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Brutalité policière et profilage racial à Québec


Demonas
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En fait, Wilder, YanB n'a pas tort. Le niveau de criminalité de certaines villes mexicaines a forcé le gouvernement à prendre des mesures dignes de ce que doit faire l'OTAN en Afghanistan.

Mexico troops move in to retake warring border city

By Robin Emmott

CIUDAD JUAREZ, Mexico, March 3 (Reuters) - Hundreds of heavily armed soldiers fanned out across Mexico's bloodiest drug war city on Tuesday, trying to prevent a collapse in law and order just south of the U.S. border.

Sirens blared as the army staged one of its biggest troop build-ups in years in Ciudad Juarez, a desert city across the border from El Paso, Texas, where near-daily clashes between drug gangs and police have terrified residents.

Infamous in the 1990s for the unsolved murders of hundreds of women, Ciudad Juarez is now engulfed in the worst drug violence in Mexico as cartels in league with corrupt cops fight over one of the country's most profitable smuggling routes.

More than 2,000 people have been murdered in the area over the past year and drug gang hitmen showed their power last month by forcing the city's police chief to resign with a threat to keep killing police officers until he quit.

"We've got to show we can achieve security in Juarez, for Mexico's sake, for its economy, for people's lives, for our international reputation," said Victor Valencia, the Chihuahua state governor's representative in Ciudad Juarez.

Ciudad Juarez is prized for its location smack in the middle of the 2,000 mile (3,200 km) border with road and rail links deep into the United States. The Pacific-coast Sinaloa gang, led by top fugitive Joaquin "Shorty" Guzman, is one of several fighting for control of the city.

Mexico's police forces are tainted up to the highest levels by corruption and direct links to the drug cartels, and President Felipe Calderon has staked his reputation on a nationwide army-led crackdown on cartels.

Ciudad Juarez is now the most crucial battleground of a war that killed more than 6,000 people across Mexico last year and is scaring off investors in cities near the border.

"The solution is with the military. The federal, state and municipal police are infiltrated by organized crime," Valencia told Reuters.

The army expects to have 7,500 soldiers and federal police stationed in Ciudad Juarez by the end of the week, with a further 2,000 troops in the rest of Chihuahua state. Six local bishops pleaded in newspaper ads this week for an end to the killings that are "staining the state with blood".

Troops rolled past U.S.-style shopping malls in Ciudad Juarez on Tuesday to set up checkpoints at bridges running over the border and at the city's international airport, briefly shut last week after bomb threats.

GANGS PILE IN

Calderon has about 45,000 soldiers across Mexico fighting cartels but has never before sent so many troops to one city.

At least four main cartels are fighting for control of Ciudad Juarez, and gangs of unemployed youths have joined the fray to extort businesses, kidnap residents, rob banks and work as hitmen.

Residents fear the city could go the way of Colombia's Medellin at the height of the drug war there in the 1990s, when murder rates hit 6,000 deaths a year.

"Juarez is prisoner to an infinity of groups fighting for the territory, and others who are making the most of the confusion for easy money," said army spokesman Enrique Torres.

Guzman, Mexico's most-wanted man, wants to seize Ciudad Juarez from local drug boss Vicente Carrillo Fuentes, and officials say the shadowy La Linea cartel from the western state of Michoacan and the feared Zeta hitmen from the Gulf of Mexico cartel are also at war here.

The jump in killings in the city to around 10 a day in February has put Calderon under intense pressure.

Some U.S. officials have publicly asked whether Mexico is becoming a failed state and voiced concern about a spillover of executions, kidnappings and extortions into the United States.

Last month, gunmen killed two city councilmen and forced out Ciudad Juarez's police chief by killing his deputy and vowing to murder an officer every 48 hours until he stepped down.

A former soldier attacked a convoy carrying Chihuahua's state governor in what many believe was an attack linked to drugs. Spooked by a series of death threats, the city's mayor now lives over the border in El Paso.

Ciudad Juarez, which boomed in the U.S. Prohibition era and now bulges with factories making goods for export, has pockets of normality during the day. Cars cram its shabby streets, residents sit in parks or walk their children to school.

But at night, the city once famed for its sex and tequila-fueled party life is ghostlike and residents adopt a self-imposed curfew from dusk till dawn.

"The drug hitmen are in control here. Things are out of control, there's so much death," said textile salesman Valente Salazar in Ciudad Juarez's main square as troops swept past in Humvees. "At six o'clock I go home and I don't go out at all after that. There are so many killings." (Editing by Catherine Bremer and Kieran Murray)

YanB a raison. Faudrait juste qu'il prennent l'habitude de backer ses propos avec de quoi de crédible.

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YanB a raison. Faudrait juste qu'il prennent l'habitude de backer ses propos avec de quoi de crédible.

YanB a raison sur la dangerosité de certaines villes mexicaines. Mais il a tort d'en conclure que les Mexicains ont une tendance plus grande à la violence en spécifiant, "Si je vois un immigré mexicain qui n'a pas des tendances violentes".

Il part avec le précepte qu'il y a de fortes chances qu'un mexicain soit violent.

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Parfait merci B~E pour la citation et pour nous donner de la viande au lieu de des : " Tout le monde sait très bien"

Non je ne sais pas très bien! Je suis paresseuse et pour considérer ton point il faut que tu me convainque mieux que par des " Tout le monde sait" ou des "Ils baignent tous dans la criminalité dans ces quartiers" .

Des préjugés ça me fait vomir, surtout quand il y a aucune autre argumentation derrière et qu'il embarque tout le monde dans le même bateau que lui.

J'aimerais savoir en passant pour ceux qui habitent à Québec ou ceux qui s'y connaîtraient mieux s'il y a des quartiers caractérisés par une forte concentration d'immigrants et de criminalité? J'ai dans l'esprit que c'est seulement à Montréal que des quartiers entiers sont "caractérisés" par le fait qu'ils aient un taux élevé d'ethnies et de criminalité. Pourtant je trouve pas d'article le démontrant.

Si oui est-ce que l'article traite d'un quartier qui est touché par ça?

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YanB a raison sur la dangerosité de certaines villes mexicaines. Mais il a tort d'en conclure que les Mexicains ont une tendance plus grande à la violence en spécifiant, "Si je vois un immigré mexicain qui n'a pas des tendances violentes".

Il part avec le précepte qu'il y a de fortes chances qu'un mexicain soit violent.

D'accord. Mais à la limite, on peut quand même supposer qu'avec les flux migratoires mexicains, les cartels sont en mesure d'instaurer leur influence dans les communautés mexicaines en dehors du pays. Mais ça n'a rien de nouveau; toute les mafias procèdent ainsi. Récemment, on a eu ce probleme au Canada avec les Tamils, à Toronto.

Dans le cas des cartels mexicains, c'est probablement un problème pour les communautés mexicaines dans le sud des États-Unis.

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J'aimerais savoir en passant pour ceux qui habitent à Québec ou ceux qui s'y connaîtraient mieux s'il y a des quartiers caractérisés par une forte concentration d'immigrants et de criminalité? J'ai dans l'esprit que c'est seulement à Montréal que des quartiers entiers sont "caractérisés" par le fait qu'ils aient un taux élevé d'ethnies et de criminalité. Pourtant je trouve pas d'article le démontrant.

Il n'y a à peu près pas d'immigrants à l'extérieur de Montréal, donc non, tu ne peux pas trouvé de quartiers à fortes concentration d'immigrants à Québec ou ailleurs au Québec. Par contre, tu vas trouver ce phénomène dans toutes les grandes villes d'immigration dans le monde occidentale. Les rares immigrants qui s'installent en région sont des enfants adoptés, des Français ou Européens, des étudiants universitaires étrangers ou des spécialistes d'un domaine très précis qui sont engagés avant même d'immigrer (par exemple, des professeurs d'université). Bref, rien de très violent.

Modifié par Allah est gland
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J'aimerais savoir en passant pour ceux qui habitent à Québec ou ceux qui s'y connaîtraient mieux s'il y a des quartiers caractérisés par une forte concentration d'immigrants et de criminalité? J'ai dans l'esprit que c'est seulement à Montréal que des quartiers entiers sont "caractérisés" par le fait qu'ils aient un taux élevé d'ethnies et de criminalité. Pourtant je trouve pas d'article le démontrant.

Si oui est-ce que l'article traite d'un quartier qui est touché par ça?

Nah, faut sortir du Québec pour observer de réels troubles qvec l'immigration et la criminalité.

Bienvenu à Molenbek. C'est près de Bruxel.

Neuf policiers blessés à Molenbeek

vendredi 18 septembre 2009, 12:31

Les échauffourées qui ont mis aux prises jeudi soir plusieurs jeunes de Molenbeek avec la police se sont soldées vers deux heures du matin sur un bilan de neuf blessés parmi les forces de l’ordre et cinq arrestations. Elles faisaient suite à l’interpellation d’un jeune homme de 14 ans. Trois suspects, un mineur et deux majeurs, ont été mis à la disposition du parquet de Bruxelles.

Ces violences ont fait suite à l’interpellation, vers 19 heures, d’un jeune homme de 14 ans à son domicile de la rue Vanderstichelen. La famille du jeune en question s’est rebellée et une vingtaine de riverains se sont joints à elle. Des cailloux ont été jetés sur les agents. Ceux-ci ont emmené le jeune homme au commissariat de la rue du Facteur, devant lequel une soixantaine de personnes ont continué de semer le trouble en jetant des projectiles. La police locale a alors appelé des renforts des zones environnantes et fait venir deux autopompes ainsi qu’un hélicoptère de la police fédérale.

Un premier incident est survenu peu avant 19h00 à la rue de Ribaucourt lors d’une tentative de contrôle d’un mineur. Ce dernier a essayé de prendre la fuite puis a frappé un inspecteur au visage. Le policier a fait usage d’un spray lacrymogène. Le mineur a été emmené au commissariat, où s’est également rendue sa famille.

De nouveaux incidents ont éclaté dans le commissariat, situé rue du Facteur, puis dans les rues aux alentours. Des policiers ont été pris à partie.

Une soixantaine de personnes ont semé le trouble en jetant des projectiles.

Trois policiers ont été blessés. Un véhicule de police a été endommagé à la suite du jet de pierres.

La police locale a appelé des renforts des zones environnantes et fait venir deux autopompes ainsi qu’un hélicoptère de la police fédérale.

T'imagines la réaction publique au Québec si jamais des minorités assiègeraient un commissariat? L'impunité et les tabous qui entours le phénomène des ghetto en Europe est systématique.

Modifié par B~E
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T'imagines la réaction publique au Québec si jamais des minorités assiègeraient un commissariat? L'impunité et les tabous qui entours le phénomène des ghetto en Europe est systématique.

En 2004 un groupe d'opposant au chef de Kanesatake ont assiégé le poste de police de la réserve alors que d'autre brulait sa maison. Quelqu'un s'en souvient? Pourtant ça ce passait au Québec dans l'un des nombreux ''ghettos'' autochtone du Canada.

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Nah, ce cas là est différent sur deux points important.

Le cas de Kanesatake est un cas de politique interne au gettho en question. Dramatique certes, mais c'est compris comme étant "leur" problème, comme étant clairement sans lien avec le reste de la société québécoise. Du moins, c'est comme ça que je reçois la chose. Il en va ainsi de la plupart des problématiques touchant aux Amérindiens. Alors qu'en Belgique, il s'agit de la remise en question de l'autorité légitime par des "étrangers" (dans le sense xénophobe du terme), en plein coeur de la capitale de l'Europe. C'est plus intime comme problème, plus frontale.

Deuxièmement, les populations issues de l'immigration sont un sujet sensible dans n'importe quelle société occidentale, car ces populations représente le future démographique de l'Occident, pour le meilleurs et pour le pire. Alors quand leur intégration est révélé comme étant un échec cuisant comme en Belgique (ou ailleurs en Europe), la chose est beaucoup, beaucoup plus dramatique que n'importe quelle problématique lié aux Amérindiens. Selon moi.

Mais ce n'est que mon humble opinion.

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Sans faire l'apologie des actes déplacés ou punissables, je vais dire ceci : la plupart du temps, la brutalité policière est une conséquence directe au refus de se plier aux ordres du ou des policiers en cause. J'ai visionné plusieurs vidéos où les interpellés continuaient à bavarder au lieu de se calmer, s'agitaient, etc. Les policiers n'ont pas de chance à prendre dans leur métier et cela ocasionne des dommages collatéraux. Pour ma part, je n'ai rencontré que de bons policiers jusqu'à date - courtois, de bonne humeur et respectueux. Dans le cas de l'OP, il faudra attendre l'enquête, c'est facile de crier injustice alors qu'on a pas les deux côtés de la médaille. Le profilage racial existe, nous sommes tous racistes en quelque sorte.

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Pour la première fois depuis que je suis né, j'ai été inconfortable en présence de policiers.

Un petit accident dans la ville de québec. Je suis dans la voix de gauche et la voiture en avant de moi décide de faire un virage à gauche. Je freine et je me fais entrer dans le derrière. Ça cogne pas mal. On range nos deux voitures sur le bord. Aucun de nous n'a de constat et l'autre me semble avoir pris de l'alcool. Je call la Police. J’attends assis près des voitures.

Une auto patrouille arrive et arrête vis-à-vis nos voitures accidentés. Je me lève, pensant avoir affaire aux policiers affectés à mon call. Non, ils sortent en malade de la voiture et commence à me crier dessus : "Sauve-toi pas, arrête de bouger !!!" Moi j'ai mes papiers d'assurances et mon permis dans les mains et je me dirigeais déjà vers eux. Un des deux me demande avec insistance : "Elle est où ta coke ?" et "T'as été filmé, c'est pas ben brillant". Il se met ensuite à fouiller frénétiquement l'endroit où j'étais assis.

J'essais de lui expliquer la situation, en lui montrant nos voitures accidentés, mais il est dans sa bulle et communique par radio avec la centrale j'imagine. Il donne ma description en demandant si je suis bien le suspect. Il m'a demandé mes papiers.

Entre temps, l'autre policière affecté à l'accident arrive sur les lieux. Enfin, elle met de l'ordre là-dedans. Le policier cave revient me voir et m'explique gentiment que c'est de ma faute s'il a agit ainsi, parce que j'avais l'air à vouloir m'enfuir.

Tout le long j'ai agit avec extrême docilité, mais j'ai l'impression que si j'avais dis un mot de travers, j'aurais passé au cash. Il y a aussi le fait que j'étais sur une rue très achalandé, dans un coin plus sombre, je vous jure que j'aurais fait dans mes shorts.

Je ne sais encore pas trop quoi penser, mais il est certain que je me sens encore très bien protégé et en sécurité par les policiers. C’est juste que ça m’a ouvert les yeux sur le fait qu’il y a vraiment de mauvais policiers et que certains pouvaient ne pas jouer dans les règles de l’art.

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Il n'y a à peu près pas d'immigrants à l'extérieur de Montréal, donc non, tu ne peux pas trouvé de quartiers à fortes concentration d'immigrants à Québec ou ailleurs au Québec. Par contre, tu vas trouver ce phénomène dans toutes les grandes villes d'immigration dans le monde occidentale. Les rares immigrants qui s'installent en région sont des enfants adoptés, des Français ou Européens, des étudiants universitaires étrangers ou des spécialistes d'un domaine très précis qui sont engagés avant même d'immigrer (par exemple, des professeurs d'université). Bref, rien de très violent.

C'est exagéré. Prends Sherbrooke, on retrouve plusieurs communautés différentes. C'est pas des chiffres faramineux si on compare avec le reste de la ville, mais c'est un peu plus de 8 000 personnes qui n'ont pas le français ou l'anglais comme langue maternelle, en date de 2006. Et 20 000 à Québec. Sûrement pas tous des étudiants ou des profs d'université.

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Lopette, place toi dans la peau du policier et imagine ceci.

Il est mis au courant qu'un individu dangereux, soupçonné de trafique de coke, aurait été aperçu prêt de l'endroit où vous avez eu votre accident.

Il arrive sur place et voit la situation, il départe et il voit le potentiel suspect se lever. Tu prends pas de chance et prend le contrôle rapidement de la situation. Le suspect commence à vouloir de raconter une histoire bidon d'accident mais tu l'écoutes à demi, tu vérifies avec le centrale que tu as le bon gars.

Malheureusement tu te rends compte que c'est pas le bon. Encore sur les nerfs tu te permets de rejeter la faute sur le faux suspect.

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J'ai aussi assisté au débordement de deux polices dernièrement. Je suis loin de croire que c'est la majorité, mais ça ma laissée un goût plutôt amer. Le sentiment d'impuissance est vraiment désagréable.

Pour faire court, le gérant d'un bar (petit bar étudiant) et moi étions dehors en train de regarder un immeuble en feu à 2 ou 3 rues du bar. Le serveur nous voyant et se demandant ce qu'il y avait, sors de la zone-terrasse et vient nous demander ce que nous regardons, il avait sur lui son plateau et 2 verres d'alcool. On lui explique et il retourne sur la terrasse. Deux policiers à vélo plus loin aperçoivent la scène. Arrive et se mettent à invectiver le gérant, disant qu'ils allaient faire fermer son bar parce que son serveur servait de l'alcool l'autre côté de la rue.

Le gérant tentait de leur expliquer la situation, les deux policiers à vélo (on croit que c'était d'ailleurs chez eux une source de frustration) ne voulait rien entendre et traitant agressivement le gérant de menteur.

Sincèrement, rarement vu autant d'agressivité chez deux personnes que chez ses policiers. On a d'ailleurs pas trop compris ce qui se passait, après 10 minutes d'accusation de tout sortent et d'intimidation (le policier étant venu parler a 2 pouces de la face du gérant) ils sont partis en disant qu'il allait appeler l'escouade de la moralité.

Pour le bien de l'histoire, le gérant est une jeune homme de 23 ans, le bar en question est une petite micro-brasserie tranquille, loin d'un club appartenant au motard ou la mafia.

Ça ma vraiment dégoûté comme situation.

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Ouais. Compte toi chanceux d'être encore en vie Lopette. Le policier aurait tout à fait eu le droit de te t'abattre quand tu t'es levé. Ç'aurait été de ta faute après tout.

C't'idée d'être là où un policier attend un individu dangereux.

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Iln'y a à peu près pas d'immigrants à l'extérieur de Montréal, donc non,tu ne peux pas trouvé de quartiers à fortes concentration d'immigrantsà Québec ou ailleurs au Québec. Par contre, tu vas trouver ce phénomènedans toutes les grandes villes d'immigration dans le monde occidentale.Les rares immigrants qui s'installent en région sont des enfantsadoptés, des Français ou Européens, des étudiants universitairesétrangers ou des spécialistes d'un domaine très précis qui sont engagésavant même d'immigrer (par exemple, des professeurs d'université).Bref, rien de très violent.

Allah, tu oublies les chinois qui achètent les dépanneurs ou épiceries. Mais comme tu le dis, il n'y a aucun problème de violence avec ces gens.

Par contre quand les mexicains viennent travailler dans les champs de ma ville l'été, putain qu'il manque de classe et de talent pour conduire. Mais j'imagine qu'il habitent pas dans un quartier et un environnement des plus favorables (au Mexique).

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Lopette, place toi dans la peau du policier et imagine ceci.

Il est mis au courant qu'un individu dangereux, soupçonné de trafique de coke, aurait été aperçu prêt de l'endroit où vous avez eu votre accident.

Il arrive sur place et voit la situation, il départe et il voit le potentiel suspect se lever. Tu prends pas de chance et prend le contrôle rapidement de la situation. Le suspect commence à vouloir de raconter une histoire bidon d'accident mais tu l'écoutes à demi, tu vérifies avec le centrale que tu as le bon gars.

Malheureusement tu te rends compte que c'est pas le bon. Encore sur les nerfs tu te permets de rejeter la faute sur le faux suspect.

J'ai déjà fait cette gymnastique. Le fait est que j'ai une ex carrière d'agent de sécurité et des connaissances du milieu policier. Alors la gestion du risque et du stress, je connais bien. J'ai déjà intercepté et arrêté bon nombre d'individus, de toutes les classes sociales.

Et puis rien dans mon comportement ne laissait penser que j'étais un criminel, je veux dire, j'avais déjà mes cartes d'identité dans ma main prêt à lui donner et il s'entêtait à me demander où j'avais caché ma coke, avec les passants qui croyaient probablement dur comme fer que j’étais un sale dealer et consommateur. Tu peux te tromper pendant 2 minutes, mais un moment donné il faut que tu te rendre à l'évidence lorsque tu fais erreur. Même son coéquipier lui a dit qu’ils n’avaient pas les bonnes personnes et il continuait son manège quand même… Alors je n’ai pas de mal maintenant à croire que certains peuvent aller trop loin.

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Je suis loin de nier le fait que certains peuvent aller beaucoup trop loin. Par contre je ne suis pas prêt de crier à la brutalité policière à chaque intervention.

Et en bout de ligne les policiers demeurent des humains qui ont, fort probablement, des problèmes professionnels et/ou personnels qui peuvent venir jouer sur leur travail. Dans ce cas c'est peut-être un problème dans la gestion des effectifs plus qu'une question de compétences.

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C'est exagéré. Prends Sherbrooke, on retrouve plusieurs communautés différentes. C'est pas des chiffres faramineux si on compare avec le reste de la ville, mais c'est un peu plus de 8 000 personnes qui n'ont pas le français ou l'anglais comme langue maternelle, en date de 2006. Et 20 000 à Québec. Sûrement pas tous des étudiants ou des profs d'université.

Une langue maternelle autre que l'anglais et le français inclut beaucoup d'autochtones aussi.

20 000 sur une population de plus de 700 000, c'est rien. À Montréal, c'est environ 30-40% de la population de l'île

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20 000 sur une population de plus de 700 000, c'est rien. À Montréal, c'est environ 30-40% de la population de l'île

Claude Picher a écrit un papier intéressant récemment: Montréal, les immigrants et le reste du Québec

Depuis 20 ans, nous venons de le voir, Montréal reçoit en moyenne 31 300 immigrants par année. La ville de Québec arrive très loin derrière avec 2000. Quand on sort de ces deux villes, les chiffres tombent à des niveaux hadaux. En tout et partout, depuis 1987, le Saguenay-Lac-Saint-Jean reçoit en moyenne 290 immigrants par année; la Mauricie, 230; le Bas-Saint-Laurent, 71; l'Abitibi-Témiscamingue, 45; la Côte-Nord, 28; enfin, sur les quelque 40 000 immigrants qui s'installent au Québec chaque année, seulement 20 optent pour la Gaspésie.

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Oui, et j'ai oublié de préciser aussi que les enfants adoptés comptent dans les statistiques sur l'immigration. Donc sur les 45 immigrants de l'Abitibi-Témiscamingue, il doit y en avoir une bonne quinzaine qui sont des petites Chinoises adoptées.

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