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Le suspect lié aux événements de ce lundi, à Toronto, aurait laissé un message sur les médias sociaux à propos de son appartenance aux Incels. 

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Les autorités indiquent que rien n'est encore certain mais plusieurs articles nous mènent à croire que son acte de violence, ses meurtres, seraient en fait directement en lien avec sa haine des femmes.

J'ai fait quelques recherches sur les-dits Incels et il semblerait que cette "communauté" ait débuté sur un forum dans les années 90.

https://parismatch.be/actualites/societe/138382/les-incels-ces-celibataires-misogynes-dont-se-revendique-lassaillant-de-toronto#!

 

Avez-vous l'impression qu'il y a une recrudescence du masculinisme ? Pensez-vous qu'une partie de ce masculinisme soit une réponse directe à la superficialité féminine ?  

 Chad and Stacy.

 

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Je pense qu'on peut pas passer à côté de ce classique :

 

Ça me rappelle que j'avais fait un topic en 2007 intitulé Le Masculinisme.

Le féminisme et le masculinisme sont deux idéologies qui s'engendrent réciproquement.

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Ce sujet me touche. Je suis en plein dans le public cible des "incels" potentiels, et je peux dire que c'est un sentiment d'impuissance assez répandu chez les jeunes hommes qui ne se retrouvent pas dans les archétypes de la masculinité. Ces gens n'ont pas eu de modèles positifs sur lesquels se fier. Ils pensent que la société les a condamné à souffrir d'être gentils et ils s'enfoncent des mensonges dans le crâne pour justifier leurs échecs jusqu'à en faire des Elliot Rodger.

Qu'est-ce qu'on peut faire? Véhiculer autre chose que le portrait manichéen et fataliste du "gentil qui pogne pas" vs le "méchant qui a tout pour lui", mais de quelle façon? Il y a beaucoup de tabous autour du développement de la sexualité chez l'homme. Quand les garçons atteignent la puberté, on ne leur montre pas à canaliser leur énergie sexuelle, on leur montre à s'en vider. Et ce vide, ça crée ce manque de vitalité, ce manque de confiance, ce manque de testostérone qui habituellement devrait les aider à se sentir bien dans leurs corps et  à développer des relations significatives.

 

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il y a 21 minutes, Lux a dit :

Ça me rappelle que j'avais fait un topic en 2007 intitulé Le Masculinisme.

Le féminisme et le masculinisme sont deux idéologies qui s'engendrent réciproquement.

Mais ma question était autre. Évidemment, Masculiniste/Féministe vont de pair. 

Mais plusieurs textes amènent la réflexion que ces Incels auraient été engendrés par le manque de reconnaissance qu'à la gente féminine à leurs égards puisqu'ils ne répondent pas aux critères actuels de ce qu'on qualifie de "désirables" chez un homme.

Tu en dis quoi, Lux ?  Les femmes seraient-elles généralement superficielles au point d'alimenter ce même masculinisme ? Seraient-elles en partie responsable de ce type d'acte violent ? 

 

@Grrrreat!™ Quoi faire ?  Est-ce qu'il faut investir et augmenter la sensibilisation des jeunes hommes à ce sujet comme on le fait pour les jeunes filles depuis un moment ? Ces archétypes dont tu parles, pour toi, ils sont véhiculés par qui ? 

 

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Il y a 5 heures, Grrrreat!™ a dit :

Ce sujet me touche. Je suis en plein dans le public cible des"incels"potentiels, et je peux dire que c'est un sentiment d'impuissance assez répandu chez les jeunes hommes qui ne se retrouvent pas dans les archétypes de la masculinité. Ces gens n'ont pas eu de modèles positifs sur lesquels se fier. Ils pensent que la société les a condamné à souffrir d'être gentils et ils s'enfoncent des mensonges dans le crâne pour justifier leurs échecs jusqu'à en faire des Elliot Rodger.

Qu'est-ce qu'on peut faire? Véhiculer autre chose que le portrait manichéen et fataliste du "gentil qui pogne pas" vs le "méchant qui a tout pour lui", mais de quelle façon? Il y a beaucoup de tabous autour du développement de la sexualité chez l'homme. Quand les garçons atteignent la puberté, on ne leur montre pas à canaliser leur énergie sexuelle, on leur montre à s'en vider. Et ce vide, ça crée ce manque de vitalité, ce manque de confiance, ce manque de testostérone qui habituellement devrait les aider à se sentir bien dans leurs corps et  à développer des relations significatives.

 

tu touches des points pertinents.

alors qu'il y a aujourd'hui plusieurs modèles de féminité socialement acceptables, il n'y a encore qu'une seule façon de vivre sa masculinité. si à une certaine époque ce rôle était acquis à la naissance,  il doit aujourd'hui se "démontrer" et se "mériter". 

il y a beaucoup d'études, de discussions et d'intérêt portant sur la situation féminine, mais on ne peut pas en dire autant pour la situation masculine. on dirait que parce que vous avez le "beau rôle" (le dominant, le pourvoyeur), il n'y a pas de volonté de remettre en question et/ou de faire éclater ce modèle comme les femmes l'ont fait avec leur propre situation.

ceci dit, c'est facile de mettre la faute sur les femmes, mais il faut voir le problème comme étant un de société. les hommes aussi s'efforcent à reproduire, à valoriser et à nourrir ce modèle. 

une personne qui m'est proche, qui est un homme, me confiait dernièrement ressentir un profond malaise du fait que sa femme avait toujours gagné un plus gros salaire et occupait une fonction plus valorisée que lui. pourtant, sa femme l'avait épousé l'an dernier après 10 ans de relation et il n'y a pas de doute sur le respect et l'estime qu'elle lui porte. il me racontait que son malaise allait jusqu'à se répercuter sur la façon dont il gérait sa carrière et se percevait auprès de sa famille et de ses collègues.

j'avais aussi lu quelque part que près de la moitié des hommes refuseraient d'être en couple avec une femme qui gagne un plus gros salaire qu'eux. c'est pourtant une situation qui n'est plus du tout rare en 2018.

il y a définitivement une asymétrie entre le modèle unique de masculinité qui est encore perpétuellement mis en valeur et enseigné aux garçons et les réalités d'aujourd'hui.

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J'ai remarqué que plus souvent qu'à mon tour, je me censure sur les réseaux sociaux ou dans des discussions avec collègues lorsque l'on parle de la détresse masculine.

C'est à peu prêt certain que si j'avance l'idée que OUI, y a un besoin de restructuration d'idées/de services pour hommes, je vais automatiquement me faire lyncher parce que forcément, si tu prends pour l'un, t'es contre l'autre.

J'ai d'ailleurs des exemples plutôt intéressant sur des tables de concertations à ce sujet où on targue de misogynes/masculinistes des intervenants qui ne font que soulever l'importance de se repositionner par rapport à la masculinité d'aujourd'hui.

Ça doit forcément pas favoriser les échanges et alimenter une certaine animosité.

 

 

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(modifié)

Ce que je déplore personnellement est qu'on n'hésite pas à dépenser des millions et même des milliards en lutte contre le terrorisme, mais que chaque sou noir investi en santé mentale a l'air d'une torture pour les gouvernements. Quand quelqu'un est rendu au bout du rouleau il y a toujours les lignes anti-suicide mais il est souvent trop tard pour ça et ça éclate souvent avec de graves conséquences pour l'ensemble de la société. Avant, on avait les curés et les soeurs pour guider les "brebis égarées" mais dans un contexte de rapide déclin de la religion, ça prend une forme de relève.

Je me souviens à une époque où ça allait moins bien que j'avais voulu consulter et je n'ai eu accès à aucune ressource correspondant à mes moyens financiers (nuls). Le CLSC ne prenait plus de rendez-vous et ils ne voulaient pas me référer ailleurs. Plus tard, j'ai réussi à avoir un rendez-vous avec un délai de 8 mois. Une chance que je ne souffrais pas d'un grave problème car j'ose à peine imaginer ce qui aurait pu arriver dans ce cas. Le pire c'est que de retirer à peine 5% du budget fédéral militaire pour le mettre en santé mentale serait probablement suffisant à assurer des services pour tous.

Le danger au Québec (et au Canada) ne provient pas d'une menace terroriste (religieuse) mais de problèmes psychologiques liés à l'intégration sociale. Pour s'en convaincre, il suffit de regarder les attentats meurtriers au Québec et leurs causes:

- 2017, Mosquée de Québec, Alexandre Bissonnette, 6 morts, 8 blessés: enquête en cours (islamophobie comme motivation idéologique potentielle)

- 2014, Saint-Jean-sur-Richelieu, Martin Rouleau, 1 mort: terrorisme islamique (le seul au Québec)

- 2012, Metropolis, Richard Bain, 1 mort, 1 blessé: bipolarité (francophobie comme motivation idéologique)

- 1989, Polytechnique, Marc Lépine, 14 mortes, 14 blessés: trouble antisocial (misogynie comme motivation idéologique)

- 1984, Assemblée Nationale, Caporal Lortie, 3 morts, 13 blessés: schizophrénie paranoïde

Sans faire une liste complète des attentats survenus ailleurs au Canada, on a aujourd'hui celui de Toronto où le tueur avait visiblement des problèmes psychosociaux. Je ne dis pas qu'il faut abandonner complètement la lutte à la radicalisation religieuse, mais que le problème n'est pas vraiment là. Il est selon moi dans la peur et la haine suscitée par l'isolement social et le manque de ressources pour lutter contre ça. Le jeune homme en colère qui ne se retrouve pas dans son entourage se met à chercher des réponses sur internet et il les prend là où il en trouve. C'est facile alors de conforter des biais cognitifs en trouvant des "coupables" pour sa condition, que ce soit les femmes, les francophones, les musulmans ou les athées. Un soutient psychologique de qualité aurait tôt fait de désamorcer ces conceptions.

J'ai entendu souvent à propos des attentats récents aux États-Unis que le gars en question avait été intimidé à l'école et que c'était un peu la faute de tout le monde. On peut sensibiliser, oui, mais on ne peut pas éliminer complètement la violence psychologique et l'intimidation du jour au lendemain. C'est là que le soutient psychologique est essentiel selon moi et l'argent investi là-dedans est aussi important que les dispositifs de sécurité sur les routes et dans les bâtiments: le retour sur l'investissement n'apparaît pas sous forme de profits mais sous forme de vies humaines sauvées.

 

Modifié par Kalium
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il y a une heure, Pandore a dit :

@Grrrreat!™ Quoi faire ?  Est-ce qu'il faut investir et augmenter la sensibilisation des jeunes hommes à ce sujet comme on le fait pour les jeunes filles depuis un moment ? Ces archétypes dont tu parles, pour toi, ils sont véhiculés par qui ? 

Quoi faire? Personnellement, accepter tout le monde, les inciter à devenir eux-mêmes et non à se mouler. Au niveau systémique, c'est un problème d'éducation, les jeunes sont placés dans des environnements qui poussent constamment à catégoriser, discriminer les choses, les comparer, les peser, les évaluer rationnellement. Peut-être que c'est un paradigme qui influence trop la conception des relations, qui devraient se vivre plus organiquement et moins dans la tête.

Les archétypes eux, sont véhiculés par les jeux vidéos, la pornographie, les séries, les films, internet, la société en général. Comme Ecce le dit, ce n'est pas la faute des femmes mais plutôt un modèle transmis plus ou moins consciemment par la population en général, et ouais, beaucoup chez les hommes.

EDIT : @Kalium Tout à fait d'accord, on devrait traiter ce genre d'actes comme des problèmes de santé publique en plus de lutter contre le terrorisme, parce que la racine du problème est la détresse sociale, l'intégrisme religieux n'est qu'une avenue pour l'exprimer. Je crois que de changer l'angle permettrait à la population de mieux comprendre.

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Un des problèmes actuel c'est le manque de reconnaissance des particularités de la demande d'aide pour un homme. Elle n'a pas le même parcours que celle d'une femme. 

Un homme, avant qu'il se présente en CSSS, il a tenté de régler le problème seul depuis un bon moment (mois, années) parce que bon, les hommes, ça parle pas de "ces affaires là" et les hommes "ça règle ses problèmes tout seul".

D'où l'urgence quand il se présente pour une demande de service parcequ'il a généralement usé de plusieurs autres options avant d'en arriver là.

Mais de ne pas avoir la même stratégie pour un homme ou une femme dans un contexte pareil, ce serait très mal vu et ça soulèverait des débats et des guerres sans fin.

Donc une option plus viable a long terme serait forcément de tenter de briser ces concepts débiles sur ce que représente la masculinité en 2018.

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Exemple : Autonhommie. C'est un organisme qui fournit de l'aide psychologique aux hommes. Le DG m'a expliqué que son organisme n'arrivait pas à trouver de commanditaires pour ses levées de fonds parce que c'est mal vu socialement de financer un organisme masculiniste. Résultat, l'organisme est entrain de pourrir au fin fond de limoilou.

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Une étude récente fait présentement de grande vague dans ma région. 

L'étude consiste à rendre compte des besoins de service pour homme en ce qui à trait à la violence conjugale. Ils souhaitent rendre plus homogène certains outils de détections en matière de VC.

Forcément, ça crée un gros brouhaha dans le domaine de la santé et la majorité des services pour femmes sont outrés. 

 Bon, faut dire que les recherches statistiques sont bancales et les chercheurs ont manqués de rigueur à plusieurs niveaux mais à mon sens, ça n'enlève rien à la pertinence de la démarche.

En fait, j'ai l'impression que pour obtenir des subventions et du soutien, les organismes n'ont d'autres choix que de faire parler les chiffres avec agressivité pour démontrer l'urgence du besoin. Malheureusement, ça peut avoir un impact sur leur crédibilité et par conséquent, les organismes offrant des services pour femmes en profitent largement pour les discréditer.

 

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Il y a 2 heures, Pandore a dit :

Mais ma question était autre. Évidemment, Masculiniste/Féministe vont de pair. 

Mais plusieurs textes amènent la réflexion que ces Incels auraient été engendrés par le manque de reconnaissance qu'à la gente féminine à leurs égards puisqu'ils ne répondent pas aux critères actuels de ce qu'on qualifie de "désirables" chez un homme.

Tu en dis quoi, Lux ?  Les femmes seraient-elles généralement superficielles au point d'alimenter ce même masculinisme ? Seraient-elles en partie responsable de ce type d'acte violent ? 

Les femmes ont deux bonnes heures : au lit et à leur mort.

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Il y a 1 heure, Pandore a dit :

J'ai remarqué que plus souvent qu'à mon tour, je me censure sur les réseaux sociaux ou dans des discussions avec collègues lorsque l'on parle de la détresse masculine.

C'est à peu prêt certain que si j'avance l'idée que OUI, y a un besoin de restructuration d'idées/de services pour hommes, je vais automatiquement me faire lyncher parce que forcément, si tu prends pour l'un, t'es contre l'autre.

J'ai d'ailleurs des exemples plutôt intéressant sur des tables de concertations à ce sujet où on targue de misogynes/masculinistes des intervenants qui ne font que soulever l'importance de se repositionner par rapport à la masculinité d'aujourd'hui.

Ça doit forcément pas favoriser les échanges et alimenter une certaine animosité.

 

 

 

Ton message m'a fait penser à ça que j'ai vu passer sur Twitter hier (dans une discussion sur les "incel" et le gars de Toronto)

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Je dirais que c'est une conséquence directe de l'idéologie inspiré du marxisme qui applique la grille des "luttes de classes" à tous les enjeux de société. Quand tu crois que le sexisme ne peut se comprendre que comme "domination des hommes sur les femmes", ça sous-entend que toute forme de discrimination inverse, où un homme serait victime, est nécessairement impossible. Les cas qui ne correspondent pas à la grille d'analyse sont automatiquement rejetés, au lieu de servir à montrer les limites de la grille d'analyse.

On devient incapable de reconnaître qu'à l'échelle individuelle, certains hommes ont des problèmes et sont parfois même sont bien moins privilégiés que des femmes à plein de niveaux. 

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C'est à prendre à la légère, mais il semblerait le message qui provient du Facebook de Alek Minassian et que les médias partagent depuis le debut de la semaine serait en fait un fake créé par 4chan.

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il y a 31 minutes, Jason Frost a dit :

C'est à prendre à la légère, mais il semblerait le message qui provient du Facebook de Alek Minassian et que les médias partagent depuis le debut de la semaine serait en fait un fake créé par 4chan.

Si je me fie à ça : https://www.blogto.com/city/2018/04/incel-rebellion-alek-minassian-facebook-toronto/

Semblerait que Facebook Canada aurait confirmé que ce post venait effectivement du "vrai" account de Alek Minassian. 

Est-ce que sont compte a été piraté après la tragédie pour afficher ça? C'est "possible". Mais à la base ça ne serait pas simplement un gars de 4chan qui aurait créé cette nouvelle là.

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C'est intéressant de noter que chacun des thèmes abordés dans ce sujet ci sont les thèmes principaux de Fight Club, je sais que la majorité s'en souvienne principalement comme un film de pétage de gueule avec une twist à la M. Night. Shayamalan, mais c'est un des rares oeuvres contemporains à étudier la place de l'homme à l'époque moderne, le masculinisme, le machisme, la manipulation de l'identité (et donc du genre) par le consumérisme, l'absence de rôle modèle, le désir d'acceptation social, la rejection, la rebellion, le désir de cause, etc. 

Le personnage principal, blasé, qui hallucine une version mâle parfaite de lui même, qui lui donne une cause, un but, pour se rendre contre à la fin qu'il a été manipulé par les mêmes techniques qu'il critiquait. Chuck, l'auteur, est gay et sa vision et critique du modèle masculin transparait énormément dans le livre/film. 

L'ironie dans tout ça, c'est que Fight Club est probablement la bible des incels psychopathes qui n'ont pas compris l'ironie du livre. 

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Il y a 6 heures, Grrrreat!™ a dit :

...véhiculer autre chose que le portrait manichéen et fataliste du "gentil qui pogne pas" vs le "méchant qui a tout pour lui", mais de quelle façon? à.

 

Tu remarquera que ce concept est essentiellement véhiculé par les Incels eux-mêmes. 

 

Y'a pas vraiment d'autre solution pour s'en sortir pour un Incel ou quelqu'un qui se sent comme leur public cible, que de se trouver un hobby sportif. Va jouer dehors. Tout le reste va débouler par la suite. 

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@Gamin , j'avais pas du tout fait le rapprochement mais tu as raison. Après une recherche rapide, je tombe effectivement sur plusieurs rapprochements FightClub/Incels. 

 

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