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Le pire livre que vous avez lu


Déchet(s) recommandé(s)

Super.Jésus_*
(modifié)

C'est quoi cette ostie de conne la qui pense qu'un ouvrage mythologique de l'antiquité grecque allait être un fucking livre d'heroic fantasy.

What the fuck

what the fuck

What the fuck

3372520997857835.jpg

Substituez ''man'' par ''woman'' dans le punch.

Modifié par Super.Jésus
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  • 2 semaines plus tard...
(modifié)

Nègres blancs d'Amérique de Pierre Vallières

Le vieux chagrin de Jacques Poulin

Au secondaire, mon prof de francais m`avait suggéré de prendre Jessie de Stephen King pour notre travail de lecture. Jsuis resté marqué. Ca fait 8 ans et j`en fait encore des cauchemars...

Le parfum... quand le film est sorti j`ai lu le livre (j`ai pas vu le film) et god ca m`a tout pris pour le terminer... J`ai lu son autre livre Le pigeon, au cas ou ca serait meilleur. Seigneur j`ai jamais lu quelque chose de plate de meme.

Sinon livre obligatoire du Cegep, Thérèse Raquin d`Emile Zola et Huis clos de Sartre... jpensais mourir...

(first post, accueillez moi chaleureusement)

!

Modifié par Eschyle
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J'ai eu la plus grande misère du monde à lire Maria Chapdelaine, ce fleuron de la littérature du terroir québécois. C'est un roman très contemplatif dans la mesure où elle ne fait que labourer sa terre tout le long en se demandant lequel parmi ses 3 prétendants aura le privilège de la labourer à son tour.

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Le parfum... Thérèse Raquin d`Emile Zola et Huis clos de Sartre...

Ok, donc pour ton premier post on apprend que tu n'a aucun goût littéraire.

Bienvenue.

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J'ai eu la plus grande misère du monde à lire Maria Chapdelaine, ce fleuron de la littérature du terroir québécois. C'est un roman très contemplatif dans la mesure où elle ne fait que labourer sa terre tout le long en se demandant lequel parmi ses 3 prétendants aura le privilège de la labourer à son tour.

Je comprends, c'est assez plate comme histoire, en effet.

Mon directeur de maîtrise est le plus grand admirateur de Louis Hémon, il collectionne les éditions de Maria Chapdelaine..

Heureusement il a d'autres intérêts que ça.

Contemplatif est un terme très bien choisi.

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Volkswagen Blues - Jacques Poulin

D'une platitude légendaire.

T'as pas lu grand livre alors, c'est un des livres québecois (Je ne compte pas les pièces de théatres) que j'ai lu que j'ai le plus apprécié.

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T'as pas lu grand livre alors, c'est un des livres québecois (Je ne compte pas les pièces de théatres) que j'ai lu que j'ai le plus apprécié.

Je ne vois pas comment tu peux te baser sur le fait que j'ai pas aimé Volkswagen Blues pour dire que j'ai pas lu grand livres. J'ai pas lu beaucoup de livres québécois. J'en ai aimé plusieurs mais pas celui-ci.

Je suis un fan de science fiction et plus particulièrement de "space opéra" donc tu peux comprendre que le livre de Poulin n'est pas vraiment dans mes cordes.

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Je ne vois pas comment tu peux te baser sur le fait que j'ai pas aimé Volkswagen Blues pour dire que j'ai pas lu grand livres. J'ai pas lu beaucoup de livres québécois. J'en ai aimé plusieurs mais pas celui-ci.

Je suis un fan de science fiction et plus particulièrement de "space opéra" donc tu peux comprendre que le livre de Poulin n'est pas vraiment dans mes cordes.

Bon bon bon, j'vois que tu a mal compris le concept du topic. On parle pas d'un livre qu'on a pas aimé (J'en ai des dizaines) on parle du PIRE.

Pi je trouve que si Volkswagen Blues c'est le PIRE livre que tu a lu, soit tu lis juste les meilleurs livres du monde + Volkswagen Blues, soit tu lis pas grand livres.

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Bon bon bon, j'vois que tu a mal compris le concept du topic. On parle pas d'un livre qu'on a pas aimé (J'en ai des dizaines) on parle du PIRE.

Pi je trouve que si Volkswagen Blues c'est le PIRE livre que tu a lu, soit tu lis juste les meilleurs livres du monde + Volkswagen Blues, soit tu lis pas grand livres.

Le livre que j'ai lu au complet m'ayant laisser la PIRE impression dont je me rappelle est Volkswagen Blues.

J'ai bien compris le thread et ma réponse ne change pas.

Ceci dit, penses ce que tu veux de ma culture littéraire.

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Mein Kampf d'Adolf Hitler est réellement pénible à lire. Je dois me forcer pour le continuer à le lire. Bien que ce soit une traduction et que la propagande Nazi avait retravaillé le texte à l'époque, ça demeure un texte décousu où Hitler mélange ses idées et tire partout.

Son seul intérêt et sa seule valeur est d'un point de vue historique.

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Anne Hébert, une fucking truie parmi les truies. J'ai jamais été capable de finir l'insupportable Les Fous de Bassan. C'est pas mal le seul livre que j'ai détesté, j'suis pas vraiment difficile.

Je ne l'ai pas lu, mais je te crois. J'ai lu (et interprété) La Cage d'Anne Hébert, c'était de la crap.

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Come on, une auteure, une auteure, une femme! Québécoise de surcroit, c'est surement la catégorie de livre les plus détestable de façon général, un jugement sûr.

Exception faite de:

Speak white

il est si beau de vous entendre

parler de Paradise Lost

ou du profil gracieux et anonyme qui tremble

dans les sonnets de Shakespeare

nous sommes un peuple inculte et bègue

mais ne sommes pas sourds au génie d'une langue

parlez avec l'accent de Milton et Byron et

Shelley et Keats

speak white

et pardonnez-nous de n'avoir pour réponse

que les chants rauques de nos ancêtres

et le chagrin de Nelligan

speak white

parlez de choses et d'autres

parlez-nous de la Grande Charte

ou du monument à Lincoln

du charme gris de la Tamise

de l'eau rose du Potomac

parlez-nous de vos traditions

nous sommes un peuple peu brillant

mais fort capable d'apprécier

toute l'importance des crumpets

ou du Boston Tea Party

mais quand vous really speak white

quand vous get down to brass tacks

pour parler du gracious living

et parler du standard de vie

et de la Grande Société

un peu plus fort alors speak white

haussez vos voix de contremaîtres

nous sommes un peu durs d'oreille

nous vivons trop près des machines

et n'entendons que notre souffle au-dessus des outils

speak white and loud

qu'on vous entende

de Saint-Henri à Saint-Domingue

oui quelle admirable langue

pour embaucher

donner des ordres

fixer l'heure de la mort à l'ouvrage

et de la pause qui rafraîchit

et ravigote le dollar

speak white

tell us that God is a great big shot

and that we're paid to trust him

speak white

parlez-nous production profits et pourcentages

speak white

c'est une langue riche

pour acheter

mais pour se vendre

mais pour se vendre à perte d'âme

mais pour se vendre

Speak White

Speak white

It sounds so beautiful when you

Speak of Paradise Lost

And of the gracious and anonymous profile that trembles

In Shakespeare's sonnets

We're an uncultured stammering race

But we are not deaf to the genius of a language

Speak with the accent of Milton and Byron and Shelley and Keats

Speak white

And forgive us our only answer

Being the raucous songs of our ancestors

And the sorrows of Nelligan

Speak white

Talk about this and that

Tell us about Magna Carta

Or the Lincoln Memorial

The grey charm of the Thames

The pink waters of the Potomac

Tell us about your traditions

As a people we don't really shine

But we're quite capable of appreciating

All the significance of crumpets

Or the Boston Tea Party

But when you really speak white

When you get down to brass tacks

To talk about gracious living

And speak of standing in life

And the Great Society

A bit stronger then, speak white

Raise your foremen's voices

We're a bit hard of hearing

We live too close to the machines

And we only hear the sound of our breathing over the tools.

Speak white and loud

So that we can hear you

From St-Henri to St-Domingue

What an admirable tongue

For hiring

Giving orders

Setting the time for working yourself to death

And for the pause that refreshes

And invigorates the dollar

Speak white

Tell us that God is a great big shot

And that we're paid to trust him

Speak white

Talk to us about production profits and percentages

Speak white

It's a rich langauge

For buying

But for selling

But for selling your soul

But for selling out

Ah!

Speak white

Big deal

But to tell you about

The eternity of a day on strike

To tell the story of

How a race of servants live

But for us to come home at night

At the time that the sun snuffs itself out over the backstreets

But to tell you yes that the sun is setting yes

Every day of our lives to the east of your empires

There's nothing to match a language of swearwords

Our none-too-clean parlure

Greasy and oil-stained.

Speak white

Be easy in your words

We're a race that holds grudges

But let's not criticize anyone

For having a monopoly

On correcting language

In Shakespeare's soft tongue

With the accent of Longfellow

Speak a pure and atrociously white French

Like in Vietnam, like in the Congo

Speak impeccable German

A yellow star between your teeth

Speak Russian speak call to order speak repression

Speak white

It is a universal language

We were born to understand it

With its teargas words

With its nightstick words

Speak white

Tell us again about Freedom and Democracy

We know that liberty is a black word

Just as poverty is black

And just as blood mixes with dust in the steets of Algiers

And Little Rock

Speak white

From Westminster to Washington take it in turn

Speak white like they do on Wall Street

White like they do in Watts

Be civilized

And understand us when we speak of circumstances

When you ask us politely

How do you do

And we hear you say

We're doing all right

We're doing fine

We

Are not alone

We know

That we are not alone

Modifié par Gamin
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La philosphie dans le boudoir du Marquis de Sade.

Œuvre d'un malade, si au moins, toutes ses pensées n'étaient qu'une façon exagérée de dénoncer le fanatisme religieux, les règles que les humains s'imposent au nom de je ne sais quoi, mais non, j'ai vraiment essayer de chercher, tout ce que je vois dans cet auteur n'est rien d'autre que perversité, machisme et ignorance.

De plus, j'ai l'impression qu'il ne voit pas qu'il se contredit, il parle de liberté sexuelle tout en prônant la supériorité de l'homme sur la femme, qu'il considère comme un objet qui ne désire qu'assouvir les désirs de ces messieurs.

J'aimerais retourner dans le temps et lui demander s'il ne pense pas qu'une des autres libertés qu'on a, c'est de ne justement pas vivre que pour le sexe, s'il est inconcevable pour lui, qu'un homme puisse désirer autre chose que de baiser.

(Sans parler des passages très longs, car tout n'est que longueur dans ce livre, surtout les passages où il sublime la sodomie.)

Modifié par Zède
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Moi je dirais que c'est plutôt une série: L'épée de vérité.

Plus jeune, comme tous les adolescents qui lisent, j'ai eu ma passe Heroic-Fantasy. Bon, ça c'est passé avec le temps, mais je peux encore apprécier un livre d'héroic fantasy.

Un cousin me prête donc le tome 1 de l'épée de vérité. C'est un livre de fantasy honnête, quoique un peu calqué sur Tolkien (mais quelle oeuvre de fantasy ne l'est pas). J'aime assez pour lire le 2. Beaucoup mieux, on voit une belle amélioration de l'auteur. Chouette alors! Je commence le trois. L'auteur corrige les failles des précédents en introduisant un méchant qui sera récurrent pour le reste de la série (plutôt que de constamment répéter le même schéma en changeant le vilain). Super! Le 4 alors! Très bon aussi. Bon ça plusieurs que je lis, mais pourquoi m'arrêter là? Je commence le 5.

Et c'est là que tout a dérapé. L'auteur nous présente une histoire décousue et peu intéressante, avec un climax qui ne fait ni queue ni tête. Le héros fait un sort qu'il ne comprend pas lui-même, et ça tombe bien parce que nous non plus. En plus, Goodkind développe pendant la majeure partie du livre un personnage (on le voit plus souvent que le héros), seulement pour le tuer lamentablement sans qu'il n'aie fait rien d'utile. Bon, mais il y avait quand même quelques bons éléments, alors je vais quand même lire le 6.

Grave erreur. À partir de ce tome, Terry Goodkind, qui s'est découvert une idole philosophique en Ayn Rand, décide de nous enfoncer sa théorie politique dans la gorge (qui se résume à la meilleure façon d'aider le monde c'est de s'occuper de soi-même donc l'État c'est le mal, je m'en vais faire de l'argent dans mon coin. Pis si t'es pauvre, c'est de ta faute, ostie de flamou). Il met donc l'histoire au second plan et nous martèle son idéologie à deux balles. Bon. Mais la fin est super cool et est un terrible cliffhanger. Juste pour ça, je vais lire le 7.

Premier chapitre, on parle d'une fille qui nous était jusque là inconnue, Jennsen. D'accord. Deuxième chapitre aussi. Bon, tu l'as assez introduit, on veut voir ce qui est arrivé avec Richard (le héros). C'est sûr que chapitre 3 on parle de lui. Non. 4? Non plus. ON NE VOIT PAS LE HÉROS AVANT LE FIN DU FUCKING LIVRE. Et le seul chapitre où il est présent ou presque, qu'est-ce qu'il fait? IL NOUS ENFONCE SA MORALE À DEUX BALLES DANS LA GORGE!!!!

Ok, je devrais arrêter de lire ces osties de livre, c'est trop de la marde. Mais là j'en ai déjà lus 7. C'est autant que la Tour Sombre ou Harry Potter. Je ne suis pas pour abandonner là. Allez, je lis le 8 (courage!).

Bon, je vous le résume. Il est encore malade, il doit aller sauver un peuple de débiles mentaux parce qu'ils ne pensent pas comme lui, il leur montre la vérité en leur faisant penser comme lui, Alleluia! Ils bottent le cul des méchants socialistes. Ah oui! Il était malade parce qu'il éprouvait de la compassion pour ses ennemis et ça c'est mal. Quelle belle cochonnerie ce livre.

Mais je vais sûrement lire le 9, car je veux terminer cette fichue série. S'il-vous-plaît, quelqu'un, SAUVEZ-MOI!!!

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la-symphonie-pastorale_couv.jpg

La symphonie pastorale d'André Gide... Déjà, sans avoir même osé mettre le coin d'un oeil sur la première ligne de texte, sans entrevoir même d'ouvrir ce bouquin putride, le combo titre-couverture décourage. On se trouble, on se tord, le cerveau fait quelques tours et s'amollit, déjà assommé raide par l'anticipation de l'ennui. L'horreur indicible qu'on découvre à l'intérieur, pourtant, est bien pire que cette impression déjà lourde.

Jonché de tirades bibliques interminables, d'abysses textuels et de revirements creux, le livre jouit d'une construction parfaite, d'une architecture sans faille, qui ne peut que mener vers l'insupportable. On réalise rapidement que Gide tente de passer le temps et que le squelette de son oeuvre aurait mieux fait de rester squelette dans un tiroir oublié farci de vieux papiers.

Au menu, un prêtre vieillissant séduit une jeune aveugle grâce à la parole divine. Un vrai régal.

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