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L'infériorité intellectuelle des noirs.


  

78 membres ont voté

  1. 1. Comment jugez-vous la performance de L'Anthropologue?

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  2. 2. Comment jugez-vous la performance de Allah est gland?

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    • - Médiocre.
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  3. 3. Le grand gagnant de ce débat?

    • L'Anthropologue
      46
    • Allah est gland
      31


Déchet(s) recommandé(s)

Ce sujet était très bien lorsqu'il était mort.

M-E-R-C-I le gland d'essayer de ressusciter le débat une fois de plus...

Diminuer les non blancs et les musulmans est une P-R-I-O-R-I-T-É à temps plein pour ce mec. C'est une obsession.

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Bon, j'ouvre le bal.

Position: Oui, les Noirs présentent en moyenne un QI plus faible que les autres. Je tiens d'abord à préciser ma position, car plusieurs ont de la difficulté à comprendre ce qu'est une moyenne. J'espère que ce n'est pas le cas de mon adversaire Anthropologue. Une moyenne d'une population comprend des éléments qui sont supérieurs et des éléments qui sont inférieurs. Ainsi, même si la moyenne du QI des Noirs est inférieure à celle des autres, je suis tout à fait conscient qu'il y a quand même un pourcentage de la population Noire qui présente un avantage intellectuel sur la moyenne des autres. Bref, le plus intelligent des Noirs n'est pas plus idiot que le plus idiots des autres. Ce graphique présente bien cette situation:

400px-Sketch-4race-transparent.png

Apportons une seconde précision: les tests de QI sont le plus fiable indicateur de l'intelligence que l'on a actuellement. Oui, un individu qui ne fait pas bien dans le test n'est pas nécessairement un idiot, mais quand le test est appliqué à un très grand échantillon, la marge d'erreur est très faible. Ces tests sont conçus par des psychologues et scientifiques spécialisés dans le domaine qui s'y connaissent sans doute mieux que moi ou Anthropologue, d'où la futilité de critiquer leur conception (toutes critiques auxquelles l'on peut penser ont assurément déjà été prises en considération par ces experts)

Maintenant, regardons les faits:

1-Toutes les études croisant le QI et la race confirment que les Noirs présentent un déficit. La corrélation entre la race et le QI est indéniable. À cet effet, l'on peut donner les résultats d'une sommité en la matière, Richard Lynn (professeur émérite de psychologie à University of Ulster) provenant de son livre "Race Differences in Intelligence: An Evolutionary Analysis":

QI moyen:

Européens: 99

Noirs-Africains: 67

Noirs-Américains: 80

Ces différences sont donc notées à la fois dans les pays à majorité Noire, mais également dans les pays développés.

2-La causalité entre race et QI n'est pas prouvée, mais le contraire n'est pas prouvé non plus. Par contre, l'on peut observer ces évidences:

a) TOUTES les sociétés majoritaires Noires sont à la traîne dans tous les domaines de développement. Ce retard ne peut être attribué uniquement au colonialisme, car ces sociétés n'avaient rien produit avant la colonisation (l'écriture et la métallurgie n'existaient même pas dans plusieurs d'entre elles) et n'ont rien fait par la suite. De plus, le colonialisme ne se limite pas à l'Afrique-Noire. Or, la majorité des autres pays touchés par la colonisation se sont relevés.

b) Dans les sociétés où une minorité de Noirs est présente, ceux-ci sont nettement inférieurs à la majorité dans les performances scolaires et, corrolairement, au niveau professionnel (étude à l'appui, je peux la retrouver si vous voulez).

c) Les difficultés d'immigration (la pauvreté) ne peut expliquer le faible QI des Noirs dans les pays développés, car les autres communautés immigrantes s'en sortent beaucoup mieux et ne sont pas nécessairement plus riches en partant.

La plupart des faits tendent à montrer qu'il y a un lien de causalité entre la race et le QI, même si ce n'est pas politiquement correct de le dire. D'ailleurs, le découvreur de l'ADN, James Dewey Watson, est du même avis que moi.

NON, les noirs ne sont pas moins intelligents !!

est-ce que vous dîtes des mexicains qu'ils sont moins intelligents ?? NON

est-ce que vous dîtes des egyptiens qu'ils sont moins intelligents ?? NON

est-ce que vous dîtes des asiatiques qu'ils sont moins intelligents ?? NON

est-ce que vous dîtes des irlandais qu'ils sont moins intelligents ?? NON

Alors pourquoi est-ce les noirs qui se font dire inférieurs ?

sérieusement, ceux qui croient toujours que la couleur de la peau chanque quoi que ce soit sur le QI ou sur l'intelligence d'une personne.. vous etes vraiment pas mieux que des trou de cul qui se pensent superieurs aux autres

Modifié par mauricemauricette
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Professeur J. Philippe Rushton

University of Western Ontario

Les études sur les différences de taille du cerveau entre les races font appel à plusieurs

techniques, dont l'IRM. Toutes les techniques donnent les mêmes résultats. Ce sont les Orientaux qui

ont (en moyenne) les plus gros cerveaux, les Noirs les plus petits, et les Blancs se situent entre les

deux. Ces différences de volume ne sont pas dues aux différences de taille. Quand on corrige pour

tenir compte de la taille, on aboutit au même résultat. Le schéma à trois voies est également valable

pour le QI. Ces différences raciales de volume cérébral signifient que les Orientaux ont en moyenne

environ 102 millions de cellules cérébrales de plus que les Blancs, et que les Blancs en ont environ

480 millions de plus que les Noirs. Ces différences de volume cérébral expliquent probablement les

différences raciales de QI et de réalisations culturelles.

Les meilleurs preuves de la base génétique des différences de QI entre races proviennent des

études sur l'adoption transraciale d'enfants orientaux, noirs et métis. Tous ces enfants ont été adoptés

dans la petite enfance par des parents blancs et ont grandi dans des familles blanches de classe

moyenne.

L'une des études d'adoption transraciale bien connues est le projet du Minnesota de Sandra

Scarr. Les enfants adoptés étaient des bébés blancs, noirs ou métis (Blanc-Noir). Les enfants ont passé

des tests de QI à l'âge de sept ans puis à l'âge de 17 ans.

Dans leur publication initiale, les auteurs ont estimé que leur étude démontrait qu'un bon foyer

permettait d'élever le QI des jeunes Noirs. À l'âge de 7 ans, leur QI était de 97, très au-dessus de la

moyenne de 85 chez les Noirs, et presque égal à la moyenne des jeunes Blancs, égale à 100. Mais lors

du test à l'âge de 17 ans, les résultats racontaient une toute autre histoire (publiée en 1992 dans

Intelligence).

À sept ans, les enfants adoptés noirs, métis et blancs avaient tous un QI plus élevé que la

moyenne de leur groupe. Le fait de grandir dans un foyer de qualité était favorable à tous les enfants.

Mais, même dans ces conditions, le schéma racial était exactement conforme aux prédictions de la

théorie génétique et non à celles de la théorie culturelle. Les jeunes Noirs élevés dans ces bons foyers

avaient un QI moyen de 97, mais les jeunes métis avaient en moyenne 109 et les jeunes Blancs 112.

Les preuves en faveur de la théorie génétique se sont renforcées à mesure que les enfants

prenaient de l'âge. À 17 ans, les QI des enfants adoptés se rapprochaient de la moyenne prévue pour

leur race. À 17 ans, les jeunes Blancs adoptés avaient un QI d'environ 106, les jeunes métis d'environ

99 et les jeunes Noirs d'environ 89. Les QI ne sont pas le seul élément de preuve dans cette étude. Les

niveaux scolaires, le rang dans la classe et les tests d'aptitude suivent le même schéma.

Lorsque Sandra Scarr a obtenu les résultats du suivi à l'âge de 17 ans, elle a changé d'idée quant

à la cause des différences entre Blancs et Noirs. Elle a écrit : « ces enfants adoptés dont les deux

parents étaient des Noirs américains avaient un QI qui n'était pas sensiblement supérieur à celui de

jeunes Noirs élevés dans les familles noires ». Le fait de grandir dans une famille blanche de classe

moyenne n'avait entraîné que peu ou pas d'augmentation durable du QI des enfants noirs.

Certains psychologues n'ont pas été d'accord. Ils ont invoqué que ces résultats s'expliquaient par

des « effets d'attente » et non par les gènes. Ils ont prétendu que les enfants noirs et blancs n'étaient pas

traités de la même manière. Même si les parents s'occupaient bien des enfants, les écoles, les

camarades de classe et la société dans son ensemble discriminaient les enfants noirs et cela retentissait

négativement sur leur QI. Comme on s'attendait à ce que les enfants noirs aient des résultats scolaires

médiocres, ils avaient répondu aux attentes.

Existe-t-il un moyen de trancher entre génétique et théorie de l'attente ? Oui. Une analyse

spéciale menée sur l'étude de Scarr a comparé les parents qui pensaient avoir adopté un enfant noir

mais avaient en fait adopté un métis (Blanc-Noir). Le QI de ces enfants métis était pratiquement le

même que celui des autres enfants métis et supérieur à celui des enfant noirs adopotés. C'était vrai

malgré le fait que les parents adoptifs de ces enfants métis croyaient que ces enfants avaient deux

parents biologiques noirs.

La figure 9 résume les résultats pour les enfants orientaux adoptés dans des familles blanches de

classe moyenne. Des bébés coréens et vietnamiens d'origine pauvre, dont beaucoup souffraient de

malnutrition, ont été adoptés par des familles blanches américaines et belges. En grandissant, ils ont

été excellents à l'école. Le QI de ces enfants orientaux adoptés était supérieur de 10 points ou plus à la

moyenne nationale du pays où ils grandissaient. L'adoption transraciale n'augmente pas le QI et ne

l'abaisse pas non plus. Le schéma à trois voies des différences raciales de QI persiste.

La Minnesota Transracial Adoption Study a également montré qu'il existe des différences

raciales de personnalité. Les Noirs de 17 ans étaient plus actifs et plus perturbateurs que les Blancs du

même âge. Les enfants coréens élevés dans des familles américaines blanches étaient plus calmes et

moins actifs que les enfants blancs.

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Le mythe de la « race blanche » supérieure : Une réalité incontestable

par Chems Eddine Chitour

Un fait en apparence banal vient remettre les pendules à l’heure aux Etats-Unis, patrie de la liberté, de la libre entreprise : Il s’agit ni plus ni moins de la survivance des vieux démons du racisme. De quoi s’agit-il cette fois ? Dans un quartier chic, un monsieur tente d’ouvrir la porte d’une maison, en vain, il se fait aider par quelqu’un. Cette opération attire l’attention d’une âme charitable qui appelle la police en signalant que deux personnes avec des sacs tentaient de forcer l’ouverture d’une porte. Deux policiers arrivent et finissent par interpeller l’un d’eux, le menottent et l’amènent au poste pour interrogatoire. Quoi de plus banal ? Pourtant cette affaire a remué les Etats-Unis à commencer par le président Obama. En fait, la personne qui tentait d’ouvrir la porte était noire. Cest un professeur d’université émérite à l’université de Harvard, il a été classé parmi les 25 Américains les plus influents en 1997 par Time Magazine. Il rentrait chez lui après trois mois d’absence et avait des problèmes avec la serrure ; il s’est fait aider par son chauffeur.

Les Américains rapporte le journal le Monde, n’ont pas fini d’entendre parler du 16 juillet, jour où Henry Louis Gates Jr., l’un de leurs professeurs les plus connus, titulaire de la chaire d’études africaines-américaines à Harvard, a été arrêté chez lui comme un vulgaire malfrat par un policier blanc du commissariat de Cambridge, dans le Massachusetts. La victime a promis d’en tirer toutes les leçons. ´´J’en ferai un documentaire, a-t-il juré. Le système de justice pénale est vraiment pourri.´´ Le professeur revenait d’un séjour en Chine, où il était allé enquêter sur les origines familiales du violoncelliste Yo-Yo Ma.(...) Il a aussi fondé un site Internet ´´black´´, financé par le Washington Post, The Root. A Cambridge, où il habite sur Ware Street, dans une maison à quelques blocs de l’université, les gens le saluent dans la rue".(1)

(...) A ce stade, les versions divergent. Le professeur Gates a montré ses papiers, prouvé qu’il était chez lui, et à son tour, a demandé à son interlocuteur de justifier de son identité. Le sergent James Crowley, onze ans de métier, aurait refusé et le professeur Gates aurait dénoncé un délit de faciès. La discussion s’est terminée au poste, où l’universitaire, un homme de 58 ans et d’allure plutôt chétive, est arrivé menotté. Il n’est ressorti qu’au bout de quatre heures. L’incident, qui s’est déroulé suivant un scénario bien connu des Noirs américains, a réveillé les réflexes classiques. ´´Les seules personnes qui vivent dans un monde post-racial sont les quatre habitants´´ de la Maison-lanche, a commenté M.Gates, amer. Dans le Washington Post, le journaliste Wil Haygood a raconté d’expérience ce moment où, quel que soit le statut social, les individus reproduisent des comportements qui les dépassent : ´´Oubliez Harvard, (M.Gates) est dans cette zone délicate où se rencontrent la peau noire et les forces de l’ordre (...) Ce moment où l’homme noir porte une éternité pour bagage.´´(1)

Pendant sa conférence de presse, à la Maison-Blanche, le président Obama a été interrogé sur l’incident. ´´Skip est un ami, a-t-il dit, en utilisant le surnom du professeur. Je risque d’être partial.´´ ´´D’abord, je crois qu’on peut dire que nous serions tous assez en colère (dans cette situation). Deuxièmement, la police de Cambridge a été stupide d’arrêter quelqu’un alors que la preuve était établie qu’il était dans sa propre maison. Troisièmement, cet incident nous rappelle qu’il y a une longue habitude dans ce pays de contrôler les Africains-américains et les Latinos de manière disproportionnée.´´ Barack Obama s’est pris dans un de ces accès de fièvre auxquels peut donner lieu la confrontation d’un policier blanc et d’un Noir. Mais l’intensité de la polémique n’aurait probablement pas été aussi forte si l’universitaire n’avait pas été un ami de longue date du président et si ce dernier n’était pas intervenu.

Devant l’ampleur des réactions, notamment après son intervention qualifié de « militante » pour la cause noire, Barack Obama a annoncé avoir appelé le sergent Crowley, le policier qui a arrêté le professeur Henry Louis Gates de Harvard. Il regrette apparemment d’avoir parlé de ´´stupidité´´ de la police. Même s’il était en colère, le policier aurait dû comprendre que l’incident avait remué le couteau dans la plaie et que c’était moyennement futé d’insister...Etant un spécialiste du ´´racial profiling´´, il aurait pu faire preuve d’un peu de psychologie ? Il s’agit moins de racisme que de perceptions. Bref, si le policier avait eu affaire avec un vieux lawyer de Cambridge, grumpy mais blanc, se serait-il senti obligé de lui passer les menottes parce qu’il était en compagnie de deux autres policiers, dont un Noir ? Mais pour le New Tork Times, l’intrusion du président américain marque surtout un tournant politique. ´´En public, M.Obama a toujours cherché à transcender, voire éviter, la question raciale. En tant que candidat, il a essayé de limiter ses références raciales à la difficulté d’arrêter un taxi à New York (...). Mais, en réalité, la discrimination raciale a été un sujet majeur pour M.Obama lorsqu’il était représentant de l’Illinois.´´ Ce qui est surprenant, conclut le journal, c’est moins la réponse de Barack Obama que le fait qu’elle sorte de la bouche du président. Pour l’anecdote, au cours de sa conversation avec le policier, il a été question d’une bière que le président, le sergent et l’universitaire partageraient à la Maison-Blanche. Henry Louis Gates Jr a déclaré dans un courriel adressé vendredi soir au journal The Boston Globe qu’il acceptait l’invitation de Barack Obama à se rendre à la Maison-Blanche avec le sergent Crowley.(2)

D’après la version de la police, Gates aurait été arrêté après avoir harcelé le policier qui essayait de s’assurer qu’il était bien le propriétaire de la maison et ´´que l’endroit était sûr´´. (...) Loin d’ignorer la requête de l’officier de police, Gates serait ensuite allé chercher un badge d’identification de Harvard et son permis de conduire valide qui se trouvaient dans une mallette dans la cuisine Quand Gates a demandé au policier de s’identifier, ce dernier n’a pas répondu malgré la demande repétée à plusieurs reprises. Le policier a quitté la cuisine sans répondre, et sans dire que des charges étaient retenues contre Gates. Ce n’est que lorsque Gates l’a suivi dehors que le policier l’a remercié ´´d’avoir répondu à sa première requête´´, puis l’a menotté devant l’entrée de sa maison (...) Finalement relâché par la police après avoir été détenu 4 heures dans un commissariat, Henry Louis Gates qui n’a pas parlé aux médias depuis l’incident, se sentirait selon un de ses collègues ´´humilié´´ et ´´atteint´´.(2)

Dans un entretien à « The Root », Henry Louis Gates évoque son arrestation et le scandale de la discrimination raciale aux Etats-Unis. : Je suis scandalisé. Je n’arrive pas à croire qu’un membre de la police de Cambridge puisse traiter un Afro-américain de cette façon, et je suis stupéfié que cela me soit arrivé ; et, plus important encore, je suis consterné que cela puisse arriver à n’importe quel citoyen des États-Unis, quelle que soit sa couleur. (...) Je veux faire mon possible pour que tout policier y réfléchisse à deux fois avant de se comporter de cette manière".

"(..) Et soudain, un policier est apparu sur mon perron. Je me suis dit : « Tiens, c’est curieux ». Je suis allé vers lui, le téléphone toujours à la main, et j’ai dit : « Je peux vous aider, Monsieur l’agent ? ». Il a répondu : « Sortez sur le perron ». J’ai dit : « Non, je ne veux pas ». Il m’a dit : « Je suis là parce qu’on a appelé le 911 en voyant quelqu’un entrer par effraction dans cette maison ». J’ai répondu : « C’est ridicule, il se trouve que je suis chez moi. Et je suis professeur à Harvard ». Il a rétorqué : « Pouvez-vous prouver que vous êtes professeur à Harvard ? » J’ai dit oui, je me suis retourné, et j’ai sorti ma carte d’identité d’Harvard et mon permis de conduire du Massachusetts où figure mon adresse. Je les lui ai remis. Et il est resté assis là, à les regarder.(...) Voilà comment ça a dégénéré. Je n’arrêtais pas de lui dire : « Comment vous appelez-vous, quel est votre numéro de badge ? » et il refusait de me répondre. Je lui ai demandé trois fois, et trois fois il n’a pas répondu. Alors je lui ai dit : « Vous ne me répondez pas parce que je suis noir et que vous êtes un policier blanc ». (...) Une foule de badauds s’était rassemblée, et pendant qu’ils me menottaient et qu’ils m’escortaient jusqu’à la voiture, je leur ai dit : « C’est comme ça qu’on traite les Noirs en Amérique ? »(3)

« Quand j’ai été amené à la prison de Cambridge, on m’a inscrit, pris mes empreintes digitales, photographié et interrogé. Je suis resté en cellule pendant quatre heures. Je leur ai dit que j’étais claustrophobe, que je ne pouvais pas rester dans cette cellule. Allen Counter m’a appelé de l’Institut Nobel de Stockholm pour exprimer son indignation. (..) Je vais réunir mes avocats, et nous déciderons du type de poursuites que je devrais entreprendre. (...) Il y a un million d’hommes noirs dans les prisons américaines, et jeudi je suis devenu l’un d’eux. J’envisage de réaliser un documentaire sur la discrimination raciale.(...) Je pense que l’idée que l’Amérique a mis un terme à la discrimination raciale et envers les Noirs est risible, et ça, depuis le début. Aucun événement de l’histoire des Noirs aux Etats-Unis n’a plus d’importance que l’élection de Barack Obama. J’ai pleuré quand il a été élu, et j’ai pleuré lors de son investiture, mais cela ne change en rien le pourcentage de Noirs en prison, ni le pourcentage de noirs tourmentés par la discrimination raciale. Cela ne change en rien le nombre d’enfants noirs qui vivent à la limite du seuil de pauvreté. Leur pourcentage est presque le même que celui des enfants vivant au-dessous du seuil de pauvreté quand Martin Luther King a été assassiné ».(3)

Aux Etats-Unis, les inégalités, toujours bien vivantes, ne s’arrêtent pas aux pratiques policières. Un rapport de la ville de New York, publié début juillet, vient d’injecter une dimension raciale à la crise économique. A l’heure où le président étasunien estime avoir « éteint l’incendie » que représente la crise, les conclusions sont une alarmante piqûre de rappel de l’inégalité face à la crise. Le chômage des Noirs explose, il pourrait atteindre 25% en 2010 dans certains Etats. Les Latinos ne sont pas épargnés, ils ont connu une augmentation inégalée de plus de 6 points de pourcentage de leur taux de chômage. En 2010, plus de la moitié des enfants de la communauté afro - américaine pourrait se retrouver sous le seuil de pauvreté. L’élection de Barack Obama a éclipsé pendant quelques mois le débat sur la discrimination raciale aux Etats-Unis. Un jeune Noir sur neuf est toujours en prison et les contrôles policiers ciblent encore trop souvent les suspects en fonction de leur couleur de peau...(4)

Un exemple parmi des milliers, l’Américain Stanley Greene (agence Vu) photographe de guerre, raconte comment il a été traité lors d’une exposition consacrée à l’Irak et un travail collectif sur l’ouragan Katrina. Deux sujets autour de l’Amérique qu’il a quittée il y a vingt ans. Ecoutons-le : Katrina a servi de révélateur au racisme généralisé des Etats-Unis. Je l’ai vécu moi-même ! Nous occupions une maison louée par le magazine Time. J’étais le seul Noir parmi les journalistes. La police nous a harcelés. Un policier blanc a demandé à tout le monde ses papiers. Sauf à moi : il m’a plaqué contre le mur, presque nu, devant mes collègues embarrassés. Si je lui avais ouvert la porte, il m’aurait mis une balle dans la tête. Il disait : ´´Ce type n’est pas journaliste, je le sais.´´ (...). Moi, j’ai milité pour les droits civiques. Le racisme aux Etats-Unis est un monstre tapi qui se réveille à la moindre occasion. Le Ku Klux Klan sévissait dans le Sud il n’y a pas si longtemps. Comme par hasard, dans les quartiers blancs, les supermarchés ont été ouverts aux gens, par solidarité. Dans les quartiers noirs, on a mis des gardes pour les empêcher de rentrer !(...) (5)

Le racisme est-il consubstantiel de l’Homme blanc ? A titre d’exemple, en France et comme le rapporte David Reinhardt, une étude scientifique montre que les forces de l’ordre effectuent des contrôles d’identité discriminatoires vis-à-vis des Arabes et des Noirs. La société française n’est pas aussi égalitaire qu’elle voudrait l’être. Selon une étude scientifique effectuée dans la plus grande confidentialité, les Français de type arabe seraient 7,8 fois plus contrôlés que les Français blancs. Les Noirs six fois plus. Ces résultats ont été obtenus par l’observation du travail policier à Paris (gare du Nord et Châtelet-les-Halles) entre octobre 2007 et mai 2008. Financés par une fondation américaine, l’Open Society Institute, les enquêteurs ont ainsi secrètement décrypté 525 opérations de police, relevant notamment l’âge, le sexe, la tenue et le profil ethnique des individus contrôlés pour les comparer avec ceux des personnes (37.000 au total) passant à proximité. Selon le rapport, l’habillement joue aussi dans les contrôles : 47% des personnes contrôlées sont des personnes ayant un style vestimentaire hip-hop, tecktonik, punk ou gothique, ou des jeunes portant une capuche (6)

En définitive, il faut se souvenir que les idéologues du racisme au XIXe siècle, les Renan, Gobineau les Chamberlain et autres Kipling les Jules Ferry, pour qui les droits de l’homme ne sont pas valables dans les colonies, ont fait le lit, bien plus tard, du nazisme que l’Europe « découvre ». Sophie Bessis a bien raison d’écrire que le nazisme et l’idéologie de la race supérieure théorisés au XIXe siècle ne constituent pas une rupture d’avec l’esprit du XIXe siècle mais une filiation. Il n’y a donc rien de nouveau sous le soleil malgré l’hypocrisie occidentale des chantres des Droits de l’homme...blanc. Les mélanodermes en terre de blancs ont du souci à se faire.. Ainsi va le monde !(7)

1.La mésaventure d’un professeur noir ravive la question raciale aux Etats-Unis Le Monde 23.07.09

2.L’arrestation d’Henry Louis Gates fait du bruit aux Etats-Unis http://www.grioo. com/ar,l_arrestation_d_henry_louis_gates_fait_du_bruit_aux_etats-unis,17451.html 21/07/2009

3.Henry Louis Gates : « C’est comme ça qu’on traite les Noirs en Amérique ? » vendredi 24 juillet 2009 Entretien recueilli par Dayo Olopade, envoyé spécial à Washington pour The Root. Traduit par Bérengère Viennot http://www.slate.fr/story/8419/conte-du-racisme-ordinaire

4.La Rédaction : « Dernier embauché, premier viré », Noirs et Latinos dans la tourmente de la récession américaine. Mediapart.25 juillet 2009

5.´´Le racisme aux Etats-Unis est un monstre tapi´´ Le Monde - 09.09.06

6.David Reinhardt : La police française championne du contrôle au faciés ? 01/07/2009

7.Chems Eddine Chitour : L’Occident à la conquête du monde. Editions Enag 2009

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Je te laisse avec une source un peu moins biaisé.

Ça me fait drôlement penser à un type qui a manqué de respect envers les policiers qui tentaient de savoir pourquoi il était en train de défoncer la porte de son domicile et qui a immédiatement sorti la carte du racisme comme moyen de défense contre son manque de civisme envers les policiers.

La fin de ton article concerne le profilage racial; est-ce qu'on peut vraiment en vouloir aux policiers de trouver plus suspects 6 noirs de 18 à 20 ans dans un Cadilac Escalade à 60 000$ qu'un couple de personnes âgées se rendant au bingo?

By Tracy Jan, Globe Staff

Police arrived at Gates’s Ware Street home near Harvard Square at 12:44 p.m. to question him. Gates, director of the W.E.B. Du Bois Institute for African and African American Research at Harvard, had trouble unlocking his door after it became jammed.

He was booked for disorderly conduct after “exhibiting loud and tumultuous behavior,” according to a police report. Gates accused the investigating officer of being a racist and told him he had "no idea who he was messing with,'' the report said.

Gates told the officer that he was being targeted because "I'm a black man in America.''

Friends of Gates said he was already in his home when police arrived. He showed his driver’s license and Harvard identification card, but was handcuffed and taken into police custody for several hours last Thursday, they said.

The police report said Gates was arrested after he yelled at the investigating officer repeatedly inside the residence then followed the officer outside, where Gates continued to upbraid him. "It was at that time that I informed Professor Gates that he was under arrest,'' the officer wrote in the report.

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Cette « source » est bien plus biaisée que celle que j'ai présentée. Mais continuons à vomir nos « sources » parce que c'est bien ce que tu fais tout le temps.

'BLACK INFERIORITY' VS. 'WHITE SUPERIORITY

Indices of intelligence could be measured in several ways. Far be it from me to argue that we are less intelligent than others, because certainly a lot of us are highly educated. But there is a difference between intelligence and being highly educated: being highly educated is what we know how to do best, because it entitles our so-called intellectual class with all kinds of titles to their names, a means of placing themselves on a pedestal from which they could oppress the masses of Africans without any productive endeavor on their part. Being intelligent, on the other hand, means recognizing problems that affect you or your society, and taking the necessary action to produce the product that would be employed in solving the problems.

On Thursday, October 18, 2007, a thunderous controversy roared across the world when a Nobel Prize winner, Dr. James Watson, was quoted as having said that Africans were less intelligent than Westerners (whites). Watson received the Nobel Prize for the discovery of the DNA, and is considered one of the world most eminent scientists. In a interview he gave to the Sunday Times of London of October 14, Dr. Watson said that Black people are less intelligent than whites and that the idea that “equal powers of reason” are shared across racial groups was a delusion.

Responding to the prospects for Africa, he said , “All our social policies [towards African nations] are based on the fact that their intelligence is the same as ours - whereas all the testing says not really”. In a soon-to-be published book, Watson made the same kind of observation in which he wrote, “There is no firm reason to anticipate that the intellectual capacities of peoples geographically separated in their evolution should prove to have evolved identically. Our wanting to reserve equal powers of reason as some universal heritage of humanity will not be enough to make it so.”

Reactions to Dr. Watson’s remarks were swift. He had gone to Britain on a book tour to promote his latest book, and was booked on sold-out venues including one of Britain’s most respected scientific institutions, the London Science Museum, which promptly canceled a lecture he was scheduled to give at the Museum. The Cold Spring Harbor Laboratory Board of Trustees, where Watson is the Chancellor, decided to suspend his administrative responsibilities, “pending further deliberation by the Board.” Said the statement, “This action follows the Board’s public statement yesterday disagreeing with the comments attributed to Dr. Watson in the October 14, 2007 edition of the Sunday Times U.K.”

Watson is reported to have made other racists remarks, including saying in January this year that some anti-Semitism could be justified on the basis of genetics. He was responding to a rhetorical question, “Should you be allowed to make an anti-Semitic remark?”, to which he had replied, “Yes, because some anti-Semitism is justified. Just like some anti-Irish feeling is justified. If you can’t be criticized, that’s very dangerous. You lose the concept of a free society.”

Of course, Dr. Watson is not the first white to question the intelligence of the Black man, or in this case, specifically African nations. The concept of black inferiority versus white superiority has been propounded by the likes of Darwin’s “survival of the fittest,” Richard Herrnstein’s and Charles Murray’s “Bell Curve,” which questioned the intelligence of the black man. Why do we continue to have this prevalent idea of an black inferiority among some whites in the scientific establishment?

After all we have to come to learn that the birth of mankind and the cradle of human intelligence emanated from Africa. Mind you, there was a time when Africa was known as the “Dark Continent”, which happened when some whites went to Africa and met some dark-skinned people. However, in the frenzy of the media, it came to mean that of backward people, incapable of ruling themselves as well as lacking in intelligence. It is so ironic that it is the same white people, who called us the “Dark Continent”, who have now employed their scientific knowledge to determine that Africa is where the first human originated and where human civilization began. Thereby presenting us with an fait accompli to counter these arguments of black inferiority.

It seems so sad and humiliating that the so-called African intellectual class, and especially those in the same scientific field as their white counterparts, believe that by avoiding discussions of the subject of whether blacks are less intelligent than whites, we would have achieved two things: project an superiority towards the ignorance of the authors of the crude belief, and secondly hope that the topic would go away and die, and never be resurrected again. We believe that our former oppressors, (nay, current oppressors?, being facetiously generous), should not have the right to utter anti-African remarks.

Dr. Watson’s thesis is on the inferiority on African nations, so bringing our brothers and sisters in the Diaspora in, ir irrelevant to this discourse. To our own credit, the literature is rife with how the oppressed in any community, seem to always fair intellectually less intelligent than the oppressing class, though this axiom doesn’t always hold true. Here in America, we have come to know that the Asian community, which is in the minority have an higher achievement level than the majority whites, while in Japan for instance, the Japanese who are in the majority believe the Koreans to be inferior and liable to violence and criminality. So is the Catholic Irish minority in Ireland regarded as inferior, and in fact score less than, by the majority Protestant Irish. Coming closer to home, of course we know how the majority whites in this country feel about our brothers and sisters, which as I said earlier is not the subject of this discussion.

The question I asked earlier is, why is that some whites in the scientific community continue to have these views about the inferiority of the African; and my own question is why do we as Africans continue to exhibit the traits that give these individuals the ammunition to make these observations? In Africa, we have enjoyed almost 50 years of independence from our colonial masters, almost the same amount of time as our Asian counterparts. Comparing the two groups is comparing night and day, or black and white. While our Asian counterparts have achieved an standard of living compared to the West and self-sufficient in most of their needs, we Africans are still reeling in poverty, basically unable to provide basic amenities for the teeming millions of Africans.

Indices of intelligence could be measured in several ways. Far be it from me to argue that we are less intelligent than others, because certainly a lot of us are highly educated. But there is a difference between intelligence and being highly educated: being highly educated is what we know how to do best, because it entitles our so-called intellectual class with all kinds of titles to their names, a means of placing themselves on a pedestal from which they could oppress the masses of Africans without any productive endeavor on their part. Being intelligent, on the other hand, means recognizing problems that affect you or your society, and taking the necessary action to produce the product that would be employed in solving the problems.

Just last week, it was reported that Africa has spent $148 billion in fighting one another in the last three decades. This amount, the report further noted, is more money than Africa has received from the so-called developed world. The intelligent thing to do since we love fighting amongst ourselves is to produce the weapons necessary to fight one another. We should understand that the $148 billion doesn’t include the human capital, in terms of the millions of dead Africans, which have been expended. The question then is how could someone regard you as intelligent when you are not doing the intelligent thing: manufacturing the weapons you need to fight the wars you so much love. And who do we go to procure these weapons of mass extermination, other than the same whites who colonized us and from the yellow people who won their independence at the same time as Africans. But despite our high rate of education, we certainly are incapable of producing even handguns.

We are talking of $148 billion which if we had invested it wisely and intelligently, we could have created an formidable military-industrial complex, capable with comparing with all the other countries that are now so happy to sell the weapons of our own destruction; we could have provided millions of jobs to our unemployed and raised our standards of living.

I could go on and on with how we continue to fail in the indices of intelligence. This is just one of the ways we show the world how less intelligent we Africans are, and when some ignoramus like Watson makes the kind of statement he made, under what modus operandi do we stand in challenging his assertions? As I said earlier, we can hide under the bogus disingenousness that we don’t want to dignify his comments or that of others with our own response. A cop-out, if there was one. In this 21st century, if our so-called educated elite don’t understand that they should never allow any nonentity to challenge the intelligence of the average African, then it stands to reason that they should continue to mire themselves in the feces of their own ignorance.

Chika Onyeani is the author of the explosive and internationally acclaimed No.1 bestselling book, Capitalist Nigger: The Road to Success, as well as the author of the blockbuster novel, The Broederbond Conspiracy. Onyeani is a Fellow of the New York Times Institute of Journalists and the Publisher/Editor-in-Chief of the African Sun Times.

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The history of the idea of race » Building the myth of black inferiority

A number of 18th-century political and intellectual leaders began publicly to assert that Africans were naturally inferior and that they were indeed best suited for slavery. A few intellectuals revived an older image of all living things, the scala naturae (Latin: “scale of nature”), or Great Chain of Being, to demonstrate that nature or God had made men unequal. This ancient hierarchical paradigm—encompassing all living creatures, starting with the simplest organisms and reaching to humans, angels, and ultimately to God—became for the advocates of slavery a perfect reflection of the realities of inequality that they had created. The physical differences of blacks and Indians became the symbols or markers of their status. It was during these times that the term race became widely used to denote the ranking and inequality of these peoples—in other words, their placement on the Chain of Being.

Beginning in the late 18th century, differences between the races became magnified and exaggerated in the public mind. Hundreds of battles with Indians had pushed these populations westward to the frontiers or relegated them increasingly to reservation lands. A widely accepted stereotype had grown that the Indian race was weak and would succumb to the advances of white civilization so that these native peoples would no longer be much of a problem. Their deaths from disease and warfare were seen as a testament to the inevitable demise of the Indian.

Racial stereotyping of Africans was magnified by the Haitian rebellion of 1791. This heightened the American fear of slave revolts and retaliation, causing greater restrictions and ever harsher and more degrading treatment. Grotesque descriptions of the low-status races, blacks and Indians, were widely publicized, and they helped foster fear and loathing. This negative stereotyping of low-status racial populations was ever present in the public consciousness, and it affected relations among all people.

By the mid-19th century, race in the popular mind had taken on a meaning equivalent to species-level distinctions, at least for differences between blacks and whites. The ideology of separateness that this proclaimed difference implied was soon transformed into social policy. Although legal slavery in the United States ended in 1865 with the passage of the Thirteenth Amendment to the Constitution, the ideology of race continued as a new and major form of social differentiation in both American and British society. The black codes of the 1860s and the Jim Crow laws of the 1890s were passed in the United States to legitimate the social philosophy of racism. More laws were enacted to prevent intermarriage and intermating, and the segregation of public facilities was established by law, especially in the South. The country’s low-paying, dirty, and demeaning jobs were relegated to “the Negro,” as he was seen fit for only such tasks. Supreme Court decisions, such as the Dred Scott case of 1857, made clear that Negroes were not and could not be citizens of the United States. They were to be excluded from the social community of whites but not from the production of their wealth. The Supreme Court decision in Plessy v. Ferguson (1896), which permitted “separate but equal” facilities, guaranteed that the racial worldview, with its elements of separateness and exaggerated difference, would continue to flourish.

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Aucune science dans tes articles, ça n'a pas plus de valeur que l'opinion de ma grand-mère; même que certains passages viennent fortement appuyer mon point. Tu devrais lire tes textes avant des les poster.

In Africa, we have enjoyed almost 50 years of independence from our colonial masters, almost the same amount of time as our Asian counterparts. Comparing the two groups is comparing night and day, or black and white. While our Asian counterparts have achieved an standard of living compared to the West and self-sufficient in most of their needs, we Africans are still reeling in poverty, basically unable to provide basic amenities for the teeming millions of Africans.
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Je te renvoie ta propre critique : lis tes textes avant de vomir de la pseudo-science raciste.

Tu as raisons de lui répondre ça.

Dans mon cas, j'ai posté plus tôt un article de American Journal of Physical Anthropology et un un article de American Psychologist. Les 2 articles sont collectivement signés par les experts de leurs disciplines respectives, soit l'anthropologie et la psychologie, et ils sont publiés dans les revues les plus prestigieuses et autorisées de leurs disciplines respectives.

Tout ce que je me suis fait répondre par les racistes sont des -1 et des TL:DR. Tout le long, un des points centraux du débat était l'opposition entre science et pseudo-science. Or, on voit bien qu'ils se crissent de ce qu'en disent les revues les plus autorisées sur le sujet. De plus, tout ce qu'ils ont à opposer sont des travaux de "scientifiques" dont le financement a des ramifications douteuses, liées à des groupes racistes.

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Tu as raisons de lui répondre ça.

Dans mon cas, j'ai posté plus tôt un article de American Journal of Physical Anthropology et un un article de American Psychologist. Les 2 articles sont collectivement signés par les experts de leurs disciplines respectives, soit l'anthropologie et la psychologie, et ils sont publiés dans les revues les plus prestigieuses et autorisées de leurs disciplines respectives.

Tout ce que je me suis fait répondre par les racistes sont des -1 et des TL:DR. Tout le long, un des points centraux du débat était l'opposition entre science et pseudo-science. Or, on voit bien qu'ils se crissent de ce qu'en disent les revues les plus autorisées sur le sujet. De plus, tout ce qu'ils ont à opposer sont des travaux de "scientifiques" dont le financement a des ramifications douteuses, liées à des groupes racistes.

J'ai lu les textes. Les arguments se résument à:

1- Il n'y a pas de race

2- L'influence culturelle/parentale explique toute la différence au niveau du QI

3- Le test du QI n'est pas un outil valide.

1- Peut importe s'il s'agit véritablement de races différentes, les scientifique s'entendent pour une différence génétique de 15 % interpopulationnelle tandis qu'une différence de 85 % se retrouve à l'intérieur même de la population. Il nous reste donc avec un 15% de variation interpopulationnelle, le fait de dire que cette différence n'est pas assez importante pour justifier différentes races (comme dans tes articles) ne vient pas effacer cette différence de 15%.

Nous remarquons que les plus grosses différences se retrouvent à l'intérieur des groupes ethniques. Par exemple, le QI des noirs va varier de 50 à 150, une variabilité de 100 points de QI. Regardons maintenant la différence entre deux groupes, elle n'est que de 15 points de QI entre les noirs et les blancs. Nous voyons donc qu'il n'y a aucune incohérence entre ces résultats et les variations génétiques qu'on retrouve entre les groupes ethniques : la majorité des différences se retrouvent à l'intérieur même de la population (100 point de QI) tandis qu'il existe une variation de 15% inter-population (15 points de QI)

L'erreur des détracteurs de la notion de race est donc de négliger cette différence significative de 15 % En fait, peut-importe s'il s'agit vraiment de races différentes ou non, l'important est de retenir que 15 % des différences génétiques se manifestent entre les populations blanches et noires.

Enfin, il existe maintenant des médicaments spécifiquement conçus pour les Afro-Américains, les scientifiques sont donc très conscients de ces différences génétiques même si la majorité ne veut pas se mouiller et parler de races différentes.

2- Impossible de dire que l'intelligence n'est pas génétique, les scientifiques s'entendent pour dire 50% environnement social et 50% pour les gène. Affirmer que c'est simplement relié à l'environnement social en revient à nier la théorie de l'évolution. Les études sur l'adoption transraciale viennent appuyer cette théorie. Des Asiatiques de l'est adoptés par des parents blancs de classe moyenne vont développer un QI plus élevé que les blancs (QI de 106) tandis que des enfants noirs élevés dans les mêmes conditions vont développer un QI inférieur (QI de 89)

3- Sans être un outil parfait, le test de QI est fortement corrélé avec la réussite scolaire, la réussite financière, la taille du cerveau, le nombre de neurones au niveau du cerveau, etc. Le QI moyen des habitants d'un pays est même fortement corrélé avec le niveau de développement et le PIB par habitant.

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3- Sans être un outil parfait, le test de QI est fortement corrélé avec la réussite scolaire, la réussite financière, la taille du cerveau, le nombre de neurones au niveau du cerveau, etc. Le QI moyen des habitants d'un pays est même fortement corrélé avec le niveau de développement et le PIB par habitant

Désolé si quelqu'un a déjà mentionné ce fait, mais les résultats de test de QI ne sont-ils pas corrélé avec des variables comme la pauvreté, ce qui exclurait les variables comme les catégories raciales?

C'est-à-dire que les pauvres, peut importe la catégorie raciale, auraient un score similaire, et qu'il en serait de même pour ceux qui seraient matériellement confortable?

Ça me semble plausible, parce que la malnutrition vient altérer le développement et la croissance de l'individu, ce qui inclue le développement du cerveau et les capacités cognitives.

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Oui, j'en ai déjà fait mention. C'est d'ailleurs pourquoi je disais que n'importe quel blanc ou asiatique qui serait mis dans le même contexte d'un Noir africain dans une région pauvre finirait probablement avec le même QI considérant qu'il n'a pas eu toutes les sources nécessaires pour développer son intellect.

(En faisant aussi une analogie avec le Club des petits déjeuner du Québec, leur but/mission...)

Modifié par Anthropologist
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Et c'était quoi l'argument contre?

Que c'était complètement faux. Je cite un extrait que sim4444 a déjà mis, sans que vous en portiez attention:

À sept ans, les enfants adoptés noirs, métis et blancs avaient tous un QI plus élevé que la

moyenne de leur groupe. Le fait de grandir dans un foyer de qualité était favorable à tous les enfants.

Mais, même dans ces conditions, le schéma racial était exactement conforme aux prédictions de la

théorie génétique et non à celles de la théorie culturelle. Les jeunes Noirs élevés dans ces bons foyers

avaient un QI moyen de 97, mais les jeunes métis avaient en moyenne 109 et les jeunes Blancs 112.

Les preuves en faveur de la théorie génétique se sont renforcées à mesure que les enfants

prenaient de l'âge. À 17 ans, les QI des enfants adoptés se rapprochaient de la moyenne prévue pour

leur race. À 17 ans, les jeunes Blancs adoptés avaient un QI d'environ 106, les jeunes métis d'environ

99 et les jeunes Noirs d'environ 89.

Et je recite l'étude d'un chercheur de l'UdeM que vous avez sysématiquement ignorée, car ses conclusions ne vous plaisent pas:

http://www.nouvelles.umontreal.ca/archives/2007-2008/content/view/1957/228/index.html

Nous avons fait le point sur tout ce que l’on sait actuellement sur le quotient intellectuel, souligne le professeur. Nous avons fait un retour sur l’histoire et la conception des différents tests de QI, examiné l’ensemble des déterminants environnementaux et génétiques ainsi que leurs interactions, abordé la question des biais culturels, établi des comparaisons entre les sexes et les groupes ethniques et envisagé l’évolution de l’intelligence d’une génération à l’autre.
L’écart intergroupe est tout de même très significatif et s’observe dans différentes cultures, ce qui tend à montrer que les facteurs culturels ont peu d’influence même si le QI augmente dans un environnement stimulant.
Serge Larivée examine les différentes hypothèses pouvant expliquer les écarts entre les groupes, soit l’hypothèse du biais culturel dans les tests, l’hypothèse socio-économique et les hypothèses génétique et évolutionniste. C’est la première qui reçoit le plus d’attention, pour être finalement réfutée. «La validité prédictive des tests de QI est identique pour tous les groupes ethniques pour lesquels des données existent», écrit-il en conclusion.
Modifié par Allah est gland
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Ce qui me fais rire personnellement de ce débat, c'est tout l'acharnement que vous y metez, pour prouver à tout prix votre point. Point qui est quoi? Qu'il y a 15% de diférence entre un blanc et un noir, et que cette différence génétique explique, en partie, le maigre 15 points (ooouuhhh) d'écarts dans les test de QI. Si t'es noir, tu es 15 points moins intelligent que si tu avais été blanc. C'est prouvé!

Et si c'était vrai votre théorie, si c'était vrai que les noirs sont stupides et inférieurs. Que les noirs sont une race violente et primive.

J'aimerais juste vous poser une question: Ca change quoi?

La réponse: Rien. Il reste des humains. Et vous restez raciste.

Juste le fait que vous vous acharnez à rabaisser les autres races comme les noirs et les musulmans, ca fait juste prouver que vous êtes de mauvaise foi. Même si je ne participe pas à tout vos débats, je vous lis souvent. Et je sens clairement de la haine et du mépris dans vos propos et vos sujets de discussions (surtout AllahEstGland).

Alors, même si c'était vrai que, en moyenne, le noir est moins bright (mauvais jeu de mot) que le blanc, ca change pas le fait qu'il y a plusieurs milliers de noir qui sont extrêmement intelligent et cultivé. Et que plusieurs d'entre eux ont sans doute un QI plus élevé que le votre. Et ca, c'est indéniable. Et juste ce fait est suffisant pour ridiculiser et rendre complètement inutile votre thèse initiale.

Merci bon soir, c'était mes deux cents.

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