Aller au contenu

Capsule controversée par la Fédération des femmes du Québec


  

21 membres ont voté

  1. 1. Êtes-vous outrés?



Déchet(s) recommandé(s)

Je crois que leur seule participation à ce débat les délégitimise.

Voici les objectifs de la FFQ:

On est loin de la lutte contre les talibans en Afghanistan. Je ne crois pas que ce soit le mandat de la FFQ de s'immiscer dans les grands débats géopolitiques internationaux.

L'explication de la FFQ:

tout ce qui encourage le capitalisme encourage les inégalités sociales et la mauvaise redistribution de la richesse, et donc nuit aux femmes, car elles sont surreprésentées dans les classes défavorisées.

http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/marie-claude-lortie/201010/09/01-4331127-les-femmes-ont-besoin-dune-nouvelle-voix.php

Bref, selon la FFQ, toute personne qui n'est pas anti-capitaliste est nécessairement contre l'égalité des femmes.

Incroyable! Je n'en reviens pas qu'on finance ce groupe d'extrémistes avec nos impôts!

  • J'aime! 4
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Normand Lester speaks the truth.

...

j'aime bien Norm, mais il la facheuse habitude de tourner le coins rond parfois.

Pour contrebalancé ses propos:

Quand le gouvernement Harper prétend que la guerre en Afghanistan est menée pour la démocratie et la libération des femmes, il trompe la population. Car depuis sept ans, cette mission n'a ni sauvé les femmes ni instauré la démocratie.

http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/rima-elkouri/201010/09/01-4331124-la-guerre-non-madame.php

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Quand le gouvernement Harper prétend que la guerre en Afghanistan est menée pour la démocratie et la libération des femmes, il trompe la population. Car depuis sept ans, cette mission n'a ni sauvé les femmes ni instauré la démocratie.

J'aimerais bien savoir sur quoi elle se base pour dire que la guerre n'a sauvé aucune femme. Juste comme ça, sous le règne des Talibans, la burqa était obligatoire, les petites filles ne pouvaient pas aller à l'école, les femmes ne pouvaient pas sortir sans être accompagnées de leur conjoint ou d'un homme de la famille. Toutes femmes qui ne respectaient pas ces codes se faisaient torturer et tuer dans un amphithéâtre plein à craquer d'une foule en manque de divertissement. Évidemment, les Afghanes n'ont pas encore aujourd'hui la même liberté que celles en Occident, mais la situation est assurément meilleure que celle qui prévalait avant. Le problème des anti-guerres irrationnelles, c'est qu'ils considèrent que toute situation qui n'a pas atteint la perfection est un échec, sans considérer qu'une amélioration est en soi une réussite. C'est juste évident qu'on ne peut pas changer une société autoritaire hyper-conservatrice en société libre et démocratique en quelques années, mais on peut quand même contribuer au début de leur émancipation.

  • J'aime! 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Une autre excellente capsule de la part de la Fédération des femmes du Québec.

http://www.youtube.com/watch?v=L8FulQk0U-Q

On pousse la démagogie jusqu'à insinuer que le salaire minimum et la faiblesse des sommes allouées aux femmes seules par l'assistance sociale pousse ces femmes à... la prostitution.

Il existe une chose connue sous le vocable de «prostitution de fin de mois». Des femmes monoparentales afffectées par des problèmes tels que l'alcoolisme, la toxicomanie légère ou l'incapacité à contrôler leurs achats impulsifs, ou simplement pas suffisamment brillantes ou disciplinées pour gérer leur budget, qui manquent de fonds en fin de mois et font quelques passes en recrutant sur les sites de rencontres ou dans les bars.

Ce n'est pas vraiment une question de moyens. Il y a d'autres problèmes et ces problèmes sont souvent des éléments contributifs à leur situation de détresse générale.

J'en ai connue une. Ça fait pitié. La misère humaine.

Les assistés sociaux aptes au travail devraient non seulement avoir droit aux services d'un spychothérapeute gratuitement, mais ces services devraient être obligatoires.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il existe une chose connue sous le vocable de «prostitution de fin de mois». Des femmes monoparentales afffectées par des problèmes tels que l'alcoolisme, la toxicomanie légère ou l'incapacité à contrôler leurs achats impulsifs, ou simplement pas suffisamment brillantes ou disciplinées pour gérer leur budget, qui manquent de fonds en fin de mois et font quelques passes en recrutant sur les sites de rencontres ou dans les bars.

Ce n'est pas vraiment une question de moyens. Il y a d'autres problèmes et ces problèmes sont souvent des éléments contributifs à leur situation de détresse générale.

J'en ai connue une. Ça fait pitié. La misère humaine.

Les assistés sociaux aptes au travail devraient non seulement avoir droit aux services d'un spychothérapeute gratuitement, mais ces services devraient être obligatoires.

J'suis pas une femme et j'ai certains mois du mal à payer mon loyer. Moral logique : je survis grâce à la prostitution du mois ... ?

what de phock

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je ne dis pas ça, ASV.

Je dis qu'il y en a qui font ça. Celle que j'ai connue était une femme splendide de 45 ans, vraiment un bébé, qui avait trois enfants. Toute une baiseuse, un corps d'acier, des cheveux noirs aux fesses, toute un pétard.,,,trop beau pour être vrai.

J'ai rencontré son ancien pimp après un mois. Elle me volait(des broutilles) pour lui envoyer de l'argent...LOLLLL

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 4 semaines plus tard...

Une autre prise de position ridicule de la Fédération des Femmes du Québec.

20581c719c031a6360927000f7adb814.jpg?stmp=1288815571

Québec — L'État ne doit pas interdire le port du niqab ou de la burqa aux travailleuses des garderies en milieu familial, pense la Fédération des femmes du Québec. En commission parlementaire hier à l'Assemblée nationale, la présidente de la FFQ, Alexa Conradi, a demandé au gouvernement d'exclure les services de garde à domicile de l'application du projet de loi 94 sur les accommodements raisonnables.

Selon Mme Conradi, des femmes victimes d'exclusion sociale pourraient se retrouver encore plus marginalisées, et sans revenu.

Source - Le Devoir

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Veuillez vous connecter pour commenter

Vous pourrez laisser un commentaire après vous êtes connecté.



Je veux revenir!
 Partager

×
×
  • Créer...