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Les dessins de Charlie Hebdo


Déchet(s) recommandé(s)

Pedrosanchez, ta réaction émotive est justifiable.

Surtout si tu ne me connaissais pas. ^_^

J'imagine le choc.

Heureux de faire ta connaissance.

Ce n'est pas pour rien si j'ai demandé il y a 2 semaines: "Est-ce que le Dépotoir est réellement prêt pour mon retour".

Une certaine classe de gens sera toujours irritée par mes idéaux, ma vision, mon verbe.

Un conseil d'ami: si mes propos te rendent émotif, ignore moi.

C'est le meilleur conseil que je puisse te donner.

Ne me laisse pas voir tes faiblesses, je risque d'avoir trop de plaisir avec toi.

On travaille dans le même domaine (peut-être s'est on même déjà vus) alors je ne t'accusais pas d'avoir de mauvais points...juste d'être un peu trop pimpant avec ça. Mais bref

Sur ce, pareillement heureux de faire ta connaissance

Très content de te voir Majoras.

Que de bons souvenirs.

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La femelle arabe, par son mystère, son aura spirituel, m'attire énormément.

Je l'imagine à la fois docile et charnelle au lit.

Quant à moi la femelle arabe, je me l'imagine plutôt docile et chamelle

chamelle.jpg

Plus récemment dans les médias (source TVA nouvelles), on a fait mention de:

"Ensemble, l'Association musulmane du Canada (AMC) et l'Islamic Society of North America (ISNA) détiennent des propriétés abritant sept lieux de culte et quatre écoles privées àMontréal, Sherbrooke et Trois-Rivières.

Les deux organisations attirent l'attention des autorités, et notreBureau d'enquête a trouvé de la propagande intégriste dans deux mosquées qu'abrite l'ISNA.

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On travaille dans le même domaine (peut-être s'est on même déjà vus) alors je ne t'accusais pas d'avoir de mauvais points...juste d'être un peu trop pimpant avec ça. Mais bref

Il s'agit de quel domaine? J'espère que ce n'est pas militaire ou la fonction publique.

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Il s'agit de quel domaine? J'espère que ce n'est pas militaire ou la fonction publique.

Qu'est-ce que ça change? Et oui, c'est l'un des deux et j'ai exprimé dans un post sur ce thread ma haine des ministères, donc...

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Ça explique la grosse érection que Néoraf entretient pour l'OTAN, mais ça n'explique pas pourquoi il ne sait pas de quoi il parle à ce sujet.

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Il s'agit de quel domaine? J'espère que ce n'est pas militaire ou la fonction publique.

B~E, pourquoi la tournure négative employée à ta question?

Il y a deux choses qui donnent un sens à ma vie:

1. Mes filles qui grandissent trop rapidement.

2. Les fonctions que j'occupe au Ministère de la Défense Nationale.

Diriger une équipe dans une organisation qui s'efforce à soutenir les missions, protéger la population... c'est extraordinaire.

Je suis enthousiasme à chaque réveil. Je me considère privilégié.

Ce que je ne comprends pas, c'est ta surprise, c'est pourtant connu.

Et même ici.

Sur un autre ordre d'idée, la population civile commence à réaliser que nous avons des troupes au sol en Irak.

C'est pourtant connu à l'interne depuis le début.

À cause de cet incident, voilà maintenant les hauts gradés et les ministres sur la défensive. C'est triste...

Ahhh la foutue opinion publique.

L'armée canadienne a combattu l'EI au sol en Irak

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tes liens et citations en blocs témoignent d'une paresse intellectuelle. force-toi un peu à relever le calibre du débat en élaborant tes propres arguments.

J'poste ce que j'veux la stagiaire, c'est de l'information neutre. Des faits.

Des faits que certains -dont toi, j'en suis sûre-, ne connaissaient pas.

J'ai pas besoin de développer d'avis sur ces faits, ni d'arguments d'ailleurs, même si je sais que je vais juste faire réagir des terroristes de la pensée sans contenu comme toi.

Tu ferais une bonne maîtresse pour des cours de sans dessein quand même. T'as du talent.

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Édit: 4h du mat... Non vraiment, c'est triste à regarder.

De la lecture en plus pour les moins feignants intellectuellement :

ELOÏSE LEBOURG (REPORTERRE)

jeudi 15 janvier 2015

Quelle était l’enfance de Chérif et Saïd Kouachi, les deux hommes qui ont assassiné les journalistes et les policiers à Charlie Hebdo ? Une enfance misérable, de père absent et de mère prostituée, dans un immeuble populaire du 19e arrondissement de Paris. Evelyne les a connus, elle témoigne. Un document exclusif de Reporterre

Elle en rêvait, de son logement social. Elle pose donc meubles, enfants, mari, dans un F4 du 156 rue d’Aubervilliers, à Paris. Avec son CAP de comptabilité, Evelyne s’en va chaque matin travailler tout près de la cité, en plein 19e arrondissement. Nous sommes dans les années 1980. La mixité sociale n’est encore qu’une théorie, un concept.

« Ici, nous vivions entre pauvres. Et encore, la plupart des gens, une fois passées quelques années, partaient ailleurs. Le quartier craignait vraiment. Nous avons décidé de rester pour changer notre environnement nous-mêmes, nous les locataires du 156. Nous voulions sauver notre quartier. »

Un enfant comme les autres

Alors, Evelyne crée des associations. L’une d’elles, Jeunes et locataires, voit le jour dans les années 1990. Son but est de sortir les enfants, de leur faire découvrir autre chose « que le ghetto ». Son association est une des rares à traverser le temps, elle existe pendant plus de dix ans. Elle parvient à dégoter quelques subventions, alors elle prend la main des gamins du quartier et les emmène ailleurs. Un goûter dans un parc, une sortie dans un beau quartier de Paris, et même un jour : Eurodisney.

On la prévient, dans la bande des enfants, l’un est particulièrement coquin, voire turbulent. Il s’appelle Chérif. Il se balade toujours avec son grand frère Saïd, plus discret. À croire que le plus petit est l’aîné. Saïd pleurniche tout le temps, et suit toujours son cadet. Evelyne surveille le cadet « comme du lait sur le feu ».

« J’adorais cet enfant. Il suffisait qu’on le cajole, qu’on le prenne dans les bras pour qu’il se calme. Moi, je l’ai trouvé touchant, ébahi comme tous les autres par la bande à Mickey. » Un enfant comme les autres, qui croit en la magie de Disney, et qui se calme dès qu’on l’apaise. « On les emmenait au cinéma, Chérif adorait y aller. »

Mère en détresse

Sa mère n’a pas d’argent pour payer la cantine, et elle n’est pas du genre à demander de l’aide. Evelyne qui aide tout le monde à faire ses papiers, ne l’a jamais vue dans son bureau. On ne sait rien du père, et peut-être même les enfants ont-ils des pères différents. Ils ont toujours vécu ici, nés en 1980 et 1982. Deux des cinq enfants ont déjà été placés ailleurs par les services sociaux, quand Evelyne suit Cherif et Saïd.

Quelques mois après la sortie à Eurodisney, Chérif rentre de l’école comme chaque midi. Accompagné comme toujours de son grand frère, il découvre ce midi-là, en plein milieu de l’appartement, sa maman morte. Morte de quoi ? Elle aurait avalé trop de médicaments. Pour beaucoup, il s’agit d’un suicide.

Finalement, tout le monde connaissait le quotidien de cette mère célibataire. Et les langues des habitants du quartier finissent par se délier. Elle ne parvenait plus à subvenir aux besoins de ses cinq enfants, elle avait fini par faire le trottoir pour arrondir les fins de mois. Elle serait morte, selon la gardienne qui était la seule qui lui parlait, enceinte d’un sixième enfant.

Les enfants sont orphelins, Saïd a douze ans, Chérif a dix ans. Ils quitteront le 156, pour passer leur adolescence, en Corrèze, dans un établissement de la Fondation Claude Pompidou

"On aurait dû aider cette maman"

Evelyne l’a reconnu sur sa télé mercredi 7 janvier. « J’ai appelé mon gendre, qui lui aussi a grandi dans le quartier. Il m’a bien confirmé. J’ai pleuré. Je me suis dit que je suis responsable. J’aurais dû aider cette maman. On n’aurait jamais dû emmener les enfants à Eurodisney, avec cet argent-là, on aurait dû aider cette maman. Chérif avait une dizaine d’années, pas plus. Finalement, à n’avoir rien vu, nous avons tué cette mère et avons été incapables de sauver ses enfants. »

Evelyne est inconsolable devant sa télévision. « Chérif était un enfant comme les autres. Mais il n’aura pas reçu d’amour… Il a trouvé dans le fanatisme religieux, la famille qu’il n’a jamais eue. Ils ont su lui monter la tête. En même temps, c’est facile de s’en prendre à des gamins aussi isolés et fragiles. Personne n’était là pour le remettre dans le droit chemin. »

"S’il avait eu une enfance heureuse, serait-il devenu terroriste ?"

Evelyne tient pour responsable la politique de la Ville. « Le but était de parquer là les pauvres. Et personne ne s’en occupait. Les assistantes sociales démissionnaient une à une. Elles avaient trop de boulot par chez nous, elles préféraient se faire muter ailleurs. Alors chaque mois, on avait une nouvelle personne qui reprenait notre dossier, et au final, on n’avançait pas. »

Evelyne en veut aussi beaucoup au manque d’encadrement des enfants. « Il n’était pas rare que l’on voit des enfants de cinq-six ans traîner devant l’immeuble à minuit. Chérif lui, était comme abandonné. Je me souviens d’un jour durant lequel nous organisions un goûter. Nous n’avions pas de local, alors nous allions dans les caves. Je suis remontée chercher des gobelets, et là, j’ai vu un gardien demander à Chérif, qui était tout maigrelet, de se mettre à genoux pour demander pardon, parce qu’il avait fait une bêtise. Comme il n’avait pas de papa, et une maman absente, il était un peu le souffre-douleur. Enfin, je ne voudrais pas que vous pensiez que je le défends. Mais je veux dire, s’il avait eu une enfance heureuse, serait-il devenu un terroriste ? »

Elle raconte aussi, pour expliquer le contexte de désarroi, l’histoire d’un autre jeune, habitué de la brigade des mineurs, qu’elle faisait dormir chez elle, parce qu’il était battu par sa maman. Un jour, il fugue, les premières nuits, il dort sur le toit. Evelyne finit par le ramasser, lui faire passer une nuit dans le lit de son fils. Le matin, elle le dépose à la police. C’est un habitué, quatre fois qu’il vient. La première fois, à cause d’une brûlure au troisième degré causé par un fer à repasser. Evelyne se met en colère : « Combien de fois devrai-je vous l’amener avant que vous le retiriez de sa mère ? »

Mais le policier veut d’abord savoir comment l’enfant a vécu pendant ces huit jours d’errance. Il comprend tout, quand l’enfant parle d’un monsieur. « Les enfants étaient tellement laissés à l’abandon que le 156 était devenu un repère de pédophiles. Ils passaient le soir, les gamins étaient livrés à eux-mêmes sur le parking. Les parents ne les cherchaient pas… »

"Nous étions entourés de violence"

Evelyne en a marre : « Nous avions quatre centres sociaux dont La maison des copains de La Villette, Action fraternelle, ou encore Espace 19, mais les éducateurs, salariés, n’étaient pas plus âgés que les délinquants et leur donnaient rendez-vous dans les cafés à fumer des clopes et boire des verres. Moi, j’appliquais la méthode bénévole de la ’maman’ et je n’ai jamais eu de problème avec ces jeunes. Sont-ils totalement responsables de ce qu’ils deviennent ? Délinquants, drogués, et pour les frères Kouachi, ces monstres incompréhensibles ? »

Marise (prénom modifié) se pose la même question. À l’époque, elle aussi habite le quartier. Militante, elle multiplie les associations pour venir en aide aux quartiers difficiles. « J’ai vécu de bons moments. Mais avant les années 90, et la prise de conscience que la mixité sociale était indispensable, nous ne parlions pas de ça lors de nos réunions politiques. (NDLR : Marise a d’abord été militante au PC, puis au PS). La société délaisse les pauvres, les met en colère, les rend violents, puis parfois haineux. »

« Les seuls qui acceptaient de vivre au 156 étaient les sans-abris. Nous étions entourés de violence. » Evelyne renchérit. « Je me souviens de ces gamins dont le père était toujours saoûl, et s’endormait avant que les enfants ne rentrent de l’école. Il fermait à clef, les enfants dormaient dans les escaliers. Nous faisions des signalements, mais même les professeurs ne disaient rien… C’est une société entière qu’il faut condamner d’avoir laissé grandir des enfants dans une telle misère. »

"Terreau fertile"

Evelyne, chrétienne qui pense qu’il faut savoir rire de tout, savait que doucement l’islam gagnait dans le quartier. « Je voyais de plus en plus de femmes porter le voile, puis avoir des propos de moins en moins laïcs. » Marise acquiesce : « Au début, dans les années 90, un des pratiquants de la mosquée de la rue de Tanger faisait partie du Conseil de Quartier. On l’aimait beaucoup, il était très laïc, très ouvert. Nous faisions nos réunions dans la mosquée. Je trouvais cela formidable. Puis notre ami, un jour nous a dit qu’il quittait la mosquée, qu’il ne se retrouvait plus dans les paroles de l’imam. Dès lors, la porte de la mosquée nous est restée à jamais fermée, et nous voyions le changement dans le comportement. Les salafistes ont petit à petit pris possession des lieux, jusqu’à l’arrestation de la cellule des Buttes Chaumont. »

Marise pense que l’intégrisme ne peut prendre racine que sur ce genre de terreau fertile où la précarité et l’abandon ont pris la place normalement nécessaire de l’intégration. « Mais je suis optimiste, depuis l’avènement de la mixité sociale, les choses vont mieux. Je reste persuadée que la mixité était la bonne solution. En revanche, ces enfants nés dans le triple abandon, d’une société, parfois de racines, et encore pire d’éducation, n’ont pas pu apprendre les limites, pas pu s’intégrer… Et ils ont trouvé refuge dans la délinquance, la violence, la prison, et parfois dans l’intégrisme religieux. Il reste cependant de nombreuses structures à créer pour prévenir, intégrer, encadrer. Tenez, pour l’intégration, moi j’aime beaucoup animer l’atelier tricot au Centre Social Riquet mais je dis aux femmes d’arrêter de parler une langue entre elles que je ne comprends pas, j’ai l’impression qu’elles parlent de moi. Ça les fait rire. Mais finalement, parler le même langage quand on est ensemble, c’est plus simple non ? »

Pour Marise, « nous sommes responsables de ne pas avoir offert une jeunesse équilibrée à ces mômes, en n’ayant jamais vu la souffrance de leur mère, leur désarroi d’orphelins… Mais ce n’est pas une excuse pour tuer les autres et ne pas avoir le recul face à l’absurdité du fanatisme… »

Evelyne, elle, qui a pris sa retraite et vit maintenant dans la région Centre, concède : « Je ne devrais pas le dire, vous allez me prendre pour une folle, mais quelque part, moi ces gamins-là, je les plains… »

http://www.reporterre.net/L-enfance-miserable-des-freres

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Ce que je ne comprends pas, c'est ta surprise,

J'suis surpris parce que t'argue ardament en faveur de l'OTAN pour combattre l'islamisme, alors que tu t'es trompé sur des faits de base concernant cette organisation, comme par exemple son implication au Moyen-Orient (elle n'y est simplement pas impliqué).

Mais bon, c'est pas grave.

T'as quelle fonction dans la Défense? Je viens d'une famille de militaires. J'ai quatre militaires de carrière encore vivant dans ma famille. J'ai songé à enrôlée après mon secondaire, après mon DEC, après mon BAC, et même après la maîtrise. Mais j'ai jamais oser faire le saut. J'ai jamais été un fan des engagements à long-terme. J'aurais probablement fait carrière comme analyste ou en logistique, vue que c'est dans ces domaines que j'ai étudié et que je travail.

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Une intervention de plusieurs pays membre de l'OTAN != une intervention de l'OTAN. Mon grand.

http://en.wikipedia....tary_structures

L'OTAN peut se mobiliser à travers l'invocation des articles 4 ou 5 de sa charte ou lorsque autorisé par une instance supérieur, comme par exemple à la demande du conseil de sécurité de l'ONU lors de l'intervention humanitaire en Libye en 2011. Ce n'est pas le cas avec l'ISIS.

Dans le cas du Moyen-Orient ou de l'ISIS, les structures de l'OTAN ne sont pas utilisées. Son commandement n'est pas utilisé. Ses comités militaires ne sont pas utilisés. Le commandement de l'OTAN est en charge d'aucune opération dans la région. Mise à part l'exception de la brève utilisation de ses réseaux logistiques en Irak il y a plusieurs années, l'OTAN n'est jamais intervenue dans le Moyen-Orient.

L'OTAN n'est simplement pas (encore?) impliqué dans le conflit. La coalition de pays mobilisée contre l'ISIS n'agit simplement pas à travers l'OTAN, désolé de te l'apprendre.

Tu comprends?

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OTAN en emporte le vent.

Mais ce n'est pas le sujet.

OTAN pour moi.

Je m'autoquote parce que je me suis posé la question d'ou j'ai pu tirer ces vannes foireuses.

Et comme je viens de m'en rendre compte, je vous conseille d'aller courir regarder le film Quai d'Orsay avec Thierry Lhermitte - ou éventuellement d'en lire les BD même si je ne suis pas fan du style graphique.

Toute l'hypocrisie ambiante du monde politique et diplomatique français dépeinte en un long-métrage.

Pour les québécois ça doit être plutôt instructif, je ne sais pas si vous avez conscience à quel point l'environnement des hauts fonctionnaires de l'Etat est particulier.

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Etrangeeee

Je l'ai posté pile le jour ou tu l'as mis.

---

Un élève de 8 ans a été entendu, mercredi, dans un commissariat de Nice pour des propos qu'il aurait tenus sur les auteurs de la tuerie de "Charlie Hebdo". L'avocat affirme qu'il est poursuivi pour apologie de terrorisme, ce que nie le commissaire.

Un élève d'une classe de CE2, âgé de 8 ans, a été entendu, mercredi 28 janvier, pendant 30 minutes dans un commissariat de Nice, dans le sud de la France. Le motif : il aurait proféré, dans l'enceinte de son école primaire, des propos radicaux de solidarité envers les auteurs de l'attentat sanglant contre "Charlie Hebdo" .

L'enfant a refusé d'observer une minute de silence et de participer à une ronde de solidarité dans son école primaire, au lendemain de l'attaque contre le journal satirique, a indiqué le directeur départemental de la sécurité publique, Marcel Authier. Selon son instituteur, il a aussi tenu des propos de "solidarité" avec les auteurs de l'attaque.

"Dans le contexte actuel, le directeur de l'école a décidé de signaler ce qui s'est passé à la police", précise le commissaire Authier, en notant qu'il ne s'agit aucunement d'une plainte.

L'avocat du jeune garçon, Me Sefen Guez Guez qui n'était pas joignable mercredi soir, a affirmé sur Twitter, sous le pseudonyme "S. Ibn Salah", que l’enfant est "poursuivi pour apologie d’acte de terrorisme. C’est écrit noir sur blanc sur le PV."

http://www.france24....-charlie-hebdo/

LOL

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