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Voulez-vous que je crée un thread à part sur les médocs ?


Message ajouté par ÉcoModo,

Ce sujet a été créé à partir du fil de discussion "Le sujet dont tout le monde se câlice".

Vos médicaments  

11 membres ont voté

  1. 1. Prenez vous de la médication (à l'exception des médicaments courants comme Advil et Tylenol) ?

    • Oui, pour mes maux d'âme
      3
    • Oui, pour mes maux physiques
      1
    • Oui, pour mes maux d'âmes ET physiques
      1
    • Non, mais j'en ai déjà pris
      1
    • Non, je n'en ai jamais pris
      5


Déchet(s) recommandé(s)

Une bonne nouvelle : je vois mon troisième neurologue après-demain. On me permet d'être accompagné d'un proche lors de la consultation... j'ai l'impression que c'est un point tournant majeur dans mon histoire. Accompagné d'une personne qui est bien aux faits de mes problèmes dans tous leurs détails, j'aurai l'avantage du nombre et l'occasion d'être enfin écouté par un spécialiste qui en temps normal serait trop blasé ou préoccupé pour véritablement me donner toute son attention et m'offrir une assistance adéquate.

Après plus de trois ans et demi, je ne suis même pas foutu d'avoir un début de diagnostic, comme si j'étais le premier dans toute l'histoire de l'humanité à qui ce truc arrive. Une symptomatologie trop large en plus d'une IRM de base qui revient parfaitement normale et vous venez de les perdre ces spécialistes... et sans diagnostic clair, bien sûr il n'y a pas d'examen ni de traitement plus pointus proposés, et après c'est l'étape des téléphones pour essayer d'obtenir un autre rendez-vous avec un autre spécialiste blasé qui nous fera attendre un autre six mois avant de nous dire approximativement la même chose et avec le même masque d'empathie que le médecin précédent. Il faudrait que je relise Sept étages de Buzzati pour me remettre dans le bain d'être en activité dans ma propre vie.

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il y a 59 minutes, Иди и смотри a dit :

@Vaginose Woolf
J'ai peut-être pas suivi la saga, mais qu'est-ce que tu as?

Épuisement mental et physique extrêmes (similaires à une dépression majeure, sauf que mon moral n'est pas affecté), douleurs neuropathiques (sensations de brûlures au cerveau fréquentes, engourdissement permanent au front et dans la partie supérieure droite de mon visage), lourdeur importante derrière les yeux, énergie et motivation au point mort (par exemple, j'ai continuellement de la difficulté à marcher sans que mes jambes se dérobent sous le poids de mon corps), et dans les autres trucs notables, il y a que quelle que soit la médication que je prends, elle fonctionne à 5-10% de sa pleine efficacité sur mon système nerveux, donc c'est presque comme si elle n'avait pas d'effet, et ce semblant d'effet prend une éternité à se révéler dans toute sa médiocrité.

J'avais aussi des vertiges et des malaises qui auraient pu glisser vers l'évanouissement si je n'avais pas fait attention, mais c'est moins pire récemment depuis que je pédale sur mon vélo. Aussi, les trucs habituels comme de l'insomnie qui viennent un peu avec la condition.

J'arrive à sortir de chez moi pour voir ma famille et aller à mes rendez-vous en me dopant, sur ordre du médecin, avec des quantités de psychostimulants qui sont bien au-delà de la limite permise, mais ce n'est pas vraiment une solution viable à moyen ou à long terme parce que les stimulants gardent mon système activé durant la nuit, alors je ne dors pas (même en prenant des somnifères), ce qui a pour effet d'amplifier l'intensité de mes symptômes le lendemain. Bref, un enfer que je ne souhaite à personne, et dont je devrai bientôt me sortir d'une façon ou d'une autre, parce que dans le cas contraire, mes perspectives d'avenir sont nulles et ma vie n'a plus beaucoup de sens.

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C'est infiniment triste que tu vives cela. Malgré notre vécu difficile ça me fait quand même de la peine et j'espère que tu trouveras enfin un neurologue compétent pour t'aider. J'imagine pas la souffrance psychique et physique par laquelle tu passes. J'ai bien l'impression que les médicaments empirent le tout d'après ton récit...

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@Vaginose Woolf

Je te souhaite que le troisième neurologue puisse t'aider, je comprends un peu ce que tu vis car j'accompagne dans ma vie une personne qui comme toi peine à se faire donner un diagnostique et jusqu'à très récemment, tout simplement être pris au sérieux alors que son quotidien en est grandement affecté. Ton histoire ca ressemble à la sienne, juste quelques symptômes qui diffèrent. C'est très démoralisant et ça demande une bonne dose de courage de ne pas abandonner et persister à dire que quelque chose ne va pas dans son corps.

Lâche pas, t'es encore jeune.

 

 

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Il y a 1 heure, Goéland a dit :

@Vaginose Woolf Est-ce ce même syndrome que tu as depuis que tu as essayé le Vyvanse ?

Oui, c'est bien le même syndrome. Petite correction à apporter cependant, c'est plutôt le Concerta que j'ai essayé une fois et qui a déclenché cette condition, après sept longues et heureuses années avec le Vyvanse.

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Je suis curieux : comment arrives-tu à te convaincre que c'est le Concerta qui est responsable de cette condition dont tu parles?

Parlant de médicaments, je suis allé dans une clinique cette semaine pour des palpitations cardiaques inquiétantes doublées d'un essoufflement plus prononcé que jamais au gym. La réaction de la médecin? C'est dans ma tête. Je n'étais pas même sorti de la clinique que j'ai reçu un appel de la technicienne de laboratoire du Jean Coutu pour me dire qu'ils venaient de recevoir une prescription d'Ativan à mon nom et souhaitaient savoir s'ils devaient la préparer.

Je commence à avoir toute une collection.

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Les deux. 

C'est quand même scandaleux qu'un médecin te réponde un truc pareil. Et d'autant plus si tu es déjà sous médicament. T'as lu la notice et les effets indésirables j'imagine ? 

il y a 20 minutes, Ecce Homo a dit :

Voulez-vous que je crée un thread à part sur les médocs ? 

Et dire que je suis sous la valériane, j'ai l'impression d'être un poney rose dans une course de Trois-rivière 

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Il y a 2 heures, men are trash a dit :

Je suis curieux : comment arrives-tu à te convaincre que c'est le Concerta qui est responsable de cette condition dont tu parles?

Parlant de médicaments, je suis allé dans une clinique cette semaine pour des palpitations cardiaques inquiétantes doublées d'un essoufflement plus prononcé que jamais au gym. La réaction de la médecin? C'est dans ma tête. Je n'étais pas même sorti de la clinique que j'ai reçu un appel de la technicienne de laboratoire du Jean Coutu pour me dire qu'ils venaient de recevoir une prescription d'Ativan à mon nom et souhaitaient savoir s'ils devaient la préparer.

Je commence à avoir toute une collection.

C'est que le médicament ne te fait pas. Pour faire un lien avec ce que tu écris, je ne tolère pas les antidépresseurs, antipsychotiques et anxiolytiques (bien que j'en demanderai un demain à mon psychiatre pour explorer cette énième avenue avec une autre molécule que celle du citalopram) parce qu'ils me donnent une impression de hauteur extrêmement désagréable. Si tu tiens à poursuivre avec ce médicament qui te donne des palpitations et t'essouffle, sache que beaucoup de personnes ont des cocktails de médicaments assez spectaculaires qui leur permettent de fonctionner à peu près normalement, alors si tu vois une amélioration aussi minime soit-elle de tes symptômes en dépit de ces effets secondaires, tu peux sans doute aller plus loin ou attendre pour voir si les choses rentrent dans l'ordre par elles-mêmes. Pour la petite histoire, il m'arrivait d'avoir des palpitations parfois avec le Vyvanse, mais en deux ou trois occasions horrifiantes sur sept ans, en sortant de ma chambre pour aller pisser, j'ai perdu toute force dans mes jambes et je me suis effondré au sol en renversant à moitié le bac à litière de mes chattes (heureusement propre les deux fois) et pendant près d'une minute, j'ai observé mes jambes littéralement convulser sans pouvoir me relever. Très certainement des signaux d'alarme que le corps envoie et que j'aurais dû écouter, et les palpitations aussi si elles étaient devenues fréquentes. Mon point est qu'il y a des niveaux de sévérité auxquels il faut ajuster son niveau d'inquiétude avant d'abandonner une médication qui peut nous être bénéfique.

J'ai réfléchi à une autre hypothèse hier après ma troisième rencontre infructueuse avec un neurologue. J'avais des effets secondaires en prenant du Vyvanse et c'est un élément auquel je n'ai jamais prêté attention parce que ces effets que je minimisais étaient aussi liés à une composante psychologique importante.

Rapidement, je pense que cette condition a peut-être été causée par le stress constant que la prise de Vyvanse occasionnait. C'est sept ans de stress causé par un agent chimique que je m'administrais à tous les jours sans exception. Donc peut-être que c'est un syndrome en rapport avec les médullosurrénales ou une phase de résistance que je prolongeais volontairement. À moins d'être extrêmement fragile à ces substances, je pense pouvoir affirmer sans me tromper que le Concerta a simplement été la goutte qui a fait déborder le vase dans mon cas.

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Il y a 3 heures, 1984 a dit :

Les deux. 

C'est quand même scandaleux qu'un médecin te réponde un truc pareil. Et d'autant plus si tu es déjà sous médicament. T'as lu la notice et les effets indésirables j'imagine ? 

Et dire que je suis sous la valériane, j'ai l'impression d'être un poney rose dans une course de Trois-rivière 

Les palpitations et cette sensation d'être à bout de souffle sont aussi des symptômes de l'anxiété, donc je me rassure en mon for intérieur que c'est là le véritable problème. Je me suis certainement renseigné sur le seul et unique médicament que je prends depuis maintenant 12 jours -- le Cymbalta -- et, comme les autres IRSN, il est susceptible d'augmenter la pression artérielle, mais rien d'alarmant. J'ai vérifié ma pression et les chiffres demeurent optimaux.

 

il y a 27 minutes, Vaginose Woolf a dit :

C'est que le médicament ne te fait pas. Pour faire un lien avec ce que tu écris, je ne tolère pas les antidépresseurs, antipsychotiques et anxiolytiques (bien que j'en demanderai un demain à mon psychiatre pour explorer cette énième avenue avec une autre molécule que celle du citalopram) parce qu'ils me donnent une impression de hauteur extrêmement désagréable. Si tu tiens à poursuivre avec ce médicament qui te donne des palpitations et t'essouffle, sache que beaucoup de personnes ont des cocktails de médicaments assez spectaculaires qui leur permettent de fonctionner à peu près normalement, alors si tu vois une amélioration aussi minime soit-elle de tes symptômes en dépit de ces effets secondaires, tu peux sans doute aller plus loin ou attendre pour voir si les choses rentrent dans l'ordre par elles-mêmes. Pour la petite histoire, il m'arrivait d'avoir des palpitations parfois avec le Vyvanse, mais en deux ou trois occasions horrifiantes sur sept ans, en sortant de ma chambre pour aller pisser, j'ai perdu toute force dans mes jambes et je me suis effondré au sol en renversant à moitié le bac à litière de mes chattes (heureusement propre les deux fois) et pendant près d'une minute, j'ai observé mes jambes littéralement convulser sans pouvoir me relever. Très certainement des signaux d'alarme que le corps envoie et que j'aurais dû écouter, et les palpitations aussi si elles étaient devenues fréquentes. Mon point est qu'il y a des niveaux de sévérité auxquels il faut ajuster son niveau d'inquiétude avant d'abandonner une médication qui peut nous être bénéfique.

J'ai réfléchi à une autre hypothèse hier après ma troisième rencontre infructueuse avec un neurologue. J'avais des effets secondaires en prenant du Vyvanse et c'est un élément auquel je n'ai jamais prêté attention parce que ces effets que je minimisais étaient aussi liés à une composante psychologique importante.

Rapidement, je pense que cette condition a peut-être été causée par le stress constant que la prise de Vyvanse occasionnait. C'est sept ans de stress causé par un agent chimique que je m'administrais à tous les jours sans exception. Donc peut-être que c'est un syndrome en rapport avec les médullosurrénales ou une phase de résistance que je prolongeais volontairement. À moins d'être extrêmement fragile à ces substances, je pense pouvoir affirmer sans me tromper que le Concerta a simplement été la goutte qui a fait déborder le vase dans mon cas.

Je ne crois pas que c'est le Cymbalta qui cause ces palpitations, et pour la simple raison qu'elles ont commencé à la mi-décembre alors que j'étais sous Trintellix. Cela dit, je me sens nettement mieux depuis 2-3 jours. Pas de palpitations. Pas de souffle court. Peut-être est-ce le médicament qui commence à atténuer l'anxiété comme il se doit. Je verrai.

Ton expérience avec la Vyvanse et le Concerta m'est étrangère : ces drogues ne font qu'exacerber ma difficulté à rester concentré pendant un meeting ou en lisant un roman bien verbeux. J'imagine que, ouais, il y a des conséquences à gober un psychostimulant chaque jour pendant 7 ans. Donc si j'ai bien compris, la Vyvanse c'est terminé?

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(modifié)
Il y a 2 heures, men are trash a dit :

Les palpitations et cette sensation d'être à bout de souffle sont aussi des symptômes de l'anxiété, donc je me rassure en mon for intérieur que c'est là le véritable problème. Je me suis certainement renseigné sur le seul et unique médicament que je prends depuis maintenant 12 jours -- le Cymbalta -- et, comme les autres IRSN, il est susceptible d'augmenter la pression artérielle, mais rien d'alarmant. J'ai vérifié ma pression et les chiffres demeurent optimaux.

Je ne crois pas que c'est le Cymbalta qui cause ces palpitations, et pour la simple raison qu'elles ont commencé à la mi-décembre alors que j'étais sous Trintellix. Cela dit, je me sens nettement mieux depuis 2-3 jours. Pas de palpitations. Pas de souffle court. Peut-être est-ce le médicament qui commence à atténuer l'anxiété comme il se doit. Je verrai.

Quand même un peu atypique que ton anxiété ne se manifeste que par des palpitations et un souffle court. Pas de mains moites, de bouche sèche, de vertiges, de bouffées de chaleur, rien d'autre? 

Il y a 2 heures, men are trash a dit :

Ton expérience avec la Vyvanse et le Concerta m'est étrangère : ces drogues ne font qu'exacerber ma difficulté à rester concentré pendant un meeting ou en lisant un roman bien verbeux.

 Pendant combien de temps tu en as pris et qu'est-ce que ça donnait au niveau de l'énergie?

Il y a 2 heures, men are trash a dit :

J'imagine que, ouais, il y a des conséquences à gober un psychostimulant chaque jour pendant 7 ans.

Normalement, non. En tout cas, mon ancien médecin de famille ne m'a pas avisé d'un quelconque danger à en prendre tous les jours même tout au long d'une vie, et je me souviens distinctement lui avoir posé la question.

Il y a 2 heures, men are trash a dit :

Donc si j'ai bien compris, la Vyvanse c'est terminé?

Tu sais bien que mon histoire d'amour avec Vyvanse ne se terminera jamais.

Modifié par Vaginose Woolf
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Il y a 11 heures, Vaginose Woolf a dit :

Qu'est-ce qui te retient? Ça ferait plus de sens d'en parler dans un sujet qui y est entièrement dédié qu'ici.

done. 

j'ai même été capable de créer un sondage, huhuhuhu.

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Il y a 7 heures, Vaginose Woolf a dit :

Quand même un peu atypique que ton anxiété ne se manifeste que par des palpitations et un souffle court. Pas de mains moites, de bouche sèche, de vertiges, de bouffées de chaleur, rien d'autre? 

En fait, ce sont les plus fréquents, mais j'ai eu aussi un bon nombre de symptômes physiologiques, cognitifs, affectifs et comportementaux : gorge serrée, douleurs lombaires et cervicales (ou devrais-je écrire : propension à les déclencher plus facilement en m'entraînant), hot flashes (comme un début d'attaque de panique), fatigue extrême, insomnie, troubles de la concentration, inquiétudes diverses et obsessions. Quand mon anxiété se limite à peu près aux palpitations et au souffle court, je peux considérer qu'elle est sous contrôle.

 

Il y a 7 heures, Vaginose Woolf a dit :

Pendant combien de temps tu en as pris et qu'est-ce que ça donnait au niveau de l'énergie?

J'ai consommé un Concerta 5 ou 6 jours par semaine pendant près de six mois. Quant à la Vyvanse, je n'en prenais que 2 jours par semaine, de septembre à la fin du mois de novembre. L'effet se ressemble beaucoup dans les deux cas, quoique évidemment, je m'étais davantage habitué au Concerta à la longue et il ne m'allumait pas autant que ces 2 comprimés de Vyvanse, molécule à laquelle je ne me suis jamais habitué étant donné la faible fréquence de consommation.

Ça me donnait probablement de l'énergie, oui, comme n'importe quel stimulant saurait le faire.

Il y a 7 heures, Vaginose Woolf a dit :

Normalement, non. En tout cas, mon ancien médecin de famille ne m'a pas avisé d'un quelconque danger à en prendre tous les jours même tout au long d'une vie, et je me souviens distinctement lui avoir posé la question.

J'ai un peu de mal à me fier aux paroles d'un médecin. Pour la simple raison que les discours varient énormément et que la littérature sur un tel sujet ne cesse d'évoluer. À cela faut-il ajouter que le médecin généraliste n'a, à moins de s'y être intéressé lui-même post-formation, pas une connaissance particulièrement approfondie des médicaments psychotropes ou des mille et une névroses qui existent. Par exemple : une petite recherche me fait savoir que mélanger alcool et Cymbalta est une mauvaise idée. Quand je me suis fait prescrire le médicament, j'ai posé la question à la médecin et elle n'a fait que balayer la tête un peu niaisement comme s'il n'existait pas la moindre interaction entre les deux substances.

Je ne suis ni psychiatre, ni neurologue, mais permets-moi de douter qu'il n'y a aucun danger à consommer quotidiennement quelque chose qui défonce autant que 54 mg de Vyvanse pendant plusieurs années.

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Trop brûlé mentalement pour répondre point par point ou même répondre tout court, ce qui ne risque pas de changer de sitôt vu le nouveau cap imposé à 70mg par mon psychiatre, et ce 20mg manquant fera toute la différence du monde comme j'en ai eu la preuve aujourd'hui.

Dexedrine + Vyvanse : limité à 70mg

Dexedrine : 40mg > 50mg

Vyvanse : 50mg > 20mg

Trazodone : 100mg > 200mg

Il ne me reste plus qu'une consultation au CHUM en avril, où ils se frottent aux cas plus complexes supposément. En février, je vois et jette le médecin de famille qui m'a été assigné.

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