histoire à leur guise pour qu'elle s'apprête mieux à leurs causes. Beurk.

juridiquement parlant, il s'agit d'une cause qui est peu banale. si la cause se rendait jusqu'aux tribunaux (ce dont je doute car les parties semblent vouloir régler à l'amiable), il y aurait plusieurs questions qui seraient soulevées, notamment en matière de droit applicable : est-ce qu'on applique le Code civil ? les Chartes des droits et libertés ? la Loi sur les marques de commerce ? De plus, les arguments soulevés par les parties font appel à des notions en droit public (atteinte à la réputation, liberté d'expression, notion de bonne foi, etc). Donc, c'est un cas qui semble juridiquement complexe et pour lequel peu d'avocat n'osera s'avancer sur les chances de succès de l'une ou l'autre des parties.

quand j'ai écrit "et c'est sûrement le cas", je faisais référence au fait qu'Hélène Boudreau se croyait "sûrement" justifiée de faire les publications qu'elle a faites au moment où elles les a faites (et non qu'elle l'était réellement juridiquement parlant). je ne pourrais pas te dire si ce serait l'UQAM ou Hélène Boudreau qui aurait gain de cause si l'affaire se rendait aux tribunaux. sans avoir examiné en profondeur les arguments ou le droit, j'ai l'intuition que l'UQAM aurait gain de cause au chapitre de l'atteinte à la réputation ne serait-ce que par les fonctions d'"ordre public" de cette organisation. mais bon, ça reste une intuition qui n'a pas beaucoup de valeur. 

ceci dit, au-delà de la dimension légale, il y a aussi la dimension sociale de cette affaire qui en appelle aux stigmates liés au travail du sexe. parce que veut veut pas, l'UQAM qui décide d'entamer une poursuite en dommages de 125 000 $ à l'encontre d'une de ses étudiantes, c'est un "statement" très ferme de cette institution qui en dit long sur certaines de ses visions sociales.

même si on exclut l'exemple de Laurent Duvernay-Tardif, il n'en reste pas moins que la diplomation est un outil de self-marketing couramment utilisé par les gens pour vendre leurs services. on n'a qu'à aller sur Linkedin pour le constater. on peut alors se demander pourquoi une personne qui publie sa photo de bachelier sur son profil Linkedin, lequel profil mène à une page sur son commerce de services informatiques, par exemple, ça serait une utilisation acceptable d'une photo de gradué pour l'UQAM, mais pas pour un profil OnlyFans ? après tout, il s'agit de son gagne-pain pour lequel elle doit assurément appliquer les notions apprises dans ses cours d'arts visuels

je pense qu'il est tout-à-fait possible de défendre le fait qu'une activité sur OnlyFans soit considéré comme un "art" au même titre que la photographie, le film, la peinture, etc. pour son aspect technique (savoir filmer, utiliser les angles, la musique, les couleurs, les thématiques pour capter l'oeil et retenir l'attention, etc.) C'est un peu cette situation de double standard qui met les gens mal à l'aise, je pense, nonobstant la qualité possiblement douteuse de certains raisonnement des SJW. après tout, ça ne date pas d'hier, cette tendance du grand public à produire des raisonnements douteux.

Il y a 15 heures, Celine a dit :

Elle a fait un choix, celui de confronter l'UQAM en double down sur son comportement de provocation. En soi, ce n'est pas un problème. Mais il faut l'assumer, comme tout bon polémiste qui ne va pas se poser en victime après avoir publié un brûlot. Ça fait partie du jeu.

La où ça bloque pour moi, c'est qu'elle ne semble pas avoir l'envergure intellectuelle pour assumer sa provocation. J'ai surtout l'impression de voir un adolescent qui se la joue un peu tough, et qui ensuite essaie par tout les moyens de justifier ses actes, sans égard à la motivation initiale : faire parler de soi. Et c'est là où je n'arrive pas à avoir de pitié. 

rendu là, on dirait que c'en est une affaire personnelle entre elle et toi. je ne sais pas trop d'où tu sors le fait qu'il faut "l'assumer comme tout bon polémiste" et que "ça fait partie du jeu". c'est écrit où cette règle-là ? ensuite, je ne vois pas trop en quoi elle "n'assume pas". elle n'assumerait pas si elle aurait nié en bloc avoir fait ce qu'elle a fait (I guess, pour ce que ça veut dire cette expression-là), mais ce n'est pas ce qui est arrivé. tout ce qu'elle a fait, c'est d'avoir agit de façon provocatrice pour ensuite dénoncer la censure de façon "non intellectuellement satisfaisante" selon tes standards. mais comme j'ai dit, il n'y a rien de contradictoire (ou non assumé) dans le fait de provoquer pour ensuite se poser comme une victime de la censure. il y a plein de gens qui font ça. bref, je suis pas sûre que ton argument soit très valide dans le contexte d'un débat social. mais bon, je comprends que tu ne l'apprécies pas tellement en tant qu'individu. ceci dit, cette prise de position, ça n'avance pas beaucoup les débats sociaux. 

Il y a 15 heures, Celine a dit :

Au risque de dévier du sujet, le plus intéressant dans l'histoire pour moi, c'est l'éléphant dans la pièce qui est surtout OnlyFans. On dépeint le phénomène (la fille de l'UQAM le revendique elle-même) comme une réappropriation du corps de la femme. Mais qui est responsable de quoi réellement sur OF? Aux dernières nouvelles, c'est détenu par une compagnie privée, qui se prend 20% sur les paiements, et qui explicite clairement dans ses T&Cs que tout le contenu sur la plateforme appartient à OF. Donc au lieu d'avoir un pimp qui gère ses prostitués, on a une plateforme qui les met en compétition l'une contre l'autre. J'ai une amie qui est sur la plateforme car elle a perdue son emploi durant la pandémie. Dernièrement, elle cherchait des collaborations avec d'autres filles et gars pour avoir du contenu plus hard pour rendre son OF plus attrayant. C'est exactement la même dynamique que l'on reproche au porn habituel, qui a une dérive vers des actes de plus en plus hard, au détriment des femmes. Si on se fie à l'expérience des autres GAFAMs, ça risque de pas bien virer d'ici quelques années.

Bref, on aura réussi à ubériser la pornographie et les SJW sont encore incapables de voir plus loin que la prochaine indignation.

c'est vrai que le phénomène OnlyFans est intéressant en soi. j'ai justement lu plusieurs articles le mois dernier sur ce phénomène (qui prend beaucoup d'ampleur avec la pandémie). mon impression, c'est que les travailleuses du sexe y voient du positif en ce que l'application leur permet de gagner leur argent de façon mieux encadrée et contrôlée (par exemple, elles peuvent déterminer leurs propres tarifs, bannir les trolls ou les abuseurs de leur channel en un clic, choisir ce qu'elles ont envie d'offrir comme prestation, etc.) et beaucoup plus sécuritaire, puisque tout se fait à distance.

le fait que ton amie recherche à faire des collabos pour offrir du contenu plus hard, je ne suis pas certaine d'y voir où se trouve la "dérive". en quoi c'est une "dérive" d'élargir l'offre de contenu hard pour répondre à une demande des clients ? en quoi cela "dérive" de la pornographie traditionnelle (par exemple, les vidéos amateurs qu'on voit dans les sites de porno) ? et le fait que ce soit géré par une compagnie privée, ça change quoi selon quoi ? cette même dynamique capitaliste existe dans tous les secteurs d'activités et pour tous les métiers.

tant de questions.

mais bon, je comprends aussi que ton opinion s'inscrit dans une position plus large à l'encontre des technologies de "side hustle" en général.

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il y a une heure, Cheval a dit :

 

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NAAAAAOOOON T'AS PAS LE DROIT DE T'APPROPRIER L'IMAGE DE L'UNIVERSITE T'ENTENDS :soyboy_crying:?? C'EST INTERDIT TU DOIS ETRE PUNI AMENDE DE 20000000000000 MILLIONS :soyboy_crying:

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il y a 12 minutes, Président Emmanuel Macron a dit :

NAAAAAOOOON T'AS PAS LE DROIT DE T'APPROPRIER L'IMAGE DE L'UNIVERSITE T'ENTENDS :soyboy_crying:?? C'EST INTERDIT TU DOIS ETRE PUNI AMENDE DE 20000000000000 MILLIONS :soyboy_crying:

pffff c'est lâche ton game man, pump it up, tlm baille

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Le paragraphe " L'UQAM demeure... " est spécialement vomissable. 
Man mon niveau de perte de confiance institutionnelle est tellement dans le plafond. 
 

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il y a une heure, Cheval a dit :

Le paragraphe " L'UQAM demeure... " est spécialement vomissable. 
Man mon niveau de perte de confiance institutionnelle est tellement dans le plafond. 
 

Sérieux man. 

Citation

[...] pas de préjugés contre le travail du sexe.
L'UQAM demeure ouverte et inclusive [...]
[...] une "atteinte" au nom et et au logo de l'Université [...]

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il y a 16 minutes, Jason Frost a dit :
Citation

Seule exception, Mme Boudreau pourra diffuser des photos affichant le nom UQAM en autant qu’elle n’y exhibe pas « des parties intimes de son corps » ou encore sans qu’elles ne soient « modifiées pour inclure des propos, gestes ou images dénigrants, offensants ou vexatoires à l’endroit de l’UQAM ».

Le corps c'est vilain! Surtout certaines parties! Mais nous demeurons féministes, oui oui!

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On dirait que j'ai manqué mon momentum pour release mon minotaure, mais je vais essayer de le finir pour demain pareil, jpeux pas me mettre ce filtre que si le drama est fini l'image est plus valide.

 

Il y a 4 heures, Jpeg a dit :

Suite à cette histoire, quelle serait la définition de "faire un UQAM" ? 


Se faire fesser avec un manuel de contrôle de la colère?

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Il y a 5 heures, Carlos Crasseux a dit :

elle s’est forcée pour s’exprimer ainsi...

Parce qu'elle ne parle pas comme ça d'habitude, elle parle comme on parle dans la vraie vie, avec des sacres, des anglisicmes et un osti de bordel de musique de bouche. 
J'espère qu'elle pourra faire un beau X dans sa liste de truc terminé et passer à autre chose. Le moment que j'ai le plus bondé avec elle c'est quand elle a pointé '' UQAM, 50 ans d'audace " et que n'importe qui qui passe dans l'art à l'université sait qu'il n'y a plus aucune goûte d'audace dans le moteur. 

Elle est un excellent exemple de la transition entre l'expression médiatique et l'expression pré-médiatique. Les points de pivots quelle met pour diriger son travail artistique sont faible parce qu'elle utilise les structures ultérieur ( et universitaire --> académique ) pour qualifier son travail artistique. Tu peux pas vaincre Goliath si tu lui demandes de ce penché pour que tu lui tranches la gorge. 

Je sais d'où elle vient et ça résonne loin. Les arts doivent sortir des universités.

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