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L'influence des saisons sur votre humeur


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Je réalise que les saisons ont un impact considérable sur mon état d'esprit.

L'automne est pour moi la saison la plus romantique. Mes pensées se mettent à vaguer dans un état contemplatif et je suis plus sensible aux détails qui me semblent banals lors d'une autre saison. Le plus grand défaut de l'automne c'est le mois de novembre, qui année après année me surprend par son ambiance funeste et que me donne une humeur de merde.

L'hiver, l'esprit prend une tangente nocturne avec les journées qui deviennent ridiculement courtes. Par les longues soirées à rien faire à la maison, je commence à divaguer sur le sens de mon existence sans trouver de réponse. C'est également une saison de nostalgie à se rappeler les balades glaciales en buvant du thé.

Le printemps devient une sorte de renaissance pour la pensée, se libérant du lourd poids du questionnement hivernal incessant. La redécouverte de l'extérieur donne une vitalité et semble symboliser le véritable début d'année.

L'été devient alors une suite d'activités globalement agréables. C'est la saison pendant laquelle j'ai globalement le mood le plus égal, c'est à dire paisible et comblé, sans tomber dans les ups and down de l'automne et de l'hiver. L'esprit quitte le monde de la rêverie pour davantage s'attacher au présent.

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L'automne je suis généralement plus dépressif (parce que les journées raccourcissent), l'hiver je suis décidément plus actif et performant dans mes études (quoi que n'essayez pas de me parler au alentours du 14 février j'ai toujours envi de bûcher sur quelque chose), au printemps ça ne m'affecte pas vraiment, et l'été aussi, quoi que j'en profite pour manger plus.

Dans mes saisons préférés il y a : 1- L'automne (même si je suis déprimé ça reste ma saison favorite) 2- l'Hiver, 3- Le printemps, 4- l'Été.

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Ce qui est déprimant le printemps et l'été, c'est tous ces gens partout qui étalent leur bonheur, c'est bien d'être heureux mais pas quand c'est forcé. Je me sens mieux le reste de l'année (quoi que je ne connais pas encore votre hiver), j'ai l'impression d'avoir plus d'espace.

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Les saisons ne m'influencent aucunement. Je peux être dépressif le printemps et l'été comme je peux être très heureux l'automne ou l'hiver. Le paysage qui m'entoure n'a aucun impact sur les évènements qui surviennent dans ma vie et qui déterminent mon humeur.

Je préfère le printemps et l'automne à cause de la température plus moyenne. Mais c'est tout.

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Été: Déprime parce qu'il fait trop beau, trop chaud (J'aime le froid), trop humide et que tout le monde est faussement joyeux; Je reste enfermé à l'aire climatisé. La seule chose que j'aime de l'été, c'est que je vois un peu plus mes amis et pour se promener en voiture sans destination précise.

Automne: En début, c'est là que le stress commence, c'est dur sur le moral. Cependant, plus l'automne avance et plus je suis heureux; Le temps refroidis et l'argent rentre.

L'hiver: J'aime l'hiver, je suis de plus en plus porté à sortir, sauf que les soirées seul sont déprimantes. Il fait noir et les gens se couchent tôt la semaine. C'est boring, mis à part les week end.

Printemps: C'est dégueulasse le dégèle, etc. J'aime pas. C'est le temps des dépenses et je suis paumé. Donc je sors pas, et je reste chez moi, à végéter.

En fait, je crois pas que c'est tant les changements climatiques au cours de l'année qui nous font changer d'humeur, mais plutôt la situation dans laquelle nous sommes dans ces saisons. Par exemple, moi je suis pauvre le printemps et l'été, donc j'aime moins ces saisons, et puisque j'ai de faibles ressources, je sors moins ce qui ouvre la porte à la déprime.

Ensuite, c'est sur qu'il y a les longues nuits d'hiver qui influent, mais en général, pour moi, c'est mon inactivité et le money.

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Ce qui est déprimant le printemps et l'été, c'est tous ces gens partout qui étalent leur bonheur, c'est bien d'être heureux mais pas quand c'est forcé. Je me sens mieux le reste de l'année (quoi que je ne connais pas encore votre hiver), j'ai l'impression d'avoir plus d'espace.

Mais pas quand c'est forcé? Simonaque! Lors d'une belle journée d'été ensoleillée et chaude, le sourire et la motivation est à son comble comparativement à une journée de pluie moche.

Selon toi, quelqu'un ne devrait pas être heureux, quelqu'un d'heureux c'est quelqu'un de faux? Retourne dans ton trou sombre et cesse de juger.

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Es-tu certain de savoir lire? Parce que mine de rien, j'ai dit exactement l'inverse de ton deuxième paragraphe.

Quand il fait beau, le bonheur de beaucoup a quelque chose d'agressant, leurs sourires incessants, la musique joyeuse qu'on entend dans la rue, on peut trouver la nudité envahissante aussi. Tout ça fait que quand toi tu n'es pas d'humeur, tu rentres mal dans le décor et ça se remarque plus facilement que quand le temps est dégueulasse, t'es comme obligé d'être joyeux pour avoir la paix. C'est un peu l'équivalent des gens qui ont la pêche à huit heure du matin quand tous les autres ont la tête dans le c*l, on finit par les trouver pénibles.

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Es-tu certain de savoir lire? Parce que mine de rien, j'ai dit exactement l'inverse de ton deuxième paragraphe.

Quand il fait beau, le bonheur de beaucoup a quelque chose d'agressant, leurs sourires incessants, la musique joyeuse qu'on entend dans la rue, on peut trouver la nudité envahissante aussi. Tout ça fait que quand toi tu n'es pas d'humeur, tu rentres mal dans le décor et ça se remarque plus facilement que quand le temps est dégueulasse, t'es comme obligé d'être joyeux pour avoir la paix. C'est un peu l'équivalent des gens qui ont la pêche à huit heure du matin quand tous les autres ont la tête dans le c*l, on finit par les trouver pénibles.

Je ne crois pas que j'ai écris l'inverse au départ. Tu trouves le bonheur du monde agressant parce que t'es pas d'humeur, right.

T'es jamais d'humeur?

À 8 heures je peux comprendre par contre mais ça ne les empêches pas de donner un peu de chaleur aux autres. Si tout le monde avait la tête dans le cul en rentrant au travail le matin ça serait probablement pire.

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Je ne crois pas que j'ai écris l'inverse au départ. Tu trouves le bonheur du monde agressant parce que t'es pas d'humeur, right.

T'es jamais d'humeur?

Ce n'est pas leur bonheur qui est agressant, c'est l'impudeur avec laquelle il est souvent affiché.

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La saison où je suis le plus heureuse, c'est le printemps. Il commence à faire chaud, j'ai toujours envie d'aller dehors et 1000 projets me viennent en tête.

Quant à l'automne, je remarque que durant fin octobre + novembre, j'ai constamment envie de dormir et de m'enrouler dans des couvertures douces à écouter des films en buvant du thé. Je suis aussi plus somnolente au travail.

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Es-tu certain de savoir lire? Parce que mine de rien, j'ai dit exactement l'inverse de ton deuxième paragraphe.

Quand il fait beau, le bonheur de beaucoup a quelque chose d'agressant, leurs sourires incessants, la musique joyeuse qu'on entend dans la rue, on peut trouver la nudité envahissante aussi. Tout ça fait que quand toi tu n'es pas d'humeur, tu rentres mal dans le décor et ça se remarque plus facilement que quand le temps est dégueulasse, t'es comme obligé d'être joyeux pour avoir la paix. C'est un peu l'équivalent des gens qui ont la pêche à huit heure du matin quand tous les autres ont la tête dans le c*l, on finit par les trouver pénibles.

Haha je suis d'accord avec toi. Je vis un peu ce sentiment quand je ne vais pas bien, que je vis quelque chose de difficile et que tout le monde autour de moi semblent si heureux. Je les déteste un peu pendant quelques instants et je me sens presque honteuse de ne pas être dans cet état d'esprit.

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L'automne c'est chiant.

C'est la course contre la montre contre le gel pour hiverniser les affaires qui ne doivent pas avoir d'eau l'hiver, pis ramasser les affaires qui vont se faire écraser par la neige, pis se protéger contre la vermine comme les suisses et les écureuils roux...

Câlisse que je hais l'automne....

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Ma grand-mère souffrait de dépression saisonnière...Elle en est morte.

Scientifiquement, c'est la lumière, vitamine D ou un truc du genre. Y'a des gens plus sensibles que d'autres

La vitamine D n'a rien à voir avec la dépression saisonnière. C'est la mélatonine, l'hormone du sommeil qui est déréglée chez les personnes atteintes de ce genre de dépression.

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Pour ma part, je trouve que chaque saison apporte quelque chose de positif. Bref, ce sont les extrêmes qui influencent négativement mon humeur: les canicules m'écoeurent tout autant que les froids trop intenses.

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Été: Déprime parce qu'il fait trop beau, trop chaud (J'aime le froid), trop humide et que tout le monde est faussement joyeux;

[...]

En fait, je crois pas que c'est tant les changements climatiques au cours de l'année qui nous font changer d'humeur, mais plutôt la situation dans laquelle nous sommes dans ces saisons. Par exemple, moi je suis pauvre le printemps et l'été, donc j'aime moins ces saisons, et puisque j'ai de faibles ressources, je sors moins ce qui ouvre la porte à la déprime.

Ensuite, c'est sur qu'il y a les longues nuits d'hiver qui influent, mais en général, pour moi, c'est mon inactivité et le money.

Tu te plains des personnes faussement joyeuses relatives à l'été et c'est l'argent qui guide ton humeur.

Ton quotient de lame-itude est tellement élevé que tu n'inspires plus l'indifférence, mais le mépris. J'espère que tu te feras écraser par quelque chose de très dispendieux.

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Tu te plains des personnes faussement joyeuses relatives à l'été et c'est l'argent qui guide ton humeur.

Ton quotient de lame-itude est tellement élevé que tu n'inspires plus l'indifférence, mais le mépris. J'espère que tu te feras écraser par quelque chose de très dispendieux.

Je me suis mal exprimé. C'est le fait de moins sortir, de rencontrer moins de gens.

Ça cause de la solitude, de l'isolement.

Le lien avec l'argent est là, car je vis loin de mes amis donc je dois avoir du cash pour me rendre à eux.

S'ils vivaient à 2-3 km de chez moi ce facteur n'entrerais pas en compte.

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