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Prolongement du métro de Montréal


Déchet(s) recommandé(s)

Moi en tout cas, je suis à temps partiel, je m'arrange pour travailler juste assez pour ne pas payer d'impôts, j'ai droit au remboursement de TPS/TVQ chaque année, j'utilise le transport en commun avec ma pass à 36$ tarif réduit (grâcement payé par vos taxes)...

Je suis balèze. C'est pratiquement le fun d'être pauvre au Québec (une charge pour la société). Je vois ça comme une période fast dans ma vie.

Mais au fond je ne m'en fais pas, je finir par rembourser ma "dette" à la société tôt ou tard.

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Flipper des boulettes chez McDo à temps partiel ne compte pas comme un vraiment...

Que fais-tu comme travail, quel âge as-tu et quel est ton salaire annuel?

Ça me fait rire toutes ces questions alors que t'a une tendance assez impressionnante de ne pas vouloir révéler une quelconque partielle de ton identité, toi et ta clique.

Ça changerait quoi s'il paie ou pas d'impot? Ca lui donne ou enleve le droit de s'exprimer, ca lui donne ou enleve de la crédibilité sur la logique des choses qu'il pourrait présenter?

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Ça me fait rire toutes ces questions alors que t'a une tendance assez impressionnante de ne pas vouloir révéler une quelconque partielle de ton identité, toi et ta clique.

Ça changerait quoi s'il paie ou pas d'impot? Ca lui donne ou enleve le droit de s'exprimer, ca lui donne ou enleve de la crédibilité sur la logique des choses qu'il pourrait présenter?

Évidemment que ça lui enlève de la crédibilité s'il ne paie pas un sous d'impôt tout en demandant à ceux qui sont imposés à 50% de leur salaire de contribuer encore plus. C'est tellement facile d'être généreux avec l'argent des autres.

La Presse

La progression est importante: depuis 1980, le nombre de Québécois qui ne paient pas d'impôt sur le revenu a progressé trois fois plus vite que ceux qui doivent envoyer leur chèque à Québec.

Selon des données rendues publiques vendredi par le ministère des Finances, le nombre de contribuables non imposables a bondi de 3,9% en moyenne par année, entre 1980 et 2006, pour atteindre 2,2 millions.

Par contre, le nombre d'imposables a progressé d'à peine 1,3% pendant la même période, à 3,7 millions. Résultat: en 2006, 36,9% des contribuables ne payaient d'impôt sur leurs revenus. En 1980, c'était 23,5%.

Cette situation inquiète l'économiste en chef de l'Institut économique de Montréal, Marcel Boyer. «Pour des raisons de cohésion sociale, de participation, il serait mieux de faire payer à ces gens-là un peu d'impôt.»

Dans les faits, cela signifie donc que les 19% de contribuables les plus riches - ceux qui gagnent 50 000$ et plus - ont payé 68,9% de l'impôt des particuliers en 2006.

Ces données peuvent avoir un impact jusque dans l'isoloir, selon M. Boyer: «Les gens peuvent être relativement favorables à des augmentations de programmes, de dépenses, en sachant que, de toute façon, ils ne contribuent pas à cette augmentation de dépenses du fait qu'ils ne paient pas d'impôt.»

Pour être juste, soulignons aussi que le nombre de non imposables a reculé de façon importante en 2005, de 6,1%. Au ministère des Finances, on explique cette diminution par le Soutien aux enfants, qui est devenu un crédit d'impôt remboursable. «Le vrai chiffre, explique Jacques Delorme, porte-parole du Ministère, c'est plus 60-40» (la proportion des imposables et des non-imposables).

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Vivre selon ses moyens, un concept qui ne semble pas populaire au Québec, du moins chez nos dirigeants.

Le gouvernement devrait envoyer un relevé chaque mois comme Visa le fait pour les particuliers. Ça sonnerait peut-être quelques cloches chez quelques cloches..

On ne peut pas s'endetter indéfiniment sans conséquence.

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Mais au fond je ne m'en fais pas, je finir par rembourser ma "dette" à la société tôt ou tard.

Quand tu as fini de rembourser une dette, tu arrêtes de payer, Avec les impôts, ça continue à l'infini.

Est-ce que ça veut dire que chaque citoyen a une dette infinie envers l'État bénéfacteur?

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Évidemment que ça lui enlève de la crédibilité s'il ne paie pas un sous d'impôt tout en demandant à ceux qui sont imposés à 50% de leur salaire de contribuer encore plus. C'est tellement facile d'être généreux avec l'argent des autres.

Ok, et supposons qu'il vous dit qu'il travaille et donne 50% de son salaire à sa famille dans le but de les aider financièrement : je suppose que ca lui donnerait pas de la crédibilité non plus. Mais pourtant, il donne; pas à la société en soi mais à sa famille.

Vous avez aucune espèce d'idée de ce qu'il fait de son cash, qu'il paie de l'impôt ou pas. Venez pas sauter aux discours de la crédibilité. Si son discours suit une logique, c'est suffisant. Cessez de remettre en question des discours contraires à vous pour des niaiseries insignifiante dans le genre.

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Ça me fait rire toutes ces questions alors que t'a une tendance assez impressionnante de ne pas vouloir révéler une quelconque partielle de ton identité, toi et ta clique.

J'ai déjà dit les diplômes que je détiens et le type d'emploi que j'occupe. J'ai entre 30 et 35 ans et je suis en couple. Allah est Gland a aussi divulgué sensiblement la même information à son sujet. C'est beaucoup plus que ce qu'on connait de 1000+...

Il a tellement insisté sur mon âge que je crois pouvoir lui demandé le sien.

Ça changerait quoi s'il paie ou pas d'impot? Ca lui donne ou enleve le droit de s'exprimer, ca lui donne ou enleve de la crédibilité sur la logique des choses qu'il pourrait présenter?

Comme Sim4444 l'a si bien dit: c'est facile d'être généreux avec l'argent des autres. J'aimerais surtout savoir s'il fait partie de la minorité qui paie ou de la majorité qui profite...

Ça ne lui enlève pas le droit de s'exprimer. J'ai déjà expliqué en long et enlarge ma position sur la liberté d'expression, je crois.

Par contre, oui, ça lui enlève de la crédibilité.

Vous avez aucune espèce d'idée de ce qu'il fait de son cash, qu'il paie de l'impôt ou pas.

C'est vrai qu'on n'en a aucune idée, c'est pour ça qu'on lui demande.

Moi je paie 50% d'impôt, je veux simplement savoir s'il propose de dépenser notre argent ou mon argent.

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Ok, et supposons qu'il vous dit qu'il travaille et donne 50% de son salaire à sa famille dans le but de les aider financièrement : je suppose que ca lui donnerait pas de la crédibilité non plus. Mais pourtant, il donne; pas à la société en soi mais à sa famille.

Vous avez aucune espèce d'idée de ce qu'il fait de son cash, qu'il paie de l'impôt ou pas. Venez pas sauter aux discours de la crédibilité. Si son discours suit une logique, c'est suffisant. Cessez de remettre en question des discours contraires à vous pour des niaiseries insignifiante dans le genre.

Ce n'est pas des niaiseries insignifiantes; en ce sens, je crois que l'article que j'ai cité est très intéressant. On y apprend que le nombre de Québécois ne payant pas d'impôt ne cesse d'augmenter depuis les années 80. (3.9 % par année) Présentement, ils représentent une masse critique de 36.9 % des contribuables et on peut se demander ce qui va se produire quand ils seront majoritaires et pourront imposer leur belle solidarité sociale à la minorité de "riches" payeurs d'impôts par le biais de notre système démocratique. Il sera alors suicidaire pour un parti politique de vouloir réduire les impôts ou de couper dans les programmes sociaux.

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Je l'ai déjà posté, mais pour ceux ne l'ayant pas lu. Petite allégorie sur l'impôts et sa distribution.

Supposons que tous les jours, 10 hommes se retrouvent pour boire une bière et que l'addition se monte à 50$ (normalement, 5$ chacun). S'ils payaient la note de la façon que l'on paie les impôts, selon les revenus de chacun, on aurait l'exemple suivant:

Les quatre premiers, les plus pauvres, ne paieraient rien, zéro cent.

Le cinquième paierait 50 cents.

Le sixième paierait 1,50$.

Le septième paierait 3,50$.

Le huitième paierait 6$.

Le neuvième paierait 9$.

Le dernier, le plus riche, devrait payer 29,50$ à lui tout seul.

On arrive donc bien à 50$.

Ils décidèrent de procéder comme décrit. Les dix hommes se retrouvèrent chaque jour pour boire leur bière et semblèrent assez contents de leur arrangement. Jusqu'au jour où le tenancier du bar les plaça devant un dilemme: «Comme vous êtes de bons clients, dit-il, j'ai décidé de vous faire une remise de 10$. Vous ne paierez donc vos dix bières que 40$.»

Le groupe décida de continuer à payer la nouvelle somme de la même façon. Les quatre premiers continuèrent à boire gratuitement. Mais comment les six autres, les clients payants, allaient-ils diviser les 10$ de remise de façon équitable? Ils réalisèrent que 10$ divisés par 6 faisaient 1,66$.

Mais s'ils soustrayaient cette somme de leur partage, alors le cinquième et le sixième homme allaient être payés pour boire leur bière (1,16$ et 16 cents). Le tenancier suggéra qu'il serait plus judicieux de réduire l'addition de chacun selon le même barème et fit donc les calculs.

Alors?

Le cinquième homme, comme les quatre premiers, ne paya plus rien, Un pauvre de plus.

Le sixième paya 1$ au lieu de 1,50$ (33% de réduction).

Le septième paya 2,50$ au lieu de 3,50$ (28% de réduction).

Le huitième paya 4,50$ au lieu de 6$ (25% de réduction).

Le neuvième paya 7,50$ au lieu de 9$ (17% de réduction).

Le dixième paya 24,50$ au lieu de 29,50$ (16% de réduction).

On arrive bien à un total de 40$.

Chacun des six clients payants paya moins qu'avant, et les quatre premiers continuèrent à boire gratuitement.

Mais une fois hors du bar, chacun compara son économie.

«J'ai seulement eu 50 cents sur les 10$ de remise», dit le sixième et il ajouta, montrant du doigt le dixième: «Lui, il a eu 5$!!!»

«C'est vrai», s'exclama le septième. «Pourquoi il aurait eu 5$ de rabais alors que moi je n'ai eu que 1$? Le plus riche a eu la plus grosse réduction!»

«Attendez une minute, cria le premier homme. Nous quatre n'avons rien eu du tout. Le système exploite les pauvres».

Les neuf hommes cernèrent le dixième et l'insultèrent.

Le jour suivant, le dixième homme ne vint pas. Les neuf autres s'assirent et burent leur bière sans lui. Mais quand vint le moment de payer, ils découvrirent quelque chose d'important: ils n'avaient pas assez d'argent pour payer ne serait-ce que la moitié de l'addition.

http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/opinions/chroniques/200901/09/01-692500-petit-cours-de-fiscalite.php

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Lorsque j'aurai terminé mes études et que j'aurai remboursé ma dette étudiante, je ne vois pas l'intérêt des quelques 40000$ de trop que j'aurai alors en salaire. Si je combine mes prêts et bourse, mon emploi d'été et l'argent que me donne mes parents, j'ai présentement 15000$ par année pour vivre et je trouve que je dépense sans compter.

Je n'ai jamais compris à quoi ça servait d'avoir plus d'argent que ça, autrement que pour être généreux avec les personnes que tu aimes et avec la collectivité. Travailler, par définition, est un acte social. Avoir l'accumulation de richesses comme motivation au travail, c'est un peu comme un médecin qui empoisonnerait du monde pour avoir plus de clients. Où est la logique?

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Lorsque j'aurai terminé mes études et que j'aurai remboursé ma dette étudiante, je ne vois pas l'intérêt des quelques 40000$ de trop que j'aurai alors en salaire. Si je combine mes prêts et bourse, mon emploi d'été et l'argent que me donne mes parents, j'ai présentement 15000$ par année pour vivre et je trouve que je dépense sans compter.

Je n'ai jamais compris à quoi ça servait d'avoir plus d'argent que ça, autrement que pour être généreux avec les personnes que tu aimes et avec la collectivité. Travailler, par définition, est un acte social. Avoir l'accumulation de richesses comme motivation au travail, c'est un peu comme un médecin qui empoisonnerait du monde pour avoir plus de clients. Où est la logique?

En parlant de 40 000$ en trop, j'imagine que tu veux dire que tu feras 55 000$ net (15 000 pour vivre et 40 000 d'extra)Pour faire un tel salaire lors de ta première année tu devras gagner pratiquement 100 000$ de salaire brut.

Si c'est effectivement le cas, félicitations; tu n'auras pas de problème d'argent, mais j'ai de la difficulté à croire que tu fasses un tel salaire lors de ta première année à moins que tu sois en médecine.

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En parlant de 40 000$ en trop, j'imagine que tu veux dire que tu feras 55 000$ net (15 000 pour vivre et 40 000 d'extra)Pour faire un tel salaire lors de ta première année tu devras gagner pratiquement 100 000$ de salaire brut.

Si c'est effectivement le cas, félicitations; tu n'auras pas de problème d'argent, mais j'ai de la difficulté à croire que tu fasses un tel salaire lors de ta première année à moins que tu sois en médecine.

Non je parle de 50000$ environ avant impôts, le salaire moyen d'un enseignant. Je n'aurai donc pas les 40000$ en question, mais je ne les voudrais pas de toute façon.

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Je n'ai jamais compris à quoi ça servait d'avoir plus d'argent que ça, autrement que pour être généreux avec les personnes que tu aimes et avec la collectivité. Travailler, par définition, est un acte social. Avoir l'accumulation de richesses comme motivation au travail, c'est un peu comme un médecin qui empoisonnerait du monde pour avoir plus de clients. Où est la logique?

Les besoins sont illimités.

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Des gens, sans être les plus ambitieux du monde et aux seules considérations pécuniaires peuvent souhaiter plus qu'être locataire d'un petit 4 1/2 et aimer offrir un peu d'espace et de bien matériel à leur enfant.

Acheter des crayons de couleur neufs, ça peut être agréable..

Tu sembles limiter ton esprit à croire que 15 000$ c'est suffisant et que ceux désirant plus, sont des marionnettes du capitalisme et de la consommation à outrance, tu pourras me corriger si ce n'est le cas.

Cela dit, si tu considères dépenser sans compter avec 15 000 de revenus, tu manques peut-être un peu d'imagination.

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Non je parle de 50000$ environ avant impôts, le salaire moyen d'un enseignant. Je n'aurai donc pas les 40000$ en question, mais je ne les voudrais pas de toute façon.

Selon l'échelle salariale de 2008-2009 des enseignants du primaire et du secondaire, tu vas commencer à 36 400$ pour ta première année.

Tu seras imposée au fédéral 15% (5460$)

Tu seras imposée au provincial presque 17% (6086$)

Déduction pour RRQ 4.95% (1801$)

Déductions pour l'assurance emploi 1.38% (502$)

Déductions pour l'assurance parentale 0.416% (151$)

Total 36400$ - 14 000$ de déductions = 22 400$ de salaire net pour une enseignante à sa première année.

Si tu vivais avec 15 000$; ca te laisse seulement 7 400$ d'extra par année pour profiter de la vie et pour t'acheter une voiture ou une maison; on est très loin du 40 000$ d'extra dont tu parlais. De plus, ce montant sera encore plus petit étant donné que tu devras rembourser tes prêts étudiant. Bref, tu risque d'avoir une surprise en entrant sur le marché du travail.

Bienvenue au Québec.

Modifié par Sim4444
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Cela dit, si tu considères dépenser sans compter avec 15 000 de revenus, tu manques peut-être un peu d'imagination.

Je ne crois pas que ce qu'on consomme nous définit, mais je ne suis jamais limité par mon faible budget pour quelque chose dont j'ai réellement besoin. Le luxe, c'est le summum de l'inutilité.

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Selon l'échelle salariale de 2008-2009 des enseignants du primaire et du secondaire, tu vas commencer à 36 400$ pour ta première année.

Tu seras imposée au fédéral 15% (5460$)

Tu seras imposée au provincial presque 17% (6086$)

Déduction pour RRQ 4.95% (1801$)

Déductions pour l'assurance emploi 1.38% (502$)

Déductions pour l'assurance parentale 0.416% (151$)

Total 36400$ - 14 000$ de déductions = 22 400$ de salaire net pour une enseignante à sa première année.

Si tu vivais avec 15 000$; ca te laisse seulement 7 400$ d'extra par année pour profiter de la vie et pour t'acheter une voiture ou une maison; on est très loin du 40 000$ d'extra dont tu parlais.

Bienvenue au Québec.

Je veux être prof au cégep, mais disons que les salaires sont les mêmes, pour ce que ça change...

J'ai quand même hâte de pouvoir commencer à contribuer! Je dois pas être normal, mais je vais vraiment être fier le jour où je verrai tous ces retraits à ma paie. Sauf peut-être les impôts fédéraux si les conservateurs sont encore au pouvoir et que "mon" argent sert à financer la guerre.

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