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Le 2020-06-20 à 01:14, Chicken of the infinite a dit :

Je suis retournée sur xhamster checker mes vidéos à saveur pornographique et je me trouvais géniale et j'arrêtais pas de rire à cause de ce que @MattIsGoD a dit... : Les délires pornographiques de Chicken.

Osti que je ris. Gonna make history! 

 

 

 

 

han ? ta des video sur xhamsters ? c'est quoi le nom de ta chaine ?     :loupe:

 

 

 

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T’enerves pas @Chicken of the infinite, je vais tenter de comprendre la situation :

Si j’ai bien compris, tu as un trouble de la personnalité bipolaire ? Tu alternes les phases d’hyper activité et les phases dépressives, si j’ai bien compris:

Dans tes phases hyperactives, tu es sauvage, non introvertie et tu as besoin de faire mille choses et de t’exprimer plus ( d’où tes multiples récits, ton humeur apparemment joyeuse et expansive, ect) 

Dans tes phases dépressives, tu es plus introvertie, tu sembles douter plus, tu t’isoles facilement et tu sembles ne pas forcément être au meilleur puisque j’ai la sensation que ces phases t’amènent rapidement à consommer de l’alcool ( et de la drogue ++, notamment avant) 

 Tu alternes ces phases et tu sembles t’identifier chaque fois aux émotions générées par la phase. Ce qui explique pourquoi tu sembles changer du tout au tout dans ta description de toi même.

J’ai juste ? 

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Le 2020-08-29 à 02:51, 1984 a dit :

Tu alternes ces phases et tu sembles t’identifier chaque fois aux émotions générées par la phase. Ce qui explique pourquoi tu sembles changer du tout au tout dans ta description de toi même.

Je suis tout à fait d'accord avec ton observation. Par contre, je reste convaincu que Chicken est une personne introvertie, en termes de personnalité jungienne du moins, parce que s'identifier à ses émotions correspond plutôt à une fonction introvertie.

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Le 2020-08-29 à 02:51, 1984 a dit :

T’enerves pas @Chicken of the infinite, je vais tenter de comprendre la situation :

Si j’ai bien compris, tu as un trouble de la personnalité bipolaire ? Tu alternes les phases d’hyper activité et les phases dépressives, si j’ai bien compris:

Dans tes phases hyperactives, tu es sauvage, non introvertie et tu as besoin de faire mille choses et de t’exprimer plus ( d’où tes multiples récits, ton humeur apparemment joyeuse et expansive, ect) 

Dans tes phases dépressives, tu es plus introvertie, tu sembles douter plus, tu t’isoles facilement et tu sembles ne pas forcément être au meilleur puisque j’ai la sensation que ces phases t’amènent rapidement à consommer de l’alcool ( et de la drogue ++, notamment avant) 

 Tu alternes ces phases et tu sembles t’identifier chaque fois aux émotions générées par la phase. Ce qui explique pourquoi tu sembles changer du tout au tout dans ta description de toi même.

J’ai juste ? 

Bon désolé de ne pas avoir répondu avant j'étais occupée. 

En fait ce n'est pas un trouble de la personnalité où se rangent les troubles limites, schzoïdes, antisociaux et autres. 

C'est un débalancement chimique dans ma cervelle. 

Tel que tu l'a quand même bien décris j'alterne entre deux états. Même sous médication, il y a des variations dans mon humeur. Je dois gérer et vivre avec. La médication m'amortie beaucoup. 

Mon père lui ne s'est jamais traité et deviens impossible d'eux fois par année. 

Fait intéressant: (je ne fais pas ça souvent) Si j'omet de prendre ma médication pendant 2 jours, mon discours intérieure s'accélère, je fais plus facilement des associations d'idées et ça exacerbe ma créativité. Je me sens nettement plus intelligente.

Je ne vais jamais arrêter les pilules malgré tout, mais des fois je suis triste car j'ai la sensation que ça me shut down. 

Si je m'identifie aux émotions générées par mes phases? Bien sûr que oui. C'est tellement violent que je ne peux pas passer à côté. 

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@Chicken of the infinite

Je vois. Ton père a la même chose ? c’est génétique ? 

Quels déséquilibres chimiques exactement ? Ça m’interesse de savoir quel molécule est trop ou pas assez produite.

Les deux phrases alternées rappellent vraiment la bipolarité, ça s’exprime relativement pareil, une phase d’hyperactivité puis une phase dépressive... malgré ta médication on sent quand même une différence dans ta façon de t´exprimer d’une phase à l’autre, beaucoup plus joyeuse à très triste. 

Les émotions sont fortes donc il t’est difficile de les gérer. Ça me fait penser à l’impact que les hormones ont sur nous. Un soir sans rien y comprendre j’etais allongée dans mon lit et je me suis mis à penser à la mort de mes proches, et ça m’a foutu dans un état incompréhensible ( il s’avère que depuis au moins une année, j’ai que très rarement des ressentis similaires) et... c’etait mes règles qui ont débarqué au niveau 8 deux jours après. Les femmes enceintes à deux mois petent de grosses durites aussi. 

 

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Il y a 1 heure, Goéland a dit :

Je suis tout à fait d'accord avec ton observation. Par contre, je reste convaincu que Chicken est une personne introvertie, en termes de personnalité jungienne du moins, parce que s'identifier à ses émotions correspond plutôt à une fonction introvertie.

Dude en vrai je ne crois plus à cette dichotomie. Mon propre cas m’est impossible à catégoriser, comment pourrais-je me permettre de faire de même  avec les autres. Si on observe ma façon de vivre, je suis introvertie en sale, et si on observe ma façon de m’exprimer, je suis extravertie au level le plus fort. C’est peut être parce que je suis gémeaux multi faces, mais scientifiquement parlant, j’ai pas de conclusion logique 

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il y a 10 minutes, 1984 a dit :

@Chicken of the infinite

Je vois. Ton père a la même chose ? c’est génétique ? 

Quels déséquilibres chimiques exactement ? Ça m’interesse de savoir quel molécule est trop ou pas assez produite.

Les deux phrases alternées rappellent vraiment la bipolarité, ça s’exprime relativement pareil, une phase d’hyperactivité puis une phase dépressive... malgré ta médication on sent quand même une différence dans ta façon de t´exprimer d’une phase à l’autre, beaucoup plus joyeuse à très triste. 

Les émotions sont fortes donc il t’est difficile de les gérer. Ça me fait penser à l’impact que les hormones ont sur nous. Un soir sans rien y comprendre j’etais allongée dans mon lit et je me suis mis à penser à la mort de mes proches, et ça m’a foutu dans un état incompréhensible ( il s’avère que depuis au moins une année, j’ai que très rarement des ressentis similaires) et... c’etait mes règles qui ont débarqué au niveau 8 deux jours après. Les femmes enceintes à deux mois petent de grosses durites aussi. 

 

Je me suis mal expliquée. Oui je suis bipolaire mais ce n'est pas un trouble de la personnalité. C'est une maladie (mentale) au même titre que le diabète. 

Et même c'est plus compliqué que ça. Si j'utilise le bon terme c'est un trouble schizo-affectif. Un alliage entre la bipolarité et la schizophrénie. Quand ça va pas bien je vois/entend des choses. 

Les neurotransmetteurs responsables sont la sérotonine et je semble sécréter trop de dopamine. Les neuroleptiques que je prends ont pour mission de stabiliser tout ça. 

Et oui c'est génétique. Presque tout le monde a cette maladie dans ma famille. 

Osti de famille de fous. 

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Je me doutais que ça jouait sur la sérotonine, et la dopamine, c’est aussi logique vu les high de bonheur que tu as en alternance.

Tout le monde peut remarquer que le manque de sérotonine amène à la dépression et au stress. Quelqu’un qui dort mal, pas assez ou dont le sommeil n’entre jamais dans sa phase profonde aura les mêmes problèmes.

C’est pas que c’est une famille de fou, c’est surtout comme tu le dis, une vraie maladie héréditaire et j’ai déjà vu des docu sur le sujet ou d’arrières petits enfants retrouvaient les troubles de leurs grands parents en eux, sans comprendre pourquoi.

Ce qui est intéressant... c’est de voir ou ça commence et quand. 

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Il y a 2 heures, Goéland a dit :

Je suis tout à fait d'accord avec ton observation. Par contre, je reste convaincu que Chicken est une personne introvertie, en termes de personnalité jungienne du moins, parce que s'identifier à ses émotions correspond plutôt à une fonction introvertie.

Je rebondis sur ta dernière phrase... mais tout le monde s’identifie à ses émotions. C’est un fonctionnement du mental-ego qui passe son temps à créer une dissociation de l’être depuis que notre construit social se fait en collectivité, et qui tends à créer des projections de soi au travers des émotions, qui ne sont au final que des pensées. Donc selon mon humble avis, ce n’est pas une affaire d’introversion parce que les extravertis fonctionnent souvent de la même manière. 

C'est surtout une façon d’exterioriser ou non ses émotions qui va engendrer l'étiquette, quoi que dès lors qu’on est artiste et qu’on s’exprime autrement que par les lieux communs inhérent au langage, on peut encore se poser la question. Je pense vraiment que la définition est galvaudée et insuffisante pour certaines personnes, dont moi même. Certains parle d’ambivertis, mais même là... 

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Il y a 17 heures, 1984 a dit :

Je rebondis sur ta dernière phrase... mais tout le monde s’identifie à ses émotions. C’est un fonctionnement du mental-ego qui passe son temps à créer une dissociation de l’être depuis que notre construit social se fait en collectivité, et qui tends à créer des projections de soi au travers des émotions, qui ne sont au final que des pensées. Donc selon mon humble avis, ce n’est pas une affaire d’introversion parce que les extravertis fonctionnent souvent de la même manière. 

C'est surtout une façon d’exterioriser ou non ses émotions qui va engendrer l'étiquette, quoi que dès lors qu’on est artiste et qu’on s’exprime autrement que par les lieux communs inhérent au langage, on peut encore se poser la question. Je pense vraiment que la définition est galvaudée et insuffisante pour certaines personnes, dont moi même. Certains parle d’ambivertis, mais même là... 

Je suis comme toi, j'oscille à la frontière de l'introversion et de l'extroversion.

J'ai vraiment l'impression que ça à voir avec mon équilibre au niveau du travail et de mes activités. J'ai fortement besoin de solitude, de calme et de temps avec moi-même pour me ressourcer et j'adore la solitude, mais je n'ai pas de misère à m'exprimer en public, à tisser des liens avec les gens, rencontrer de nouvelles personnes et j'aime la compagnie des gens de manière générale. Quand je passe beaucoup de temps de base dans ma semaine à voir des gens, je ressens que j'ai besoin de solitude, et quand je vis des moments plus seule à long terme, j'ai hâte de voir des gens, mais sans que ça m'affecte vraiment. Je suis capable de dealer avec beaucoup de social, et beaucoup de solitude, mais l'idéal pour moi est évidemment un équilibre.

J'ai déjà scoré extrovertie un test jungien et j'ai déjà scoré introvertie. Ça dépend comment je me sens sur le coup.

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Je suis très angoissé ces temps-ci par le contact avec les gens, autant en réel qu’à distance. Ma recherche de stage est plus ardue que je ne l’aurais cru, puisque je panique à l’idée de faire des appels des heures avant que je ne sois capable de prendre le téléphone.

Aussi, je me rends compte que je suis beaucoup plus angoissé par le covid que la majorité des gens. La rentrée scolaire dans mon programme professionnel a vraiment pété ma bulle. Faire du travail manuel à plusieurs groupes sur un terrain d’école avec les outils et les équipements partagés, et avec la polyvalente juste à côté avec les jeunes qui sortent en essaims le midi, je me rends compte que c’est concrètement impossible de respecter les règles sanitaires.

Je trouve ça très difficile de me motiver à continuer dans ce bain de stress et d’incertitude. Déjà que je peine en temps normal à trouver un sens à la vie qui me donne envie de me lever le matin, là j’ai littéralement juste envie de me mettre en boule et d’abandonner.

Dans un cas comme celui-ci, je ne vois pas d’autre choix que de reprendre toutes les bonnes habitudes que j’avais laissées de côté : méditer, ajuster la médication, faire de la restructuration cognitive, socialiser davantage, manger sainement, m’entourer de nature.

Je suis entrain de freaker, mais en même temps j'ai le sentiment que je vais bien m'en tirer.

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Une amie m'a demandé si je voulais qu'on passe du temps ensemble aujourd'hui. Je lui ai suggéré une activité mais finalement c'était trop cher pour son budget. Je lui dis "gimme 5 minutes, ma mère m'appelle". Finalement elle a planifié autre chose avec quelqu'un d'autre entre temps. Je trouve ça ordinaire, ça fait 2 semaines qu'on essaie de se voir avec des horaires incompatibles et pour une fois on était toutes les 2 disponibles. Je sais pas pourquoi je le prends autant mal, mais ça m'a rendue vraiment grumpy. 

  • Navré... 1
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Bah je te confirme que c'est ordinaire et que ça me rendrais grumpy aussi. Quoique elle a peut être ses raisons ? Peu importe si son histoire d'avoir planifié autre chose avec quelqu'un d'autre en 5 min est une bonne excuse ou non. 

J'essaie toujours de voir au-delà de la première émotion ou interprétation des événements en contextualisant le comportement des gens. Ça m'aide à canaliser certaines émotions de frustration ou déception vers des sentiments plus structurants qui relèvent d'avantage de l'empathie ou du raisonnement. 

Mais bon, tu as raison de trouver que c'est cheap shot à prime abord.

Pour ma part je me relève de trois jours de quelque chose qui ressemblait à un gros rhume ou une petite grippe. Ça a commencé par un mal de gorge et c'est devenu congestionné avec un gros mal de tête, de la fatigue, une petite fièvre et une petite douleur musculaire. C'était pas différent des rhumes / grippes que j'ai eu ces dernières années mais je vais quand même aller passer un test de dépistage lundi question de ne pas avoir à me confiner pendant 14 jours. A suivre ! Au moins, ça m'a donné une occasion de commencer un livre que j'ai pris sur Audible en janvier.

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Le 2020-08-01 à 18:02, Ecce Homo a dit :

Je suis dans le salon et ma blonde dans le bureau à côté, ma médecin de famille m'appelle, je la met sur le "speaker" le son bien fort comme je le fais souvent au téléphone et j'entends : "MADAME, vos tests m'indiquent que vous avez une vaginose bactérienne, je peux vous prescrire des antibiotiques". 

Gênant. 

Bref, j'ai enfin trouvé la raison de cette mystérieuse irritation de la noune qui perdurait depuis des mois et je suis boostée aux antibiotiques pour toute la semaine. 

pouah !

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