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La hausse des frais de scolarité universitaires


Pour des hausses rétroactives  

112 membres ont voté

  1. 1. Voulez-vous que la hausse des frais de session soient rétroactives

    • Oui, que ceux qui ont profité du gel passé payent aussi.
    • Non, je suis droitiste: faisons payer les autres
    • Haussons les impôts à la place
    • Arrêtons le gaspillage: ça va suffire


Déchet(s) recommandé(s)

En fait, ce qu'on devrait faire, c'est d'augmenter les frais de scolarité, mais seulement pour les étudiants dans des domaines sans avenir ni débouchés comme la sociologie, la philosophie ou l'anthropologie. Ça n'a aucun sens que ce soit le gouvernement (et moi, indirectement) qui ait à payer pour l'éducation de tous les hippies qui n'ont pas les facultés intellectuelles pour étudier autre chose que de la pseudo science.

L'histoire de l'art te passionne? Tant mieux pour toi, mais paie pour et assume le fait que les seules oeuvres d'art que tu vas cottoyer sont celles affichées sur les murs des toilettes que tu vas nettoyer.

Un des arguments mis de l'avant par Nadeau et ses moutons est qu'une fois diplômés, les étudiants vont payer pour leur éducation par le biais des impôts. Sauf ça ne paye pas beaucoup d'impôt un chômeur. De 1, le taux de chômage des diplômés en sociologie et en histoire, par exemple, oscille entre 15 et 20% (contre environ 0% pour l'actuariat et la médecine et 3-4% pour l'ingénierie). De 2, ces diplômes sont parmi ceux qui rapportent le moins sur le marché (donc moins d'impôts payés). Et ça, c'est sans parler des milliers de diplômés en sciences molles qui vont terminer leur palpitante carrière de pseudo-intellectuels comme barista au Starbucks.

Il faut cesser de croire que tous les diplômes sont égaux. Dernièrement, j'ai demandé à un ami qui a terminé son bacc en anthropologie il y a 1 an ou 2 ce qu'il était en mesure de faire avec son diplôme, et il n'a pas su me répondre. Il m'a alors demandé si j'avais la carte Optimum, et je suis parti. Sur les 204 diplômés en anthropologie de 2005, moins de 35% avait un emploi. Le salaire hebdomadaire moyen d'un diplômé en anthropologie était alors de 506$, soit moins de 26 000 par année. L'impôt sur un revenu de 26 000 est de 17%. Une année d'université coûte au gouvernement autour de 13 000 par tête, donc 39 000 pour un baccalauréat. Puisque 7.5% (à peu près) de l'impôt sur le revenu est investi dans l'éducation, l'étudiant moyen en anthropologie va donc terminer de payer son éducation après... 117 ans! Tout un investissement pour le Québec.

C'est ce que je pense depuis le début

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Coudonc Joseph Facal c'est tu un troll?

Ah, mais ne paiera-t-il pas plus d’impôts que le non-diplômé ? Argument fallacieux. Si on considère que les droits de scolarité sont aussi l’investissement de l’étudiant sur lui-même, la bonne question est : qui s’appropriera la quasi-totalité du rendement généré par cet investissement pendant toute sa vie active ? L’étudiant lui-même, évidemment.

Comparons un instant l’investissement en éducation à tout autre type d’investissement sur lequel on escompte un rendement. Imaginons qu’un individu a le choix entre investir 100 000 $ dans sa propre éducation et 100 000 $ dans un immeuble à revenus qui lui procurerait EXACTEMENT le même rendement que sa formation.

Admettons qu’il préfère l’immeuble. Le voyez-vous demandant ensuite au gouvernement, donc aux autres contribuables, de payer 90 % des 100 000 $ de son immeuble sous prétexte que les impôts versés sur les rendements futurs de son immeuble vont excéder son coût d’achat initial ?

Moins que 50% c'est la totalité?

Ensuite c'est con de faire un comparaison avec un immeuble: aucun besoin de travailler 35-40 heures semaine pour que l'immeuble rapporte.

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Tous les droits ne sont pas identiques. Le droit de parole, par exemple, n’a pas de coûts de production élevés dans une société libre. L’université, elle, ne peut faire abstraction des réalités économiques liées à son existence.

Tous les droits ne sont pas identiques. Le droit de parole, par exemple, n’a pas de coûts de production élevés dans une société libre. Le droit à la santé et à la vie ne peuvent faire abstraction des réalités économiques liées à leur existence. Ergo, un régime de santé universelle est irresponsable.

Merci Facal.

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C'est ce que je pense depuis le début

Vous vous appuyez sur quoi?

En fait, je me répète, mais :

Document intéressant produit par le département d'anthropologie de l'Université Laval. On a fait une recherche pour vérifier quels étaient vraiment les débouchés. Il est effectivement très difficile d'obtenir un bon emploi après un bacc. C'est pour cette raison que la majorité des étudiants poursuivront à la maitrise, en anthropo ou dans un autre programme.

Un peu comme en psycho, quoi.

http://www.ant.ulaval.ca/?pid=24

Un gros lol à ceux qui chient sur les sciences sociales, les lettres et les arts.

À chaque jour, c'est nous qui intervenons sur le terrain pour tâcher de réduire les coûts humains du système que vous défendez (ex : accompagnement des immigrants, hypersexualisation, conditions des personnes vieillissantes, santé mentale, médiation familiale, intégration des personnes handicapées, etc).

En tout cas.

Au quotidien, j'ai la confirmation que mon travail a une valeur tellement grande qu'elle n'est pas monnayable.

Modifié par mouchouânipi
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Vous vous appuyez sur quoi?

En fait, je me répète, mais :

Document intéressant produit par le département d'anthropologie de l'Université Laval. On a fait une recherche pour vérifier quels étaient vraiment les débouchés. Il est effectivement très difficile d'obtenir un bon emploi après un bacc. C'est pour cette raison que la majorité des étudiants poursuivront à la maitrise, en anthropo ou dans un autre programme.

Un peu comme en psycho, quoi.

http://www.ant.ulaval.ca/?pid=24

Après le Bac, 95 % ne trouve pas de job

Donc 10 % décide d'aller à la maitrise.

après graduation = 30 000 $ par année avec une maîtrise après 5-6 ans d'étude universitaires. (Salaire de merde)

0.01 % décide d'aller au doctorat (1 personne)

Après Graduation du Doctorat = Professeur à l'Université Laval, salaire de 100 000 $ et plus.

Constat : 100 personnes qui ont fait le cours pour 1 personne rentable qui va devenir le professeur des 99 autres futurs "pas de job" à la prochaine cohorte.

Major Fail

Modifié par Le Capitaliste
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Après le Bac, 95 % ne trouve pas de job

Donc 10 % décide d'aller à la maitrise.

après graduation = 30 000 $ par année avec une maîtrise après 5-6 ans d'étude universitaires.

0.01 % décide d'aller au doctorat (1 personne)

Après Graduation du Doctorat = Professeur à l'Université Laval, salaire de 100 000 $ et plus.

Constat : 100 personnes qui ont fait le cours pour 1 personne rentable.

Major Fail

Oui, le seul but de faire des études supérieures = le chèque de paye.

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Après le Bac, 95 % ne trouve pas de job

Donc 10 % décide d'aller à la maitrise.

après graduation = 30 000 $ par année avec une maîtrise après 5-6 ans d'étude universitaires.

0.01 % décide d'aller au doctorat (1 personne)

Après Graduation du Doctorat = Professeur à l'Université Laval, salaire de 100 000 $ et plus.

Constat : 100 personnes qui ont fait le cours pour 1 personne rentable.

Major Fail

Crimebine, sais-tu lire?

Le document cite l'exemple de quatorze étudiants qui ont réussi.

Celui-ci y donne plus de chiffres.

www.fss.ulaval.ca/CMS/upload/ant/.../perspective_emploi_ant.pdf

Sur le même site (gouvernement du Québec, 2001), il est possible d’effectuer une recherche selon la discipline. Un accès à des informations directement en lien avec la formation en anthropologie est possible. Nous pouvons y lire que la nature du premier emploi occupé après les études de baccalauréat est, dans 24% des cas (ce qui regroupe 97,33 des 139 répondants), lié au domaine d’études. Ce pourcentage grimpe lors de l’obtention d’un diplôme de maîtrise et passe à 84,6%, et à 100% pour les détenteurs d’un doctorat. On y apprend également qu’environ la moitié des détenteurs d’un baccalauréat (42%) ou d’une maîtrise (50%) en anthropologie occupent un emploi alors que plusieurs autres décident de poursuivre leurs études pour se spécialiser (41,2% et 33,3%). Lors de la semaine au cours de laquelle l’enquête fut réalisée, moins du dixième des répondants (9,2% et 10%) étaient à la recherche d’un emploi, ce qui correspond au portrait général des détenteurs d’un diplôme à plusieurs autres disciplines des sciences sociales(sociologie, sciences politiques, économique, etc.). Les autres répondants étaient inactifs (7,6% et 6,7%), ce qui signifie qu’ils n’étaient ni aux études, ni à la recherche d’un emploi. En moyenne, en 2003, les finissants en anthropologie débutent leur carrière avec un salaire annuel de 30 100 $ (baccalauréat), de 37 900 $ (maîtrise), tandis que ceux ayant obtenu un doctorat gagnent 65 000 $.
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Oui, le seul but de faire des études supérieures = le chèque de paye.

Bien si tu fais des études supérieures et tu fais payer celui qui lui a assez d'argent pour te faire vivre pendant tes 6-7 années universitaires en lui refilant la facture car toi tu veux tout gratuit et bien remercie le.

Dans sa tête, oui.

Voir les universités comme étant strictement des usines à travailleurs, c'est très dangereux.

Qui paye pour vos études ? Surement pas les grands penseurs sur le chômage :).

Tu peux le faire ton BAC en Anthropologie, mais paye la facture au complet, refile là pas à l'autre si tu te fous de ton salaire et que tu veux juste être un "intellectuel pelleteux de nuage. Sinon, si tu veux le cours gratuit, reste sur internet et va lire des livres tout seul, personne ne t'empêche de tout faire par toi même

Modifié par Le Capitaliste
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Le document cite l'exemple de quatorze étudiants qui ont réussi.

14 étudiants depuis 2004, c'est ce qu'on appelle un placement record!

En moyenne, en 2003, les finissants en anthropologie débutent leur carrière avec un salaire annuel de 30 100 $ (baccalauréat), de 37 900 $ (maîtrise), tandis que ceux ayant obtenu un doctorat gagnent 65 000 $.

Ça confirme pas mal que Le Capitaliste a écrit plus haut.

www.fss.ulaval.ca/CMS/upload/ant/.../perspective_emploi_ant.pdf

C'est dommage qu'à l'Université Laval on n'enseigne pas à copier un lien correctement.

Modifié par Kim Jong-Il
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14 étudiants depuis 2004, c'est ce qu'on appel un placement record!

En moyenne, en 2003, les finissants en anthropologie débutent leur carrière avec un salaire annuel de 30 100 $ (baccalauréat), de 37 900 $ (maîtrise), tandis que ceux ayant obtenu un doctorat gagnent 65 000 $.

Ça confirme pas mal que Le Capitaliste a écrit plus haut.

Wow, j'ai même été trop généreux avec le Doctorat, je donnais 100 000 $, vous pouvez pas dire que je suis de mauvaise foi !

65 000 $ par année pour un doctorat. Sacrament, vous allez gaspiller 10 ans de votre vie à l'université pour espérer trouver un placement de la sorte ? C'est sur que quand tu payes rien de ta poche, c'est facile vedger sur les bancs d'écoles.

Bien sur, l'argent c'est pas important dans la vie il faut faire ce que l'on veut et pelleter des nuages. Mais quand vous serez plus chez popa et moman, qui va payer votre appartement ? Il va se payer tout seul ? Ah oui, c'est vrai, ça va être encore les autres qui va payer pour vous dans les logements sociaux, j'avais oublier. Dans le fond vivre aux dépens des autres et se foutre de faire de l'argent c'est noble comme vision des choses vu que c'est les autres qui vous garde sur le respirateur artificiel.

Ta vision de la chose est tellement simpliste qu'elle prouve d'elle-même mon point. Essaie de décoder le sens de ça, si ton esprit critique en est toutefois capable.

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Modifié par Le Capitaliste
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Dans sa tête, oui.

Voir les universités comme étant strictement des usines à travailleurs, c'est très dangereux.

En fait, je crois qu'il ne fait pas la différence entre université et DEP.

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En fait, je crois qu'il ne fait pas la différence entre université et DEP.

Université = Intellectuel, pêteux de broue dans les pseudo sciences (mis à part les vraies sciences et les programmes qui servent à quelques choses)

DEP = $ $ $ = Si tu est intelligent, tu économises = Investir = L'argent roule pour toi = Tu peux même allez à l'université par après à temps partiel à 30 ans et ramasser l'argent de tes locataires qui eux autres sont à l'université à 19-20 ans et qui essaie de rejoindre les deux bouts et qui probablement rendu à 25 ans et + feront 1 deuxième BAC tout en travaillant dans un couche-tard la fin de semaine ! :-) LOLL

Modifié par Le Capitaliste
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Oui, le seul but de faire des études supérieures = le chèque de paye.

Le problème n'est pas tant relié aux perspectives d'emploi de ces diplômés, mais plutôt relié à la qualité des personnes qui étudient dans ces domaines. Puisque ces programmes n'ont aucun contingentement et demandent peu d'effort, ce sont les programmes privilégiés par les étudiants médiocres. Les programmes de sciences sociales pourraient être incroyablement pertinents s'ils étaient rigoureux et si les étudiants qui y sont inscrits avaient vraiment leur place à l'université. Or, la plupart de ceux-ci auraient mieux fait de faire un DEP ou un DEC technique, non pas parce que c'est plus payant, mais parce que l'université n'est pas leur place. Actuellement, ça donne des étudiants comme Pomo Story qui est persuadé que la sociologie est fondamentalement une discipline partisane et idéologique. Visiblement, cet étudiant n'a aucune idée de ce à quoi doit servir une université.

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Le problème n'est pas tant relié aux perspectives d'emploi de ces diplômés, mais plutôt relié à la qualité des personnes qui étudient dans ces domaines. Puisque ces programmes n'ont aucun contingentement et demandent peu d'effort, ce sont les programmes privilégiés par les étudiants médiocres. Les programmes de sciences sociales pourraient être incroyablement pertinents s'ils étaient rigoureux et si les étudiants qui y sont inscrits avaient vraiment leur place à l'université. Or, la plupart de ceux-ci auraient mieux fait de faire un DEP ou un DEC technique, non pas parce que c'est plus payant, mais parce que l'université n'est pas leur place. Actuellement, ça donne des étudiants comme Pomo Story qui est persuadé que la sociologie est fondamentalement une discipline partisane et idéologique. Visiblement, cet étudiant n'a aucune idée de ce à quoi doit servir une université.

Je suis parfaitement d'accord, on se retrouve avec une érosion de la valeur des diplômes. J'en avais déjà parlé au début du sujet.

Je suis entièrement d'accord avec le point soulevé par Terry Fox concernant la surenchère de la scolarité et l'érosion de la valeur des diplômes universitaires.

D'un côté, on pourrait être tenté de croire que l'augmentation de la fréquentation universitaire est toujours une bonne chose, mais c'est loin d'être le cas. Je suis de ceux qui pensent qu'il n'est pas souhaitable qu'une majorité de la population fréquente l'université; si c'était le cas, la valeur des diplômes s'en verrait grandement diminuée, car il est faux de croire qu'une majorité de la population a les capacités intellectuelles nécessaires pour compléter des études universitaires rigoureuses. Si une majorité de la population québécoise fréquentait les études supérieures, les universités seraient alors obligées de niveller par le bas et c'est déjà ce qu'elles font.

Le phénomène d'érosion de la valeur des diplômes universitaires est aussi clairement visible sur le marché du travail: des emplois qui demandaient un DEC demandent maintenant un BACC; des emplois qui demandaient un BACC demandent maintenant une maîtrise et c'est simplement parce que l'offre des détenteurs de diplômes universitaires s'est grandement accrue.

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Donc tu justifies une augmentation des frais de scolarité sur la base d'une diminution du niveau académique dans les universités québécoises?

Tu crois RÉELLEMENT qu'une limitation de l'accessibilité amène automatiquement une hausse de la qualité du niveau des étudiants? Ergo. Les étudiants provenant de familles plus riches sont TOUS plus doués intellectuellement que ceux des familles plus pauvres?

Bordel. Faut pas être très futé pour se rendre compte que le meilleur moyen dans ce cas-là n'est pas de hausser les frais, mais de hausser les critères d'admission.

(Disclaimer: Si ce que tu voulais dire en fait était que TON diplôme allait valoir moins une fois sur le marché, ça revient exactement à la même chose. Pourquoi faire la sélection sur une base monétaire plutôt qu'intellectuelle?)

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Puisque ces programmes n'ont aucun contingentement et demandent peu d'effort, ce sont les programmes privilégiés par les étudiants médiocres.

Entièrement d'accord avec toi. C'est d'ailleurs très facile à voir lorsqu'on regarde la cote R des étudiants admis dans de tels programmes. Prenons par exemple les données d'admission de 2009 de l'Université Laval.

Proportion des étudiants avec une cote R inférieure à 26.

Histoire : 61%

Lettres : 52%

Sociologie et anthropologie : 61%

Sciences politiques : 66%

Philosophie : 70%

Mathématiques : 11%

Médecine : 0%

Pharmacie : 0%

Sciences physiques : 24%

Droit : 1%

Proportion des étudiants avec une cote R inférieure à 22.

Histoire : 44%

Lettres : 29%

Sociologie et anthropologie : 37%

Sciences politiques : 38%

Philosophie : 50%

Mathématiques : 5%

Médecine : 0%

Pharmacie : 0%

Sciences physiques : 17%

Droit : 0%

Proportion des étudiants avec une cote R supérieure à 32.

Histoire : 4%

Lettres : 10%

Sociologie et anthropologie : 6%

Sciences politiques : 3%

Philosophie : 6%

Mathématiques : 28%

Médecine : 99%

Pharmacie : 100%

Sciences physiques : 26%

Droit : 21%

Je crois que ça en dit long sur ces étudiants...

Source : http://www.crepuq.qc.ca/educq/CotR2009Lvl.html

Modifié par Kim Jong-Il
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Université = Intellectuel, pêteux de broue dans les pseudo sciences (mis à part les vraies sciences et les programmes qui servent à quelques choses)

C'est platte que ça soient des intellectuels qui ont étudié et développé les outils de communication qui te permettent de t'exprimer ici même... Maudits linguistes à marde!

Proportion des étudiants avec une cote R supérieure à 32.

Histoire : 4%

Lettres : 10%

Sociologie et anthropologie : 6%

Sciences politiques : 3%

Philosophie : 6%

Mathématiques : 28%

Médecine : 99%

Pharmacie : 100%

Sciences physiques : 26%

Droit : 21%

Les chiffres de l'UQAM donnent cependant un autre son de cloche... On ne peut donc pas faire un exemple de Laval.

COTE R supérieure à 32

Histoire : 4%

Lettres : 10%

Sociologie et anthropologie : 9%

Sciences politiques : 7%

Philosophie : 8%

Mathématiques : 9%

Sciences physiques : 11%

Droit : 3%

http://www.crepuq.qc.ca/educq/CotR2009Uqam.html

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