Combien d'hommes vivent sur la vie de beaucoup d'autres?

[The end]

À combien estimez-vous le nombre de gens qui vivent, dans le monde, sur le dos de nombreux de leurs prochains?

Je parle ici d'escrocs à grandes échelles, de banquiers, de politiciens mal intentionnés, de chef d'entreprises, etc.

[Milie Vanilli]

Trop. Notre système est construit de façon à encourager (involontairement ou non) ce phénomène.

[fleaux]

c'est drole que tu places

les banquiers, politiciens, chef d'entreprises

dans ceux qui vivent sur la vie des autre alors qu'ultimement ils font vivrent bcp plus de gens qu'ils en exploitent.... perso je mettrais bcp plus les BS, têteux de subvention et autre parasite du système qui eux profitent du labeur des autre pour leur profit personnel sans apporté au reste de la population.

Des banquier, politicien et entrepreneur verreux il y en a, mais la majorité sont honnête et apporte bcp plus à la société qu'ils en coutes et ce même s'ils se remplissent les poches.

[The end]

À ce que je sache, les "BS" ne tuent pas, de près ou de loin, des gens.

« Des banquier, politicien et entrepreneur verreux il y en a, mais la majorité sont honnête et apporte bcp plus à la société qu'ils en coutes et ce même s'ils se remplissent les poches. »

Tu es de toute façon sûrement trop cave pour comprendre que c'étaient des exemples pour lancer la réflexion.

[___]

En excluant le côté monétaire de la question, à peu près tout le monde. Du chef d'entreprise multimillionnaire-redneck-américain-néolibéral à l'Africain sans le sous dans son village sans eau du Niger.

Il faut comprendre ici que l'on hypothèque la génération future en exploitant/consommant plus que ce que «la Terre» peut produire. En épuisant les sols, les forêts, les poissons, bref nos ressources matérielles, automatiquement on a des impacts à court, moyen ou long terme (selon divers facteurs) sur les générations suivantes.

Ironiquement, l'être humain a plus que jamais les moyens (techniques) de prévenir la dégradation de l'environnement et bien peu de solutions sont mises en application.

Ceci était plus ou moins un discours écologiste.

[L'Oracle-W00t]

À ce que je sache, les "BS" ne tuent pas, de près ou de loin, des gens.

« Des banquier, politicien et entrepreneur verreux il y en a, mais la majorité sont honnête et apporte bcp plus à la société qu'ils en coutes et ce même s'ils se remplissent les poches. »

Tu es de toute façon sûrement trop cave pour comprendre que c'étaient des exemples pour lancer la réflexion.

Ok parce que les chefs d'entreprises, les banquiers et les politiciens tuent des gens, oookkk je viens de catcher.

[Mikhaïl Barychnikoff]

À combien estimez-vous le nombre de gens qui vivent, dans le monde, sur le dos de nombreux de leurs prochains?

Je parle ici d'escrocs à grandes échelles, de banquiers, de politiciens mal intentionnés, de chef d'entreprises, etc.

Un jeune Noir sur neuf, âgé entre 20 et 34 ans, est actuellement derrière les barreaux aux Etats-Unis.

#$

D'après certains criminologues, 75 % de gens en prison sont des sociopathes.

$

ANd so on

vraiment useless comme post

ERASE

Modifié 11 juillet 2012 par BERNARDIUM

[The end]

Ok parce que les chefs d'entreprises, les banquiers et les politiciens tuent des gens, oookkk je viens de catcher.

Oui, des chefs d'entreprises, des banquiers et des politiciens tuent des gens.

Des entreprises de blanchiment d'argent, de contre-façon, des politiciens corrompus ou des hommes d'États sanguinaires, des banquiers qui acceptent de blanchir de l'argent en sachant très bien que des personnes seront tuées ou l'ont déjà été.

[L'Oracle-W00t]

Oui, des chefs d'entreprises, des banquiers et des politiciens tuent des gens.

Des entreprises de blanchiment d'argent, de contre-façon, des politiciens corrompus ou des hommes d'États sanguinaires, des banquiers qui acceptent de blanchir de l'argent en sachant très bien que des personnes seront tuées ou l'ont déjà été.

Misère... on est pas sortie de l'auberge..

[The end]

Tu sais ce que veut dire "des", j'imagine... à part le pluriel?

[Gamin]

Tu sais ce que veut dire "des", j'imagine... à part le pluriel?

Est-ce que ça veut dire 'tous, sans exceptions'?

[Guillaume Vincent]

Il faut comprendre ici que l'on hypothèque la génération future en exploitant/consommant plus que ce que «la Terre» peut produire. En épuisant les sols, les forêts, les poissons, bref nos ressources matérielles, automatiquement on a des impacts à court, moyen ou long terme (selon divers facteurs) sur les générations suivantes.

Ironiquement, l'être humain a plus que jamais les moyens (techniques) de prévenir la dégradation de l'environnement et bien peu de solutions sont mises en application.

Ceci était plus ou moins un discours écologiste.

Regarde un entrepreneur qui a créé des souliers 100 % recyclable. En voici une solution. C'est pas dans un pays socialiste comme Cuba que le progrès existe !

You mad slave ?

Modifié 11 juillet 2012 par Guillaume Vincent

[___]

Regarde un entrepreneur qui a créé des souliers 100 % recyclable. Vive le capitalisme et la mentalité du progrès

Même pas besoin de regarder les vidéos pour te répondre que tu n'as rien compris et que ça a aucun rapport.

[Neken]

Ma droppé ça:

[Tovarichtch]

"zZZzzZzzZzZZzZZzzzz"

- Karl Marx.

[MattIsGoD]

Trop. Notre système est construit de façon à encourager (involontairement ou non) ce phénomène.

Vois-tu, c'est très intéressant ce que tu soulèves ici. Notre système est construit de façon à encourager ce phénomène.

Permets-moi d'élaborer un peu sur cette phrase même si je doute que mon explication soit en lien direct avec le questionnement initial de The* ni même avec le point que tu tentais d'amener (d'ailleurs, tu me corrigeras si j'ai mal lu ton intention).

Premièrement, je tiens à préciser que je n'ai pas l'intention de tenir un plaidoyer anti-méchant-bourgeois/pro-pauvre-prolétaires. Deuxièmement, ce ne sera une surprise pour personne, mais je suis marxiste donc ma réflexion s'articule autour de la lutte des classes. Bon, maintenant que les avertissements ont été lancés, entrons dans le vif du sujet.

Tu dis que notre système encourage les gens à vivre aux dépends des autres et c'est très vrai puisqu'il s'agit d'un système basé sur les classes sociales. C'était la même chose du temps du féodalisme. Les seigneurs vivaient sur le dos des censitaires. Dans le capitalisme, cette dynamique est renforcé par l'apparition de deux nouvelles classes sociales: les bourgeois et le prolétariat. Les bourgeois vivent sur le "dos" de la production du prolétariat alors que le prolétariat, pour travailler, doit se "vendre", donc vivre au dépend, de la bourgeoisie. Certaines personnes voient cela comme un contrat de travail bénéficiant aux deux partis; moi, je vois ça comme la graine du malaise que The dénonce.

Ajoutons à cette relation sociale de production - relation sociale qui régit au final tous les autres aspects de la société et qui devient une "totalité" - l'impératif de profit (donc, de toujours engranger plus de bénéfices) ainsi que la loi du marché et on a la recette parfaite pour un système parasitaire rempli de contradictions. Les bourgeois, qui produisent peu, vivent sur le dos du prolétariat. Le prolétariat dépend des bourgeois pour subvenir à leurs besoins. Le capitalisme, du à sa loi de l'offre et de la demande, crée le sous-prolétariat qui, dans un état providence, vit au crochet de la communauté. Au final, un système basé sur les classes sociales encouragent la compétition entre celle-ci ce qui fait que tout le monde cherche à tirer la couverte de son côté et à bénéficier le plus des "opportunités (bitch please!) offertes par le système. Cette compétition inhérente au système, qui a préséance sur la coopération qu'une société sans classe privilégie, explique pourquoi les uns en viennent à vivre sur les dos des autres.

Je pourrais continuer longtemps à énumérer des exemples similaires et tu remarqueras que je ne suis même pas rentré dans les notions de corruption ou de criminalité. Ce sont là les parasites auxquels notre ami The faisait initialement référence et je n'ai même pas besoin d'en parler pour démontrer la pertinence de ton affirmation.

Je ne dis pas qu'une société sans classe n'aurait aucun parasite et encore moins que chaque être humain serait l'unique maître de sa destiné (ça, de toutes façons, c'est une follerie libertarienne), au contraire. Une organisation sociale sous-entend une interdépendance entre les membres de la société. Le but est donc de retirer cette dynamique de compétition entre les classes sociales, de briser le cycle exploitant/exploité et d'en venir à une symbiose entre tous les membres du procédé de production. Certes, plusieurs personnes voient ça comme une utopie et je peux facilement comprendre pourquoi, mais évitons ici ce débat, ce n'est pas le but du sujet.

*: Désolé d'amener le thread sur un autre terrain, mais j'imagine que le questionnement de The en était un "intra-systématique" qui visait à dénoncer les parasites du système et non pas une réflexion sur le système qui pourrait remettre en question la totalité capitaliste. Encore uen fois, désolé de nous ramener "là-dedans", mais je pense que ça a sa pertinence.

[Majoras]

À combien estimez-vous le nombre de gens qui vivent, dans le monde, sur le dos de nombreux de leurs prochains?

Je parle ici d'escrocs à grandes échelles, de banquiers, de politiciens mal intentionnés, de chef d'entreprises, etc.

Déjà qu'est-ce que t'entends par "vivre sur le dos de son prochain" ?

On est des êtres humains, on ne peut se passer d'intéractions avec les autres. On dépend toujours des autres. La nature étant inégale, les forts dominent les faibles. Et ça, peu importe le système. (pour l'autre guignol qui en profite pour faire sa promotion anachronique du communisme)

Si tu es contre l'inégalité que crée la nature (j'entend le "on ne choisit pas ou l'on né", les capacités physiques et les capacités intellectuelles), plaint toi à elle, pas à ceux qui sont né avantagé. Ils n'y peuvent rien.

Modifié 12 juillet 2012 par Majoras

[MattIsGoD]

Déjà qu'est-ce que t'entends par "vivre sur le dos de son prochain" ?

On est des êtres humains, on ne peut se passer d'intéractions avec les autres. On dépend toujours des autres. La nature étant inégale, les forts dominent les faibles. Et ça, peu importe le système. (pour l'autre guignol qui en profite pour faire sa promotion anachronique du communisme)

Si tu es contre l'inégalité que crée la nature (j'entend le "on ne choisit pas ou l'on né", les capacités physiques et les capacités intellectuelles), plaint toi à elle, pas à ceux qui sont né avantagé. Ils n'y peuvent rien.

Qui est le guignol? Celui avec une réflexion scientifique (et je ne dis pas ici que mes conclusions soient ipso-facto les bonnes ni même que ma "méthode" soit la seule qui soit recevable) ou celui qui s'en remet à la "nature" pour expliquer des phénomènes sociaux?

Ladies and gentlemen of the jury, I rest my case.

[Tovarichtch]

On est des êtres humains, on ne peut se passer d'intéractions avec les autres. On dépend toujours des autres. La nature étant inégale, les forts dominent les faibles. Et ça, peu importe le système. (pour l'autre guignol qui en profite pour faire sa promotion anachronique du communisme)

Si tu es contre l'inégalité que crée la nature (j'entend le "on ne choisit pas ou l'on né", les capacités physiques et les capacités intellectuelles), plaint toi à elle, pas à ceux qui sont né avantagé. Ils n'y peuvent rien.

[Insomniaque]

Qui est le guignol? Celui avec une réflexion scientifique (et je ne dis pas ici que mes conclusions soient ipso-facto les bonnes ni même que ma "méthode" soit la seule qui soit recevable) ou celui qui s'en remet à la "nature" pour expliquer des phénomènes sociaux?

Ladies and gentlemen of the jury, I rest my case.

Qu'entends-tu par "réflexion scientifique"? Est-ce que tu parles de ... l'analyse marxiste?