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Un stupide voleur se fait tuer par des policiers


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Pourtant pendant que j'étais au cégep ce n'était pas un préjugé. Les membres de l'asso étudiante pro-grèves étaient tous en sciences humaines.

Disons que c'est plus compliqué que ça. Je crois que ça va beaucoup dépendre du Cégep en question et de ses spécialités. Par exemple, dans l'association étudiante du Cégep de Sherbrooke, il y a beaucoup d'étudiants en graphisme, et les sciences humaines sont assez minoritaires.

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Plusieurs immigrants de différents pays, entre autres les Juifs, les Grecs, les Polonais, les Roumains, les Italiens et plusieurs autres, ont quitté leurs régions principalement dus à la pauvreté et à des conditions de vie misérables. Pourtant, ils n'ont pas fait autant de problèmes que les immigrants actuels et ne se sont pas repliés identitairement sur eux-mêmes. Les juifs, par exemple, ont carrément vécu d'abominanable souffrances pendant plusieurs années et au lieu d'aller foutre la merde dans leurs pays d'accueil à leurs arrivées, ils se sont ressaisis, instruits, cultivés et forme maintenant un des peuples avec le plus de postes d'influence dans la société.

N'importe quel individu qui souhaite étudier, travailler et réussir au Québec peut le faire. C'est davantage une question de motivation et de discipline que d'autres choses.

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Parce qu'effectivement, les juifs ne sont pas du genre à crier, manifester quand l'un des leurs ou l'une de leurs institutions est simplement critiqué et voir du raciste partout. La ligue des noirs c'est des chialeux, mais le B'nai B'rith c'est l'exemple de l'intégration et du non-repli identitaire :D

Et étrangement, le discours tenu par certains sur les noirs et hispanique ressemble drôlement à ceux tenus il y a quelques décennies sur les nouveaux immigrants.. qu'aujourd'hui ont décrit comme bien intégrer..

Et dire de ces communautés qu'ils ne se sont pas ghétoisés, c'est d'avoir manqué un pan de l'histoire.

Cela dit, tu compares l'intégration d'immigrant de 3e et 4e voir 5e génération avec celle de première et deuxième..

Qui dit que dans 40 ans, des gens sur un forum ne se plaindront pas du manque d'intégration des nouveaux immigrants disons Russes, qui devraient prendre exemple sur les noirs qui se sont très bien intégrés...

Ça ne vient pas contredire un peu le premier fait que tu tentes de réfuter? Allah spécifie le Québec dans son affirmation.

C'est effectivement le cas pour le Québec, mais pas le cas ailleurs. Et comme c'est ce qui lui servait d'argument comme quoi la criminalité à moins a voir avec la pauvreté que la culture, est-ce dire que c'est le cas uniquement pour le Québec et que dans le reste du Canada, c'est la pauvreté sur la culture?

Je tenais à ajouter que l'air du temps a aussi influencé la destinée de plusieurs. J'entends par là, la vie était difficile a l'époque, nos grands parents et arrière grand parent ont travailler plus fort et fais plus de sacrifices que nous serions probablement jamais en mesure de faire. L'immigration du début du siècle, malgré la réception plutôt tiède de notre part, s'est retroussé les manches, mais est-ce réellement lié à leur origine ou à l'époque?

De nos jours, les gens en moyenne, sont prêt à moins d'effort et de sacrifices pour réussir, société trop confortable, ça se répercute dans tout les sphères.

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(modifié)

Parce qu'effectivement, les juifs ne sont pas du genre à crier, manifester quand l'un des leurs ou l'une de leurs institutions est simplement critiqué et voir du raciste partout. La ligue des noirs c'est des chialeux, mais le B'nai B'rith c'est l'exemple de l'intégration et du non-repli identitaire :D

Le B'nai B'rith voit du racisme et de l'antisémitisme partout aussi. Que ce soit dans les manifestations pro-palestiniennes, dans la venue au Canada d'un député britannique de gauche...

Disons que la paranoïa de la ligue des noirs n'est pas unique.

Modifié par Zénon
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La pauvreté a le dos large... Les régions les plus pauvres du Québec sont généralement les plus pacifiques. T'en as vu combien d'émeutes en Gaspésie ou au Saguenay? Le facteur culturel est selon beaucoup plus explicatif que la pauvreté. Tous les immigrants ou presque sont pauvres à leur arrivée au Québec et la plupart le sont pendant plusieurs années. Or, seuls les Noirs et Hispaniques sont violents et très criminalisés, même s'ils ne sont pas les plus pauvres globalement.

Oui, saufe que non. Les populations du Saguenay et la Gaspésie ne se qualifie pas comme population pauvre. Je viens du Saguenay. La population du Saguenay vie au rythme des salaires gracement payé et des jobs syndicalement blindés des usines qui font tournée l'entièreté de la vie économique de la région. Dans chaque cours, y'a littéralement soit deux voitures, soit un skidoo, une moto ou un bateau. La région a un taux de chomage relativement élevé, mais c'est du aux jobs saisonières et au faits que les jeunes ne sont pas qualifier pour travailler dans les usines de leurs pères. Ce n'est pas une pauvreté réelle.

Concernant la Gaspésie, il s'agit, je crois, au pire, d'une région à faible revenue. Je doute qu'on puisse parler de pauvreté réelle.

De toute façon, parler de pauvreté n'est utile que si cete pauvreté est en mesure de générer une culture de la violence (traffic de drogues, gangs de rue), culture capable de rentrer en compétition avec les forces d'intégration sociale (école, famille, job). C'est le cas à Montréal-nord, parce que le cycle de la pauvreté est renforcie par le replie identitaire. Ce n'est pas le cas ailleurs au Québec, parce que c'est difficile de tomber dans le replie identitaire lorsque l'on fait partie d'une population homogène.

Modifié par B~E
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Au sujet de la capacité des immigrant à s'intégrer, il faut savoir qu'en moyenne, les immigrants sont plus éduqué que les Canadiens de souche:

Canada’s recent immigrants are better educated, on average, than native-born Canadians but they fare worse in the job market. While 15.8% of native-born Canadians had a bachelor’s degree or higher in 2006, 25.4% of Canadian immigrants were degreed. Despite this difference, native-born Canadians earn an average total income of $64,239 compared to $48,488 for immigrants. And unemployment for Canadian immigrants was 6.6% -nearly twice of what it was for native-born Canadians (3.5%).

C'est notre responsabilité d'être en mesure de profiter des talents de nos immigrants. SI nous échouons à ce niveau, alors ils vont tomber dans la pauvreté. Et c'est les générations subséquentes qui vont tomber dans la pauvreté et le replie identitaire.

Par exemple, en France le problème des banlieues est survenue durant les années 80. Pourtant, les immigrants s'y sont installé durant les années 50 et 60, pour la reconstruction du pays. Lorsque les minorités en France ont perdu leur raison d'être économique durant les années 70s, à la fin des 30 glorieuses, la pauvreté s'est chargé de radicalisé les générations suivantes.

Parce qu'effectivement, les juifs ne sont pas du genre à crier, manifester quand l'un des leurs ou l'une de leurs institutions est simplement critiqué et voir du raciste partout. La ligue des noirs c'est des chialeux, mais le B'nai B'rith c'est l'exemple de l'intégration et du non-repli identitaire :D

C'est un peu tautologique d'accuser de replie identitiaire une organisation à vocation ethnique. Le B'nai B'rith, dans son fonctionnement, est pourtant un bel exemple d'intégration. Cette organisation respect les règles du jeu, et y est très performante.

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T'as aussi le choix de prendre la vie d'aucun d'eux et de viser les jambes.

Tu sais, les jambes pour immobiliser la personne et la rendre dans l'incapacité d'attaquer et de se défendre.

Scénario numéro 1: Le policier est un dieu de la gâchette, un tireur d'élite avec son petit glock 9mm imprécis et immobilise le suspect en lui tirant dans les jambes.

Réda: "Brutalité policière! Une arme à feu doit être utilisée en dernier recours seulement! Il aurait pu utiliser son taser pour ne pas blesser le suspect.

Scénario numéro 2: Même si un criminel dangereux fonce vers lui avec une barre de fer dans les mains, le policier à le temps de dégainer son taser et d'immobiliser le suspect au sol.

Réda: "Brutalité policière! Le taser est une arme hautement dangereuse et il y a eu beaucoup de décès reliés à son utilisation tant au Canada qu'aux États-Unis. Il aurait pu maitriser le suspect avec des techniques de corps à corps; les policiers sont formés pour ça.

Scénario numéro 3: Le policier se bat kung-fu style à mains nu contre le suspect armé d'une barre de fer et lui casse le nez en tentant de le désarmer.

Réda: Brutalité policière! Blablabla....

Scénario numéro 4: Le policier se fait tuer par un criminel à coup de barre de fer.

Réda: Pour cette fois, Réda ne voit rien à redire...

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Ai-je parlé de brutalité policière dans ce sujet (voire même dans tout ce forum) ou c'est encore tes préjugés qui te remontent à la tête ? Il me semble que tu parle de quelque chose que je n'ai même pas encore traité ici.

Es-tu Nostradamus ?

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Ai-je parlé de brutalité policière dans ce sujet (voire même dans tout ce forum) ou c'est encore tes préjugés qui te remontent à la tête ? Il me semble que tu parle de quelque chose que je n'ai même pas encore traité ici.

Es-tu Nostradamus ?

Je voulais rire sarcastiquement de ton commentaire fautif selon lequel les policiers devraient "tirer dans les jambes des criminels". Évidemment, toute personne n'ayant pas été complètement "brainwashée" par les films d'action hollywoodiens est consciente qu'il est très difficile d'atteindre les jambes d'un individu en mouvement; raison pour laquelle les policiers sont entraînés à viser le centre de masse.

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Justement, ils ne sont pas entrainés pour viser le centre de masse, mais bien de maîtriser le suspect en évitant au maximum, et par tous les moyens disponibles, le sang. Le permis de tuer pour le policier n'est qu'en extrême dernier recours : or, au Canada, c'est rendu à la mode de tuer et de féliciter la tuerie.

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Justement, ils ne sont pas entrainés pour viser le centre de masse, mais bien de maîtriser le suspect en évitant au maximum, et par tous les moyens disponibles, le sang. Le permis de tuer pour le policier n'est qu'en extrême dernier recours : or, au Canada, c'est rendu à la mode de tuer et de féliciter la tuerie.

Toi, cher Réda, pourrais-tu nous indiquer comment maîtriser un criminel agressif avec une barre de fer dans les mains qui attaque un policier?

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Je ne peux pas indiquer comment puisque je n'ai reçu aucune formation à cet effet, tout comme toi et les autres de ce forum. La question est impossible à répondre, ne serait-ce que par subjectivité purement personnelle. Et ça, je ne m'avancerai pas là-dessus.

Par contre, je sais que le policier est entrainé à ce genre de situation et ne pas utiliser l'arme à feu, surtout lorsque l'autre personne en a pas et ne menace la vie de personne. De plus, tu précise "barre de fer", est-ce vraiment une arme selon la photo ? On voit que c'est une tige de fer, un bout ridiculement petit qui n'avait pour intention de faire peur au policier. Comment veux-tu que le suspect en question puisse tuer le policier qui lui pointe une arme à feu sans avoir rien d'autre utilisé ? Ni poivre de cayenne, ni matraque, ni ses propres mains et connaissances de combats corps-à-corps.

Mais toi Sim4444, trouves-tu cela juste de tuer un individu parce qu'il te court après avec une soi-disante arme qui, au bout du compte, ne te fera rien, à toi, ton gilet pare-balles et tes connaissances de combat ? Une balle dans la tête je suppose ?

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Pourtant pendant que j'étais au cégep ce n'était pas un préjugé. Les membres de l'asso étudiante pro-grèves étaient tous en sciences humaines.

Moi à Maisonneuve durant mon DEC (que je termine cette session :) ) j'ai vu autant d'étudiants pro-grèves en sciences de la nature qu'en "sciences humaines pas de math". Le pire que j'ai entendu était en sciences nature double DEC. Moi je crois qu'il y a aussi des vagues de protestation, ça va par génération. Y a 20 ans ça aurait été inimaginable de voir les étudiants en médecine et en génie (polytechnique) débrayer... Mais ça s'est produit en 2005 (c'était un précédent).Mais je concède que les étudiants en sciences humaines sont plus faciles sur la pancarte (en sciences nature les étudiants sont plus pragmatiques j'ai l'impression).

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"Avis aux craintifs: ne cherchez pas la quiétude dans les petites villes. Au Canada, c’est en effet là que les

taux de criminalité sont les plus élevés. Seule exception, le Québec, où les grands centres demeurent plus dangereux, selon une étude de Statistique Canada portant sur des données de 2005. Les difficultés socio-économiques des petites villes sont aussi montrées du doigt."

"On apprend que le taux de criminalité en Montréal-Nord est plus bas que le taux moyen de la région montréalaise : 53 par 1 000 adolescents impliqués dans des affaires de délinquance dans l’arrondissement, en comparaison avec 62 pour toute la région.

Les quartiers présentant les densités relatives les plus élevées de crimes avec violence se situent dans les zones du centre-ville, de Verdun, de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, de Montréal-Nord, de Rosemont-La-Petite-Patrie et de Villeray-St-Michel-Parc-Extension.

Selon des données 2007 de Statistique Canada, Saint-Jérôme déjoue la perception populaire selon laquelle Montréal est la capitale du crime au Québec. Proportionnellement, il y a plus de crimes dans la ville centre des Laurentides que dans la métropole.

D'ailleurs, toute la région des Basses-Laurentides a un taux de criminalité élevé. La municipalité régionale de comté (MRC) d'Argenteuil (Lachute, Brownsburg-Chatham...) ainsi que les banlieues Sainte-Thérèse, Deux-Montagnes et Saint-Eustache ont toutes des taux de criminalité plus élevés que la moyenne québécoise.

Le directeur par intérim de la police de Saint-Jérôme, Danny Paterson, ne le cache pas: «On a toujours été une ville où la criminalité par habitant est parmi les plus élevées au Québec. C'est le malheur des villes ouvrières prospères des années 60. Mais on ne peut pas dire pourquoi c'est pire ici qu'ailleurs.»

Les gangs de motards sont présents depuis longtemps dans la région. «Ça fait 19 ans que je suis ici et il y a toujours eu des membres des Hells ou de clubs sympathisants dans les bars ou qu'on interpelle dans la rue», dit le chef Paterson."

Ces chiffres concernent le nombre crimes divisée par la population résidente. Or, les crimes ne sont pas nécessairement commis par des résidents. Ainsi, les villes qui attirent beaucoup de touristes ou de travailleurs de l'extérieur vont être surévaluées. Par exemple, suppose un village compte 100 habitants, mais attirent en moyenne 500 touristes quotidiennement. S'il y a 1 crime, même si celui-ci est commis par un touriste, le taux de criminalité sera de 1%. À l'inverse, les villes qui n'attirent personnes et va être sous-évaluées. C'est le cas notamment de Montréal-Nord, où il n'y a pour ainsi dire aucun touriste et aucun travailleur extérieur.

Par ailleurs, je recite cette phrase, qui montre que ton argument ne vaut pas de la chenoute, puisque ça ne s'applique pas au Québec. :

Seule exception, le Québec, où les grands centres demeurent plus dangereux

Donc, quel est ton point???

Oui, saufe que non. Les populations du Saguenay et la Gaspésie ne se qualifie pas comme population pauvre. Je viens du Saguenay. La population du Saguenay vie au rythme des salaires gracement payé et des jobs syndicalement blindés des usines qui font tournée l'entièreté de la vie économique de la région. Dans chaque cours, y'a littéralement soit deux voitures, soit un skidoo, une moto ou un bateau. La région a un taux de chomage relativement élevé, mais c'est du aux jobs saisonières et au faits que les jeunes ne sont pas qualifier pour travailler dans les usines de leurs pères. Ce n'est pas une pauvreté réelle.

Concernant la Gaspésie, il s'agit, je crois, au pire, d'une région à faible revenue. Je doute qu'on puisse parler de pauvreté réelle.

De toute façon, parler de pauvreté n'est utile que si cete pauvreté est en mesure de générer une culture de la violence (traffic de drogues, gangs de rue), culture capable de rentrer en compétition avec les forces d'intégration sociale (école, famille, job). C'est le cas à Montréal-nord, parce que le cycle de la pauvreté est renforcie par le replie identitaire. Ce n'est pas le cas ailleurs au Québec, parce que c'est difficile de tomber dans le replie identitaire lorsque l'on fait partie d'une population homogène.

Hmmm... pas sûr de comprendre. Pour moi, pauvreté = faible revenu. Et les revenus des gens de Montréal Nord ne sont pas vraiment moins élevés que ceux de la Gaspésie, en plus de présenter une plus faible taux de chômage et d'assistés sociaux.

Mais toi Sim4444, trouves-tu cela juste de tuer un individu parce qu'il te court après avec une soi-disante arme qui, au bout du compte, ne te fera rien, à toi, ton gilet pare-balles et tes connaissances de combat ? Une balle dans la tête je suppose ?

??? Attends là... tu dis qu'un gilet pare-balles peut protéger le policier contre un coup de barre de métal dans la face? Je te dis que t'es presque intelligent toi!

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C'est sur que c'est super facile de viser la tête avec une tige de métal. C'est comme dans GTA : tu fais clique droit et ça vise automatiquement ! Te reste plus qu'à frapper, et voilà ! Je veux dire, le policier ne sait pas du tout se défendre, désarmer le suspect, le combat corps-à-corps et utiliser ses autres outils comme le poivre de Cayenne et la matraque.

Nope, juste le pistolet.

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Moi à Maisonneuve durant mon DEC (que je termine cette session :) ) j'ai vu autant d'étudiants pro-grèves en sciences de la nature qu'en "sciences humaines pas de math". Le pire que j'ai entendu était en sciences nature double DEC. Moi je crois qu'il y a aussi des vagues de protestation, ça va par génération. Y a 20 ans ça aurait été inimaginable de voir les étudiants en médecine et en génie (polytechnique) débrayer... Mais ça s'est produit en 2005 (c'était un précédent).Mais je concède que les étudiants en sciences humaines sont plus faciles sur la pancarte (en sciences nature les étudiants sont plus pragmatiques j'ai l'impression).

Tu as en partie raison, mais j'aimerais aussi ajouter que nous ne sommes pas dans un contexte pour faire une grève. L'échec de la grève de 2007 à beaucoup déçue et le gouvernement n'a pas de projet provocateur pour mobiliser la population étudiante. Donc, la grève, il n'y en aura pas pour cette année.

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