Aller au contenu

Déchet(s) recommandé(s)

Nolan devrait concentrer ses énergies à faire des films issus de scénarios originales, au lieu de reprendre des vieilles franchises sales.

Regarder ce qu'il a fait avec Memento et The Prestige. J'ai bien hate de voir Inception également.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Allright, Nolan est un présomptueux surréaliste.

C'est un sujet épineux pour moi, Batman est mon petit péché mignon, et je suis une véritable puriste.

Pour moi, Nolan s'est carrément pris pour dieu.

D'abord avec Begins, une merde formidable que les gens ont fait semblant d'oublier, un Batman et sa peur fondamentale à la mords-moi-le-noeud. Jouer au réaliste sur un sujet comme Batman, c'est comme essayer d'analyser au scalpel Alice au pays des merveilles. Ca marche pas. La mise en scène de Christopher Nolan a toujours, et ce dans les deux Batmans, eu des déficiences qui faisaient contradiction avec son ambition de nous montrer un batman "réaliste". J'ai envie de dire merde. Heath ledger ça va oui, c'est bon. Oui il est doué, mais c'est pas un joker qui fait un film.

Alors évidemment, la folie des grandeurs, ça finit par bouffer (:

Que monsieur Nolan envisage carrément Superman, ou bien la ligue des justiciers si ça lui chante.

Ses films ne marqueront jamais l'histoire du cinéma. C'est la grenouille qui voulait se faire plus grosse que le boeuf, et qui finira par exploser.

Tellement pas d'accord.

C'est pas vraiment les "évènement" qui sont réalistes en tout point de vue, c'est plutôt les personnages qui le sont. Quand on compare avec le Batman de Tim Burton, celui de Nolan est mille fois plus intéressant en tant que personnage, les "vilains" aussi. Quand on regarde le premier film de Batman, quand Bruce Wayne est à l'écran c'est juste tellement pas intéressant. Sa seule caractéristique c'est d'être vertueux et d'être un héros. Le Joker de Nicholson a pas vraiment de profondeur quand on gratte un petit peu. Mais avec Batman Begin il a vraiment créé un personnage avec Bruce Wayne qui a des motivations et qui est loin d'être un héros pour être un héros. Le joker de Heath Ledger c'est la même chose, il est une antithèse logique du personnage de Batman qui vient aussi avec une certaine vision nihiliste du monde qui est exploré, sans parler de la dualité entre Bruce Wayne et Harvey Dent, où dans le fond chacun d'eux voit dans l'autre la réponse que les gens ont besoins.

Et bon, Nolan a pris beaucoup des grand concepts de ses deux films de Batman dans plusieurs comics book de Batman (The Killing Joke, the Long Halloween, The Dark Knight Return)

Il a fait deux films de super héros qui avaient un sens et un message et un thème symbolique pas mal plus profond que ce qu'on a jamais vu dans un film du genre.

  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

(modifié)

Aaaaaaaaaaaaaaaaaaah ça m'énerve de lire des trucs pareils.

Et comme j'ai eu un débat là dessus avec Matt j'ai pas trop envie d'y revenir. En fait, si:

Sache juste que: ce n'est pas parce qu'on te sert du charabia psychologique sur - la blague- l'antithèse Batman- Joker, que ce n'est pas parce qu'un réalisateur décide d'insérer des lames de textes du genre que ça en fait un film profond avec des personnages profonds.

Nolan te prémâche ce que la mise en scène est censée éclairer: Burton n'a pas besoin de philosophie pour donner de l'impact à ses personnages. Batman reste pour moi un être de silence, trop complexe pour être expliqué aux néophytes qui connaissaient pas. Batman a toujours été l'antithèse du Joker, et crois moi c'est assez clairement démontré dans le premier Burton.

Alors autant, pour avoir revu Dark knight y a 3 jours, techniquement et photographiquement Nolan déchire, le rythme de l'action est bien cadencé et les personnages fittent bien, autant il est très difficile de retrouver une essence prôpre à Gotham city: toute la ville est paralysée par une peur bête et aveugle, et Harvey Dent ou Batman, l'un autant que l'autre ne peut contenir la pression de la plèbe.

C'est là où je ne suis pas d'accord.

Batman est un film où la population joue un rôle énorme, et clivager cette population en politiciens ( Harvey dent, le maire, ect), en membres de la pègre (Joker & villains) et Batman, c'est surréaliste.

Autant te dire que dans un climat de peur tel que celui là, la pression médiatique est toujours la plus forte.

Les journalistes, les médias, et tout ce qui renvoie l'information à la plèbe de Gotham. Je trouve très peu plausible d'une assemblée de journalistes et de politiciens qui se tiennent là demandent à un superhéros de se rendre et de laisser Sir Harvey dent et la police s'occuper de monsieur le Joker.

Mais soit. Si c'est l'inspiration BD, okay. Si c'est juste pour dire que la peuple est con et qu'ils ont foi en Harvey dent, super cool. Mais c'est pas si réaliste que ça, quand on y pense.

Après je chipotte. Mais il faut pas crâcher sur les classiques, c'est ça l'erreur.

Regarde toi les deux premiers Batman, et tu verras à quel point le boulot de mise en scène, de décor, de photo est riche. Les personnages n'ont jamais besoin de s'expliquer pour être crédibles, que ce soit Michael Keaton, Jack Nicholson, Michelle Pfieffer, ou Danny de Vito. Pour moi la vraie puissance de Batman c'est cet inconscient des bafonds qu'on ne devrait jamais avoir à expliquer.

Modifié par 1984
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Vacpower, faudrai que tu lis Superman: Red Son, c'est une BD dans un monde qui existe de façon parallèle à celui de DC classique ou que Superman c'est crashé en Russie à la place des états-unis.

Bref il commence super-héros et devient leader mondiale.

Je l'ai lu hier soir et je dois dire que, bordel, c'est un bijou ce truc. J'avais entendu parler de cette BD, mais je ne connaissais pas le titre.

Définitivement une histoire très travaillée et complexe. Faut admettre que venant de Mark Miller, ça ne me surprend pas.

Merci!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Aaaaaaaaaaaaaaaaaaah ça m'énerve de lire des trucs pareils.

Et comme j'ai eu un débat là dessus avec Matt j'ai pas trop envie d'y revenir.

Sache juste que: ce n'est pas parce qu'on te sert du charabia psychologique sur - la blague- l'antithèse Batman- Joker, que ce n'est pas parce qu'un réalisateur décide d'insérer des lames de textes du genre que ça en fait un film profond avec des personnages profonds.

Nolan te prémâche ce que la mise en scène est censée éclairer: Burton n'a pas besoin de philosophie pour donner de l'impact à ses personnages. Batman reste pour moi un être de silence, trop complexe pour être expliqué aux néophytes qui connaissaient pas. Batman a toujours été l'antithèse du Joker, et crois moi c'est assez clairement démontré dans le premier Burton.

Alors autant, pour avoir revu Dark knight y a 3 jours, techniquement et photographiquement Nolan déchire, le rythme de l'action est bien cadencé et les personnages fittent bien, autant il est très difficile de retrouver une essence prôpre à Gotham city: toute la ville est paralysée par une peur bête et aveugle, et Harvey Dent ou Batman, l'un autant que l'autre ne peut contenir la pression de la plèbe.

C'est là où je ne suis pas d'accord.

Batman est un film où la population joue un rôle énorme, et clivager cette population en politiciens ( Harvey dent, le maire, ect), en membres de la pègre (Joker & villains) et Batman, c'est surréaliste.

Autant te dire que dans un climat de peur tel que celui là, la pression médiatique est toujours la plus forte.

Les journalistes, les médias, et tout ce qui renvoie l'information à la plèbe de Gotham. Je trouve très peu plausible d'une assemblée de journalistes et de politiciens qui se tiennent là demandent à un superhéros de se rendre et de laisser Sir Harvey dent et la police s'occuper de monsieur le Joker.

Mais soit. Si c'est l'inspiration BD, okay. Si c'est juste pour dire que la peuple est con et qu'ils ont foi en Harvey dent, super cool. Mais c'est pas si réaliste que ça, quand on y pense.

Après je chipotte. Mais il faut pas crâcher sur les classiques, c'est ça l'erreur.

Regarde toi les deux premiers Batman, et tu verras à quel point le boulot de mise en scène, de décor, de photo est riche. Les personnages n'ont jamais besoin de s'expliquer pour être crédibles, que ce soit Michael Keaton, Jack Nicholson, Michelle Pfieffer, ou Danny de Vito. Pour moi la vraie puissance de Batman c'est cet inconscient des bafonds qu'on ne devrait jamais avoir à expliquer.

Fait toi en pas, j'ai revu les deux premiers Batman de Burton il y a quelques années. J'ai tellement été déçu étant donné que dans ma mémoire d'enfant c'était deux super bons films, mais plus vieux j'ai réalisé à quel point c'était n'importe quoi.

Tim Burton l'a déjà dit lui-même, il n'aime pas les Comic Book et n'en a presque jamais lu un. Pour Batman il a juste appliqué son filtre esthétique habituel (celui qui est toujours le même et qu'il reprend depuis des années) au superhéros qu'il connaissait vaguement. Quand Bruce Wayne est à l'écran il est endormant tellement il est plate et sans profondeur. C'est pas parce qu'il ne parle pas qu'il devient complexe. Mystérieux ok, mais pas complexe.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Même moi qui n'aime pas vraiment Superman, j'ai beaucoup aimer.

Pour 1984, je suis un peu d'accord avec toi et un peu en désacord. Je suis d'accord que Batman deverai toujours avoir l'air audessus de la masse et n'être jamais expliqué, c'est la nature même du personage. C'est une force de la nature, c'est un homme qui malgré ses barrières qui ses imposé (Ne pas tuer) il réussit à crée une sentiment de sécurité et de se faire craindre par les villains de ruels. On à pas besoin de ce faire souligner que Batman est aussi fou et obsèdé que sa "rogue gallery".

Mais en même temps je crois que sa crée un des films de super héros des plus accessible au non-initié.

On apprend à bien connaitre Batman et ce qui le rend Batman.

Le Joker est quand même très différent de celui de la BD, et j'aime beaucoup plus celui de la BD.

L'anarchie n'as jamais été le but du Joker. C'est tout simplement un fou qui ses fait, par accident, fait défiguré par batman, et qui à perdu la tête. Dans sa folie il est devenue obsèdé par un homme qui se prend pour une chauve-sourris.

Il trouve sa drole et décide que sa meilleure blague devera être la mort de Batman.

Il veux pas crée le chaos ou détuire la population d'une ville, sa c'est juste des outils pour travailer Batman.

Mais bon je prenderai les films de Nolan avant ceux de Burton. Un peu trop surréel justement, trop de couleur et de décors sur stylisé.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Un peu trop surréel justement, trop de couleur et de décors sur stylisé.

J'imagine déjà ta réaction face aux films de Schumacher. Coma direct.

Le truc, c'est qu'il faut prendre la série de Burton et celle de Nolan dans leur contextes respectifs.

Burton voulait créer un univers plus dynamique et très bédéesque. Un film beaucoup moins ancré dans la réalité que Batman Begins et The Dark Knight. C'était surréaliste, mais c'était génial pour son temps parce que le spectateur voulait s'évader le temps d'un film.

Aujourd'hui, la tendance est à l'exploration des origines. C'est rare de voir un film de superhéros qui n'explique pas le background du personnage principal de nos jours. Tout doit être détaillé.

La grosse différence entre hier et aujourd'hui, c'est qu'avant, le cinéma servait à nous permettre de s'éloigner de notre réalité, d'imaginer un monde dans lequel on ne pourrait jamais vivre. Alors que maintenant, on cherche à se rattacher aux films qui reflètent le plus notre réalité. On veut comprendre tout et pour y arriver, il faut justement faire comme Nolan a fait: mettre de côté le mystère et expliquer en détail.

Ce n'est que passager, je crois. Dans 20 ans, notre perception aura encore changé.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Schumacher? Hein y'a fait des films de batman lui? M'en rappelle pas.

Et j'ai jamais dit que c'était des mauvais films, la seule chose qui m'as VRAIMENT agressé dans le Batman de Burton c'est Nicholson. Vraiment un mauvais casting, c'était pas le joker que je voyait c'était Nicholson avec du maquillage, même acting de fou braque qui traine en gimick depuis sa carière (à des exception, comme Chucko's Nest et Chinatown)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Oh, j'aurais dû préciser qu'uniquement la première phrase était une réponse directe à ton message. Le reste de mon message était surtout pour taire l'ensemble du débat à savoir qui entre Nolan et Burton a réalisé le meilleur Batman. Si je devais choisir, je dirais que Nolan a mieux capté l'aspect greedy de l'univers de Batman.

Bref, j'ai toujours dit que Batman(89) est à la série télé(avec Adam West) ce que Batman Begins(et The Dark Knight) est aux films de Schumacher.

Je suis bien d'accord avec ton point concernant Nicholson, sauf que lorsqu'on est jeune, on ne remarque pas l'acteur, mais juste le personnage et, évidemment, notre sens critique est freiné par le manque de culture cinématographique. En d'autres mots, ça dépend de l'âge auquel on a vu le film.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Les deux visions de batman (Burton et Nolan) sont excellentes en leurs propres termes. Je crois que les deux films accomplissent bien ce qu'ils tentaient d'accomplir. C'est évident qu'ils ont des prémisses différentes.

Burton donne une vision très gothique et un peu surréaliste à l'univers qu'il bâtit. Ici, Batman est un éspèce d'icône du bien: son développement psychologique est certes limité mais pour moi on s'en fou: ce n'est pas l'essence du film. L'univers fantastique qui est développé ne mise pas sur "comment" les personnages sont devenus ce qu'ils sont, mais plutôt sur ce qu'ils sont, point. Les personnages fittent donc parfaitement avec cet étrange univers créé par Burton, et sans lequel ceux-ci perdraient toute cohérence. On ne pourrait prendre un personnage tel qu'imaginé par Burton et le foutre dans le film de Nolan car il est indissociable du contexte dans lequel il a été imaginé.

Nolan est bien différent: pour lui, tout réside dans le "pourquoi ce personnage est devenu ainsi". Ce qui nous donne de très longues introductions (Batman Begins) pour nous amené à le comprendre. Je crois qu'il est plus facile dans cette vision de dissocier les personnages des environnements dans lesquels ils évoluent. C'est évident que les personnages forment ainsi des entités beaucoup plus puissantes et nuancés que dans la vision idyllique de Burton.

Personnellement, bien que j'aime beaucoup la vision de Nolan, je trouve que celle de Burton a un petit quelque chose qui rend le tout heuu... chaleureux ? On dirait qu'avec Nolan, c'est parfois un peu trop over the top, et avec une tension dramatique souvent exagéré. Burton nous donnait une certaine touche d'humour, un certain côté "ok on sait que c'est juste un film de super-héros et que c'est irréaliste, on veut juste se faire du fun".

C'est vrai: avez vous déjà ris en regardant un film réalisé par Nolan ?

Mais tout ça n'enlève rien au fait que le Joker qu'il a imaginé est un des personnages les plus puissants jamais créé par Hollywood.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Personnellement, bien que j'aime beaucoup la vision de Nolan, je trouve que celle de Burton a un petit quelque chose qui rend le tout heuu... chaleureux ? On dirait qu'avec Nolan, c'est parfois un peu trop over the top, et avec une tension dramatique souvent exagéré. Burton nous donnait une certaine touche d'humour, un certain côté "ok on sait que c'est juste un film de super-héros et que c'est irréaliste, on veut juste se faire du fun".

C'est vrai: avez vous déjà ris en regardant un film réalisé par Nolan ?

C'est la grande faiblesse de Chris, il ne sait pas comment faire dans l'humour. Il se laisse plutôt aller à des one liners qui ne font que venir chercher en nous de simples petits sourires. Il doit définitivement travailler ce côté là.

Mais tout ça n'enlève rien au fait que le Joker qu'il a imaginé est un des personnages les plus puissants jamais créé par Hollywood.

Oui, et mention honorable à Heath Ledger qui , je vous le rappel, s'est énormément impliqué dans la conception de ce personnage complexé et sociopathe. Il s'est quand même enfermé dans une chambre d'hôtel pendant 6 semaines pour peaufiner le Joker. That's insane.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

*pleure*

Vlad_drac:

Merci, merci...

Tu as résumé ma pensée.

Les personnages fittent donc parfaitement avec cet étrange univers créépar Burton, et sans lequel ceux-ci perdraient toute cohérence. On nepourrait prendre un personnage tel qu'imaginé par Burton et le foutredans le film de Nolan car il est indissociable du contexte dans lequelil a été imaginé.

Nolan est bien différent: pour lui, tout réside dans le "pourquoi cepersonnage est devenu ainsi". Ce qui nous donne de très longuesintroductions (Batman Begins) pour nous amené à le comprendre. Je croisqu'il est plus facile dans cette vision de dissocier les personnagesdes environnements dans lesquels ils évoluent.

Je reproche souvent à des tas de films de proposer un contexte peu cohérent autour des personnages, alors qu'on s'attarde sur l'aspect psychologique que je trouve un tantinet égotiste.

Ca reste un très bon film, mais pas un bon Batman (:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

(modifié)

C'est ironique que ça vous dérange de connaître l'origine de Batman et que vous préférer celui de Burton, alors que celui de Burton c'est "comment le Joker est devenu le Joker". Batman (1989) c'était rien de plus qu'un revenge flick avec un homme qui se déguise en chauve souris for god knows why.

Le problème du Batman à Burton, c'est justement qu'il a l'air mystérieux.

Modifié par Aximem
  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

1984, J'aimerai vraiment savoir avec quel média/output que ton image de ce qu'est batman c'est formé...

Sans offence, je suis juste curieux, on à deux points de vues assez différent.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

(modifié)

Batman: The Animated Series ça été fait en 1992, soit après le Batman de Burton, et la série était inspiré de certain truc du film, dont la Batmobile. Prend le pas mal, mais ont peut difficilement te considérer comme une puriste.

Ceci étant dit, c'était une très bonne émission.

Modifié par Aximem
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

*pleure*

Vlad_drac:

Merci, merci...

Tu as résumé ma pensée.

Je reproche souvent à des tas de films de proposer un contexte peu cohérent autour des personnages, alors qu'on s'attarde sur l'aspect psychologique que je trouve un tantinet égotiste.

Ca reste un très bon film, mais pas un bon Batman (:

Au contraire, j'ai de la difficulté à appeller les films de Burton des films de Batman, parce que justement, Batman est toujours l'élément le moins exploré des deux films. C'est des films de vilains. On voit la génèse des vilains, et Batman lui est jamais vraiment un point important de l'histoire.

Nolan a renversé ça, ses deux films tournent autour du personnage de Bruce Wayne et de Batman, tout ce qui arrive comme évènements finit toujours par se rapporter à Bruce Wayne et à le transformer dans ses convictions. C'est vraiment ça un film de Batman, soit un film où l'élément central est Batman.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Oh, j'aurais dû préciser qu'uniquement la première phrase était une réponse directe à ton message. Le reste de mon message était surtout pour taire l'ensemble du débat à savoir qui entre Nolan et Burton a réalisé le meilleur Batman. Si je devais choisir, je dirais que Nolan a mieux capté l'aspect greedy de l'univers de Batman.

Bref, j'ai toujours dit que Batman(89) est à la série télé(avec Adam West) ce que Batman Begins(et The Dark Knight) est aux films de Schumacher.

Je suis bien d'accord avec ton point concernant Nicholson, sauf que lorsqu'on est jeune, on ne remarque pas l'acteur, mais juste le personnage et, évidemment, notre sens critique est freiné par le manque de culture cinématographique. En d'autres mots, ça dépend de l'âge auquel on a vu le film.

Je vois pas trop le lien entre Batman Begins, The Dark Knight et les 2 films de Shumacher. Les deux Batman de Schumacher sont comme un mélange entre les 2 films de Burton et le look cheap de la série avec Adam West. Shumacher a déjà dit qu'il aimait justement les Batman avec Adam West et a voulu faire ses deux films comme un hommage à ce genre de superhéros là, qui se bat contre des "goons" stylisé selon le vilain. Juste avec Mr.Freeze t'a carrément des méchants en patins et avec des bâton de hockey qui viennent se battre et ils finissent par se passer les "diamant" comme si c'était des rondelles de hockey. Tout ce qu'il manque c'est les "PAOW!!!" "PIF!" "ZWIGGLE!" de la série télé.

Mais bon, ces deux films là c'est comme la Matrice 2 et 3, ils comptent juste pas.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je vois pas trop le lien entre Batman Begins, The Dark Knight et les 2 films de Shumacher. Les deux Batman de Schumacher sont comme un mélange entre les 2 films de Burton et le look cheap de la série avec Adam West. Shumacher a déjà dit qu'il aimait justement les Batman avec Adam West et a voulu faire ses deux films comme un hommage à ce genre de superhéros là, qui se bat contre des "goons" stylisé selon le vilain. Juste avec Mr.Freeze t'a carrément des méchants en patins et avec des bâton de hockey qui viennent se battre et ils finissent par se passer les "diamant" comme si c'était des rondelles de hockey. Tout ce qu'il manque c'est les "PAOW!!!" "PIF!" "ZWIGGLE!" de la série télé.

Mais bon, ces deux films là c'est comme la Matrice 2 et 3, ils comptent juste pas.

Je disais surtout ça dans le sens où Nolan a voulu sauver la réputation de Batman en le rendant plus sombre après les ridicules Batman de Schumacher de la même manière que Burton, dans le temps, a voulu rendre Batman un peu moins ridicule que celui de la série télévisée avec Adam West.

Je ne savais pas que Schumacher cherchait à rendre hommage à cette vieille série. Ça explique bien des choses.

Bref, on parle trop de Schumacher, ça me donne la nausée.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je vous lâche une petite news au passage.

Christopher Nolan takes flight with Superman: 'We have a fantastic story'

EXCLUSIVE

This is a longer version of my story that will run today on the cover of the Los Angeles Times Calendar section...

The topic at the Batcave on Monday night was the future of that other superhero — you, know, the one from Metropolis. “It’s very exciting, we have a fantastic story,” Christopher Nolan said while sipping tea in the sleek editing suite that fills the converted garage adjacent to his Hollywood home. “And we feel we can do it right. We know the milieu, if you will, we know the genre and how to get it done right.”

Nolan was standing next to his wife, producer Emma Thomas, his partner in all of his films — including “Batman Begins” and “The Dark Knight,” the grim franchise that pulled in more than $1.3 billion at theaters worldwide — and he was explaining their plan to take on a challenge that has frustrated Hollywood for two decades: Getting another Superman film franchise off the ground.

Nolan, speaking about the Superman project for the first time, is pleased with the excitement stirred but, like the magicians in his 2006 film “The Prestige,” sees no value in revealing all of his tricks before the curtain goes up. Still, he wanted to answer some of the early questions about his plans for Superman — as well as his third visit to Gotham City.

There was a spasm of fan excitement when word leaked last month that Nolan, who is now viewed as the Hitchcock of superhero cinema after his two Batman films, would be the “godfather” for a reboot of the Man of Steel, acting as producer and mentor to an as-yet-unnamed-director who will be making a movie based on a story by Nolan and frequent collaborator David S. Goyer.

The Internet flurry that included reports that, according to Thomas, might be better described as fan fiction. The dispatches revealing that the film will be called “Man of Steel” ? and feature Lex Luthor and Brainiac? Or the one about it being a period piece with something like a low-fi version of the hero?

“I don’t know where this stuff comes from,” Thomas said with a chuckle, although, as with any good poker player, it’s hard to say where the bluff starts and ends.

This much is certain: The couple are completely focused on the movie-of-the-moment, which is “Inception,” which opens July 19 and stars Leonardo DiCaprio as a dream thief of sorts in what may be Hollywood’s first metaphysical heist film. The movie is the most complicated undertaking of Nolan’s career — it was shot in six countries and tells a tale that flips between reality and three levels of dream-time — and, well, all things considered, he’d rather Superman stay in his Fortress of Solitude and off the front page for a while longer since that project is a matter for 2012 or 2013 at best.

But, of course, Superman, first superhero of them all, is an American pop culture icon on par with Mickey Mouse and Elvis. But after the close of the Christopher Reeve era with “Superman IV: The Quest for Peace” in 1987, the property became one of the most frustrating in Hollywood. A dozen different reboots were started through the years with names attached such as Nicolas Cage, Kevin Smith, J.J. Abrams, McG and Brett Ratner and plans were trotted out to kill Superman, strip him of his powers or pit him in battle against Batman.

Finally, director Bryan Singer, who had earned credibility with comic book fans with his two “X-Men” films for Fox, delivered with “Superman Returns” in 2006 starring Brandon Routh. But the finished product was viewed as oddly lifeless by many critics. The $200-million film finished its theatrical run with a respectable $391 million worldwide but it wasn’t heroic enough to earn a sequel.

Nolan said that he admired Singer’s film, especially the way it connected in to director Richard Donner’s version of Superman and the first two movies starring Reeve. Nolan added, though, that this new movie will stand on its own.

“A lot of people have approached Superman in a lot of different ways. I only know the way that has worked for us that’s what I know how to do,” Nolan said, emphasizing the idea that Batman exists in a world where he is the only superhero and a similar approach to the Man of Steel would assure the integrity needed for the film. “Each serves to the internal logic of the story. They have nothing to do with each other.”

Still, it was a frustrating moment in the Batman franchise that led to this new Superman revival. Nolan and Goyer, a key collaborator on both Batman films, were at a story impasse on the third Batman film (which is now picking up steam as well) when, as a distraction, Goyer gave the filmmaker a daydream version of how he would tackle a story about the last son of Krypton.

“He basically told me, ‘I have this thought about how you would approach Superman,’” Nolan recalled. “I immediately got it, loved it and thought: That is a way of approaching the story I’ve never seen before that makes it incredibly exciting. I wanted to get Emma and I involved in shepherding the project right away and getting it to the studio and getting it going in an exciting way.”

Goyer is now writing the screenplay and Nolan is keeping it close to the vest.

It’s interesting where inspirations originate. Nolan put together an especially deep cast for his Batman films — the first one, for instance, featured Morgan Freeman, Liam Neeson, Gary Oldman and Tom Wilkinson in supporting roles. That, he said, was an idea imported from Metropolis.

“I went to the studio with the analogy of ‘I want to cast the way they did in 1978 with “Superman,”’ where they had Brando and Glenn Ford and Ned Beatty and all these fantastic actors in even small parts, which was an exotic idea for a superhero movie at the time. It really paid off, too., As a kid watching ‘Superman’ it seemed enormous and I realized later by looking at it that a lot of that was actually the casting, just having these incredibly talented people and these characterizations. And Marlon Brando is the first guy up playing Superman’s dad. It’s incredible.”

Superman, created by Jerry Siegel and Joe Shuster, was an instant success when he arrived on the publishing scene in June 1938 and he more or less created the American comic book and its signature concept, the superhero. Superman made the leap to radio in 1940 and then to the silver screen in 1948 when Kirk Alyn became the first of many actors to wear the cape. George Reeves was the face of Superman on television for 104 episodes in the 1950s while Reeve and his work in the 1970s and 1980s may be the definitive version of the hero for most fans. But the youngest fans have a view of the hero shaped more by the award-winning animated series in recent years and “Smallville,” the CW series that just got re-upped for a tenth season, making star Tom Welling the Clark Kent with the longest tenure.

Nolan, for the record, also won’t confirm that he is actually directing the third Batman film but, well, or course he is, but “Inception” isn’t in the can yet and it’s against his code. He can’t be easily tricked, either. Asked if Superman as a franchise has to overcome a deficiency of truly great villains, unlike, say, Spider-Man and Batman, he won’t bite. “That’s a very sly way of asking a question I’m not going to answer.”

Nolan says he has no idea who will direct the Superman film (there has been conjecture that it may be his brother and frequent collaborator, Jonathan Nolan) but his role appears to be comparable Peter Jackson with “District 9,” which was directed by newcomer Neill Blomkamp but benefited greatly from imprimatur of the “The Lord of the Rings” auteur. Jackson is also stepping into a similar role in Middle-earth as Guillermo del Toro takes over as director for “The Hobbit” films.

Nolan established himself as a bold and cerebral filmmaker in 2000 with “Memento,” has made a specialty of rooting stories of the fantastic in a gritty reality with psychological undertones and emphasis on using practical effects and stunt work as opposed to the magical painting brushes of CG era. All of that made him an ideal filmmaker for fight-time in the brutal gutters of Gotham but it doesn’t make the filmmaker the first obvious choice for flight-time amid the gleaming citadels of Metropolis. Warner Bros executives seem confident that he is -- and they need him to be the right man with the "Harry Potter" franchise -- and perhaps Batman -- nearing an expiration date.

Sitting in his edit bay, which is decorated with posters of Ledger as the Joker and has a skylight that rolls shut with mechanical screeching that adds to the Batcave ambiance, Nolan said he knows about storytelling and it’s difficult to dissect his work beyond that.

“We’re approaching it in a not dissimilar way in terms of trying to find an incredible story in a way that audiences can engage with it the way they engage with contemporary action films,” Nolan continued. “I think David’s approach is a very good way of doing just that.”

And that third Batman film? Jonathan Nolan is “now doing the hard work” of writing the script based on the story by his sibling Goyer. “My brother is writing a script for me and we’ll wait to see how it turns out...he’s struggling to put it together into the epic story that you want it to be.”

“Batman Begins” was the origin and back story of the hero, while “The Dark Knight” found the hero reeling as his Manichean, good vs. evil world view was upended by a new villain, the Joker, who was a wild-card agent of chaos going up against order, be it a police department or the mob. The second film ends, literally, with Batman on the run, a fugitive.

So what happens next?

“Without getting into specifics, the key thing that makes the third film a great possibility for us is that we want to finish our story,” he said. “And in viewing it as the finishing of a story rather than infinitely blowing up the balloon and expanding the story.”

Nolan said the key characters from the two first films and the actors who play them will be back. “We have a great ensemble, that’s one of the attractions of doing another film, since we’ve been having a great time for years.”

Perhaps. But the great challenge is to find a villain (or villains) who that can not only match up with the Caped Crusader but also with Heath Ledger’s Academy Award-winning portrayal of the scabby, demented Joker. Fans have churned up the rumor mill for months now (Johnny Depp as the Riddler? Angelina Jolie as Catwoman? Philip Seymour Hoffman as the Penguin? Ben Kingsley as Hugo Strange?). But Nolan, no fan of letting cats out of the bag, declined to play along.

His villain choices to date have steered clear of strongly supernatural or super-science characters (no Man-Bat, Mr. Freeze or Poison Ivy, for instance) but he shook his head when asked if that was trajectory he would continue. He did however concede one tidbit: “It won’t be," he said, "Mr. Freeze.”

Batman has been throwing punches in the pages of DC Comics since 1939 and as the decades passed, much of the core of the character stayed the same even as Bruce Wayne’s sideburns or the profile of the Batmobile changed. Not so with film.

“I’m very excited about the end of the film, the conclusion, and what we’ve done with the characters,” Nolan said.“My brother has come up with some pretty exciting stuff. Unlike the comics, these thing don’t go on forever in film and viewing it as a story with an end is useful. Viewing it as an ending, that sets you very much on the right track about the appropriate conclusion and the essence of what tale we’re telling. And it hearkens back to that priority of trying to find the reality in these fantastic stories. That’s what we do.”

-- Geoff Boucher

Source

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Veuillez vous connecter pour commenter

Vous pourrez laisser un commentaire après vous êtes connecté.



Je veux revenir!
 Partager

×
×
  • Créer...