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Étudier en Sciences Politiques


Déchet(s) recommandé(s)

Je viens d'aller chercher les statistiques sur les diplômés en sc. politiques. Ça provient de la base de données Repères (auquel j'ai encore accès via le cégep Maisonneuve).

Juste pour le fun, as-tu les chiffres pour les études universitaires en cinéma?

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Domaine d'études

Ordre d'enseignement : Universitaire

Domaine d'études : Arts

Sous-domaine : Arts et culture

Discipline : Cinématographie

Principales statistiques sur le placement

Nombre de personnes diplômées 2003 2005 2007

Visées par l'enquête :

( Hommes, Femmes ) 116

( 60, 56 ) 134

( 65, 69 ) 151

( 69, 82 )

Se destinant à l'emploi : 54 61 53

En emploi : 48 56 48

Nombre de personnes en emploi à temps plein : 35 47 40

Nombre de personnes en emploi à temps plein lié à la formation : 20 29 22

En recherche : 6 5 5

Aux études : 14 17 18

Inactives : 4 3 6

Évolution du placement

2003 2005 2007

Taux en emploi : 66,7 % 69,1 % 62,3 %

Emploi à temps plein : 72,9 % 83,9 % 83,3 %

Emploi à temps plein lié à la formation : 57,1 % 61,7 % 55,0 %

Taux de placement : 88,9 % 91,8 % 90,6 %

Taux de chômage : 11,1 % 8,2 % 9,4 %

Caractéristiques du placement

Taux en emploi : Moyen

Taux en emploi temps plein : Bas

Taux en emploi temps plein lié à la formation : Bas

Temps d'insertion au travail : Très long chez les hommes

Salaire brut moyen

Hebdomadaire

Salaire brut moyen en 2007 617,00 $

Tous droits réservés © GRICS, 2007.

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L'université c'est 3-4 ans (6-7 à l'UQAM)

C'est exactement ce genre de préjugés élitistes qui te rendent méprisable. Connais-tu réellement quelqu'un qui a fait son baccalauréat en six ans? Si oui, en quoi est-ce imputable au fait qu'il ait étudié à l'UQÀM?

Tu vas probablement me sortir des statistiques plates sur la durée moyenne des études d'un bachelier de l'UQÀM par rapport à ceux de McGill ou Concordia (à prononcer avec un accent anglais pédant), mais je vais demeurer fort sceptique sur leur validité.

Toi et Allah êtes comme un vieux disque qui saute.

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Mon point est valable pour n'importe quelle discipline. De la sociologie à la médecine en passant par le droit et l'histoire de l'art...

Précisément, ton point, c'est quoi?

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Si il y existe un quelquonque programme d'administration publique à Laval similaire à celui de l'UQAM, je vais probablement m'orienter là dedans. C'est sûr que comme premier choix, si c'était pas du placement sur le marché du travail, j'aurais pris "Analyse politique", mais la seule personne que j'ai vu s'trouver un bon emploi avec des qualifications dans ce domaine là, c'est mon député au provincial; des députés y'en a seulement 125 et faut d'abord commencer par te faire élire. Sinon, j'imagine que tu peux faire attaché/conseiller politique, ou chroniqueur sur la colline parlementaire :P mais le faible roulement de la main-d'oeuvre fait en sorte que les débouchés doivent être infimes.

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C'est exactement ce genre de préjugés élitistes qui te rendent méprisable. Connais-tu réellement quelqu'un qui a fait son baccalauréat en six ans? Si oui, en quoi est-ce imputable au fait qu'il ait étudié à l'UQÀM?

Quand j'ai écrit ça, je pensais à ceux qui doivent continuer à la maîtrise et non aux lâches qui font un baccalauréat en 7 ans. Personnellement, j'ai été six ans à l'université. Passer plus de 4 ans à l'université n'est pas exclusif aux UQAMiens. Par contre, il est vrai de dire que les programmes à l'UQAM sont plutôt orientés "sciences humaines pas de math" et qu'en général une maîtrise est essentielle pour se trouver un travail plus ou moins relié au domaine d'études.

Loin de moi l'idée de prétendre que TOUS les étudiants de l'UQAM sont des poils peu consciencieux qui vont faire un bac de 90 crédits en 6 ans.

Tu vas probablement me sortir des statistiques plates sur la durée moyenne des études d'un bachelier de l'UQÀM par rapport à ceux de McGill ou Concordia (à prononcer avec un accent anglais pédant), mais je vais demeurer fort sceptique sur leur validité.

J'avoue que des statistiques, ça ne fait que représenter la "réalité" et que la "réalité" est souvent dérangeante. Réalises-tu que tu fais des commentaires méprisants sur McGill et Concordia dans la même phrase où tu me reproches de faire des commentaires méprisants sur l'UQAM? Deux poids, deux mesures?

Toi et Allah êtes comme un vieux disque qui saute.

J'en ai autant à ton service...

Précisément, ton point, c'est quoi?

Avant de rentrer à l'université, à 17-18 ou 19 ans, c'est le temps de faire le point sur ta vie et sur ce que tu veux en faire. C'est l'âge où tu deviens vraiment responsable de tes choix.

Les gens doivent faire leur propre choix et en assumer les conséquences. C'est correct d'étudier en art ou en anthropologie. Il ne faut cependant pas venir chiâler que la "société" ne reconnais pas tes "compétences" et te refuse un emploi à la mesure de tes "compétences"...

J'essaie de le répéter du plus grand nombre de façons possibles pour que Humbert comprenne...

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(modifié)

Je comprends totalement ton point de vue Dan. C'est certain que si on regarde ça d'un côté plus réaliste, prenons le programme de cinéma par exemple, les débouchés ne sont pas très grands. En fait, je voulais aller en cinéma avant de changer de piste. J'ai fait mon DEC en cinéma et c'était un grand rêve que j'avais d'écrire et de réaliser des films. Je ne vais pas continuer dans ce chemin puisque pour moi, le rêve n'est pas réalisable, d'autant plus que je me suis rendu compte que je n'étais pas fait pour ce boulot. Mais je n'ai tout-de-même pas regretté mes apprentissage dans ce domaine qui me passionne encore aujourd'hui.

Je voulais prendre Humbert et toi en exemple, mais je ne veux pas me mélanger à la situation de Humbert en prétendant que je le connais, alors je vais y aller avec moi.

Avant de changer d'idée de programme, je savais qu'un avenir dans le domaine du cinéma était incertain. Je savais aussi que mon futur emploi ne me rapporterait probablement pas beaucoup d'argent. J'avais en tête de ne pas vivre avec des très gros standards de vie plus tard, et ça me plaisait énormément. Moi ce qui m'importe c'est de faire ce que j'aime. Si le salaire que je gagne est minime, ça m'importe peu. Je me dis que je serais beaucoup plus épanoui plus tard avec un emploi que j'apprécie, dans un domaine où je me fait du fun, plutôt que d'avoir un travail pour lequel j'ai peu d'intérêts, mais qui rapporte beaucoup.

Maintenant, j'ai décidé de suivre un chemin qui me mènerait probablement dans un domaine politique. Je comprends comment tu vois ce programme. Je sais aussi que la certitude de trouver un emploi n'est pas celle d'un ingénieur. Toutefois, moi c'est un programme que j'aime bien et qui m'intéresse. Je crois que comparativement à mon ancien cheminement, ceci est beaucoup plus sûr. Je veux dire que les possibilités sont quand même plus larges.

Le droit m'a toujours intéressé. Surtout que maintenant je réalise que les possibilités de travailler dans un domaine politique après sont très bonnes. Et puis si ça marche pas, j'aurais quand même des emplois biens payés qui m'attendraient.

Quoique, je dois admettre que je sens de plus en plus un pression intérieure qui me dit que je dois "réussir", pour mes parents. C'est beau de vouloir suivre son chemin un peu égoïste, mais n'importe qui qui connais un peu mon histoire familiale sait que j'ai un devoir de ne pas les décevoir.

Edit: Merci beaucoup B-E pour les conseils.

Modifié par The Rapist
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T'entends quoi par travailler dans la politique? Faire de la politique, travailler dans la fonction publique, ou étudier la politique?

Pour faire de la politique, t'as besoin à priori de rien, saufe de l'argent et des contacts. Si tu commence ta vie avec ni un ni l'autre, la meilleurs façon d'amasser de l'argent grâce uniquement à tes propres mérites, c'est probablement par les affaires (commerce) ou par la pratique du droit. Tu te sens davantage confortable avec lequel?

Concernant les contacts, évidemment, ça suppose aussi que t'as déja commencé à militer pou un parti, ou que t'as l'intention de le faire de manière sérieuse prochainement, et ce pour le restant de ta carrière.

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Quand j'ai écrit ça, je pensais à ceux qui doivent continuer à la maîtrise et non aux lâches qui font un baccalauréat en 7 ans. Personnellement, j'ai été six ans à l'université. Passer plus de 4 ans à l'université n'est pas exclusif aux UQAMiens. Par contre, il est vrai de dire que les programmes à l'UQAM sont plutôt orientés "sciences humaines pas de math" et qu'en général une maîtrise est essentielle pour se trouver un travail plus ou moins relié au domaine d'études.

Loin de moi l'idée de prétendre que TOUS les étudiants de l'UQAM sont des poils peu consciencieux qui vont faire un bac de 90 crédits en 6 ans.

J'avoue que des statistiques, ça ne fait que représenter la "réalité" et que la "réalité" est souvent dérangeante. Réalises-tu que tu fais des commentaires méprisants sur McGill et Concordia dans la même phrase où tu me reproches de faire des commentaires méprisants sur l'UQAM? Deux poids, deux mesures?

J'en ai autant à ton service...

Avant de rentrer à l'université, à 17-18 ou 19 ans, c'est le temps de faire le point sur ta vie et sur ce que tu veux en faire. C'est l'âge où tu deviens vraiment responsable de tes choix.

Les gens doivent faire leur propre choix et en assumer les conséquences. C'est correct d'étudier en art ou en anthropologie. Il ne faut cependant pas venir chiâler que la "société" ne reconnais pas tes "compétences" et te refuse un emploi à la mesure de tes "compétences"...

J'essaie de le répéter du plus grand nombre de façons possibles pour que Humbert comprenne...

*soupir*

J'ai très bien compris ton point, puisque tu le ramènes sur le tapis dans tous les sujets qui traitent d'études universitaires. Tu peux maintenant arrêter de le faire. Je pense que la plupart des gens intelligents s'informent sur les débouchés avant de choisir un programme. Pas besoin de Daniel29ans pour nous mettre en garde.

Je ne méprise pas Concordia et McGill en tant qu'institutions (je compte faire ma maîtrise à McGill), mais d'expérience, ceux qui véhiculent des préjugés à l'égard de l'UQÀM proviennent souvent d'une université anglophone où ils se targuent de recevoir une formation "international" jusqu'à en oublier la langue française à force d'anglicismes forcés. C'est vrai qu'ils ont plus de chance d'avoir un bon emploi avec un diplôme d'université anglophone, mais il faut réaliser que tout le monde ne peut pas faire les mêmes choix.

Ce qui me rebute dans ton discours, c'est ton apparente négation de tout ce qui s'appelle différence entre les individus. Tu ne comprends pas que certaines personnes sont prêtes à souffrir un salaire moins important pour travailler dans un domaine qui leur plaît. Je sais que j'ai besoin de pas grand-chose. Avec mon emploi actuel dans une pharmacie je ne manque de rien. J'ai assez d'économies pour me payer un voyage demain matin sans casser mon budget. Donc si je dois travailler dans une librairie parce que je ne me suis pas trouvé d'emploi, eh bien ce sera ça (j'en doute).

Toi et Allah semblez mépriser les employés de Subway et autres menus métiers, mais vous êtes bien contents qu'il y ait quelqu'un pour vous servir quand vous payez votre sous-marin avec votre Visa Infinite. Ne me fais pas croire que tu fais tout ça par altruisme. Au fond de ton discours il y a un mépris profond pour les "petits métiers" et une attitude hautaine envers ceux qui désirent pousser à fond la connaissance d'une matière sans nécessairement viser un salaire élevé ou un poste de choix en société. Les conséquences on les assume, pas besoin de nous le répéter.

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Avant de rentrer à l'université, à 17-18 ou 19 ans, c'est le temps de faire le point sur ta vie et sur ce que tu veux en faire. C'est l'âge où tu deviens vraiment responsable de tes choix.

Les gens doivent faire leur propre choix et en assumer les conséquences. C'est correct d'étudier en art ou en anthropologie. Il ne faut cependant pas venir chiâler que la "société" ne reconnais pas tes "compétences" et te refuse un emploi à la mesure de tes "compétences"...

J'essaie de le répéter du plus grand nombre de façons possibles pour que Humbert comprenne...

C'est rien que du gros bon sens, j'crois pas que quelqu'un puisse s'estiner sérieusement la-dessus.

C'est un risque calculé; faire ce que t'aime en échange d'assumer de devoir compétitioner dans un marché du travail restraint, où c'est encore plus important de se démarqué par tout les moyens possible, que dans les domaines scientifiqes ou plus pratico-pratiques.

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Toi et Allah semblez mépriser les employés de Subway et autres menus métiers, mais vous êtes bien contents qu'il y ait quelqu'un pour vous servir quand vous payez votre sous-marin avec votre Visa Infinite. Ne me fais pas croire que tu fais tout ça par altruisme. Au fond de ton discours il y a un mépris profond pour les "petits métiers" et une attitude hautaine envers ceux qui désirent pousser à fond la connaissance d'une matière sans nécessairement viser un salaire élevé ou un poste de choix en société. Les conséquences on les assume, pas besoin de nous le répéter.

Au fond de leur discours, il y a la réalité que les universités offrent des formations et dispensent des connaissances à prix fort sans qu'il y ai nécessairement un "retours d'investissement" possible sur le marché du travail. Il s'agit d'une industrie, d'une business, et les étudiants en "liberal arts" et "humanities" en sont les clients. Et des clients, ça peut se faire avoir, surtout quand ils ont 18-20 ans et n'ont pas la perspective nécessaire pour faire un choix dont ils vont ressentir les conséquences toute leur carrière. C'est ça la tragédie.

Il y a 4000 étudiants en science politique à l'UQAM. Un prof ma confié une fois qu'il rentre dans des classes, et se demande "mais qu'est-ce qu'ils vont faire après?"

Parce que les emplois payant sont rares et peu en demande, c'est encore plus important de se démarquer et d'exceller dans les domaines des sciences sociales et les sciences humaines. Mais ceci n'est une possibilité que pour ceux qui ont les moyens d'allez dans une Ivy League américaine ou canadienne, ou de se payer des stages l'été à construire des huttes en Afrique alors que le restre d'entre nous doivent travailler chez Olymel pour payer la session qui s'en vient.

Ce que je veux dire, c'est que parce que la cohorte d'étudiant est si vaste, le mérite personnel n'est pas nécessairement suffisant pour se démarquer. Le nom de l'établissement universitaire, les profs et étudiants que tu connais, les lettres de recommandation, les conneries de stages inutiles dans le tiers-monde vont venir départager les meilleurs du reste.

Et c'est dans ce contexte, et c'est un indicateur intéressant qu'il s'agit d'une business et de rien d'autre, les université ne vont jamais contingenter ces domaines. Ça serait contre la notion de profit.

Modifié par B~E
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Je suis tout à fait d'accord avec toi, c'est pas ça le problème. Ce que j'essaie de faire comprendre à Daniel, c'est qu'il y a des gens prêts à débourser pour recevoir une éducation plus poussée dans un domaine x, nonobstant la maigreur des possibilités d'emploi.

Il faut être imaginatif aussi. Moi, en littérature, j'ai le choix de:

-enseigner au collégial ou à l'université

-travailler dans le domaine de l'édition

-rédiger divers documents professionnels

-ouvrir ma propre business (édition ou librairie)

C'est un domaine guidé par la passion mais aussi par l'esprit d'initiative. C'est sûr que si tu passes tes journées à regarder ton diplôme en te grattant le scrotum, tu n'arriveras pas à grand-chose. Il faut tâter le marché. Une connaissance à moi, avec son bac en littérature, s'est trouvée un emploi chez Ulysse pour rédiger divers guides et autres publications, parce qu'on cherchait justement quelqu'un avec des aptitudes en français mais aussi quelqu'un de créatif pour faire "vivre" le texte. De fil en aiguille, elle a grimpé les échelons et gagne maintenant 60 000$ par année plus avantages.

Et sans vouloir me vanter, je reçois régulièrement d'excellents commentaires de la part des enseignants. On m'a souvent demandé si je comptais poursuivre à la maîtrise et offert de me diriger. Autre bonus, je connais bien le président du syndicat des enseignant de Maisonneuve, qui a supervisé la construction de mon premier recueil de nouvelles.

Je comprends le point de Daniel, mais je pense que dans mon cas, mes chances de trouver ma place quelque part dans le marché de la littérature sont bien réelles.

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Ce que j'essaie de faire comprendre à Daniel, c'est qu'il y a des gens prêts à débourser pour recevoir une éducation plus poussée dans un domaine x, nonobstant la maigreur des possibilités d'emploi.

Si vous étiez réellement prêts à débourser 100% des coûts de vos études inutiles (au moins 6000$ par session), je ne verrais pas de problèmes.

Modifié par Allah est gland
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Toi et Allah semblez mépriser les employés de Subway et autres menus métiers, mais vous êtes bien contents qu'il y ait quelqu'un pour vous servir quand vous payez votre sous-marin avec votre Visa Infinite. Ne me fais pas croire que tu fais tout ça par altruisme. Au fond de ton discours il y a un mépris profond pour les "petits métiers" et une attitude hautaine envers ceux qui désirent pousser à fond la connaissance d'une matière sans nécessairement viser un salaire élevé ou un poste de choix en société. Les conséquences on les assume, pas besoin de nous le répéter.

Crois-le ou non, c'est vraiment de l'altruisme qui m'incite à avoir ces discussions. J'ai fini mon bac il y a un peu moins de 10 ans et j'aurais tellement aimé avoir accès à des gens qui étaient déjà passés par l'université AVANT de commencer.

J'en connais plusieurs qui ont abandonné le génie car ce n'était finalement pas le bon domaine pour eux. Mon but n'est pas d'influencer qualqu'un à choisir un domaine plutôt qu'un autre mais de m'assurer qu'il fait un choix éclairé.

J'ai déjà dit plusieurs fois que les études techniques (au cégep) étaient sous-valorisées, ne m'accuse pas de mépriser les petits métiers. Je sais bien que tout le monde n'a pas les mêmes compétences ou les mêmes ambitions. Je crois néanmoins que certaines personnes qui poursuivent des "passions" à l'université devraient considérer d'autres options pour leur bien à long terme.

Je comprends le point de Daniel, mais je pense que dans mon cas, mes chances de trouver ma place quelque part dans le marché de la littérature sont bien réelles.

À la lumière de tes explications, je constate qui tu sais où tu t'en vas. Continue dans cette voie et bon courage, tu as tous mes souhaits de succès.

C'est un domaine guidé par la passion mais aussi par l'esprit d'initiative. C'est sûr que si tu passes tes journées à regarder ton diplôme en te grattant le scrotum, tu n'arriveras pas à grand-chose. Il faut tâter le marché. Une connaissance à moi, avec son bac en littérature, s'est trouvée un emploi chez Ulysse pour rédiger divers guides et autres publications, parce qu'on cherchait justement quelqu'un avec des aptitudes en français mais aussi quelqu'un de créatif pour faire "vivre" le texte. De fil en aiguille, elle a grimpé les échelons et gagne maintenant 60 000$ par année plus avantages.

Pour remettre les choses en perspective, où je travaille on donne 55,000$ à un finissant en génie. Ensuite il grimpe dans les échelons.

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