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Dave Chappelle et humour transphobe


Message ajouté par ÉcoModo,

Ce sujet a été créé à partir du fil de discussion "Social justice is the new facism".

Déchet(s) recommandé(s)

Il y a 1 heure, BeauRouge a dit :

Complétement, donc quel est le problème à avoir des civilisations blanches qui ont construit des sociétés qui leur sont adaptées ?

Chais pas, ptet l'oppression des minorites ? Ah ca devient acceptable si c'est dans ton interet ? D'accord.

Il y a 1 heure, BeauRouge a dit :

Des chansons contre les municipalités communistes ??

Juste contre le communisme, je ne vois pas ce que ca change que ce soit au sujet des municipalites ou des gouvernements a part trier des pailles.

il y a 10 minutes, Ecce Homo a dit :

90% des messages de ce sujet sont archi-médiocres

Tu n'attendais pas un meilleur score, de toute facon. Plus qu'a attendre la participation de W00T

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90% des messages de ce sujet sont archi-médiocres

Ah, tu es dure Ecce, j'avais essayé quand même d'être objectif et informatif, même en traversant les limites de la provocation, c'est pas incompatible. 

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Des chansons contre les municipalités communistes ??

Juste contre le communisme

 

Alors envoie ! Un débat sans chanson c'est toujours un peu fade pour moi, envoie des preuves. D'instinct, là, moi j'en ai pas une qui me vienne en tête. 

Et j'en profite, puisque le sujet n'est plus directement sur les SJW mais plutôt sur les humoristes, il y a ce type en France qui est entrain de monter, avec de l'honnêteté et de la sincérité, pas mal d'engagements aussi. A voir ce qu'il va devenir, mais il a un potentiel populaire certain. Un extrait de qualité, sur les ONG :

 

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il y a 18 minutes, BeauRouge a dit :

Ah, tu es dure Ecce, j'avais essayé quand même d'être objectif et informatif, même en traversant les limites de la provocation, c'est pas incompatible. 

Que veux-tu, ce sujet me fais penser à Jeunesse, J’écoute qui m’a tout autant découragée. On dirait que dès que ça commence avec un fait divers insignifiant, ça ne peut pas autrement que finir en gauche-bashing de très mauvaise qualité.

Mais bon, je saisis l’effort.

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Oui, j'ai lu le texte original d'Umberto Eco depuis, je reviendrais sur le topic original à l'occasion. Je pense réellement que le sujet est important, ce mouvement woke n'est pas juste un phénomène dont on peut laisser l'expansion se passer sans réagir. Il y a quelque chose de plus, on dépasse un peu le gauche-bashing. 

Et l'intervention de Dave Chappelle est intéressante à ce propos, c'est même un point d'attention très marqué. A ma connaissance, c'est le premier artiste qui s'élève aussi frontalement contre les SJW, qui subit en retour une tentative de cancel et qui — au final — en sort grandi. Pour l'instant en tous les cas, à voir comment ça évolue. 

A priori, ça ne s'est pas très bien passé pour Jaclyn Moore

Jaclyn-Moore-Height-Weight-Net-Worth-Age

La créatrice du show "Dear White", censé représenter les difficultés des étudiants non-blancs dans les universités de la Ivy League. Elle a menacé de quitter Netflix si " The Closer " n'était pas déprogrammé, et " The Closer " n'est pas déprogrammé. Surtout, il semble que quelques personnes, à gauche et à droite, ont été un peu choquées de savoir que "Dear White" était en fait produit par un homme blanc devenu transgenre, pas par un/e ancien/ne étudiant/e de couleur de l'Ivy League. 

Ca m'inspire une chanson ça tiens, par contre. 

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il y a une heure, BeauRouge a dit :

Un extrait de qualité, sur les ONG :

Et tu t'es renseigner sur les ONG, leurs abus, les crimes et les proces en cours ? 

il y a une heure, BeauRouge a dit :

Alors envoie ! Un débat sans chanson c'est toujours un peu fade pour moi, envoie des preuves. D'instinct, là, moi j'en ai pas une qui me vienne en tête. 

Alors au hasard: T'as le punk des annees guerre froide et en particulier le genre Oi et t'as aussi le NSBM, dont le groupe KPN. L'anticommunisme en chanson, c'est pas ce qui manque. Ce thread est deja assez puant et je fais confiance a ton odorat pour te plonger dans la merde. 

 

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Ca ! C'est du chant anticommuniste. La première qui est venue. Je voulais pas de noms, même si je suis heureux de savoir que t'en donnes facilement, j'attendais une chanson de ta part. 

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Il y a 11 heures, Ecce Homo a dit :

... Mais tu dis rien quand 90% du monde est toujours dirigé par des boys clubs héteronormés qui se relayent leurs propres sosies depuis les 100 dernières années. 

Je peux croire que les cheveux roses, c'est plus visible qu'un complet noir, mais ce réflexe bizarre qu'ont les gens à se détourner du "big picture", et à ne focuser leur attention que sur des osties de niaiseries (carrément), ça commence à me dépasser. 

90% des messages de ce sujet sont archi-médiocres (le 10% restant étant les posts de Matt, of course).

Ta remarque est tout simplement HS, et de la part de quelqu'un qui juge les réponses de ce sujet et qui ne fournit rien de valable comme contre argument, t'es plutôt dans les 90%.

Deja, je vois pas le rapport avec nos dirigeants qui sont toujours les mêmes, et qui ne vont pas céder leur place simplement parce que notre culture expose de plus en plus de LGBT. Ça marche pas à la popularité le pouvoir politique, l'économie encore moins. Mais tu le sais ça non ? 

Simplement: je n'aime pas le communautarisme en tant que tel et les discours centrés sur l'entre soi dans la sphère publique et médiatique.

Je n'aime pas non plus les discours victimaires qui cherchent à culpabiliser et pointer des coupables, je souhaite plutôt une intégration de ces communautés sans qu'on en vienne à des étiquettes Gay- lesbienne- trans, et surtout, sans qu'eux ne se sentent entièrement définis par ce fait là. 

Ca t'agace peut être mais les codes culturels du LGBT passent effectivement par une esthétique particulière qui code aujourd'hui le monde LGBT, cette codification est désormais utilisée pour marketer des produits en vue de séduire cette communauté et de l'enfermer aussi.

Y a pas si longtemps j'ai entendu une fille demander à un mec s'il était pro LGBT parce qu'il avait un arc en ciel tatoué sur ta tronche et il a répondu qu'un arc en ciel c'était avant tout un arc en ciel. Et si H&M se mets à faire des pochettes arc en ciel, à ton avis c'est pour prendre l'argent de qui ? 

Ce qui me gêne c'est d'enfermer les communautés dans une liste de codes qui vont ensuite être utilisés contre elles sans que personne ne le réalise fondamentalement. 

Moi dans tout ça, je n'ai aucune garantie et aucun cheval de course.

Je désire simplement définir les LGBT autrement que par " ma copine lesbienne" ou "mon pote gay". Et j'aimerai sincèrement que les orientations sexuelles ne soient plus un sujet de société, de base, parce que nos vies intimes ne demandent pas d'aval. 

Je suis anti communautariste, là où toi tu es derrière en train de réclamer le contraire en souhaitant voir une lesbienne au pouvoir alors que criss, ça serait toujours une humaine de merde avec des garanties de merde comme celles que tu as a présent.

Parce que c'est la façon de se définir en tant qu'individus et en tant que société qui permets très justement de virer les boloss en costumes dont tu parles et non en créant des petits groupes qui s'opposent. C'est juste logique. 

Mais ban, t'es LGBT, moi je ne suis qu'une heteronormée, j'ai forcément tort (:

Il y a 10 heures, Ecce Homo a dit :

Que veux-tu, ce sujet me fais penser à Jeunesse, J’écoute qui m’a tout autant découragée. On dirait que dès que ça commence avec un fait divers insignifiant, ça ne peut pas autrement que finir en gauche-bashing de très mauvaise qualité.

Mais bon, je saisis l’effort.

 Mais bon, je saisis la flemme. 

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Il y a 14 heures, Ecce Homo a dit :

des boys clubs héteronormés

Demande à Mattisgod, qui n' est pas un médiocre, ce qu'il pense de ses bons chums capitalistes. Je suis sûre qu'ils sont pro gauche aussi. 

Leonardo Dicaprio Calvin Candie GIF

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il y a une heure, 1984 a dit :

Demande à Mattisgod, qui n' est pas un médiocre, ce qu'il pense de ses bons chums capitalistes. Je suis sûre qu'ils sont pro gauche aussi. 

Leonardo Dicaprio Calvin Candie GIF

Honnêtement, ça dépend.

Beaucoup de compagnies adoptent, comme tu l'as mentionné, des positions progressistes à des fins d'image de marque seulement. On le fait parce que c'est la chose à faire en ce moment et parce que les consommateurs qui ont les moyens d'acheter (généralement ceux plus éduqués) sont ceux qui ont de valeurs plus progressistes. Je dirais aussi que ça dépend vraiment du persona que l'on vise.

En fitness, nous ne parlons peu ou pas de causes sociales*, mais on va chercher à bâtir un storytelling en lien avec un esprit de communauté. Cette communauté, évidemment, rassemble des gens qui fittent notre persona. Notre persona, c'est le dude bro qui veut être musclé ou la fille qui veut une shape de plage (c'est plus nuancé que ça, mais faisons simple). En somme, prendre une posture résolument progressiste, surtout aux États-Unis, serait risqué "business wise" considérant notre persona - la corrélation entre le dude bro qui a les moyens de se bâtir un home gym et le angry white dude super patriotique est assez élevée. On le fait subtilement; diversité dans les photos sur Insta, dans les athlètes que l'on sponsorise, etc. On le fait parce que ça fit avec le persona et parce que c'est dans nos valeurs en tant qu'individus (du moins, dans les miennes). 

J'ai déjà travaillé pour un employeur résolument à gauche. La mission dans l'entreprise était carrément d'utiliser les technologies de traçabilité (en agroalimentaire et en pharmaceutique, surtout) pour sauver la planète. Les thèmes que l'on martelait: contre-façon, économie circulaire, inégalité de l'accès aux ressources, consommation responsable, etc. Dans notre marketing RH, on insistait sur la diversité, l'inclusion, etc. Le patron, malgré ses défauts, vivait ses valeurs. Il y avait des mécanismes en place pour limiter les salaires des haut dirigeants, il y avait des stratégies pour aider les jeunes gestionnaires à progresser, beaucoup d'activités sociales tournées vers les valeurs de la compagnie, bénévolat, etc.

En somme, je repète ce que je disais au début, ça dépend. Certains les font pour les profits, certains le font vraiment avec coeur et d'autre s'en contre-câlissent et ne font pas d'efforts. Bref, c'est comme dans la société en général, je ne dirais pas que TOUS les entrepreneurs sont "anti-gauche". Même que, dans ceux que je connais, c'est plutôt le contraire. Du moins, au niveau des valeurs sociales. Au niveau économique, ça dépend, encore là, c'est nuancé. Le boss de la compagnie de traçabilité était contre les tax breaks aux grosses compagnies, pour un état providence, etc. Il disait même jouer le jeu du capitalisme pour être en mesure de changer le monde (oui, il était déconnecté de la réalité de ce que le PDG d'une entreprise de 100M de revenu annuel pouvait faire, mais il a le coeur à la bonne place). 

Faut faire attention au "green/white washing", mais il ne faut pas non plus tomber dans un profond cynisme. Le système en soi est gangrèné, mais je ne dirais pas que tous ses acteurs le sont. Je suis d'accord avec toi lorsque tu dis que ce serait bien d'atteindre un niveau où la couleur de ta peau ou ton orientation sexuelle sont aussi anecdotiques que la couleur de tes yeux, mais nous ne sommes malheureusement pas là. Tant que nous n'y serons pas, il est important de "forcer" une forme d'inclusion. Faire du marketing pour les LGBTQ et autres, c'est juste reconnaître qu'ils existent et qu'ils forment un groupe important et valorisable. Pour certaines compagnies, c'est un persona important. Ça ramène aussi au concept de représentation. À la fin de la journée, le marketing ne peut pas être bien différent de la télé et du cinéma à ce niveau. Si les clients ne se sentent pas représentés par une marque, les chances sont fortes pour qu'ils se tournent vers un compétiteur. Voir plus de marketing axé sur des groupes marginalisés, ça démontre une évolution sociale... au sein d'un système capitaliste. Rendu là, j'ai mes critiques du système et vous les connaissez, mais c'est un tout autre débat.

*: Petite anecdote. La fille qui s'occupe de nos médias sociaux m'a demandé si on pouvait faire un post en lien avec la journée de réconciliation le 30 septembre. Bien que ça me fendait le coeur puisque la cause est importante pour moi, j'ai dit non. J'ai dit non parce que ça nous aurait placé dans une position controversée face à notre persona principal. Cependant, puisque la cause était importante pour moi et pour elle (et pour l'équipe), nous avons tous portés du orange et donné à un organisme. C'est un maigre petit geste, mais au niveau HR, ça a été apprécié et moi, en tant que gestionnaire, ça me permettait aussi d'agir en concordance avec mes valeurs sans faire "mal" à la business. Ça, c'est peut-être un peu un paradoxe du capitalisme ou du moins, le signe que le domaine dans lequel j'évolue n'est pas totalement aligné avec mes valeurs profondes.

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Il y a 13 heures, 1984 a dit :

Ta remarque est tout simplement HS, et de la part de quelqu'un qui juge les réponses de ce sujet et qui ne fournit rien de valable comme contre argument, t'es plutôt dans les 90%.

Deja, je vois pas le rapport avec nos dirigeants qui sont toujours les mêmes, et qui ne vont pas céder leur place simplement parce que notre culture expose de plus en plus de LGBT. Ça marche pas à la popularité le pouvoir politique, l'économie encore moins. Mais tu le sais ça non ? 

Simplement: je n'aime pas le communautarisme en tant que tel et les discours centrés sur l'entre soi dans la sphère publique et médiatique.

Je n'aime pas non plus les discours victimaires qui cherchent à culpabiliser et pointer des coupables, je souhaite plutôt une intégration de ces communautés sans qu'on en vienne à des étiquettes Gay- lesbienne- trans, et surtout, sans qu'eux ne se sentent entièrement définis par ce fait là. 

Ca t'agace peut être mais les codes culturels du LGBT passent effectivement par une esthétique particulière qui code aujourd'hui le monde LGBT, cette codification est désormais utilisée pour marketer des produits en vue de séduire cette communauté et de l'enfermer aussi.

Y a pas si longtemps j'ai entendu une fille demander à un mec s'il était pro LGBT parce qu'il avait un arc en ciel tatoué sur ta tronche et il a répondu qu'un arc en ciel c'était avant tout un arc en ciel. Et si H&M se mets à faire des pochettes arc en ciel, à ton avis c'est pour prendre l'argent de qui ? 

Ce qui me gêne c'est d'enfermer les communautés dans une liste de codes qui vont ensuite être utilisés contre elles sans que personne ne le réalise fondamentalement. 

Moi dans tout ça, je n'ai aucune garantie et aucun cheval de course.

Je désire simplement définir les LGBT autrement que par " ma copine lesbienne" ou "mon pote gay". Et j'aimerai sincèrement que les orientations sexuelles ne soient plus un sujet de société, de base, parce que nos vies intimes ne demandent pas d'aval. 

Je suis anti communautariste, là où toi tu es derrière en train de réclamer le contraire en souhaitant voir une lesbienne au pouvoir alors que criss, ça serait toujours une humaine de merde avec des garanties de merde comme celles que tu as a présent.

Parce que c'est la façon de se définir en tant qu'individus et en tant que société qui permets très justement de virer les boloss en costumes dont tu parles et non en créant des petits groupes qui s'opposent. C'est juste logique. 

Mais ban, t'es LGBT, moi je ne suis qu'une heteronormée, j'ai forcément tort (:

 Mais bon, je saisis la flemme. 

tu dis que tu as vu une personne obtenir un poste à cause de son orientation sexuelle, dénonçant l'esprit "communautaire" (j'y reviendrai) des LGBT qui, pour toi, occasionne des nominations basées sur des affinités de mode de vie et de pensée. "les cheveux rose, c'est un CV à part entière". pas vrai ? je te réponds que cela se fait depuis des décennies dans la plupart des milieux professionnels, et ce, à l'avantage des personnes qui répondent aux codes culturels hétéronormatifs.

un individu ayant un physique, une présentation et une manière d'être donnée (qui n'ont rien à voir avec les cheveux rose et les LGBT soit-dit en passant) intègre mieux les milieux professionnels parce que, justement, il répond aux codes culturels de l'évaluation subjective d’une compétence pour la majorité de ces milieux. mais toi, ton énergie d'indignation, il se fait sur cet "individu aux cheveux roses" dans le milieu précis de la photographie.

Révélation

ce qui m'écoeure, ce n'est pas tant le raisonnement, mais l’idée sous-jacente pour laquelle certains finissent par raisonner toujours, toujours, toujours dans cette même logique quand il s'agit des personnes racisées et des LGBT. tu l'as fait sur le sujet sur les personnes trans, tu l'as aussi fait pour Bridgerton tout comme W00t l'a fait pour Young Royals. à un moment donné, tout cet amalgame de petits commentaires à l'apparence anodins étalés sur plusieurs mois finit par dresser le constat général du peu d'affinités frôlant le mépris que tu entretiens envers les causes sociales. c'est ça qui m'écoeure. mais bon, tu es une personne parmi tant d'autres, alors la mèche courte que j'avais hier, elle ne t'étais pas juste destinée à toi. 

l'angle de critique est aussi étrange, parce que souvent, tu vas dire quelque chose comme "telle cause sociale est questionnable parce qu'elle s'est immiscée dans le discours de la consommation excessive et du marketing d'image toxique" ou, dans tes propres termes ici "Je trouve que cette culture s'empare de toutes les rebellions utiles pour en faire un genre sirop pour la toux bien douceâtre". comme si les causes sociales avaient engendrées tout ça, et que c'était les causes sociales qui avaient insidieusement forcé leur chemin dans l'esprit du capitalisme jusque là vierge des causes sociales. comment se fait-il que tu n'entrevois jamais l'inverse ?

pour ce qui est de l'aspect communautaire dans ton deuxième post. ça ne fait pas trop sourciller quand c'est utilisé au sens large du terme (la "communauté LGBT") comme une sorte d'abus de langage. mais quand c'est utilisé dans le contexte du "communautarisme", à moins que les LGBT aillent prier à l'église des gays, faire leurs courses à l'épicerie des lesbiennes, portent l'habit bisexuel, vivent en commune ou en quartiers en se donnant tout un encadrement social basé sur le fait d'être LGBT, ils ne sont pas une "communauté" à proprement dit. alors je ne vois pas trop le point d'emmener la notion de "communautarisme" dans ton raisonnement. 

ce qui s'approche le plus d'une communauté, ce seraient les micro communautés de personnes trans et de drag queens qu'on voit plus souvent aux États-Unis. et ces personnes s'organisent en communautés pour la raison précise qu'elles sont ostracisées dans leurs milieux d'origines. alors ton raisonnement "anti-communautarisme", tu pourrais uniquement l'appliquer pour ces milieux précis, pas pour les LGBT dans l'ensemble.  

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Il y a 5 heures, MattIsGoD a dit :

Ça, c'est peut-être un peu un paradoxe du capitalisme ou du moins, le signe que le domaine dans lequel j'évolue n'est pas totalement aligné avec mes valeurs profondes.

Merci pour ton post très intéressant. 

Justement la problématique que je pose, c'est de se demander jusqu'à  quel point le capitalisme va pouvoir converger avec ces nouvelles valeurs. Je pense qu'à un moment donné, le monde aura tellement pris conscience de l'intersection des combats qu'il nous sera impossible de fonctionner encore avec les mêmes paradigmes économiques. Ce paradoxe ne pourra se maintenir éternellement puisqu'il mettra de facto les entreprises face à une position de choix qui sera nécessairement clivante. 

Il y a 1 heure, Ecce Homo a dit :

"les cheveux rose, c'est un CV à part entière". pas vrai ? je te réponds que cela se fait depuis des décennies dans la plupart des milieux professionnels, et ce, à l'avantage des personnes qui répondent aux codes culturels hétéronormatifs.

OK, c'est les cheveux roses qui te perturbent. Je vais donc prendre un autre exemple pour que tu comprennes ma réflexion. 

Lors des manifestations BLM, un photographe du new York times a posté une tribune en considérant que les photographes qui couvrent ces événements en particuliers devraient tous être noirs parce que selon lui, les événements qui concernent ces communautés devraient être couverts par des photographes de ces mêmes communautés. A l'époque ça m'a profondément gênée puisque je considère que c'est un facteur de repli sur soi, d'exclusion d'autres communautés, et surtout contre productif à terme. 

Évidemment qu'il faut diversifier les profils pour toute offre de travail. Mais si tout le monde exclu les membres des autres communautés pour ne favoriser que la sienne, je ne vois aucun progressisme la dedans. 

Il y a 1 heure, Ecce Homo a dit :

"Je trouve que cette culture s'empare de toutes les rebellions utiles pour en faire un genre sirop pour la toux bien douceâtre". comme si les causes sociales avaient engendrées tout ça, et que c'était les causes sociales qui avaient insidieusement forcé leur chemin dans l'esprit du capitalisme jusque là vierge des causes sociales. comment se fait-il que tu n'entrevois jamais l'inverse

Peut être que c'est surtout pas ce que je dis : bien entendu que je considère que la culture capitaliste est responsable, c'est explicitement dit dans ma phrase. Ce à quoi je n'adhère pas, c'est l'inconscience de ces communautés face à des réactions de repli, qui, comme je le cite juste au dessus, sont préjudiciables avant tout pour elles. Ces comportements peuvent encore être générés par les membres des communautés elles mêmes.

J'ai eu le cas d'une juive qui me disait ne pas être intégrée dans la plupart des groupes communautaires rascisés parce que selon ses membres, les juifs ne peuvent en faire partie. 

Il y a 1 heure, Ecce Homo a dit :

alors je ne vois pas trop le point d'emmener la notion de "communautarisme" dans ton raisonnement. 

Donc LGBT c'est pas une communauté ? Pourtant c'est le nom que j'entends quand on parle d'eux. En France en tout cas. Et c'est précisément ce qui me gêne, que les médias enferment les gens avec des étiquettes de ce style quand pour la part, cela ne devrait pas rentrer en compte. 

Cependant 

Il y a 5 heures, MattIsGoD a dit :

Je suis d'accord avec toi lorsque tu dis que ce serait bien d'atteindre un niveau où la couleur de ta peau ou ton orientation sexuelle sont aussi anecdotiques que la couleur de tes yeux, mais nous ne sommes malheureusement pas là. Tant que nous n'y serons pas, il est important de "forcer" une forme d'inclusion.

On retombe sur ce point ci, tant que notre culture contemporaine n'intègre pas complètement toute cette diversité, il est important d'en parler et de générer cette diversité de force. 

Pour autant, les individus devraient également prendre conscience du vice qui se cache derrière cette surexposition médiatique : l'économie capitaliste qui va les instrumentaliser jusqu'à provoquer ce fameux repli dont je parle.

 

Il y a 1 heure, Ecce Homo a dit :

tu l'as fait sur le sujet sur les personnes trans, tu l'as aussi fait pour Bridgerton tout comme W00t l'a fait pour Young Royals.

Alors : sache que grâce à ce sujet j'ai découvert la dysphorie de genre, et grâce à la bienveillance du dialogue j'ai pu comprendre beaucoup de choses. Mes questions sont bien plus philosophiques qu'autre chose, je cherche à comprendre.

Pour Bridgerton, je suis désolée, mais c'est l'anachronisme que je boude. Dans n'importe quelle autre série, je n'aurai absolument rien à redire, je défends seulement la cohérence historique. Et à ce que je sache, y avait déjà des homosexuels à l'antiquité alors je vois pas pourquoi je serai choquée d'en voir au 17eme siècle. Woot chiale parce qu'il y a des gays dans une fiction historique, moi je chiale parce que l'inclusivite n'a jamais existé au 17eme siecle. Pas les memes garanties de chialage.

Tu vois que tu te méprends :) 

 

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Il y a 2 heures, 1984 a dit :

Merci pour ton post très intéressant. 

Justement la problématique que je pose, c'est de se demander jusqu'à  quel point le capitalisme va pouvoir converger avec ces nouvelles valeurs. Je pense qu'à un moment donné, le monde aura tellement pris conscience de l'intersection des combats qu'il nous sera impossible de fonctionner encore avec les mêmes paradigmes économiques. Ce paradoxe ne pourra se maintenir éternellement puisqu'il mettra de facto les entreprises face à une position de choix qui sera nécessairement clivante. 

On retombe sur ce point ci, tant que notre culture contemporaine n'intègre pas complètement toute cette diversité, il est important d'en parler et de générer cette diversité de force. 

Pour autant, les individus devraient également prendre conscience du vice qui se cache derrière cette surexposition médiatique : l'économie capitaliste qui va les instrumentaliser jusqu'à provoquer ce fameux repli dont je parle.

Mon opinion vaut ce qu'elle vaut, mais je te dirais que le capitalisme va s'adapter, il s'adapte déjà d'ailleurs. La réflexion que j'ai fait sur le marketing en est, à mon avis, un exemple probant.

Les entreprises font le calcul que de se coller sur les revendications sociales leur rapportera plus d'argent. Elles déduisent que c'est mieux pour les affaires, alors, elles s'adaptent. Ça, c'est la façon la plus cynique de voir la chose. Il y a un fond de vérité là-dedans, mais ce n'est qu'une partie de la réponse. 

On pourrait aussi dire que les entreprises s'adaptent parce qu'elles sont généralement gérées par des gens intelligents et éduqués pour qui ces changements sociaux ont une importance - pas tous, évidemment. Attention, je ne parle pas ici nécessairement des actionnaires, mais des gestionnaires qui sont sur le plancher et qui prennent les décisions "concrètes". Les VP RH, les chefs des opérations, les directeurs marketing, etc. Les écoles de gestion ont d'ailleurs une grande importance à ce niveau. Dans mon MBA, on a passé beaucoup de temps sur la gestion responsable; autant dans des cours de management que dans des cours de marketing. Les jeunes gestionnaires sont donc formés en conséquence des changements sociaux. J'ai 35 ans, les gens de mon âge commence à être dans des postes décisionnels plus importants et leurs valeurs teintent leurs décisions. Les jeunes entrepreneurs partagent aussi plus ces valeurs que leurs prédécesseurs. J'avais d'ailleurs une discussion avec mon boss à ce sujet aujourd'hui. On se demandait comment rendre certains de nos athlètes plus accessibles au commun des mortels. Comment voir au-delà du gros musclé qui fait des compétitions de bodybuilding. On s'est dit qu'il fallait présenter ces gens comme... des gens. Leurs épreuves, leurs valeurs, leurs particularités (culturelles ou personnelles). Bref, jouer sur la diversité au travers d'un milieu très "codifié". Évidemment, notre objectif est de vendre plus d'équipements de fitness, mais notre réflexion est teintée de nos valeurs profondes. On veut en venir à valoriser différent type de corps, oui, pour vendre plus, mais aussi parce que les bonnes habitudes de vie ne sont pas réservées aux bodybuilders.

Le capitalisme est un système économique, mais ce système économique régit aussi la quasi-totalité de nos sociétés, donc, les valeurs de la société affecte les marchés. Les gens consomment différemment, sont plus attentifs à qui sont les marques, aux valeurs qu'elles représentent, etc. La règle #1 du capitalisme est la croissance perpétuelle. Pour pouvoir croître, il faut s'adapter aux nouvelles réalités, sinon, on s'effondre. Les marques qui ne s'adaptent pas perdent des parts de marché. 

Ceci dit, je te rejoins un peu lorsque tu dis, qu'à moment donné, le système ne pourra plus s'adapter aux changements sociaux. Plus on évolue, plus on se rend compte des imperfections du système et plus on s'y oppose. Éventuellement, ça va inévitablement finir par péter. N'oublions jamais que tous les types d'organisation sociale ont un début et une fin. Le capitalisme tel qu'on le connaît est déjà bien différent de celui des années 20 (les impératifs sont les mêmes), alors, éventuellement, on passera à autre chose. Ça ne se fera pas dans l'harmonie, ça, c'est sûr. Est-ce que le phénomène SJW est ce mouvement qui renversera le capitalisme? J'en doute fortement. En fait, je doute que ce soit au coeur des préoccupations de la majorité des gens qui adhèrent aux valeurs progressistes. On est plus dans un esprit de réforme dans la plupart des cas; on se dit que les groupes marginalisés ont eux aussi droit d'accéder aux hautes sphères de la société et qu'on doit leur donner les opportunités de le faire. On tombe aussi dans la gestion plus horizontale, mais on ne remet pas en question la notion de profit. Bref, on réfléchit au système, mais pas nécessairement "au-delà" du système. Évidemment, plusieurs le font, mais je parle ici de ce que je perçois du progressiste "moyen".

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Il y a 4 heures, 1984 a dit :

OK, c'est les cheveux roses qui te perturbent. 

Non. C’est le fait que ton attention ne semble se diriger que sur ce qui peut potentiellement faire l’objet de suspicions dans le mouvement progressiste et que l’angle d’approche derrière la critique est toujours la même (tu viens encore de le faire avec l’exemple du photographe dans BLM). Et je ne dis pas qu’il n’y en n’a pas, de problèmes avec ce mouvement, il y en a plein.

Mais à un moment donné, quand les commentaires ne font que se diriger sur les détails de même nature, avec toujours le même angle d’approche, tout en faisant continuellement fi du « big picture », ça finit par donner une idée assez claire de la position idéologique derrière (soit un manque total d’affinités voire un mépris peu assumé envers les causes sociales progressistes). À un moment donné, appelons un chat un chat ?

Il y a 4 heures, 1984 a dit :

Tu vois que tu te méprends :) 

Ce ne sera pas la première ni probablement la dernière fois que je finis par te donner le bénéfice du doute à ce sujet. :owelp:

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Il y a 11 heures, Ecce Homo a dit :

C’est le fait que ton attention ne semble se diriger que sur ce qui peut potentiellement faire l’objet de suspicions dans le mouvement progressiste

On parle donc de suspicions sur des suspicions, à savoir un gros vide. 

Si l'angle derrière la critique est " toujours" la même selon toi, j'attends la longue liste exhaustive de mes remarques.

De plus, je n'y suis pour rien si tu refuses de saisir le point central de mon discours qui est de refuser le repli communautaire. Si tu avais vécu en France tu pourrais probablement comprendre que c'est un phénomène qui est déjà arrivé et qui peut se reproduire ailleurs, et que le climat culturel est à l'opposition des appartenances religieuses, sociales, ethniques et plus. Ma remarque est donc largement légitimée par cette garantie là, et nulle autre idéologie que tu iras m'inventer parce que tu en aura vu des vertes et des pas mûres. 

Il y a 11 heures, Ecce Homo a dit :

Mais à un moment donné, quand les commentaires ne font que se diriger sur les détails de même nature, avec toujours le même angle d’approche, tout en faisant continuellement fi du « big picture », ça finit par donner une idée assez claire de la position idéologique derrière 

Encore une fois, des suspicions fragiles qui reposent sur 3 exemples fragiles. Oui pardon de pas avoir vu le big picture sur Bridgeton ( lol) j'aurai donc dû considérer qu'il est plus important de mettre des noirs partout que de respecter les logiques historiques, oui pardon j'aurai également jamais du poser de question sur les trans et garder le silence pour ne pas heurter l'ego de quelqu'un 🥺 oui j'aurai du, oui pardon j'aurai également jamais du parler de cheveux roses pour parler d'un personne qui a été choisie pour un travail en fonction de son orientation sexuelle.

---  Les clichés racistes légers ça passe quand on parle d'Afrique pourtant non ? :) et si je dis que j'ai des amies lesbiennes qui confirment mes propos, ça passe mieux ? 😑 ---

Si seulement tu pouvais simplement répondre à des arguments autrement que par des suspicions stériles, ça serait utile pour moi, pour apprendre un peu plus sur le sujet, ou de comprendre à la limite mes erreurs de réflexion.

Si tu ne vois aucun problème à ce que des journaux valorisent l'entre soi, que ça concerne les communautés rascisées ou non, c'est que tu es clairement parti pris et idéologiquement c'est toi qui va poser problème.

Tout ce que je vois ici, c'est une critique de la forme de mon discours et un refus simple d'entendre le fond, un fond qui est inévitablement bienveillant, sur la base de 3 exemples caduques d'après lesquels tu as pu m'inventer une idéologie. Arrête ? Je sais pas, pose moi des questions, vérifie. 

Maintenant, quand je vois ton attitude concernant les derniers débats que nous avons eu et ton esprit 1er degré pour celui ci, je vois une claire différence de frilosité. J'imagine humblement qu'elle est là, l'explication. 

Il y a 11 heures, Ecce Homo a dit :

Ce ne sera pas la première ni probablement la dernière fois que je finis par te donner le bénéfice du doute à ce sujet. :owelp:

Ouais ben t'as intérêt de continuer, mais j'attends un peu plus d'investissement pour m'éclairer de tes lumières. 

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Il y a 12 heures, MattIsGoD a dit :

La règle #1 du capitalisme est la croissance perpétuelle. Pour pouvoir croître, il faut s'adapter aux nouvelles réalités, sinon, on s'effondre. Les marques qui ne s'adaptent pas perdent des parts de marché. 

Pas de statut quo.

Et donc cette logique de croissance nous a conduit à l'industrialisation des principaux secteurs de l'économie, tuant petit à petit l'artisanat et les structures à moindre échelle. Cependant aujourd'hui, les gens recherchent à revenir à cet artisanat et à encourager les petites structures par leur consommation. 

C'est là où je pense que fondamentalement, nous aurons un point de rupture. Et c'est d'ailleurs le consommateur, conscient de la logique de performance des entreprises, qui se mets à bouder progressivement ces autoroutes de la consommation pour revenir aux entreprises à circuit court.

C'est un exemple mais ça devient une prise de conscience collective qui touche un peu tous les sujets.

Il y a 12 heures, MattIsGoD a dit :

chose

Oups

Il y a 12 heures, MattIsGoD a dit :

Est-ce que le phénomène SJW est ce mouvement qui renversera le capitalisme? J'en doute fortement. En fait, je doute que ce soit au coeur des préoccupations de la majorité des gens qui adhèrent aux valeurs progressistes.

Merci de confirmer mon propre avis. Voilà pourquoi j'accuse littéralement ces SJW de manque de conscience des réalités qui soustendent réellement la culture dans laquelle ils évoluent et qui les prends pourtant pour cibles marketing. Je ne sais pas si je suis enfin claire, et bien que mon jargon n'ait rien de technique ni d'initié, j'ai une très forte conscience de ce qu'est notre culture de consommation et de ses travers sur ces causes progressistes. 

Parce que tout bienveillant qu'il soit, le progressiste peut aussi être un mouton de panure manipulé par une culture de masse au sein de laquelle il se croit libre sans jamais l'être. Et toute cette ouverture à ces nouvelles causes ne semble être qu'une prise de conscience superficielle du fond du problème, problème qui pour moi restera le capitalisme, ce système qui repose sur une quête perpétuelle de croissance, créant les codes d'une culture en mal être, la fois pour les êtres et l'environnement. 

Il y a 12 heures, MattIsGoD a dit :

majorité des gens qui adhèrent aux valeurs progressistes. On est plus dans un esprit de réforme dans la plupart des cas; on se dit que les groupes marginalisés ont eux aussi droit d'accéder aux hautes sphères de la société et qu'on doit leur donner les opportunités de le faire

Des gens de gauche qui veulent la puissance des gens de droite. Des gens qui ont intégré une culture de performance et de pouvoir et qui tentent de faire coïncider ces idéaux avec la réalité, résolument antinomique. Pour moi. 

Il y a 12 heures, MattIsGoD a dit :

On tombe aussi dans la gestion plus horizontale, mais on ne remet pas en question la notion de profit. Bref, on réfléchit au système, mais pas nécessairement "au-delà" du système. Évidemment, plusieurs le font, mais je parle ici de ce que je perçois du progressiste "moyen".

Merci, on est d'accord. 

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Il y a 15 heures, MattIsGoD a dit :

Est-ce que le phénomène SJW est ce mouvement qui renversera le capitalisme? J'en doute fortement. En fait, je doute que ce soit au coeur des préoccupations de la majorité des gens qui adhèrent aux valeurs progressistes.

Pardon mais j'ai raté le moment ou les SJW etaient la nouvelle jeunesse rouge ? 

Aux dernieres nouvelles, le but n'est pas de renverser le capitalisme mais de le rendre plus ethique. 

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il y a 7 minutes, Your Fearless Leader a dit :

Pardon mais j'ai raté le moment ou les SJW etaient la nouvelle jeunesse rouge ? 

Aux dernieres nouvelles, le but n'est pas de renverser le capitalisme mais de le rendre plus ethique. 

C'est... exactement ça que j'ai dit?

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