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Cadavre Exquis


Déchet(s) recommandé(s)

Parmis les complices présents il y avait le fameux Pedro Gamache, fraîchement sorti de prison. Celui-ci tentait de reprendre une vie de citoyen normal, en voulant s'acheter une franchise d'un restaurant Subway.

Malheureusement pour lui, Pedro souffrait du syndrôme de La Tourette, ce qui faisait en sorte qu'il avait beaucoup de misère à être pris au sérieux, et donc à reprendre une vie normale.

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Malheureusement pour lui, Pedro souffrait du syndrôme de La Tourette, ce qui faisait en sorte qu'il avait beaucoup de misère à être pris au sérieux, et donc à reprendre une vie normale.

Ce qui ne l'empêchait pas de pratiquer son activité favorite; jouer au Démineur sur son vieux Pentium 1 avec Windows 95.

20/30

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Ce qui ne l'empêchait pas de pratiquer son activité favorite; jouer au Démineur sur son vieux Pentium 1 avec Windows 95.

20/30

À l'image de sa passion informatique, il parcourut les plus grands déserts de Tunisie, les vallées amères de la Papouasie ainsi que les forêts torrides de l'Amazonie afin d'accomplir sa plus grande quête personnelle à ce jour: le déminage de son âme.

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À l'image de sa passion informatique, il parcourut les plus grands déserts de Tunisie, les vallées amères de la Papouasie ainsi que les forêts torrides de l'Amazonie afin d'accomplir sa plus grande quête personnelle à ce jour: le déminage de son âme.

Durant son périple, il rencontra une jeune moine bouddhiste d'origine finlandaise au nom de Trish N'guyen. Trish avait quitté sa Finlande natale afin de s'établir sur les berges du Nil, dans une hutte en boue construite de ses propres mains.

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Durant son périple, il rencontra une jeune moine bouddhiste d'origine finlandaise au nom de Trish N'guyen. Trish avait quitté sa Finlande natale afin de s'établir sur les berges du Nil, dans une hutte en boue construite de ses propres mains.

Cette hutte l'avait abrité contre les plus grandes tempêtes et l'avait réconforté face à ses plus grandes défaites. Cette hutte était toute sa vie à présent.

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Cette hutte l'avait abrité contre les plus grandes tempêtes et l'avait réconforté face à ses plus grandes défaites. Cette hutte était toute sa vie à présent.

Donc il s'y réfugia pour se ressourcer et reprendre des forces.

24/30

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Il reprit finalement ses esprits après avoir dormi 50 ans.

Il se leva et regarda autour de lui : tout ce qu'il voyait, c'était le néant. Il ne percevait personne, pas même un animal. Aucun son de parvenait à ses oreilles. Il était perdu dans le vide total.

26/30

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Il réalisa cependant qu'il pouvait se lever, et qu'il était donc encore sous l'effet de la gravité, mais comme il était complètement seul, il ne pouvait discerner s'il était encore sur Terre, ou dans un endroit où il n'aurait jamais soupçonner de se retrouver .

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Il réalisa cependant qu'il pouvait se lever, et qu'il était donc encore sous l'effet de la gravité, mais comme il était complètement seul, il ne pouvait discerner s'il était encore sur Terre, ou dans un endroit où il n'aurait jamais soupçonner de se retrouver .

Avait-il été amené à bord d'un vaisseau Alien? Avait-il simplement perdu la carte? Chose certaine, il entendait des pas qui signalaient l'arrivée de gens au loin.

28/30

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Avait-il été amené à bord d'un vaisseau Alien? Avait-il simplement perdu la carte? Chose certaine, il entendait des pas qui signalaient l'arrivée de gens au loin.

C'est là qu'il vit arriver Raël, escorté de plusieurs Elohims en armure, fusil laser à la main. Raël s'adressa à lui, avec cet air d'autorité qu'on lui attribue peu souvent :

- (en pointant les Elohims) Pourtant je vous l'avais dit, ce ne sont pas des sornettes, ils existent vraiment. Enfermez-le dans la cale ! Et veillez à ce qu'il ne s'échappe pas !

29/30

il n'en manque qu'une seule !

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Il finit donc sa vie comme modèle anatomique pour les Raëliens, lesquels avaient bien pris soin de faire leur jeu sexuel habituel avec lui.

30/30

Je réunis les messages à l'instant.

James venait de se réveiller dans le train, sa pipe éteinte à ses côtés. Il se remémorait la veille au soir. Une belle partie de jambe en l'air au 281. Drogue du viol et alcool compris, bien entendu. Il avait adoré ce moment passé au 281. Il avait passé la soirée avec/ sa propre mère, venue l'encourager spécialement pour l'occasion. Il lui avait même payé un drink, un genre de mix de vodka, de Grand Marnier, de Schnapps aux pêches et de bière tablette/ qu'il cracha dès que cette mixture fit porter à ces lèvres. Sa mère nettoya le tout et lui donna un verre d'eau.

Elle lui dit alors de retourner voir son père car il devait lui donner son cadeau, un/ petit couteau qui avait servi à son grand-père lors de la dernière guerre. L'outil, bien que très rouillé, était superbe. Il remercia rapidement son père et sortit de la pièce. Il en vint cependant à se demander dans quelles circonstances cet objet fût autrefois utilisé. Il conclut que cet objet fut utiliser par une princesse d'autrefois qui n'en pouvait plus de sa ceinture de chasteté, et qui voulait se gratter.

Il entreprit donc de continuer son chemin. Il évita un par un les pièges posé pas le maitre chasseur qui vivait la, dans la forêt de Marrh Ilsf. Et il se tua. Non, il ne ressuscita pas. Rien de ça, il se tua et ce fut la fin de l'histoire.

THE END!

Stéphane, l'auteur de cette nouvelle littéraire, était bien content d'avoir enfin terminé son récit. Il croyait pouvoir enfin publier dans une grande maison d'édition, ce que lui reprochait sa femme depuis quelques années déjà, vu son insuccès en tant qu'auteur. Ce que Stéphane ne savait pas c'est que sa femme le trompait régulièrement avec le patron de la maison d'édition, qui la baisait toujours sauvagement dans son chalet du lac St-Télesphore. Stéphane ignorait également que le soir venu de chaque premier jeudi du mois, sa femme et l'éditeur qui se rendait à leur chalet de St-Télesphore s'arrêtait casser la croute a l'arbre au sept pendu afin d'y réfléchir sur leurs futurs et préparer les démarches pour le divorce, discutait du nom de leurs enfants et de recettes Somaliennes. Les deux amants, malgré tout, ne ressentait aucune pitié envers Stéphane. L'Arbre au Sept Pendus était leur endroit par excellence pour leurs rencontres de cocufiage, un endroit dont l'auteur c'était inspiré pour son histoire à publier.

Trois semaines plus tard, les amants furent étonnés de constaté qu'une bande d'humain armé de lance-flamme étaient passé faire brûler leur Arbre au Sept Pendus. L'auteur, qui/ était un ami du couple, nia durant plusieurs heures son délit. Cependant, il admit tout après les menaces de l'amant. Il avoua finalement la raison de cet incendie, ainsi que le nom de ses complices.

Parmis les complices présents il y avait le fameux Pedro Gamache, fraîchement sorti de prison. Celui-ci tentait de reprendre une vie de citoyen normal, en voulant s'acheter une franchise d'un restaurant Subway. Malheureusement pour lui, Pedro souffrait du syndrôme de La Tourette, ce qui faisait en sorte qu'il avait beaucoup de misère à être pris au sérieux, et donc à reprendre une vie normale. Ce qui ne l'empêchait pas de pratiquer son activité favorite; jouer au Démineur sur son vieux Pentium 1 avec Windows 95.

À l'image de sa passion informatique, il parcourut les plus grands déserts de Tunisie, les vallées amères de la Papouasie ainsi que les forêts torrides de l'Amazonie afin d'accomplir sa plus grande quête personnelle à ce jour: le déminage de son âme.

Durant son périple, il rencontra une jeune moine bouddhiste d'origine finlandaise au nom de Trish N'guyen. Trish avait quitté sa Finlande natale afin de s'établir sur les berges du Nil, dans une hutte en boue construite de ses propres mains. Cette hutte l'avait abrité contre les plus grandes tempêtes et l'avait réconforté face à ses plus grandes défaites. Cette hutte était toute sa vie à présent. Donc il s'y réfugia pour se ressourcer et reprendre des forces.

Il reprit finalement ses esprits après avoir dormi 50 ans. Il se leva et regarda autour de lui : tout ce qu'il voyait, c'était le néant. Il ne percevait personne, pas même un animal. Aucun son de parvenait à ses oreilles. Il était perdu dans le vide total. Il réalisa cependant qu'il pouvait se lever, et qu'il était donc encore sous l'effet de la gravité, mais comme il était complètement seul, il ne pouvait discerner s'il était encore sur Terre, ou dans un endroit où il n'aurait jamais soupçonner de se retrouver . Avait-il été amené à bord d'un vaisseau Alien? Avait-il simplement perdu la carte? Chose certaine, il entendait des pas qui signalaient l'arrivée de gens au loin.

C'est là qu'il vit arriver Raël, escorté de plusieurs Elohims en armure, fusil laser à la main. Raël s'adressa à lui, avec cet air d'autorité qu'on lui attribue peu souvent :

- (en pointant les Elohims) Pourtant je vous l'avais dit, ce ne sont pas des sornettes, ils existent vraiment. Enfermez-le dans la cale ! Et veillez à ce qu'il ne s'échappe pas !

Il finit donc sa vie comme modèle anatomique pour les Raëliens, lesquels avaient bien pris soin de faire leur jeu sexuel habituel avec lui.

Les « / » marquent les phrases que les auteurs n'ont pas continués.

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