Super.Jésus_* 11 juin 2010 Partager 11 juin 2010 (modifié) C'est quoi cette ostie de conne la qui pense qu'un ouvrage mythologique de l'antiquité grecque allait être un fucking livre d'heroic fantasy. What the fuck what the fuck What the fuck Substituez ''man'' par ''woman'' dans le punch. Modifié 11 juin 2010 par Super.Jésus Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
paté au poulet 17 juin 2010 Partager 17 juin 2010 Le livre le plus mauvais que j'aie lu c'est : Le Lion Vraiment ce livre là je l'ai pas aimé, et dans ceux que je connais qui l'aient commencé, personne ne l'a jamais terminé... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hell Is Us 30 juin 2010 Partager 30 juin 2010 Le Da Vinci Code de Brown. J'avais jamais lu une telle daube. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Esch 30 juin 2010 Partager 30 juin 2010 (modifié) Nègres blancs d'Amérique de Pierre VallièresLe vieux chagrin de Jacques PoulinAu secondaire, mon prof de francais m`avait suggéré de prendre Jessie de Stephen King pour notre travail de lecture. Jsuis resté marqué. Ca fait 8 ans et j`en fait encore des cauchemars...Le parfum... quand le film est sorti j`ai lu le livre (j`ai pas vu le film) et god ca m`a tout pris pour le terminer... J`ai lu son autre livre Le pigeon, au cas ou ca serait meilleur. Seigneur j`ai jamais lu quelque chose de plate de meme. Sinon livre obligatoire du Cegep, Thérèse Raquin d`Emile Zola et Huis clos de Sartre... jpensais mourir...(first post, accueillez moi chaleureusement)! Modifié 30 juin 2010 par Eschyle Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Coup de Théâtre 30 juin 2010 Partager 30 juin 2010 J'ai eu la plus grande misère du monde à lire Maria Chapdelaine, ce fleuron de la littérature du terroir québécois. C'est un roman très contemplatif dans la mesure où elle ne fait que labourer sa terre tout le long en se demandant lequel parmi ses 3 prétendants aura le privilège de la labourer à son tour. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gamin 30 juin 2010 Partager 30 juin 2010 Le parfum... Thérèse Raquin d`Emile Zola et Huis clos de Sartre... Ok, donc pour ton premier post on apprend que tu n'a aucun goût littéraire. Bienvenue. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
☣Rage-Chan☣ 30 juin 2010 Partager 30 juin 2010 Ni d'Ève, ni d'Adam.De Nothomb.Pas besoin d'en dire plus. Et pourtant je suis très bon public. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ninchat 30 juin 2010 Partager 30 juin 2010 J'ai eu la plus grande misère du monde à lire Maria Chapdelaine, ce fleuron de la littérature du terroir québécois. C'est un roman très contemplatif dans la mesure où elle ne fait que labourer sa terre tout le long en se demandant lequel parmi ses 3 prétendants aura le privilège de la labourer à son tour.Je comprends, c'est assez plate comme histoire, en effet.Mon directeur de maîtrise est le plus grand admirateur de Louis Hémon, il collectionne les éditions de Maria Chapdelaine.. Heureusement il a d'autres intérêts que ça.Contemplatif est un terme très bien choisi. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Maxwell 30 juin 2010 Partager 30 juin 2010 Volkswagen Blues - Jacques PoulinD'une platitude légendaire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
John de Gray 30 juin 2010 Partager 30 juin 2010 Volkswagen Blues - Jacques PoulinD'une platitude légendaire.T'as pas lu grand livre alors, c'est un des livres québecois (Je ne compte pas les pièces de théatres) que j'ai lu que j'ai le plus apprécié. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Maxwell 30 juin 2010 Partager 30 juin 2010 T'as pas lu grand livre alors, c'est un des livres québecois (Je ne compte pas les pièces de théatres) que j'ai lu que j'ai le plus apprécié.Je ne vois pas comment tu peux te baser sur le fait que j'ai pas aimé Volkswagen Blues pour dire que j'ai pas lu grand livres. J'ai pas lu beaucoup de livres québécois. J'en ai aimé plusieurs mais pas celui-ci.Je suis un fan de science fiction et plus particulièrement de "space opéra" donc tu peux comprendre que le livre de Poulin n'est pas vraiment dans mes cordes. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
John de Gray 30 juin 2010 Partager 30 juin 2010 Je ne vois pas comment tu peux te baser sur le fait que j'ai pas aimé Volkswagen Blues pour dire que j'ai pas lu grand livres. J'ai pas lu beaucoup de livres québécois. J'en ai aimé plusieurs mais pas celui-ci.Je suis un fan de science fiction et plus particulièrement de "space opéra" donc tu peux comprendre que le livre de Poulin n'est pas vraiment dans mes cordes.Bon bon bon, j'vois que tu a mal compris le concept du topic. On parle pas d'un livre qu'on a pas aimé (J'en ai des dizaines) on parle du PIRE.Pi je trouve que si Volkswagen Blues c'est le PIRE livre que tu a lu, soit tu lis juste les meilleurs livres du monde + Volkswagen Blues, soit tu lis pas grand livres. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Maxwell 30 juin 2010 Partager 30 juin 2010 Bon bon bon, j'vois que tu a mal compris le concept du topic. On parle pas d'un livre qu'on a pas aimé (J'en ai des dizaines) on parle du PIRE.Pi je trouve que si Volkswagen Blues c'est le PIRE livre que tu a lu, soit tu lis juste les meilleurs livres du monde + Volkswagen Blues, soit tu lis pas grand livres.Le livre que j'ai lu au complet m'ayant laisser la PIRE impression dont je me rappelle est Volkswagen Blues.J'ai bien compris le thread et ma réponse ne change pas.Ceci dit, penses ce que tu veux de ma culture littéraire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Vomi de chien 1 juillet 2010 Partager 1 juillet 2010 Anne Hébert, une fucking truie parmi les truies. J'ai jamais été capable de finir l'insupportable Les Fous de Bassan. C'est pas mal le seul livre que j'ai détesté, j'suis pas vraiment difficile. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teuehikan 1 juillet 2010 Partager 1 juillet 2010 Mein Kampf d'Adolf Hitler est réellement pénible à lire. Je dois me forcer pour le continuer à le lire. Bien que ce soit une traduction et que la propagande Nazi avait retravaillé le texte à l'époque, ça demeure un texte décousu où Hitler mélange ses idées et tire partout.Son seul intérêt et sa seule valeur est d'un point de vue historique. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
John de Gray 1 juillet 2010 Partager 1 juillet 2010 Anne Hébert, une fucking truie parmi les truies. J'ai jamais été capable de finir l'insupportable Les Fous de Bassan. C'est pas mal le seul livre que j'ai détesté, j'suis pas vraiment difficile.Je ne l'ai pas lu, mais je te crois. J'ai lu (et interprété) La Cage d'Anne Hébert, c'était de la crap. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gamin 6 juillet 2010 Partager 6 juillet 2010 (modifié) Come on, une auteure, une auteure, une femme! Québécoise de surcroit, c'est surement la catégorie de livre les plus détestable de façon général, un jugement sûr. Exception faite de: Speak whiteil est si beau de vous entendreparler de Paradise Lostou du profil gracieux et anonyme qui trembledans les sonnets de Shakespearenous sommes un peuple inculte et bèguemais ne sommes pas sourds au génie d'une langueparlez avec l'accent de Milton et Byron etShelley et Keatsspeak whiteet pardonnez-nous de n'avoir pour réponseque les chants rauques de nos ancêtreset le chagrin de Nelliganspeak whiteparlez de choses et d'autresparlez-nous de la Grande Charteou du monument à Lincolndu charme gris de la Tamisede l'eau rose du Potomacparlez-nous de vos traditionsnous sommes un peuple peu brillantmais fort capable d'appréciertoute l'importance des crumpetsou du Boston Tea Partymais quand vous really speak whitequand vous get down to brass tackspour parler du gracious livinget parler du standard de vieet de la Grande Sociétéun peu plus fort alors speak whitehaussez vos voix de contremaîtresnous sommes un peu durs d'oreillenous vivons trop près des machineset n'entendons que notre souffle au-dessus des outilsspeak white and loudqu'on vous entendede Saint-Henri à Saint-Domingueoui quelle admirable languepour embaucherdonner des ordresfixer l'heure de la mort à l'ouvrageet de la pause qui rafraîchitet ravigote le dollarspeak whitetell us that God is a great big shotand that we're paid to trust himspeak whiteparlez-nous production profits et pourcentagesspeak whitec'est une langue richepour achetermais pour se vendremais pour se vendre à perte d'âmemais pour se vendreSpeak WhiteSpeak whiteIt sounds so beautiful when youSpeak of Paradise LostAnd of the gracious and anonymous profile that tremblesIn Shakespeare's sonnetsWe're an uncultured stammering raceBut we are not deaf to the genius of a languageSpeak with the accent of Milton and Byron and Shelley and KeatsSpeak whiteAnd forgive us our only answerBeing the raucous songs of our ancestorsAnd the sorrows of NelliganSpeak whiteTalk about this and thatTell us about Magna CartaOr the Lincoln MemorialThe grey charm of the ThamesThe pink waters of the PotomacTell us about your traditionsAs a people we don't really shineBut we're quite capable of appreciatingAll the significance of crumpetsOr the Boston Tea PartyBut when you really speak whiteWhen you get down to brass tacksTo talk about gracious livingAnd speak of standing in lifeAnd the Great SocietyA bit stronger then, speak whiteRaise your foremen's voicesWe're a bit hard of hearingWe live too close to the machinesAnd we only hear the sound of our breathing over the tools.Speak white and loudSo that we can hear youFrom St-Henri to St-DomingueWhat an admirable tongueFor hiringGiving ordersSetting the time for working yourself to deathAnd for the pause that refreshesAnd invigorates the dollarSpeak whiteTell us that God is a great big shotAnd that we're paid to trust himSpeak whiteTalk to us about production profits and percentagesSpeak whiteIt's a rich langaugeFor buyingBut for sellingBut for selling your soulBut for selling outAh!Speak whiteBig dealBut to tell you aboutThe eternity of a day on strikeTo tell the story ofHow a race of servants liveBut for us to come home at nightAt the time that the sun snuffs itself out over the backstreetsBut to tell you yes that the sun is setting yesEvery day of our lives to the east of your empiresThere's nothing to match a language of swearwordsOur none-too-clean parlureGreasy and oil-stained.Speak whiteBe easy in your wordsWe're a race that holds grudgesBut let's not criticize anyoneFor having a monopolyOn correcting languageIn Shakespeare's soft tongueWith the accent of LongfellowSpeak a pure and atrociously white FrenchLike in Vietnam, like in the CongoSpeak impeccable GermanA yellow star between your teethSpeak Russian speak call to order speak repressionSpeak whiteIt is a universal languageWe were born to understand itWith its teargas wordsWith its nightstick wordsSpeak whiteTell us again about Freedom and DemocracyWe know that liberty is a black wordJust as poverty is blackAnd just as blood mixes with dust in the steets of AlgiersAnd Little RockSpeak whiteFrom Westminster to Washington take it in turnSpeak white like they do on Wall StreetWhite like they do in WattsBe civilizedAnd understand us when we speak of circumstancesWhen you ask us politelyHow do you doAnd we hear you sayWe're doing all rightWe're doing fineWeAre not aloneWe knowThat we are not alone Modifié 6 juillet 2010 par Gamin 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Zède 6 juillet 2010 Partager 6 juillet 2010 (modifié) La philosphie dans le boudoir du Marquis de Sade.Œuvre d'un malade, si au moins, toutes ses pensées n'étaient qu'une façon exagérée de dénoncer le fanatisme religieux, les règles que les humains s'imposent au nom de je ne sais quoi, mais non, j'ai vraiment essayer de chercher, tout ce que je vois dans cet auteur n'est rien d'autre que perversité, machisme et ignorance.De plus, j'ai l'impression qu'il ne voit pas qu'il se contredit, il parle de liberté sexuelle tout en prônant la supériorité de l'homme sur la femme, qu'il considère comme un objet qui ne désire qu'assouvir les désirs de ces messieurs.J'aimerais retourner dans le temps et lui demander s'il ne pense pas qu'une des autres libertés qu'on a, c'est de ne justement pas vivre que pour le sexe, s'il est inconcevable pour lui, qu'un homme puisse désirer autre chose que de baiser.(Sans parler des passages très longs, car tout n'est que longueur dans ce livre, surtout les passages où il sublime la sodomie.) Modifié 6 juillet 2010 par Zède Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tragico Comoedia 7 juillet 2010 Partager 7 juillet 2010 Moi je dirais que c'est plutôt une série: L'épée de vérité.Plus jeune, comme tous les adolescents qui lisent, j'ai eu ma passe Heroic-Fantasy. Bon, ça c'est passé avec le temps, mais je peux encore apprécier un livre d'héroic fantasy.Un cousin me prête donc le tome 1 de l'épée de vérité. C'est un livre de fantasy honnête, quoique un peu calqué sur Tolkien (mais quelle oeuvre de fantasy ne l'est pas). J'aime assez pour lire le 2. Beaucoup mieux, on voit une belle amélioration de l'auteur. Chouette alors! Je commence le trois. L'auteur corrige les failles des précédents en introduisant un méchant qui sera récurrent pour le reste de la série (plutôt que de constamment répéter le même schéma en changeant le vilain). Super! Le 4 alors! Très bon aussi. Bon ça plusieurs que je lis, mais pourquoi m'arrêter là? Je commence le 5. Et c'est là que tout a dérapé. L'auteur nous présente une histoire décousue et peu intéressante, avec un climax qui ne fait ni queue ni tête. Le héros fait un sort qu'il ne comprend pas lui-même, et ça tombe bien parce que nous non plus. En plus, Goodkind développe pendant la majeure partie du livre un personnage (on le voit plus souvent que le héros), seulement pour le tuer lamentablement sans qu'il n'aie fait rien d'utile. Bon, mais il y avait quand même quelques bons éléments, alors je vais quand même lire le 6. Grave erreur. À partir de ce tome, Terry Goodkind, qui s'est découvert une idole philosophique en Ayn Rand, décide de nous enfoncer sa théorie politique dans la gorge (qui se résume à la meilleure façon d'aider le monde c'est de s'occuper de soi-même donc l'État c'est le mal, je m'en vais faire de l'argent dans mon coin. Pis si t'es pauvre, c'est de ta faute, ostie de flamou). Il met donc l'histoire au second plan et nous martèle son idéologie à deux balles. Bon. Mais la fin est super cool et est un terrible cliffhanger. Juste pour ça, je vais lire le 7.Premier chapitre, on parle d'une fille qui nous était jusque là inconnue, Jennsen. D'accord. Deuxième chapitre aussi. Bon, tu l'as assez introduit, on veut voir ce qui est arrivé avec Richard (le héros). C'est sûr que chapitre 3 on parle de lui. Non. 4? Non plus. ON NE VOIT PAS LE HÉROS AVANT LE FIN DU FUCKING LIVRE. Et le seul chapitre où il est présent ou presque, qu'est-ce qu'il fait? IL NOUS ENFONCE SA MORALE À DEUX BALLES DANS LA GORGE!!!!Ok, je devrais arrêter de lire ces osties de livre, c'est trop de la marde. Mais là j'en ai déjà lus 7. C'est autant que la Tour Sombre ou Harry Potter. Je ne suis pas pour abandonner là. Allez, je lis le 8 (courage!).Bon, je vous le résume. Il est encore malade, il doit aller sauver un peuple de débiles mentaux parce qu'ils ne pensent pas comme lui, il leur montre la vérité en leur faisant penser comme lui, Alleluia! Ils bottent le cul des méchants socialistes. Ah oui! Il était malade parce qu'il éprouvait de la compassion pour ses ennemis et ça c'est mal. Quelle belle cochonnerie ce livre.Mais je vais sûrement lire le 9, car je veux terminer cette fichue série. S'il-vous-plaît, quelqu'un, SAUVEZ-MOI!!! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Herman Dentcarié 12 juillet 2010 Partager 12 juillet 2010 La symphonie pastorale d'André Gide... Déjà, sans avoir même osé mettre le coin d'un oeil sur la première ligne de texte, sans entrevoir même d'ouvrir ce bouquin putride, le combo titre-couverture décourage. On se trouble, on se tord, le cerveau fait quelques tours et s'amollit, déjà assommé raide par l'anticipation de l'ennui. L'horreur indicible qu'on découvre à l'intérieur, pourtant, est bien pire que cette impression déjà lourde. Jonché de tirades bibliques interminables, d'abysses textuels et de revirements creux, le livre jouit d'une construction parfaite, d'une architecture sans faille, qui ne peut que mener vers l'insupportable. On réalise rapidement que Gide tente de passer le temps et que le squelette de son oeuvre aurait mieux fait de rester squelette dans un tiroir oublié farci de vieux papiers. Au menu, un prêtre vieillissant séduit une jeune aveugle grâce à la parole divine. Un vrai régal. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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