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Radio Depotoir


Esch
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Déchet(s) recommandé(s)

Musical brilliance by Arcade Fire from their Reflektor album.

''Something I love about these guys is that there's not that many of their songs that jump out and grab you on the first listen, but they just do a slow burn in your mind. The next thing you know, you've got them playing on high rotation, and you didn't notice it happening.

To me, this is the best music.''

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Ce feat était génial.

Deux univers totalement différents et The Game qui auto-détruit sa streed cred en se faisant sciemment clasher par Tyler.

En écho à BMO.

Tout est cool dans Arcade Fire, tant que ça fait pas trop de whoa-oh

ce morceau est juste épique

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Une voix d'ange contrarié dans un corps de Viking brun. C'est Antony (Hegarty) and the Johnsons.

« La musique et le cinéma des années 1970-1980 entretenaient un dialogue très intense avec les adolescents et pouvaient bousculer des vies... Je me suis installé à New York parce que cette ville ne connaît pas de règles et permet toutes les métamorphoses. » Antony devient une voix du transgenre (transsexuel, travesti, hermaphrodite) et rejoint les légendes de la nuit underground. Il se produit dans des cabarets interlopes en Fiona Blue, inspirée par l'héroïne de Blue Velvet (David Lynch, 1986), en compagnie de son collectif de drag-queens, les Blacklips. C'est l'esprit du Velvet et de Warhol qui renaît. D'ailleurs, Lou Reed le prend vite sous son aile et l'entraîne sur sa tournée Berlin. « Lou est mon mentor. Il me soutient, me protège, me conseille d'une manière à la fois poétique et pratique... Je porte en moi beaucoup d'icônes des années 1970, mais je n'aurais pas voulu vivre à cette époque : il n'y avait pas de place pour des artistes transgenres. Aujourd'hui, j'ai la chance d'être l'ambassadeur de ma communauté. »

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La photo de Kazuo Ôno, le maître du butô âgé de 102 ans, figure sur la pochette de son nouveau disque, The Crying Light. « A 16 ans, j'ai étudié durant trois mois le français à Angers et je suis tombé en extase devant une affiche représentant un danseur de butô. Elle est restée accrochée des années au-dessus de mon lit. Bien plus tard, en regardant un documentaire de Peter Sempel (Just Visiting This Planet, 1991), je me suis rendu compte qu'il s'agissait de Kazuo Ôno. Il est devenu mon idole. J'essaie de traduire en musique sa philosophie, sa sensibilité, sa poésie. Lorsque Kazuo danse, il dessine un cercle symbolique qui lui permet de faire émerger en lui l'enfant, sa mère... C'est l'idée de The Crying Light. Mon disque est un sanctuaire, un jardin secret, un cercle creusé dans mon coeur. » La voix du choeur.

Modifié par Rococo pas Rocco
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Hiver 2011 de fugues nocturnes et froides. Passées avec ce synthé et ce saxophone. Pleines d'espoir et d'ambitions.

L'été 2012 des désillusions. De ce son désormais sorti du placard à la va-vite sur TF1 pour les matchs de foot, devenu l'hymne des pédales avec des noms portugais et des mèches qui écoutent Virgin Radio.

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  • xdrox a libéré ce sujet
  • Abereau a épinglé ce sujet

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