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Du rififi au Parti Québécois


Déchet(s) recommandé(s)

Nationaliste = de facto anti-mondialiste? Pourquoi?

Je crois qu'un Québec indépendant devrait "suivre la game" si on veut, et se tourner vers le reste du monde.

C'est tout simplement antinomique; on peut pas d'une main prôner le nationalisme et de l'autre espérer sa dissolution dans le mondialisme.

Aussi bien rester avec le Canada qui nous amène vers ça de toute façon.

Lucien Bouchard qui devient une belle-mère, c'est assez surprenant!

Le PQ se radicalise, ils deviennent de plus en plus intolérants aux accommodements religieux. Mais au fond, c'est le bon choix à faire politiquement. Je veux juste préciser qu'être "radical" c'est tout simplement croire à la séparation de l'État et de l'Église, bref à la la laïcité ainsi qu'aux principes universalistes du siècle des lumières.

Ça me fait penser à l'UMP qui a été chercher des voix au FN avec la même genre d'approche en France. (et je fais pas là une réduction ad FNiste dans un but de discréditer la manœuvre.); ici c'est le PQ qui va chercher les votes errants de l'ADQ, c'est stratégique et électoraliste.

Ils jouent sur les peurs du québécois moyen et on donne de l'ampleur à une problématique qui est politiquement frivole; ça permet d'éviter les débats sérieux (économiques)

«Dans l'immédiat, au Québec, on a autre chose à faire qu'attendre quelque chose qui ne vient pas vite (la souveraineté)», a dit M. Bouchard, qui estime que le Québec avait d'urgents problèmes économiques à régler.

Phrase pleine de bon sens.

Je me demande pourquoi Landry s'est déchiré la chemise là-dessus.

On est dans une crise systémique globale et c'est navrant de voir les élites au PQ vouloir mettre à tout prix de l'avant des problématiques qui ne sont pas à l'ordre du jour.

C'est un parti qui me sembler manquer atrocement de sérieux politique.

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Je suis souverainiste. Je trouve ça important d'en parler, du moins en trame de fond parce que j'y crois fermement, à long terme. Pas dans notre contexte actuel, cependant.

On a des URGENTS problèmes à régler au Québec et on doit le faire en priorité (éducation, santé, etc). Par contre, comme le PQ n'est PAS au pouvoir, à part être dans l'opposition, il ne peut pas faire grand chose avec Charest majoritaire. Alors je pense qu'ils devraient mieux promouvoir la souveraineté et inover dans leurs façons de faire.

J'ai souvent pensé devenir membre du PQ et militante. Mais il y a encore tellement de gros bornés au sein de ce parti qui ne veulent pas évoluer sur rien, que je n'ai pas envie d'y adhérer pour l'instant.

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L'indépendance n'est pas un moyen, elle est une fin en soi. Quelqu'un qui n'y croit pas va toujours trouver moyen de dire qu'il y plus urgent ou que c'est un vieux débat. Qu'importe que les politiciens à l'Assemblée et aux Communes réuissisent à nous redresser complètement de la crise économique, à gagner la guerre en Afghanistan, à rembourser la dette, à réduire les dépenses d'État sans trop couper dans les services sociaux et à régler le débat sur le multiculturalisme ainsi que les accomodements raisonnables, tout ça à l'intérieur de deux ans, il ne sera jamais temps pour un fédéraliste endurci de ré-ouvrir le dossier de la question nationale, qu'il s'agisse d'endosser la constitution ou de souveraineté.

Le 50,6 % au référendum n'est pas un OUI à l'indépendance, mais elle n'est pas non plus un OUI au statu-quo. C'est de l'arrogance de la part des libéraux fédéraux, des conservateurs et des néo-démocrates que de le nier. L'ambiguité dure depuis 15 longues années, il est temps que ça cesse.

Je vais vous revenir pour Bouchard.

J'ai pensé à militer aussi, manque juste de temps.

Modifié par PetQuiFermente
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on peut très bien être Québécois et ne pas être né au Québec, et les descendants d'immigrants nés au Québec sont Québécois à ce que je sache.

Tu veux donner le statut ethnique ou culturel de "Québécois" à des gens qui ne se déclarent même pas ainsi et qui ne le veulent pas. Demande à la majorité des Haitiens ou des Algériens leur identité ethnique. La très grande majorité te répondront Haitien ou Algérien et non Québécois. Je ne comprends vraiment pas l'obsession de certains à vouloir inclure tout le monde dans la nation québécoise, même ceux qui ne veulent pas en faire partie et qui ne la reconnaissent pas.

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Juste pour réaffirmer ce qu'on peut interpréter de l'OCDE; en 15 ans, le nombre de migrant par 1000 habitants est passé de 4,4 (presque rien) à 1,1 migrant (encore moins que presque rien). Alors que le taux d'immigration est à son plus bas, la démographie fini par être positive pour la première fois en 15 ans.

Avec 45 000 immigrants par année au Québec, ça nous donne 5,5. Est-ce encore presque rien?

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C'est probablement moins que ça au Québec étant donné qu'il faut soustraire le 45 000 immigrants qui viennent avec ceux qui partent la même année. Par exemple, en 2006, même en tennant compte de ceux qui partent, le Canada avait un taux net de 6,6 immigrants.

L'Island avait un impressionant 17 immigrants net.

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je me définis comme québécoise.

Max Weber définissait l'identification identitaire d'un groupe (majoritaire ou minoritaire) comme étant inhérent au groupe en question, c'est-à-dire comme étant immanente; l'identité vient de l'intérieur du groupe, ça ne s'impose généralement pas de l'extérieur.

C'est rassurant quand le groupe minoritaire choisie de d'identifié à la majorité. Et c'est du gros bon sens que de dire que la tolérance et l'intégration vont inciter ce genre de choix.

Mais une autre façon de voir la chose, c'est que la diversification de la société se traduit par l'érosion de la capacité de la majorité de définir une identité collective; la majorité doit maintenant composer avec la volonté d'une pléthore de minorité. La majorité n'est plus souveraine par rapport à son identité, elle doit compromettre avec la population issue de l'immigration.

Ça explique tout le psychodrame autour du voile et de la chaine de restaurant Quick en France. La majorité se rend comme de la perte de contrôle, mais elle réagit en attaquant des symptômes mineurs au lieu de même mentionner la base du problème.

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Max Weber définissait l'identification identitaire d'un groupe (majoritaire ou minoritaire) comme étant inhérent au groupe en question, c'est-à-dire comme étant immanente; l'identité vient de l'intérieur du groupe, ça ne s'impose généralement pas de l'extérieur.

C'est rassurant quand le groupe minoritaire choisie de d'identifié à la majorité. Et c'est du gros bon sens que de dire que la tolérance et l'intégration vont inciter ce genre de choix.

Mais une autre façon de voir la chose, c'est que la diversification de la société se traduit par l'érosion de la capacité de la majorité de définir une identité collective; la majorité doit maintenant composer avec la volonté d'une pléthore de minorité. La majorité n'est plus souveraine par rapport à son identité, elle doit compromettre avec la population issue de l'immigration.

Ça explique tout le psychodrame autour du voile et de la chaine de restaurant Quick en France. La majorité se rend comme de la perte de contrôle, mais elle réagit en attaquant des symptômes mineurs au lieu de même mentionner la base du problème.

Max Weber est désuet. du fond de sa tombe, il n'a même pas idée à quel point le paysage social a pu changer dans notre contexte actuel de mondialisation. l'origine ethnique est inhérente à la personne. par contre, l'identité culturelle est personnelle et subjective, la nationalité et la citoyenneté sont définis par l'État. l'identité culturelle et la nationalité émanent exclusivement de l'extérieur. on 'n'émane' pas soi-même sa citoyenneté, pas plus qu'on 'n'émane' son appartenance à un groupe.

vas-tu nier le fait que je suis québécoise parce que mes parents sont vietnamiens? pourtant, je suis née au Québec. je n'ai jamais vécu ailleurs, ce sont des facteurs externes qui ont forgé ma mentalité et mes attaches québécoises. je connais plus du Québec que bien des québécois de souche qui ne sauraient pas nommer une chanson de Félix Leclerc et qui confondent le pâté à la viande et la tourtière. vas-tu nier un métis né au Québec d'être québécois simplement parce que sa mère ou son père est noir? c'est pourtant ce qui attend le Québec de demain: le phénomène du métissage se répandra de plus en plus et tu verras de plus en plus de québécois aux traits particuliers: des blancs/noirs, des blancs/asiatiques, des asiatiques/noirs, tout ça va se mélanger, mais ça va parler québécois et manger québécois.

l'identité collective telle que tu la conçois existe mais appartient au 20e siècle. comme elle ne reflète plus la société d'aujourd'hui, elle va disparaître ou céder le pas à une identité québécoise aux allures mondiales. quoiqu'il en soit, aujourd'hui, on peut parfaitement être québécois et être métissé ou appartenir à un groupe ethnique différent.

Modifié par minh vy
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Bouchard qui propose le dégel des frais de scolarité, d'accord. Mais il veut que les frais soient différents par programme, un étudiant en médecine paierait beaucoup plus que les gens en communication par exemple. Attends un peu, ils ont de la misère à avoir des médecins pis en chargeant des frais exorbitants, ils vont tu pas donner le goût aux jeunes d'aller dans cette branche.

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Max Weber est désuet. du fond de sa tombe, il n'a même pas idée à quel point le paysage social a pu changer dans notre contexte actuel de mondialisation. l'origine ethnique est inhérente à la personne. par contre, l'identité culturelle est personnelle et subjective, la nationalité et la citoyenneté sont définis par l'État. l'identité culturelle et la nationalité émanent exclusivement de l'extérieur. on 'n'émane' pas soi-même sa citoyenneté, pas plus qu'on 'n'émane' son appartenance à un groupe. vas-tu nier le fait que je suis québécoise parce que mes parents sont vietnamiens? pourtant, je suis née au Québec. je n'ai jamais vécu ailleurs, ce sont des facteurs externes qui ont forgé ma mentalité et mes attaches québécoises. je connais plus du Québec que bien des québécois de souche qui ne sauraient pas nommer une chanson de Félix Leclerc et qui confondent le pâté à la viande et la tourtière. vas-tu nier un métis né au Québec d'être québécois simplement parce que sa mère ou son père est noir? c'est pourtant ce qui attend le Québec de demain: le phénomène du métissage se répandra de plus en plus et tu verras de plus en plus de québécois aux traits particuliers: des blancs/noirs, des blancs/asiatiques, des asiatiques/noirs, tout ça va se mélanger, mais ça va parler québécois et manger québécois. l'identité collective telle que tu la conçois existe mais appartient au 20e siècle. comme elle ne reflète plus la société d'aujourd'hui, elle va disparaître ou céder le pas à une identité québécoise aux allures mondiales. quoiqu'il en soit, aujourd'hui, on peut parfaitement être québécois et être métissé ou appartenir à un groupe ethnique différent.

Ça l'air très intéressant, mais divise ça en paragraphe, c'est illisible.

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vas-tu nier le fait que je suis québécoise parce que mes parents sont vietnamiens? pourtant, je suis née au Québec. je n'ai jamais vécu ailleurs, ce sont des facteurs externes qui ont forgé ma mentalité et mes attaches québécoises. je connais plus du Québec que bien des québécois de souche qui ne sauraient pas nommer une chanson de Félix Leclerc et qui confondent le pâté à la viande et la tourtière. vas-tu nier un métis né au Québec d'être québécois simplement parce que sa mère ou son père est noir? c'est pourtant ce qui attend le Québec de demain: le phénomène du métissage se répandra de plus en plus et tu verras de plus en plus de québécois aux traits particuliers: des blancs/noirs, des blancs/asiatiques, des asiatiques/noirs, tout ça va se mélanger, mais ça va parler québécois et manger québécois.

l'identité collective telle que tu la conçois existe mais appartient au 20e siècle. comme elle ne reflète plus la société d'aujourd'hui, elle va disparaître ou céder le pas à une identité québécoise aux allures mondiales. quoiqu'il en soit, aujourd'hui, on peut parfaitement être québécois et être métissé ou appartenir à un groupe ethnique différent.

Tu es une perle rare, le résultat d'une intégration qui s'est bien déroulée.

Mais c'est très loin du son de cloche qu'on a souvent; la plupart des immigrés que j'ai connu, même de deuxième génération, se définissent d'abord et presqu'exclusivement par leurs origines.

Les "de souche" n'ont souvent même pas à remettre le sentiment identitaire québécois en question chez l'autre parce qu'il a tendance à le faire par lui-même.

Je pense pas qu'un québécois peut nier le fait qu'un immigrant ou un métis sois québécois, tant que celui ci se considère comme tel et veut participer au projet commun, sociétale et dans une autre mesure, national. C'est un non sens sinon qui tend vers un racisme des plus stupide.

Mais si ce dernier passe son temps à faire l'apologie de ses origines et ce qu'elle comporte culturellement en la plaçant à l'avant plan tout en reléguant son identité québécoise à un concept mou qui veut pas dire grand chose; c'est donc qu'il revendique un parasitisme communautaire qui souhaite une dislocation; cette personne ne souhaite pas l'unité mais la division.

Je pense qu'il est possible d'être un québécois issu de l'immigration, bon musulman et nationaliste.

Le problème c'est juste que le travail se fait mal au niveau politique.

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Max Weber est désuet. du fond de sa tombe, il n'a même pas idée à quel point le paysage social a pu changer dans notre contexte actuel de mondialisation. l'origine ethnique est inhérente à la personne. par contre, l'identité culturelle est personnelle et subjective, la nationalité et la citoyenneté sont définis par l'État. l'identité culturelle et la nationalité émanent exclusivement de l'extérieur. on 'n'émane' pas soi-même sa citoyenneté, pas plus qu'on 'n'émane' son appartenance à un groupe.

La citoyeneté est attribué par l'État. Pour le reste, l'individu possède une responsabilité, une marge de manoeuvre variable, pour choisir le niveau de son appartenance ethnique, national et surtout culturelle. Dans ton cas, rien t'empêche de mettre une emphase disproportionné sur tes origines asiatiques au dépend de tes origines québécoises. Ça serait stupide de le faire, mais tu pourrais quand même, tu possède la marge de manoeuvre pour décider. Personne d'autre peut prendre cette décision pour toi, surtout si cette décision toucherais une appartenance culturelle ou religieuse.

Il n'existe plus de mécanismes collectifs pour attribuer des identités sur les individus où les groupes, ceux-ci sont plus ou moins libre de mettre l'emphase sur les caractéristiques qu'ils désirent. C'est dans ce sens que l'identité est inhérent et immanente. Elle ne vient plus d'en haut mais d'en bas. Comment Weber avait tort la-dessus j'aimerais que tu me l'explique.

vas-tu nier le fait que je suis québécoise parce que mes parents sont vietnamiens? pourtant, je suis née au Québec. je n'ai jamais vécu ailleurs, ce sont des facteurs externes qui ont forgé ma mentalité et mes attaches québécoises. je connais plus du Québec que bien des québécois de souche qui ne sauraient pas nommer une chanson de Félix Leclerc et qui confondent le pâté à la viande et la tourtière. vas-tu nier un métis né au Québec d'être québécois simplement parce que sa mère ou son père est noir? c'est pourtant ce qui attend le Québec de demain: le phénomène du métissage se répandra de plus en plus et tu verras de plus en plus de québécois aux traits particuliers: des blancs/noirs, des blancs/asiatiques, des asiatiques/noirs, tout ça va se mélanger, mais ça va parler québécois et manger québécois.

En utilisant la définition weberienne de mon dernier message, je peux pas nier l'identité que tu revendique; t'es une québécoise parce que tu te crois québécoise.

Mais est-ce que tu te sens autant québécoise, ou québécoise de la même façon, qu'un québécois de souche européenne? D'un point de vue indépendantiste et souverainiste, la question à de l'importance. Un sino-québécois ou un québécois d'origine magrébinne va probablement se sentir plus touché par la perception international de l'occupation chinoise au Tibet ou par l'équipe nationale de soccer d'Algérie, que par les conséquences de la Conquète de 1759.

l'identité collective telle que tu la conçois existe mais appartient au 20e siècle. comme elle ne reflète plus la société d'aujourd'hui, elle va disparaître ou céder le pas à une identité québécoise aux allures mondiales. quoiqu'il en soit, aujourd'hui, on peut parfaitement être québécois et être métissé ou appartenir à un groupe ethnique différent.

L'identité collective telle que je la conçoit, où les individus sont libres de revendiquer les caractères qu'ils désir, tient la route depuis Weber. La conception de Weber est encore plus pertinante aujourd'huis étant donné que les individus ont encore davatange de marge de manoeuvre pour exprimier leurs différences.

La seule chose qui a changé par rapport au XX siècle, c'est l'hétérogénéisation de la composition de la population, l'immigration de masse combiné avec un déficite démographique de la population de souche. Le résultat ne sera jamais une "une identité québécoise aux allures mondiales", parce que le monde ne ressemble pas à ça. L'immigration de peuplement est un phénomène strictement occidental; ça n'arrive pas au Japon, ni en Chine, ni en Inde, ni dans aucun pays arabes ou africains, ni en Amérique latine. Il n'y a pas une nation normale et le moindrement fière qui accepterait de devenir à terme une minorité sur son territoire historique.

Je pense qu'il est possible d'être un québécois issu de l'immigration, bon musulman et nationaliste.

C'est possible, il n'existe pas de contrainte officiel pour empêcher ce genre de chose. Mais il n'est pas raisonable d'imaginer qu'il s'agirait d'autre chose que de l'exception à la règle. C'est annecdotique, mais généralement, les néo-québécois que je connais s'intéresse davantage à des enjeux qui sont lié à leur origine ethnique, que les enjeux qui sont tributaire de l'histoire québécoise, telle que la Conquète.

Modifié par B~E
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un étudiant en médecine n'aura aucune difficulté à financer ses études. j'adore Bouchard.edit: done!

S'ils veulent vraiment économiser, ils n'ont qu'à ajouter une année à l'école secondaire, abolir le CEGEP et ajouter une année à certaines formations universitaires: le système anglophone et américain.

Nos diplômés seront plus facilement reconnus à l'étranger, tout le monde s'y retrouvera et on économisera pour vrai là.....

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On veut que les étudiants graissent des entités gouvernementales et scolaires coûteuses et stériles.

Il y a beaucoup de gras dans lequel on peut couper avajt de s'attaquer aux frais de scolarité; quand ce sera fait et si le problème se pose encore, on pourra parler sérieusement de son dégel.

Présenté comme c'est là, on sent bien le besoin de certains de faire des raccourcis.

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