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Vivant tous dans cette pernicieuse société de consommation et tout autant de compétition, nous nous devons de lutter passivement dans le nombre de nos achats les plus divers. Comme disait si bien ma grand-mère:«Mets-en,s'pô de l'onguent!».

...

Je me suis récemment procuré ce recueil-ci. Ce cher Edgar était bien trop absent dans ma bibliothèque.

HistoiresExtraordinaires.jpg

Nouvelles histoires extraordinaires est légèrement meilleur, à mon humble avis.

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Une coupe de cheveux qui implique qu'au lavage la jeune dame frottait sa poitrine généreuse dans ma face pendant qu'elle me massait la tête pis après elle m'a joué dans la nuque avec une lame de rasoir... j'ai hâte que mes cheveux repousse pour y retourner.

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Une coupe de cheveux qui implique qu'au lavage la jeune dame frottait sa poitrine généreuse dans ma face pendant qu'elle me massait la tête pis après elle m'a joué dans la nuque avec une lame de rasoir... j'ai hâte que mes cheveux repousse pour y retourner.

En as-tu profité mon cochon?

boobface.gif

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Un billet pour le show de Green Day samedi passé, c'tait bien pareil. J'ai été plus pour ma blonde mais, j'ai pas honte de dire que j'ai aimé ça. Ils sont sick en live et je pouvait pousser pleins de p'tites fag dans le trash.

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Un bébé araigné sort du ventre d'une femme.

En fait c'est une partie du film :P

je vais copier d'un site web inconnu ...

Tueur en série, Kemper gît au fond d'une cellule et opère une vengeance à distance grâce à son fils vis-à-vis de ceux qui l'ont envoyé en prison, d'où le prétexte à suivre 4 histoires :

- Le fils passera une nuit avec une fille qu'il rendra enceinte d'un monstre.

- Deux voleuses se feront prendre à leur propre piège.

- Un amputé fera tout son possible pour récupérer une jambe qu'il a perdue lors d'un accident.

- Un internaute féru d'images de violence extrème sera malgré lui l'acteur d'un snuff movie.

Mais quel est le lien entre les victimes ???

Cradle of fear est un film à sketches (au nombre de 4) dans la lignée de Creepshow, mais là s'arrête la comparaison. Il s'apparente plutôt à un téléfilm du samedi soir sur France 3 et du film érotique de M6: on frôle l'amateurisme. Autant certaines filles sont mignonnes, autant leur jeu d'actrice est plus que médiocre, surtout dans le sketch de l'amputé. Les FX sont dans la même veine (amateur), trop caoutchouteux, abondance de latex et de faux sang, on peut les distinguer quelquefois comme la lame de couteau rétractive et la lame de rasoir à jets de sang.

Pour le scénario c'est du déjà vu, Chandon n'hésite pas à piquer les idées des autres: on peut citer "Body parts", "Vidéodrome", "Baby blood" et "The crow" pour le personnage principal. Pour la musique, faut pas être allergique au heavy métal et l'ambiance sonore laisse à désirer (les grognements répétitifs sont d'un ridicule !).

Encore un petit reproche: le film est trop trop long (2h). La scène la plus délirante est celle du flic qui touche la victime pour savoir si elle vit encore, alors qu'elle a les tripes à l'air (très bon recrutement de la part de la Police anglaise). Bref, un film trop inégal qui ravira les gothiques et encore... Je pense...

Le deuxième long métrage d’Alex Chandon est de ces ratages glorieux dont on ignore un peu trop cruellement les charmes. La faute, sans doute, à une arrogance de mauvais aloi de la part du réalisateur (qui ne sera pourtant pas le premier à en faire preuve…) mais aussi à son ambition affichée de tourner l’un des films les plus gores de ces dernières années. Rien de tel pour se faire dégommer au premier tournant par de « très-intègres » cinéphiles, soucieux de prouver qu’ils n’en sont pas à leur première tâche de sang – intellectuelle, bien sûr… De fait, « Cradle of Fear » souffre bel et bien de défauts rédhibitoires, qui l’empêcheront probablement de rejoindre les classiques du genre. Mais il serait dommage pour autant de négliger ses qualités, qui sont réelles, tout comme de le charger d’inepties honteuses, qui ne sont pas ce qu’on en a dit.

En grand admirateur des productions anglaises Amicus, qui firent en leur temps concurrence à la Hammer, Alex Chandon reprend pour la structure de son film celle des « Tales from the Crypt » (1972) et surtout de « Asylum » (1972 également), un nom qu’il donne d’ailleurs à l’asile d’aliéné (« Amicus Asylum ») où est enfermé le psychopathe sataniste Kemper. Quatre histoires différentes vont en effet se suivre comme de longs flashes-back dans l’enquête du détective Neilson, l’amenant progressivement à découvrir la vérité sur l’identité du tueur qui a sévit dans chacun des cas, jusqu’au dénouement final.

Malheureusement pour nous, Chandon est loin de maîtriser un canevas aussi complexe. Pris entre une volonté maladroite d’être résolument moderne (la première histoire dégage une esthétique clipeuse incertaine et malvenue) et le désir de rendre hommage aux grands classiques (les deuxièmes et troisièmes histoires sont parfaites à cet égard), il offre un scénario et une mise en scène qui hésitent trop souvent à choisir la suggestion ou la lourdeur explicative, le plein cadre trash ou l’ellipse. Un méli-mélo qui se reflète exactement dans l’esprit du détective Neilson, dont on se demande parfois comment il passe d’une déduction à l’autre (un coup ça paraît trop simple, un autre… trop compliqué !).

A quelques brillantes exceptions près, le casting n’arrange pas vraiment les choses. Réunir Dani Filth, Eileen Daly et Emily Bouffante dans un même film, c’est un peu comme une tentative de suicide cinématographique… Le fait est que le projet de départ était un opéra-rock avec le célèbre groupe de black/death metal, et que les moyens de Chandon ne lui permettaient pas de recourir à des acteurs autres que des amis et des amis d’amis… Heureusement pour Dani Filth, des grognements d’outre-tombe sont rajoutés sur la bande-son. Autrement, son joli minois mono-expressif ne nous convaincrait jamais qu’il est l’envoyé de Satan… Quant à Eileen Daly et Emily Bouffante, grâce soit rendue à la nature de les avoir pourvues de si jolies poitrines! Pour le reste, leur jeu d’actrice est tellement mauvais (et dire qu’Eileen Daly est la présentatrice officielle des films distribués par « Revelation » !) que j’avoue avoir poussé le vice jusqu’à regarder plusieurs fois d’affilée leur prestation, fasciné par tant de ridicule… C’est quasiment de l’anthologie !

Oui, mais, il y a aussi Mellisa Forte, Stuart Laing et Willie Evans. Comme par hasard, les histoires les plus réussies (deuxième et quatrième, j’insiste !) de « Cradle of Filth » sont aussi celles où les acteurs et actrices sont les meilleur(e)s. Alex Chandon semble d’ailleurs avoir été en phase avec cette amélioration. La caméra devient efficace, le montage et le contenu sobres, dégageant une tension réelle et proposant de très belles images. Les deux voleuses aux prises avec l’avare récalcitrant, ou bien dans une baignoire rougie de sang, le règlement de compte, voilà des séquences extraordinairement réussies, croustillantes et inoubliables, qui renouent exactement avec l’univers des « Tales from the Crypt » - version gore. De même, la descente de Stuart Laing dans l’enfer d’une addiction perverse, celle qu’il éprouve pour un site Internet assez spécial, est surprenante et diablement bien trouvée.

Gore, « Cradle of Filth » l’est abondamment, mais pas inutilement. Les orgies sanglantes viennent toujours à point nommé, illustrant un propos (par exemple, la première effusion est gratuite, mais justement : le Diable n’est pas commerçant, il signe des pactes, pas des contrats…) doté de sens. Quoique annoncé par Chandon lui-même comme ultra-gore, la volonté de raconter des histoires reste la plus forte, et commande le reste. Mais quand ça gicle, ça gicle ! C’est sans retenue, c’est crade, et ce n’est pas aussi « cheap » qu’on a bien voulu le dire. Les effets spéciaux sont réalisés par « Fx Creature », les mêmes techniciens que sur « Hellraiser », et sont grosso-modo au même niveau que ce dernier, ce qui n’est pas rien. La machette finale est, certes, manifestement fausse, mais on n’y prête guère attention si on suit l’histoire. Quant à la lame rétractable… je la cherche toujours!

Autre point favorable, l’ambiance dégagée par le film est une réussite, qui permettra aisément aux amateurs de suivre les deux heures du film, et même d’en redemander! Autant le satanisme superficiel de Dani Filth prête à sourire, autant « Cradle of Fear » diffuse une atmosphère sombre, sale, étrange et nauséeuse. Une chose qui apparaît dès le moment où le détective Neilson prend le pouls de la jeune fille éventrée, suggérant un univers hors norme qu’il expliquera par la suite de manière aussi précise qu’horrible (pour ceux qui n’auraient pas compris, il suffit d’écouter les dialogues de temps en temps, et ça vient tout seul…). Le reste est à l’avenant, décalé, pervers et malade. Chandon a eu la bonne idée de convoquer une musique techno-jungle au lieu de souligner lourdement son sujet par du métal, comme on aurait pu s’y attendre… La froideur générale n’en est que plus accentuée.

Car enfin le Diable est froid. Aucune flamme de l’enfer ne vient incendier ce « berceau de peur », au contraire. Extérieurs délavés, ténèbres, bleu glacé règnent en maîtres. De même, il peut paraître étonnamment juste et significatif que, si le maître des ténèbres intervient de la plus sanglante des façons, ce n’est jamais pour revendre de l’immoralité, bien au contraire… Luxure torride et appétits divers ne sont pas suggérés par le démon, mais l’attirent. Et que sont donc ces quatre histoires successives, sinon des contes éminemment moraux, où tour à tour la débauche, la convoitise, l’égoïsme et la perversion sont punis ? Le Diable, puritain et sournoisement jaloux des péchés humains ? Il faut croire...

Selon certaines critique le film vaut le coup d'autre non .. Bref tout bon fan de Cradle Of Filth doit le regarder XD

Modifié par Cradle Of Fear
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