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La chose la plus débile que j'ai fait de ma vie


Déchet(s) recommandé(s)

Top saoule, mini-shorts et talons-hauts roses, elle déambulait dans les rues de Montréal à 3h45 du mat.

Elle avançait d'un pas décidé, se déhanchant comme une aphrodite. Croisant un inconnu sur son chemin elle lui lança d'un ton langoureux:

-Hey sexy.

Elle toisa sa rondeur de son regard de tigresse lubrique et lui dédia son plus beau sourire.

Il la regarda et lui demanda:

-Where are you going sweety?

-I don't know I'm just walking around.

-What's your name?

-Charlie Bouclée!

-Do you wanna go for a ride?

-Sure.

Embarquant dans la voiture, il lui demanda où elle voulait aller. Elle de lui répondre:

-I'm looking for a women tonight. I want to suck a BIG CLIT. Let's go to a gay bar!

Il se stationna dans une ruelle et lui demanda si il pouvait l'embrasser. Ils échangèrent un baiser et légèrement dégoûtée elle lui dit avec un rictus:

-You smell like garlic.

-Do you want to suck my dick?

-No. Suck my titties.

Il s'exécuta.

-You're doing it very well. Thank you. Good bye.

Elle quitta la voiture et continua à déambuler et croisa une autre âme perdue.

-Hey sexy!

-Hey salut!

-Ça fait combien de temps que t'as pas embrassé une fille?

*Sourire diabolique*

http://www.youtube.com/watch?v=KHcMqOQt4NY

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De ma vie ca serait dure à dire... de plus, je ne suis pas vraiment du genre à avoir trop de regrets et j'assume plutôt bien toute mes conneries.

Et il faut que je me vante de celle-ci qui est parti pour en être une dont je vais me rappeler.

Dans un parti ou je ne suis pas invité... j'ai suivi deux amis, qui suivait une de leurs amies qui, elle, était invitée.

Genre plateau, jeunes pseudo ''génération skin'', ca se veut trash et bad.

Bien évidement j'ai pas mal bu.

Avant de partir du parti, je passe aux toilettes, finalement je fais gros graffiti jaune et mauve sur la céramique.

30 secondes plus tard... Moi qui se fait tabasser par des jeunes frais chier en manque de violence. Je sais plus combien ils étaient... je sais plus grand chose en fait. je me vois me faire tabasser à différents endroits. Je me rappelle d'un râle d'ours qui est sorti de mes poumons. D'une voisine qui sort sur son balcon en furie. De moi qui ne sait plus ou je suis. Je n'ai plus mes lunettes, plus qu'une chaussures. Ma propre peinture partout sur le corps. Mes amis qui me recroise vraiment ''wtf, késsé t'as fait?'' Moi qui rigole comme un cave. Deux chars de police sur les lieux et que j'ai évité. Mon reflex, volé. Une soirée mémorable. Un lendemain douloureux mais drôle(je travaillais).

Un fuckin bel oeil au beurre noir, tout le monde me regardait différemment. J'ai aimé et je ne regrette rien.

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Je vous ®assure: Je n'en suis pas fière du tout:

Faire du slalom avec une Ford Tempo 1988 sur une chaussée glissante à 3ham avec... euh hum, quelques consommation d'alcool dans le corps. Verdict = Non, une Tempo n'a PAS de tenue de route et ne peut PAS VRAIMENT faire du slalom... Bon, j'avais 16 ans donc, j'étais... stupide et inconséquente...

(p.s: je n'ai plus jamais été sous influence de quelques substances que ce soit au volant)

Je sais que je peux trouver plus débile mais je me garde une petite gêne...

Modifié par Pandore
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Dans le quartier où j'habite, on croise souvent des individus assez particuliers. Il y avait entre autres ce jeune homme que je voyais régulièrement lorsque j'allais à l'épicerie ou la pharmacie. Il vivait dans la rue et quêtait à tous les jours. Je jasais parfois avec lui. Il me racontait comment les choses se passaient dans sa vie, me confiait ses problèmes de consommation, etc. Parfois, je lui donnais un peu d'argent ou je lui refilais quelques trucs que j'avais achetés à l'épicerie en pensant à lui. Une fois, je l'ai même invité à déjeuner dans un petit resto du coin. Je l'aimais bien. Il était vif d'esprit et débrouillard. Ça m'attristait de le voir vivre la misère mais que pouvais-je faire à part lui offrir une oreille attentive et un peu d'encouragement.

Un bon jour, je reviens chez moi tranquillement. Il fait froid, c'est l'hiver. J'attends que la lumière change pour traverser la rue et j'observe les gens autour. Il y a un parc juste derrière et j'aperçois le jeune homme assis sur un banc. Il semble un peu mal en point alors je m'approche pour m'assurer que tout va bien... Il est dans un état lamentable. Il a les yeux fermés, de la bave blanchâtre coule sur son menton, il a les mains mauves tellement elles sont gelées. "Hey! Ça va? T'es correct?" que je lui demande. Il me répond par un gémissement sourd. Je secoue un peu son épaule et j'insiste : "Ça va??". Il ouvre enfin les yeux, me regarde et se met à pleurer. Il marmonne des paroles incompréhensibles. Il a l'air complètement stoned.

Qu'est-ce que je fais? Je le laisse là, dans le froid, complètement démuni et à la merci de n'importe qui? Je lui suggère plutôt de l'accompagner jusqu'à un centre communautaire pas très loin qui offre divers services aux toxicomanes. Il ne veut rien savoir. Je ne peux pas l'inviter à prendre un café dans cet état. On va se faire foutre à la porte. Mon appart est à deux pas... J'ai envie de l'amener chez moi. Mais je me dis que c'est du délire, que c'est dangereux. Ouais, d'accord. Mais alors, je lui tourne simplement le dos et le laisse à son triste sort?? Tant pis. Je décide de prendre une chance.

Je le soutiens par le bras et on marche de peine et de misère jusqu'à chez moi. Une fois à la maison, je lui dis de s'installer sur le divan, que je vais lui préparer un thé pour l'aider à se réchauffer. Mon plan est de le garder chez moi jusqu'à ce qu'il retrouve un peu ses esprits. Pendant que je prépare le thé, j'entends de drôles de bruits... Je vais voir : il est allé dans ma chambre et s'est couché dans mon lit. Il est sale de la tête aux pieds. Fuck, c'est dégueulasse. "Heille, couche-toi pas dans mon lit. Viens dans le salon, on va boire un thé". Il bouge pas. "HEILLE! Sors de ma chambre stp". Il proteste faiblement, se tourne de bord... et vomit à côté de mon lit...

Je suis sur le bord de la crise de nerfs. Mais je ne veux pas l'engueuler, je n'ai que moi à blâmer pour ce fiasco. Le mal était fait de toute façon alors je l'ai laissé dormir. 2-3 heures plus tard, il s'est réveillé, un peu plus en forme, s'est excusé à profusion mais est parti sans dire merci.

J'ai appris ce jour-là que ceux qui prétendent qu'on doit toujours "écouter son coeur" sont de fieffés menteurs ou de pauvres innocents .

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Parce qu'un dude stone à vomit à côté de ton lit?

Si ça avait été un stratagème pour partir avec ta télé, d'accord, mais là t'a invité un gars chez toi parce qu'il était mal en point et ensuite tu lui reproche d'avoir été mal en point chez toi, ça n'a pas de sens.

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Parce qu'un dude stone à vomit à côté de ton lit?

Si ça avait été un stratagème pour partir avec ta télé, d'accord, mais là t'a invité un gars chez toi parce qu'il était mal en point et ensuite tu lui reproche d'avoir été mal en point chez toi, ça n'a pas de sens.

Mais non. Je ne lui reproche rien. Je me reproche à moi-même de m'être mise dans une situation dont je n'avais clairement pas le contrôle et qui aurait pu très mal finir.

Dans ce cas la tu appel le SPVM, ils vont s'en occuper.

Jamais de la vie. Voyons. Il se serait fait embarquer!

La police, c'est l'ennemie pour les gens dans la rue. Tu l'appelles en dernier recours seulement.

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J'ai appris ce jour-là que ceux qui prétendent qu'on doit toujours "écouter son coeur" sont de fieffés menteurs ou de pauvres innocents .

C'est quoi ta formation Natura? T'as jamais pensé à écrire?

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Dans le quartier où j'habite, on croise souvent des individus assez particuliers. Il y avait entre autres ce jeune homme que je voyais régulièrement lorsque j'allais à l'épicerie ou la pharmacie. Il vivait dans la rue et quêtait à tous les jours. Je jasais parfois avec lui. Il me racontait comment les choses se passaient dans sa vie, me confiait ses problèmes de consommation, etc. Parfois, je lui donnais un peu d'argent ou je lui refilais quelques trucs que j'avais achetés à l'épicerie en pensant à lui. Une fois, je l'ai même invité à déjeuner dans un petit resto du coin. Je l'aimais bien. Il était vif d'esprit et débrouillard. Ça m'attristait de le voir vivre la misère mais que pouvais-je faire à part lui offrir une oreille attentive et un peu d'encouragement.

Un bon jour, je reviens chez moi tranquillement. Il fait froid, c'est l'hiver. J'attends que la lumière change pour traverser la rue et j'observe les gens autour. Il y a un parc juste derrière et j'aperçois le jeune homme assis sur un banc. Il semble un peu mal en point alors je m'approche pour m'assurer que tout va bien... Il est dans un état lamentable. Il a les yeux fermés, de la bave blanchâtre coule sur son menton, il a les mains mauves tellement elles sont gelées. "Hey! Ça va? T'es correct?" que je lui demande. Il me répond par un gémissement sourd. Je secoue un peu son épaule et j'insiste : "Ça va??". Il ouvre enfin les yeux, me regarde et se met à pleurer. Il marmonne des paroles incompréhensibles. Il a l'air complètement stoned.

Qu'est-ce que je fais? Je le laisse là, dans le froid, complètement démuni et à la merci de n'importe qui? Je lui suggère plutôt de l'accompagner jusqu'à un centre communautaire pas très loin qui offre divers services aux toxicomanes. Il ne veut rien savoir. Je ne peux pas l'inviter à prendre un café dans cet état. On va se faire foutre à la porte. Mon appart est à deux pas... J'ai envie de l'amener chez moi. Mais je me dis que c'est du délire, que c'est dangereux. Ouais, d'accord. Mais alors, je lui tourne simplement le dos et le laisse à son triste sort?? Tant pis. Je décide de prendre une chance.

Je le soutiens par le bras et on marche de peine et de misère jusqu'à chez moi. Une fois à la maison, je lui dis de s'installer sur le divan, que je vais lui préparer un thé pour l'aider à se réchauffer. Mon plan est de le garder chez moi jusqu'à ce qu'il retrouve un peu ses esprits. Pendant que je prépare le thé, j'entends de drôles de bruits... Je vais voir : il est allé dans ma chambre et s'est couché dans mon lit. Il est sale de la tête aux pieds. Fuck, c'est dégueulasse. "Heille, couche-toi pas dans mon lit. Viens dans le salon, on va boire un thé". Il bouge pas. "HEILLE! Sors de ma chambre stp". Il proteste faiblement, se tourne de bord... et vomit à côté de mon lit...

Je suis sur le bord de la crise de nerfs. Mais je ne veux pas l'engueuler, je n'ai que moi à blâmer pour ce fiasco. Le mal était fait de toute façon alors je l'ai laissé dormir. 2-3 heures plus tard, il s'est réveillé, un peu plus en forme, s'est excusé à profusion mais est parti sans dire merci.

J'ai appris ce jour-là que ceux qui prétendent qu'on doit toujours "écouter son coeur" sont de fieffés menteurs ou de pauvres innocents .

Ça me rappelle la fois où on a fermé la taverne avec un vieux monsieur, probablement itinérant à ses heures aussi. En retournant vers chez nous, il était trop pacté et confus pour se rappeller où il habitait (Il disait qu'un de ses amis l'hébergeait, mais tant qu'à moi ç'aurait aussi bien pu être son ami Gilles Kègle), et comme il faisait à peu près -20 dehors j'ai décidé de l'héberger chez-nous(Comment mettre ses colocs en tabarnak). Il s'est couché sur le divan mais le lendemain matin il était rendu sur le plancher, presque collé sur la chauffrette. Comme je faisais du bruit en ramassant les bières vides dans le salon, il s'est réveillé et s'est exclamé, sur le ton d'un enfant qui débale un Nintendo 64 à Noël 1996, "Tu m'as apporté une bière!".

Il nous a ensuite raconté pendant 20 minutes non-stop la même histoire qui durait à peu près 20 secondes, au début c'était drôle mais à moment donné c'est devenu triste. (On s'est rendus compte qu'il fallait le partir sur un autre sujet pour qu'il change d'histoire...) Il nous aussi conté qu'il avait déjà échangé une gutare contre une bière...

On l'a plus jamais revu.

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Cé une belle anecdote, mais c'est juste parce que celle de Natura a une qualité littéraire que je trouve super....pas que tu écrives mal. Tu écris comme moi, un peu mieux, mais en téka, dans les mêmes eaux....

Mais elle, elle a une qualité, vraiment, comme dans un livre...

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Cé une belle anecdote, mais c'est juste parce que celle de Natura a une qualité littéraire que je trouve super....pas que tu écrives mal. Tu écris comme moi, un peu mieux, mais en téka, dans les mêmes eaux....

Mais elle, elle a une qualité, vraiment, comme dans un livre...

J'ai manqué le bout où je cherche ton approbation.

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Poèmes pris sur mon skyrock :

Adolescence 2010

Katherine, dix-sept ans

Toxicomane notoire

Elle a énormément faim

Et est à la rue, donnez lui du pain

Jérôme, seize ans

Gangster en devenir

S’est fait tirer par un gars de l’autre camp

Et lutte pour sa vie en ce moment

Sarah, quinze ans

Élève au secondaire

Son corps a perdu son innocence

Et son cœur la confiance

Guillaume, quatorze ans

Sportif sans cerveau

Regarde des revues de cul

Et se branle en classe...ni vu, ni connu!

Josianne, treize ans

Mène une double vie

C’est une prostituée…

Elle croyait devenir mannequin… on l’a piégée

Alex et Anna, douze ans

En "couple"

En fait, ce sont des fuckfriend...

Ah oui ?! À cet âge…!

Ben oui ! Tout ce qui a de plus normal…

N’est-ce pas?

Bah je ne sais pas…voyons donc!

Faudra tu t’y fasses, maman…

Ma chère fille, je crois simplement

Que tes amis ne sont pas de bonnes fréquentations!

Écoute-moi!

Je m’appelle Sabrina, j’ai neuf ans

Et avec tout le respect que je te dois

Saches que Katherine me fournit ma coke

Jérôme est mort pour me défendre

C’est papa qui a violé Sarah

Guillaume est le principal client de Josianne

Et j’ai fait un trip à trois avec Alex et Anna…

Maman…?!

----

Je suis consciente que c'est fucké vers la fin... je répond à toutes les questions :D

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Ça me rappelle la fois où on a fermé la taverne avec un vieux monsieur, probablement itinérant à ses heures aussi. En retournant vers chez nous, il était trop pacté et confus pour se rappeller où il habitait (Il disait qu'un de ses amis l'hébergeait, mais tant qu'à moi ç'aurait aussi bien pu être son ami Gilles Kègle), et comme il faisait à peu près -20 dehors j'ai décidé de l'héberger chez-nous(Comment mettre ses colocs en tabarnak). Il s'est couché sur le divan mais le lendemain matin il était rendu sur le plancher, presque collé sur la chauffrette. Comme je faisais du bruit en ramassant les bières vides dans le salon, il s'est réveillé et s'est exclamé, sur le ton d'un enfant qui débale un Nintendo 64 à Noël 1996, "Tu m'as apporté une bière!".

Il nous a ensuite raconté pendant 20 minutes non-stop la même histoire qui durait à peu près 20 secondes, au début c'était drôle mais à moment donné c'est devenu triste. (On s'est rendus compte qu'il fallait le partir sur un autre sujet pour qu'il change d'histoire...) Il nous aussi conté qu'il avait déjà échangé une gutare contre une bière...

On l'a plus jamais revu.

C'est malheureux, parce que j'ai l'impression que tu viens de projeter le futur d'un de mes amis.

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C'est quoi ta formation Natura? T'as jamais pensé à écrire?

Ma formation, c'est un peu n'importe quoi et ça n'a aucun lien avec la littérature.

Si j'ai déjà pensé à écrire... Oui, bien sûr. Mais je ne suis pas certaine de posséder le talent nécessaire. J'veux dire, je sais que je me débrouille très bien. Mais il y a une nuance importante entre savoir écrire et être réellement doué.

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  • 2 semaines plus tard...

La chose la plus débile que j'ai faite... hmmm

Prendre du buvard peut-être ? (ou quelque chose dans le genre) j'ai joué à Harry Potter avec mon ami durant 6 h dans une nuit froide de printemps.

J'avais 16 ans je pense. En tout cas c'était drôle, je le referais, même si on devait avoir l'air pas mal attardé. J'ai commencé à dégelé quand j'ai dis "Mais qu'est-ce qu'on est entrain de faire?" (illumination) On était entrain de parler super fort dans un genre de conduit d'aération, 3ham.

On a joué aussi à " Sakura la chasseuse de vampire ", ahaha même pas capable de se souvenir que c'était BUFFY.

Sinon du vol à l'étalage ? Après m'être faite pogné pis avoir eu une amende de 500$, j'me suis calmé.

MAIS J'AI ENCORE PLEIN DE CONNERIES À FAIRE AHAHHAHAHAHA.

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La chose la plus débile que j'ai faite... hmmm

Prendre du buvard peut-être ? (ou quelque chose dans le genre) j'ai joué à Harry Potter avec mon ami durant 6 h dans une nuit froide de printemps.

J'avais 16 ans je pense. En tout cas c'était drôle, je le referais, même si on devait avoir l'air pas mal attardé. J'ai commencé à dégelé quand j'ai dis "Mais qu'est-ce qu'on est entrain de faire?" (illumination) On était entrain de parler super fort dans un genre de conduit d'aération, 3ham.

On a joué aussi à " Sakura la chasseuse de vampire ", ahaha même pas capable de se souvenir que c'était BUFFY.

AH. ah ben..

C'est...

Wow ok.

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