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Pour notre santé, mieux vaut habiter en ville qu’à la campagne


Déchet(s) recommandé(s)

Vivre dans une collectivité rurale plutôt qu'en ville fait vraiment une différence quant à la nature des problèmes de santé et de bien-être. Le suicide, particulièrement chez les hommes et les accidents de la route constituent des problèmes très préoccupants dans les collectivités rurales du Québec. Il en est de même de la mortalité infantile, nettement plus élevée dans les zones rurales se situant au-delà de la zone bordant immédiatement les grands centres urbains. N'oublions pas non plus la prédominance d'autres causes de mortalité telles les tumeurs de l'estomac et du poumon. Rappelons ici également que les résidants du monde rural sont plus affectés par l'embonpoint que les citadins et qu'ils comptent en outre plus de fumeurs réguliers.

À l'inverse, les collectivités rurales semblent plus préservées des cardiopathies ischémiques et du cancer du sein. Dans le dernier cas, la fécondité précoce des résidantes rurales pourrait constituer un facteur protecteur. Cette fécondité précoce ne va cependant pas sans soulever d'inquiétudes quand elle concerne les adolescentes, et il faut rappeler ici le taux très élevé de natalité chez les adolescentes de la ZIM la plus éloignée des grands centres.

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Vous vivez dans quelle zone ?

 

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Marie-Claude Boivin, conseillère scientifique à l’INSPQ

Ph.D.
1999 , Linguistique , Massachusetts Institute of Technology (MIT) (États-Unis)

M.A.
1994 , Linguistique , Université du Québec à Montréal (UQÀM) (Canada)

École du Barreau du Québec
1991 , Droit , École du Barreau du Québec (Canada)

LL.B.
1990 , Droit , Université Laval (Canada)

Pour ce qui est de la santé et du bien-être, elle est parfaitement qualifié la madame. OUAIS :fb-like:

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Retourne écouter des vidéos conspirationniste  avec requiem for a dream en soundtrack pendant que ta femme se fait pound dans le fond par son amant, mon gros. Si t'aime pas les conclusions, critique la métho de l'étude. Si les crédentials de la madame en question sont degs ca devrait pas être difficile.

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il y a 1 minute, Baruch.S a dit :

Retourne écouter des vidéos conspirationniste  avec requiem for a dream en soundtrack pendant que ta femme se fait pound dans le fond par son amant, mon gros. Si t'aime pas les conclusions, critique la métho de l'étude. Si les crédentials de la madame en question sont degs ca devrait pas être difficile.

Voyons t'es dont bin déplaisant. Laisse le monde respirer.

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  • 4 mois plus tard...

l’indice de vitalité économique des localités québécoises

 

les localités les moins vitalisées sur le plan économique, c’est-à-dire celles se classant dans le dernier quintile, sont généralement éloignées des régions métropolitaines ou des agglomérations de recensement, sont de très petite taille et se caractérisent par une population relativement âgée. Elles connaissent également un déclin démographique important, en plus d’afficher un revenu médian des particuliers et un taux de travailleurs largement plus faibles que dans les autres localités. Sur le plan financier, ces municipalités dépendent davantage de l’aide gouvernementale et disposent d’une plus faible autonomie financière. Néanmoins, plusieurs localités éloignées des grands centres urbains ont amélioré leur position relative au classement de l’indice de vitalité économique entre 2002 et 2016. C’est le cas d’un bon nombre de municipalités des régions de l’Abitibi‑Témiscamingue et du Saguenay–Lac-Saint-Jean. Par contre, plusieurs localités au nord des régions de l’Outaouais, des Laurentides, de Lanaudière et de la Mauricie ont reculé au classement. Le déclin de l’industrie forestière, une base économique importante pour la partie septentrionale de ces quatre régions, pourrait en être la cause. Les municipalités situées à l’est de la région de l’Estrie, aux prises avec une décroissance démographique importante depuis quelques années, ont aussi perdu du terrain au classement.

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http://www.stat.gouv.qc.ca/statistiques/economie/indice-vitalite-economique/bulletin-indice-2018.pdf

http://www.cisss-lanaudiere.gouv.qc.ca/fileadmin/internet/cisss_lanaudiere/Documentation/Sante_publique/Themes/Pauvrete_et_defavorisation/Facteurs_vulnerabilite-VF.pdf

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Le 2019-07-23 à 07:10, TheCrow a dit :

Marie-Claude Boivin, conseillère scientifique à l’INSPQ

Ph.D.
1999 , Linguistique , Massachusetts Institute of Technology (MIT) (États-Unis)

M.A.
1994 , Linguistique , Université du Québec à Montréal (UQÀM) (Canada)

École du Barreau du Québec
1991 , Droit , École du Barreau du Québec (Canada)

LL.B.
1990 , Droit , Université Laval (Canada)

Pour ce qui est de la santé et du bien-être, elle est parfaitement qualifié la madame. OUAIS :fb-like:

un peu en retard, mais la bonne Marie-Claude Boivin est ici.

attention à tes sources. ;)

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