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Prototype du partenaire idéal


LE TOTAL DOIT FAIRE 100% (Sane+Beatiful+Smart = 100%)  

73 membres ont voté

  1. 1. Quel importance accordez-vous au critère *Sane* chez votre prototype ?

  2. 2. Quel importance accordez-vous au critère *Beautiful* chez votre prototype ?

  3. 3. Quel importance accordez-vous au critère *smart* chez votre prototype ?



Déchet(s) recommandé(s)

L'intelligence c'est assez flou contrairement aux autres critères je dois dire.

Sérieusement, une personne peut être "brillante" et "stupide" à la fois. Tout dépend de quoi on parle exactement et de notre définition de l'intelligence. Le problème d'après moi c'est qu'il y a justement plusieurs sortes d'intelligence et qu'on ne peut pas véritablement la définir ou l'arrêter sur un seul concept bien précis.

-Un génie inventeur/designer a seulement besoin d'avoir une grande imagination et d'être créatif. Il n'a pas besoin de savoir lire, compter ou écrire.

-Un grand compositeur/musicien n'a pas besoin d'avoir un QI de 180 pour être considéré un génie dans son domaine. Il a simplement le talent et la passion. Même chose pour les grand maitres de la peinture.

-Un génie programmeur a un sens de la logique incroyable. Mais il n'a pas besoin d'être bon en mathématique ou en français.

-Un grand philosophe peut avoir un QI en bas de la moyenne mais tout de même être considéré comme étant un intellectuel.

-Un professeur de français peut avoir une très grande culture mais n'avoir aucun savoir faire ni aucune connaissance technique/mathématique.

Déjà on constate qu'il y a plusieurs problèmes relié au concept d'intelligence et à sa mesure. Comment peut-on dire avec justesse que telle personne est intelligente et telle personne ne l'est pas? Je pense que nous sommes tous pourvu d'une certaine intelligence et d'un potentiel, mais que nous l'entretenons et l'alimentons différemment. Je dirais surtout qu'on réparti "nos points d'INT" sur différents domaines que l'on choisi par intérêt plus qu'autre chose.

La définition la plus grossière de l'intelligence est "la faculté de comprendre, de faire des liens et de s'adapter.". Hors un humain peut comprendre, faire des liens et s'adapter dans un domaine X (sport, social, mathématique, français) mais ne pas comprendre, faire des liens et s'adapter dans un domaine Y (philosophie, histoire, musique, arts, politique). Alors comment déterminer si le philosophe est plus intelligent que l'historien, le compositeur ou le professeur de français? Ils sont tous aussi "intelligent" dans leur domaine de prédilection sans pour autant avoir le même niveau de QI ou le même bagage de connaissances/culture. Dans ce sens, je me rapproche d'avantage de la théorie des intelligences multiples de Gardner:

1. L'intelligence logico-mathématique, qui détermine la vitesse à laquelle on peut résoudre un problème numérique ou logique. Surexploitée par les mathématiciens, joueurs d'échecs, informaticiens...

2. L'intelligence linguistique (ou verbale), fréquente chez les politiciens, écrivains, poètes grâce à laquelle on peut construire des phrases, avoir le sens de la rime, convaincre et persuader les autres...

3. L'intelligence intrapersonnelle, qui désigne la capacité qu'on a à avoir un regard critique sur soi-même, juger de ses limites, comprendre ses réactions...

4. L'intelligence interpersonnelle, grâce à laquelle on peut deviner les réactions de son entourage, évaluer les interactions, communiquer... fréquente chez les politiciens.

5. L'intelligence visuo-spatiale, qui permet de manipuler des objets tri-dimensionnels dans sa tête. Elle est exploitée notamment par les architectes, géographes, artistes...

6. L'intelligence naturaliste, qui permet de classer les objets, et de les différencier en catégories. Très sollicitée chez les zoologistes, botanistes, archéologues...

7. L'intelligence musicale, qui juge la hauteur, la tonalité des sons, le rythme et la mélodie d'une musique. Exploitée surtout par les musiciens, compositeurs...

8. L'intelligence kinesthésique, qui est responsable de tout ce qui a trait aux travaux gestuels... développée chez les sportifs, mimes, mais aussi ceux qui pratiquent un travail de minutie (chirurgiens, ...)

9. Éventuellement l’intelligence existentialiste ou spirituelle et qui se définit par l’aptitude à se questionner sur le sens Page d'aide sur l'homonymie et l’origine des choses.

Une autre définition de l'intelligence multiple a été définie en cinq points l'intelligence logique, sociale, musicale, manuelle et culturelle. D'autres auteurs utilisent aussi la notion d'intelligence émotionnelle.

Le point qui distingue les deux définitions d'intelligence ci-dessus est celui de l'intelligence culturelle. L'intelligence culturelle est la fonction qui permet de faire appel à sa culture pour résoudre un problème en transposant l'acquis.

J'aurais tendance à dire que l'intelligence est en fait complétement opposée, un don naturelle si on veut. Quelqu'un d'intelligent apprend facilement de nouvelles compétences dans des domaines où il n'a pas nécessairement d'expériences, par exemple.

Les enfants apprennent très rapidement, c'est connu. En quelques années, ils peuvent apprendre à lire, écrire, parler 2 langues, compter, jouer un instrument de musique, dessiner etc. Suivant ton raisonnement, les enfants sont tous extrêmement intelligents. Ce qui n'est clairement pas le cas. Ils ont simplement une facilité à apprendre, ce qui est du à plusieurs facteurs (cerveau encore en développement, plus de temps libre, a le gout d'apprendre, apprend en jouant etc.). A l'opposé, un immigrant adulte va avoir énormément de difficulté à apprendre le français et s'adapter à la culture québécoise, peu importe son niveau d'intelligence. Par ailleurs, quelqu'un de passioné va naturellement avoir plus de facilité à apprendre les compétences dans les domaines qui le passione sans pour autant être vraiment "intelligent" (avoir un grand QI, réussir à l'école etc.).

Je trouve également étrange que tu considères l'intelligence comme une sorte de "don". Comme si c'était une variable fixe transmise par les gènes qui ne peut possiblement pas être augmenté ou diminué par la volonté. On sait pourtant que le QI diminu avec la malnutrition, le stress, l'exposition aux substances chimiques et le manque de sommeil, entre autres. Et qu'une personne peut entrainer ses réflexes et sa logique ainsi qu'élargir ses connaissances, sa culture et ses habiletés. On ne vient pas au monde intelligent ou stupide, on le devient avec le temps. Mais on l'entretiens surtout. Une personne intelligente à 22 ans ne sera pas nécéssairement intelligente à 56 ans. Ca va toujours dépendre de sa volonté.

Personne 1 = Comprend comment faire une bonne recette. (ne sait peut-être pas cuisiner)

Personne 2 = Sait comment bien cuisiner. (ne comprend peut-être pas les autres recettes)

Intelligence = Connaissance vs savoir-faire

The problem is that the term intelligence has never been defined adequately and therefore nobody knows what an IQ test is supposed to measure. In spite of this the futures of thousands of children are determined by the results of this test.
According to most definitions — although they are not conclusive — intelligence is made up of the skills of logical reasoning, problem solving, critical thinking, and adaptation. This scenario seems reasonable, until one examines the content of IQ tests. The definition of intelligence, as is operationalized in all IQ tests, includes virtually no skills that can be identified in terms of the definitions of intelligence.
génie (n.m.)

1.aptitude intellectuelle qui élève un homme au-dessus de la moyenne.

2.ce qui différencie une chose, la rend hors du commun.

3.don, disposition, talent appliqués à une activité.

4.(mythologie)personnage mythique censé peser sur la destinée humaine.

L'aptitude est la capacité d'un individu à réaliser une action ou mission donnée ; quand cette aptitude est remarquable, on parle de talent, voire de don.
Competence is the ability to perform a specific task, action or function successfully. Incompetence is its opposite.
"L'intelligence, est l'art, face à un problème neuf, de trouver une solution appropriée. La notion d'intelligence est multiple comme est multiple la notion de sportivité." -Paul Bienbon dans "Référentiel pour un cours de sciences humaines (éd. août 2009 Bruxelles)"
« L'intelligence est l'anticipation utile. Elle se mesure a posteriori par la satisfaction des besoins de l'entité qui l'emploie.»
L'intelligence est la faculté d'adapter des moyens à des fins. C'est la faculté de comprendre, de saisir des rapports et d'organiser. Cette définition confirme la théorie des intelligences multiples de Gardner. Ainsi, un footballeur mobilise son corps pour marquer le but ou permettre à son équipe de marquer; un musicien agence les notes et rythmes; un politicien développe une stratégie, de même un militaire; un médecin cherche à comprendre les causes d'une maladie, etc.

Cette définition a l'avantage d'être généralisable à l'homme sans disserter le fonctionnement du cerveau qui reste un grand mystère. L'intelligence est ici considérée comme un moyen de résoudre une équation de satisfaction sans présumer des outils nécessaires : mémoire innée, mémoire acquise, transposition, conscience de soi et des autres voire une certaine part de hasard ...

En corollaire de cette définition :

* L'intelligence est contextuelle car dépendante de la combinaison {entité, environnement, besoin}.

* La mesure de l'intelligence est un instantané sur la ligne du temps par définition. En outre le pouvoir d'anticipation d'une intelligence est limité. Elle est donc variable au cours du temps.

* Il n'existe pas de méthode absolue pour la mesurer car elle répond au besoin spécifique de son/sa propriétaire vis-à-vis d'une situation qui l'est tout autant.

* L'existence d'une intelligence d'origine non biologique n'est pas exclue dans le cadre de cette définition.

Types d'intelligences

Au moins cinq composantes de l'intelligence, regroupées sous le terme de facultés cognitives sont nécessaires à l'homme pour mémoriser (apprendre), analyser (comprendre) et communiquer (partager), ... les informations externes :

* L’attention ou distinction est une faculté de faire attention et distinguer des choses ou actes existants dans l’environnement.

* La concentration est une faculté permettant d’évaluer les distances, de se représenter volumes et mouvements par représentation mentale.

* La conscience ou compréhension est une faculté de comprendre les problèmes et les actes généralement.

* Le raisonnement ou pensée est la faculté de planifier. Elle est aussi appelée créativité.

* L’ humour est une preuve que l'on s'adapte facilement socialement.

Les diverses catégories d'intelligence pour Howard Gardner

L’intelligence logico-mathématique

Les personnes qui ont une intelligence logico-mathématique développée possèdent la capacité de calculer, de mesurer, de faire preuve de logique et de résoudre des problèmes mathématiques et scientifiques. Ils analysent les causes et les conséquences d'un phénomène ou d'une action et sont capables d'expliquer le pourquoi des choses. Ils ont aussi tendance à catégoriser et à ordonner les objets. Ils aiment les chiffres, l'analyse et le raisonnement.

Il existe une dimension non verbale et abstraite dans cette intelligence car des solutions peuvent être anticipées avant d'être démontrées.

Plusieurs moyens existent pour tester et développer ce type d'intelligence, généralement qualifiée de quotient intellectuel:

mots croisés, casse-tête, puzzles, jeux de stratégie (exemple : Monopoly, échecs), jeux de cartes demandant une logique précise, jeux de déduction (exemple : Cluedo), etc.

L’intelligence spatiale

L’intelligence spatiale permet à la personne d’utiliser des capacités intellectuelles spécifiques pour avoir mentalement une représentation spatiale du monde. Les Amérindiens voyagent en forêt à l’aide de leur représentation mentale du terrain. Ils visualisent des points de repère : cours d’eau, lacs, types de végétation, montagnes… et s’en servent pour progresser ; des navigateurs autochtones font de même et naviguent sans instrument dans certaines îles du Pacifique.

Toute activité qui demande de résoudre des problèmes et de créer dans le domaine visuo-spatial exige l’utilisation de ce type de capacités intellectuelles. Les géographes, les peintres, les dessinateurs de mode, les architectes, les dessinateurs industriels, les pilotes d'avions, pilotes d'engins mécaniques(Moto, F1, railly, karting), les photographes, les caméramans, les adeptes de courses d'orientations, chirurgiens, dentistes, radiologues mettent à profit ce potentiel intellectuel. À noter les moins bonnes performances des femmes dans cette aptitude par rapport aux hommes. [3]. L’architecte Le Corbusier en est un bon exemple.[réf. nécessaire]

L'intelligence interpersonnelle

L’intelligence interpersonnelle (ou sociale) permet à l’individu d’agir et de réagir avec les autres de façon correcte et adaptée. Elle l’amène à constater les différences et nuances de tempérament, de caractère, de motifs d’action entre les personnes. Elle permet l’empathie, la coopération, la tolérance. Elle permet de détecter les intentions de quelqu’un sans qu’elles soient avouées. Cette intelligence permet de résoudre des problèmes liés à nos relations avec les autres ; elle nous permet de comprendre et de générer des solutions valables pour les aider. Les personnalités charismatiques ont toutes une intelligence interpersonnelle très élevé.

Dans les sociétés primitives, l’organisation sociale était importante, la chasse nécessitait la collaboration et la participation du clan. Les groupes gravitaient autour d’un chef qui en assurait la solidarité et la cohésion. Actuellement, cette aptitude à comprendre les autres de façon correcte est propre aux professions de politicien, commerçant, enseignant, manager d'équipe et guide spirituel[4].

L’intelligence corporelle-kinesthésique

L’intelligence kinesthésique est la capacité d’utiliser son corps pour exprimer une idée ou un sentiment ou réaliser une activité physique. Elle est particulièrement utilisée par les professions de danseur, d'athlète, de chirurgien et d'artisan[5]. L'ancien joueur de hockey Mario Lemieux en était un bon exemple; on disait de lui qu’il faisait des feintes et des passes intelligentes[réf. nécessaire]. Il existe donc un potentiel intellectuel, qui permet par exemple, au joueur de basket-ball de calculer la hauteur, la force et l’effet du lancer au panier. Le cerveau anticipe le point d’arrivée du ballon et met en branle une série de mouvements pour résoudre le problème. Les possibilités de création et d’expression de ses émotions par le corps montrent la présence d’un potentiel intellectuel à ce niveau.

L'intelligence verbo-linguistique

C’est l’aptitude à penser avec des mots et à employer le langage pour exprimer ou saisir des idées complexes. C’est la forme d’intelligence la plus commune. On la retrouve chez les écrivains et les poètes.

L'intelligence verbo-linguistique (ou verbale) consiste à utiliser le langage pour comprendre les autres et pour exprimer ce que l'on pense. Tout comme l'intelligence logico-mathématique, on la mesure dans les tests de QI. Elle permet l'utilisation de la langue maternelle, mais aussi d'autres langues. C'est aussi l'intelligence des sons, car les mots sont des ensembles de sons. Les personnes auditives ont ainsi beaucoup plus de facilité à entendre des mots que de voir et de retenir des images. Tous les individus qui manipulent le langage à l'écrit ou à l'oral utilisent l'intelligence linguistique : orateurs, avocats, poètes, écrivains, mais aussi les personnes qui ont à lire et à parler dans leur domaine respectif pour résoudre des problèmes, créer et comprendre. A noter que statistiquement les femmes ont une meilleur aptitude à cette forme d'intelligence que les hommes. Ces derniers ayant un corps calleux présentant moins de connexions entre les deux hémisphères, leur cerveau étant plus spécialisé, plus "monotâche". Victor Hugo maîtrisait à merveille ce type d'intelligence.

L’intelligence intrapersonnelle

L'intelligence intrapersonnelle permet de se former une représentation de soi précise et fidèle et de l'utiliser efficacement dans la vie[6]. Elle sollicite plus le champ des représentations et des images que celui du langage. Il s'agit de la capacité à décrypter ses propres émotions, à rester ouvert à ses besoins et à ses désirs. C'est l'intelligence de l'introspection, de la psychologie analytique. Elle permet d'anticiper sur ses comportements en fonction de la bonne connaissance de soi. Il est possible mais pas systématique, qu'une personne ayant une grande intelligence intrapersonnelle, soit qualifiée par son entourage de personne égocentrique.

L’intelligence musicale-rythmique

L’intelligence musicale constitue l’aptitude à penser en rythme et en mélodies, de reconnaitre des modèles musicaux, de les interpréter et d'en créer[7].

L'intelligence naturaliste

L'intelligence naturaliste est l’intelligence de la personne capable de classer, de discriminer, de reconnaître et d’utiliser ses connaissances sur l’environnement naturel, sur les animaux, sur les végétaux ou sur les minéraux. Elle a une habileté à reconnaître des traces d’animaux, des modèles de vie dans la nature, à trouver des moyens de survie ; elle connaît les animaux ou les plantes qu'elle doit éviter, les espèces qui lui permettront de se nourrir. C'est l'intelligence du chasseur-cueilleur de la forêt, du pêcheur, du biologiste, du botaniste, du zoologiste, du cuisinier, de l’écologiste, etc.

Les personnes qui possèdent cette intelligence aiment tenir un cahier de notes d’observations ; elles aiment prendre soin d’animaux, cultiver un jardin et sont en faveur de l’établissement de parcs dans leur ville ; elles sont adeptes de la conservation de leur environnement. Les individus dans les sociétés traditionnelles utilisent cette intelligence de façon exceptionnelle.

L’intelligence existentielle

L'intelligence existentielle, ou intelligence spirituelle, chez Howard Gardner, se définit par l’aptitude à se questionner sur le sens et l’origine des choses (Winston Churchill[8]). C’est la capacité à penser nos origines et notre destinée. Cette intelligence spirituelle, existentielle ou morale est encore définie comme l’aptitude à se situer par rapport aux limites cosmiques (l'infiniment grand et l'infiniment petit) ou à édicter des règles ou des comportements en rapport aux domaines de la vie.

Il est a noter que Howard Gardner ne définit celle-ci que comme la "huitième et demi", et non comme une intelligence à part entière.

L'intelligence sous-entendue est la capacité d'agir dans un but déterminé, de penser rationnellement et d'entrer efficacement en contact avec son environnement.

Pendant la passation du test, il est fait appel au raisonnement abstrait, à la mémoire, à certaines capacités perceptives. On explore le fonctionnement intellectuel dans plusieurs directions en présentant des tâches variées qui offrent au sujet la possibilité de manifester diverses capacités. Ces différentes aptitudes sont directement évaluées par des mesures standardisées. Par ailleurs on ne peut pas dire que ce test mesure tous les aspects de l'intelligence qui sont fort nombreux mais l'essentiel des éléments nécessaires.

Il faut donc peut-être ramener le QI à ce qu’il est, un instrument qui donne la mesure d’un potentiel intellectuel à un instant donné et qui, contrairement à ce que croient certains parents, n’engage pas l’avenir. Pour prendre une image concrète, même si elle est réductrice, on peut admettre que ce n’est pas parce qu’on est le plus rapide de sa classe à la course à pied à l’école primaire qu’on le reste ensuite sans s’astreindre à un entraînement régulier et qu’on devient un champion olympique sans un travail énorme. Quant au potentiel révélé par le QI, il a été démontré que c’est un potentiel de réussite scolaire « académique », mais qu’il n’est pas un indicateur révélateur de la créativité ou de la future réussite sociale/professionelle du sujet.

Sinon, pour répondre à la question du sujet:

Sanité: 20%

J'ai tendance à être attiré par "les folles", malheureusement. Du moins je n'ai pas encore eu la chance de rencontrer une femme qui était totalement saine d'esprit et sans aucun trouble. Mais qui voudrait de ca anyway?! Nous sommes tous un peu fou quelque part. C'est juste une question d'équilibre. Tant que c'est pas dans l'extrême ca me va.

Beauté: 40%

Ah la beauté. Tellement relative, tellement vague. Ici on parle surtout de "beauté physique". Mais bien sur la beauté d'une personne se mesure également par sa personalité, son aura, son charisme, son sourire, sa voix, sa vision/philosophie de la vie etc. Plusieurs facteurs vont venir rendre une personne plus ou moins belle à mes yeux. Personnellement, je préfère les femmes naturelles, pures, simples et honnêtes.

Intelligence: 40%

Je n'aime pas vraiment le mot intelligence car je l'associe trop facilement aux êtres pseudos intellectuels aka. les bolés ou les nerds. Je le remplacerais plutôt par la Geekness/Passion. Je veux une femme passioné par un domaine, qui a la soif d'apprendre et m'apprendre. Une femme passionée est forcément une femme intéressante (du moins de mon point de vue). Une femme talentueuse est forcément intelligente/compétente. Qu'elle ai un faible QI, une faible culture ou qu'elle n'ai pas terminé son BAC, ca m'importe très peu.

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-Un grand compositeur/musicien n'a pas besoin d'avoir un QI de 300 pour être considéré un génie dans son domaine. Il a simplement le talent et la passion. Même chose pour les grand maitres de la peinture.

Je dirais que si (d'ailleurs j'avais eu une discussion là-dessus avec un copain qui voulait cesser de composer quand il a appris que son QI n'était pas bien haut, il s'est dit qu'il ne ferait jamais rien de valable). Il existe des gens qui sont considérés comme des grands et qui n'ont pas la réputation d'être des plus futés, mais ils font pas partie du top du top. Puccini par exemple, on dit de lui qu'il n'était pas brillant, qu'il faisait des remarques stupides, qu'il était inculte, etc. Au final, même si c'est un nom connu de tous, dans le monde du classique, on a beau aimer ses oeuvres, elles restent toujours un peu vulgaires, loin d'être parfaites et cantonnées au même registre.

Le talent comprend l'intelligence. La musique, en écrire, c'est beaucoup de logique. Contrairement à ce que le monde semble penser, il s'agit pas simplement de coucher ses sentiments sur papier. Il faut réfléchir à ce qu'on fait, raisonner, construire une structure qui tient debout, respecter des proportions. C'est pas un savoir faire mécanique. D'autant plus que pour mériter le mot "génie", il faut avoir fait avancer le domaine.

Pour ceux qui ne composent pas, il y a aussi un travail intellectuel considérable. Pour bien diriger un orchestre par exemple, il faut apprendre les parties de chaque instrumentiste par coeur, ça demande une mémoire phénoménale, quelqu'un de moyennement intelligent n'est pas capable de faire ça. Et le travail de l'instrumentiste ne consiste pas qu'à bouger ses doigts au bon moment, il y a des décisions à prendre, une analyse à faire, etc. Croire que l'inspiration et la passion suffisent, c'est de la crap, il y a énormément de logique froide derrière la musique.

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Le talent comprend l'intelligence.

[...]

Croire que l'inspiration et la passion suffisent, c'est de la crap, il y a énormément de logique froide derrière la musique.

Ouais t'as raison pour ca. Je ne voulais pas dire qu'il n'y avait pas un certain effort à faire et qu'il ne fallait pas un minimum d'intelligence. Je me suis mal exprimé si c'est ce que tu as retenu. Évidemment que ca prend une forme d'intelligence. Et plus tu es passioné ET intelligent, plus tu as logiquement des chances de réussir et te rendre loin dans ton domaine, ca va de soi. Je n'aurais simplement pas du employer le terme "génie" qui s'applique seulement à une infime partie de la population. Puisqu'on parle d'intelligence en terme de critère chez un partenaire, je doute qu'on cherche le génie.

En passant, un article relié au QI des musiciens:

"Vanderbilt University psychologists Crystal Gibson, Bradley Folley and Sohee Park have found that professionally trained musicians more effectively use a creative technique called divergent thinking, and also use both the left and the right sides of their frontal cortex more heavily than the average person."

http://www.science20.com/news_releases/do_musicians_have_higher_iqs_than_non_musicians_yes_says_study

Mon point c'était surtout que la simple "intelligence" ne suffit pas. Un grand QI n'est pas une garanti de réussite tout comme un faible QI n'est pas une garanti d'échec. Surtout qu'on sait que seulement 1% de la population mondiale à un QI supérieur à 135 (considered gifted/small genius). Il serait un peu drôle de dire que 99% de la population mondiale est stupide et voué à l'échec/sans avenir.

Le QI démontre seulement la facilité à comprendre, faire des liens et s'adapter. Sauf que le problème dans les tests de QI par exemple, c'est qu'on pratique surtout le sens analytique, mathematicale et spatiale. Le QI va démontrer/mesurer l'intelligence logico-mathématique et l'intelligence verbo-linguistique. Donc une personne qui n'est pas bonne en mathématique et/ou en français/anglais va forcément avoir un plus faible QI que le mathématicien/physicien qui passe le même test. Mais comme je l'ai démontré, un grand peintre/sportif/inventeur/designer/compositeur/politicien génial n'a pas besoin d'avoir une grande intelligence logico-mathématique ou verbo-linguistique, puisqu'ils excellent surtout visuellement, spatialement, musicalement et kinesthésiquement etc.

Le meilleur exemple serait probablement Thomas Edison qu'on qualifiait de "trop stupide pour apprendre les mathématiques":

Oddly, a factor that shaped Tom's personality in both a negative and a positive way was his poor hearing.... Even though this condition -and the fact that he had only three months of formal schooling - prevented him from taking advantage of the benefits of a secondary education in contemporary mathematics, physics, and engineering, he never let it interfere with finding ways of compensating.... More precisely, it was this his highly individualistic style of acquiring knowledge that eventually led him to question scores of the prevailing theories on the workings of electricity..... Approaching this complex field like a "lone eagle," he used his kaleidoscopic mind and his legendary memory, dexterity, and patience to perform whatever experiments were necessary to come up with his own related theories...

[...]

Unfortunately, in spite of their noble efforts, Tom's dedicated parents eventually found themselves incapable of addressing his ever increasing interest in the Sciences. For example, when he began to question them about concepts dealing with Physics - such as those contained in Isaac Newton's great "Principia" - they were utterly stymied. Accordingly, they scraped enough money together to hire a clever tutor to help their precocious son in trying to understand Newton's complex mathematical principles and unique style....

Unfortunately, this experience had some negative affects on the highly impressionable boy. He was so disillusioned by how Newton's sensational theories were written in classical aristocratic terms -which he felt were unnecessarily confusing to the average person -he overreacted and developed a hearty dislike for all such "high-tone" language and mathematics...

Henri Poincare, considered one of the world's greatest mathematicians, had an extremely low IQ. Thomas Edison (electricity), Benjamin Banneker (clock), Garret Morgan (traffic light), Henry Ford (automobile) and Alexander Graham Bell (telephone) had 8th to 12th grade education. Bill Gates (Microsoft), Ted Turner (CNN), Bill Lear (Lear jet), Soichiro Honda (Honda cars), and Howard Hughes (Hughes aircraft) never earned a college degree.

These geniuses had average IQ but made the world a better place by using their intuition. The lesson that I learned from the greatest inventors and scientists is that I will invent and discover more things by de-emphasizing quantitative methods and using a multi-disciplinary, unorthodox, intuitive and nature-inspired approach.

On s'entend que 99% des gens que tu va rencontrer et aimer dans ta vie auront un QI moyen en bas de 145. Quelqu'un de talentueux/compétant est forcément intelligent. Mais quelqu'un de très intelligent (académiquement) n'est pas forcément intéressant/cultivé/passionné/talentueux/compétant. C'est pourquoi "l'intelligence" comme critère chez un partenaire me semble plutôt inaproprié.

A quoi bon une tête pleine sans passion, ambitions ni imagination?

Je pense que ceux qui cherche un partenaire "intelligent", cherche surtout quelqu'un de "cultivé", "intéressant", "intellectuel" et/ou "compétant".

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Mon interprétation des résultats:

Sane (À la recherche du bonheur spirituel)

Beautiful (À la recherche d'un bonheur esthétique)

Smart (À la recherche du bonheur créatif)

Mon interprétation serait :

Sane = Stabilité

Beautiful = Sexualité

Smart = Social

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Déjà on constate qu'il y a plusieurs problèmes relié au concept d'intelligence et à sa mesure. Comment peut-on dire avec justesse que telle personne est intelligente et telle personne ne l'est pas? Je pense que nous sommes tous pourvu d'une certaine intelligence et d'un potentiel, mais que nous l'entretenons et l'alimentons différemment. Je dirais surtout qu'on réparti "nos points d'INT" sur différents domaines que l'on choisi par intérêt plus qu'autre chose.

La définition la plus grossière de l'intelligence est "la faculté de comprendre, de faire des liens et de s'adapter.". Hors un humain peut comprendre, faire des liens et s'adapter dans un domaine X (sport, social, mathématique, français) mais ne pas comprendre, faire des liens et s'adapter dans un domaine Y (philosophie, histoire, musique, arts, politique). Alors comment déterminer si le philosophe est plus intelligent que l'historien, le compositeur ou le professeur de français? Ils sont tous aussi "intelligent" dans leur domaine de prédilection sans pour autant avoir le même niveau de QI ou le même bagage de connaissances/culture. Dans ce sens, je me rapproche d'avantage de la théorie des intelligences multiples de Gardner:

Premièrement, je n'ai pas parlé du QI et c'était intentionnel. Je suis tout à fait d'accord avec l'idée des différents types d'intelligence (le quotient émotionnel, ça existe aussi), mais je ne vois pas comment ça contredit la définition de base qui est "l'ensemble des facultés mentales permettant de comprendre les choses et les faits, de découvrir les relations entre eux." Il suffit de la transposer au domaine des émotions plutôt qu'à la logique ou au mathématique. Idem avec chaque type d'intelligence.

Les enfants apprennent très rapidement, c'est connu. En quelques années, ils peuvent apprendre à lire, écrire, parler 2 langues, compter, jouer un instrument de musique, dessiner etc. Suivant ton raisonnement, les enfants sont tous extrêmement intelligents. Ce qui n'est clairement pas le cas. Ils ont simplement une facilité à apprendre, ce qui est du à plusieurs facteurs (cerveau encore en développement, plus de temps libre, a le gout d'apprendre, apprend en jouant etc.). A l'opposé, un immigrant adulte va avoir énormément de difficulté à apprendre le français et s'adapter à la culture québécoise, peu importe son niveau d'intelligence. Par ailleurs, quelqu'un de passioné va naturellement avoir plus de facilité à apprendre les compétences dans les domaines qui le passione sans pour autant être vraiment "intelligent" (avoir un grand QI, réussir à l'école etc.).

Je ne crois pas que mon raisonnement vis à vis des enfants soit totalement défaillant. À ce que je sache, ce ne sont pas tous les enfants qui apprennent de la même manière ou à la même vitesse les mêmes choses. D'ailleurs, les enfants apprennent des compétences "de base", donc il y a aussi cette notion de difficulté qu'il faudrait considérer dans l'analyse. En grandissant, on apprend des choses de plus en plus complexe, qui nécessitent de faire davantage de liens.

Je trouve également étrange que tu considères l'intelligence comme une sorte de "don". Comme si c'était une variable fixe transmise par les gènes qui ne peut possiblement pas être augmenté ou diminué par la volonté. On sait pourtant que le QI diminu avec la malnutrition, le stress, l'exposition aux substances chimiques et le manque de sommeil, entre autres. Et qu'une personne peut entrainer ses réflexes et sa logique ainsi qu'élargir ses connaissances, sa culture et ses habiletés. On ne vient pas au monde intelligent ou stupide, on le devient avec le temps. Mais on l'entretiens surtout. Une personne intelligente à 22 ans ne sera pas nécéssairement intelligente à 56 ans. Ca va toujours dépendre de sa volonté.

Ça je te le concède, je me suis fourvoyé, mais j'avais déjà soulevé ton point. On ne peut pas dissocier l'intelligence du corps ou de l'organe qui en est le principale moteur, le cerveau. Comme la plupart des composantes du corps, il y a une part de sa "condition" qui provient de la génétique (prédisposition) et l'autre qui relève de la manière dont on le développe et l'entretien. Quand tu parles de passion, tu brouilles les cartes, parce que selon moi ça n'a rien à voir avec l'intelligence. La passion, c'est ce qui te permet de continuer malgré l'adversité, entre autre. C'est sur que l'idéal est d'avoir les deux éléments réunis, dans ce cas on peut réaliser de grandes choses.

Finalement, on pourrait s'obstiner longtemps sur la notion d'intelligence... Je réalise de plus en plus que c'est inutile de donner des exemples précis, parce qu'il y a tellement de facteurs qui interagissent dans la plupart des cas. C'est pas comme une expérience ou tu peux isoler facilement la variable que tu veux mesurer.

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  • 1 mois plus tard...

Selon moi, le critère smart est le plus important. Pour une future partenaire, j'ai envie qu'elle soit capable de comprendre rapidement, de réussir ce qu'elle entreprend dans sa vie et de discuter intelligemment de sujets sérieux. Une femme intelligente ça me turn-on totalement. Ensuite, vient le critère beauté, mais pas seulement physique. Il y a aussi le critère attitude qui entre en ligne de compte dans le critère beauté. En plus, j'ai une préférence pour les femmes qui prennent soin d'elles et ont une bonne hygiène de vie ( plus que la moyenne ) et qui donc on meilleure apparence physique. Par contre, pour ce qui est de la beauté de naissance, celle qu'on ne choisit pas, bien sur je ne veux pas d'une partenaire trop hideuse, mais je suis beaucoup moins exigeant que pour les autres facettes de la beauté. Enfin, au niveau de l'équilibre mental ( sane ) je m'en fous un peu, j'ai une préférence pour les femmes un peu " folles" pour être poli. Je ne sais pas pourquoi, mais c'est ce que je préfère, tant qu'elles soient assez intelligentes pour revenir rapidement à la raison si jamais ça dérape un peu. J'aime jouer au psy avec les jeunes femmes de mon entourage, et je crois que ce serait similaire avec une partenaire. De toute façon, je dirais que dans mon cas le côté "sane" est vraiment mon point faible, je ne serais pas logique d'exiger d'une copine d'être trop meilleure que moi sur ce point...

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dans mon cas j'ai mit

beautée :40%

Sane : 40%

Intelligence : 20%

Je suis d'accord avec Pesmerga, l'intelligence c'est très vague et tout le monde en a à sa manière. Je pourrais probablement pas parler de physique quantique avec une coiffeuse par exemple, mais il est très possible qu'elle puisse "lire" mes états d'âmes mieux que je peux le faire moi même. alors mon 20% en intelligence, ça veux dire que tant qu'elle n'est pas une nouille elle est assez intelligente à mon goût.

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  • 3 semaines plus tard...

J'ai mis

sane 35 %

Beauté 35 %

smart 30 %

Je trouve qu'aucun de ces critères n'est négligeable voilà pourquoi j'y suis allé dans le à peu près égal.

Faudrait rajouter des critères plus futiles...là ca deviendrait plus corsé! C'est trop général quelqu'un de beau ca peut être à tellement de niveau...même chose pour smart!

Intelligent est-ce qu'on parle ici de culture?Si c'est le cas je pense que ca n'a pas vraiment d'importance.Je ne mettrai jamais quelqu'un de coté parce qu'il ne peut pas me nommer les pièces de Shakespeare!

Beauté : Quelqu'un qui a une physique du tonnerre ou simplement quelqu'un qui parait bien? C'est ambigu un tantinet!

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  • 1 an plus tard...
  • 2 semaines plus tard...

Pour moi ce n'est pas une question d'équilibrer trois différentes qualités, la beauté, l'intelligence et la gentillesse, mais plutôt un processus d'élimination.

Pour que je m'intéresse à une fille, je dois impérativement la trouver belle. Peu importe si elle est super gentille et intelligente, si je ne la trouve pas belle il n'y a aucune chance. (Évidemment, la beauté est relative et je peux trouver à peu près n'importe quelle type de femme jolie).

Ensuite elle doit être intelligente. Pour moi ça veut dire au moins un diplôme universitaire. Pas tant à cause du diplôme mais parce que ça montre une certaine culture et c'est garrant d'une conversation qui ne sera pas uniquement constituée d'onomatopées.

Finalement, elle doit être assez gentille. Je n'aime pas les gens froids.

Ce n'est que lorsqu'une fille rencontre ces trois critères que je m'intéresse à elle.

Je n'ai pas eu à me retaper le sujet mais oui ça vient à peu près confirmer mes critères de sélection. La beautée ce n'est pas nécessairement quelque chose de complètement objectif, moi par exemple une fille avec des dents un peu croches (sans tomber dans l'anomalie) je trouve ça mignon. L'intelligence tombe au deuxième critère, je dirais que l'important c'est la curiosité intellectuelle. Niveau diplomation, moi je dirais que ça prend au moins 14 ans de scolarité (DEC de 3 ans ou un DEC de 2 ans + 1 certificat universitaire). Le côté "smart" est également important dans le sens que si la fille sacre comme une charrue (j'ai l'impression qu'un homme a une plus grosse marge de manoeuvre sur ce critère là, il peut s'en permettre un peu plus) ou qu'elle n'est pas capable de contrôler son budget, ça peut devenir problématique. Donc moi je dirais 25/50/25. Une autre affaire, moi les fumeuses là...

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(modifié)

C'est une bien belle explication théorique mon Pixel. Mais la réalité n'est-elle pas plutôt que tu vas offrir ton coeur à le première venue qui te fait sourire, bander un tant soit peu et qui a un minimum de probité morale - de la classe-.

Fais don pas simple.

Modifié par Martin NaCl
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  • 2 semaines plus tard...

Je vois un peu ça comme un entonnoir.

stratégie-de-l’entonnoirde-ventes1.jpg

  1. La jeune femme doit m’attiré physiquement.

Plusieurs critères entraineront mon attirance physique pour une femme, mais si cette attirance n’est pas là, elle ne passe pas plus loin dans l’entonnoir. Un sourire coquin, des yeux pétillants, une peau soyeuse, des longs cheveux éclatants, de belles courbes ou une forme athlétique, on a qu’à joindre quelques un de ses traits ensemble et me voilà conquis pour l’étape suivante. Dans le cas contraire, elle est automatiquement restreinte au poste d’amie (ou peut-être de baise d’un soir en état d’ivresse dont je ne serai pas le premier à me venter).

mila-kunis-enceinte.jpg

  1. La jeune femme doit être intelligente.

Après m’avoir fait mordre à l’hameçon par ses traits physiques correspondant à mes intérêts, nous engagerons fort probablement une discussion ou l’intelligence de la dite femme sera mise en évidence…. Ou non. Elle peut démontrer son intelligence de plusieurs façon, sois par son humour, par ses opinions sur des sujets divers ou par l’étalement de ses connaissances. Peu importe, mais si elle me laisse avec l’impression que sa courroie glisse sur la poulie (Admirez l’image ô comment poétique), elle se retrouvera aux oubliettes (ou peut-être dans mon lit pour quelques aventures rocambolesques dont je me venterai auprès de mes amis une fois en état d’ivresse).

  1. La jeune femme doit être saine d’esprit.

Si elle a passé à travers les deux premiers critères, je serai déjà sous le charme. Ce qui est malheureux c’est qu’il faut inévitablement aller un peu plus loin avant de valider le troisième critère (En excluant les cas extrême qui rendent la chose évidente). La seule chose qui reste à espérer, c’est que la relation n’aye pas été trop loin, avant de se rendre compte que c’était une « criss de folle ». Mais la sainteté d’esprit est un critère tout de même moins important à mon sens. J’expliquerais ça en disant qu’il y a de ce que j’appel de la « folie sympathique ». Ce genre de folie rajoute du charme à la dite jeune femme.

En conclusion, les 3 critères ont une importance relative. Je pourrais noter ça à 40%/35%/25% pour me prêter au jeu. Mais malgré tout ces belles explications théoriques, il arrivera une fois ou toutes ces étapes seront sautées et que je me retrouverai avec une grosse idiote complètement folle.

220px-Snooki_in_Chicago_adj.jpg

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Je suis célibataire, mais tout ce que je sais de ma prochaine partenaire, c'est que cette petite idiote qui gargarisera mon sperme saura me réciter la totalité des Fleurs du mal de Baudelaire. Pour le reste, rien à foutre !

Fait attention à ta chienne de tête; elle risque de rester bloquée dans la prochaine porte que tu vas passer.

Et on dit: se gargarisera de.

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Fait attention à ta chienne de tête; elle risque de rester bloquée dans la prochaine porte que tu vas passer.

Et on dit: se gargarisera de.

Ben non, je blaguais ! Pour moi c'est : 33.3 sane, 33.3 beautiful et 33.3 smart. :P

Et le verbe "faire" s'écrit avec un "s" et non un "t" à l'impératif : "fais".

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On s'entend que la base c'est le physique.

Si la fille ou le gars n'a pas d'attirance sexuelle pour toi tu vas directement dans la "friend zone", et ça va vite croyez-moi.

Ensuite y a l'intelligence et la santé mentale, pour le dernier critère ça vient généralement une fois que ta relation est officielle. C'est le critère qui est le plus facile a maquiller quand tu ne connais pas l'autre.

C'est une bien belle explication théorique mon Pixel. Mais la réalité n'est-elle pas plutôt que tu vas offrir ton coeur à le première venue qui te fait sourire, bander un tant soit peu et qui a un minimum de probité morale - de la classe-.

Fais don pas simple.

Non t'as raison, pour le niveau de diplômation j'ai été un peu sévère.

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