Le dernier film que vous avez vu

[AmBITCHious]

The good, the bad and the Ugly. Lundi soir dans mon cours d'intro au ciné.

[MackBlack]

The good, the bad and the Ugly. Lundi soir dans mon cours d'intro au ciné.

Dans mon Top 10. À vie.

[AmBITCHious]

Dans mon Top 10. À vie.

J'ai de la difficulté à classer des films par appréciation, j'en ai trop. Mais ouais c'est vraiment un bon film, je l'avais vu il y a très longtemps, je ne m'en souvenais donc plus. La musique, le jeu des acteurs, les décors, l'humour et l'histoire =

[DrBurger]

Dans mon Top 10. À vie.

This.

[HSW]

The good, the bad and the Ugly. Lundi soir dans mon cours d'intro au ciné.

tu veux etre réalisatrice?

[AmBITCHious]

tu veux etre réalisatrice?

Non photographe.

[HSW]

Non photographe.

ok

[Déhoussable]

L'immortel

sa se regarde mais sans plus.

[Humbert Humbert]

Dans mon Top 10. À vie.

J'ai toujours été mitigé face à TGTBATU. Je sais que c'est supposé être un chef-d'oeuvre, et je constate ses qualités à chaque visionnement, mais je peux pas m'empêcher de trouver que c'est... un peu long? Je parle pas tant de la durée du film que du temps qu'il prend à se déployer (si ça fait du sens). Les films de Leone sont toujours un peu contemplatifs à leur façon, mais chaque fois que je me tape celui-là j'arrive à un point où je regarde le temps qu'il reste. Et ça ne m'a jamais fait ça avec Once Upon a Time in the West, ni même avec Once Upon a Time in America (qui dure 4 heures).

À mon avis Leone atteint une sorte de perfection formelle avec For a Few Dollars More et il en reperd juste un peu avec TGTBATU. Je veux dire c'est bon, la musique est grandiose, le jeu est immortel (même si l'interprétation d'Eastwood devient juste un tout petit peu caricaturale), mais j'ai toujours trouvé que c'était le plus "froid" des Leone. C'est probablement juste une incompatibilité personnelle. Je vais y réfléchir en mâchouillant un cigare dans le désert.

[Jason Frost]

C'est vrai que le film a quelques longueurs par moment, mais avec l'histoire, les personnages et la trame sonore, cela donne quand même un parfait mélange.

C'est son seul défaut pour un classique, mais peut-être que c'est pour cette raison que j'apprécie un peu plus les autres aspects de ce film et c'est cela qui le rend si bon.

[L'Usurpateur]

Moneyball, j'ai bien aimé. Pas le film de ma vie, mais très bien.

[ELBouchoutos]

LA RUN (2011)

Film québecois, sort en dvd aujourd'hui(24 janvier). Après être tombé sur son père en pleine tentative de suicide à cause qu'il n'était pas capable de rembourser ses importantes dettes de jeu, un jeune homme(Joué par Jason Roy-Léveillée) décide de prendre la dette sur ses épaules et commence à faire ''la run'' avec son meilleur ami, lui qui est déjà vendeur de longue date et connaît toutes les ''plugs''.

Donc le film se résume pas mal à ça, c'est eux qui livre de la drogue et qui monte dans les échelons de vendeur. J'ai vraiment aimé le film, il se fait rarement des films du genre au Québec. J'aime que c'est pas un film qui a comme moral que la drogue est mal, en fait le film montre quasiment le monde de la dope comme un monde dur, mais contrôlé par des hommes d'honneur et de parole. Le personnage principal déclare dès le début du film que quand il aura accumulé le cash pour remboursé la dette de son père, il arrête de vendre, donc tout le long on est porté à penser que c'est la que ça va se gâter, que les boss sont des trou-de-culs, qu'ils ne voudront pas le laisser partir... alors qu'au final, c'est autre chose qui mènera à sa perte.

Bref, il y a des longueurs, c'est pas le film du siècle, mais j'ai bien aimé ça. Beaucoup plus aimé ça que le film québécois typique style ''Starbuck'' ou ''Le sens de l'humour'', probablement 2 des films les plus ''Over-hyped'' de l'année. Surtout ''Le sens de l'humour'', esti que c'est mauvais.

Si vous aimez les films de Michel Jetté, comme Hochelaga et Bumrush, vous devriez aimer ce film là.

WarGames: At The End Of The Day (2011?)

Des jeunes partent jouer au Airsoft dans une fôret, proche d'un ex-camp militaire ou quelque chose du genre. Malheureusement, 3 ex-soldats maniaques s'amusant à tuer des chiens et autres bêtes vivent encore dans ces ruines et utilisent la fôret comme terrain de jeu. En voyant les jeunes jouer à la guerre, ils décident de se joindre au jeu et de toutes les tuer un par un.

Pas besoin de grosse critique pour ça. Introduction moyenne. Élément déclencheur cool. Péripéties ordinaires. Dénouement pas pire. Fin de marde.

[pga]

hanna.

Pas mal. Par contre, j'accroche pas sur les méchants "allemands". Je ne comprenait pas plus que ça leurs rôles à part être les méchants à moitié gay et aux comportements bizarre. Peut être qu'il n'y avait rien de plus à comprendre aussi. Au fond, il aurait peut-être fallut approfondir l'histoire. 6.5/10 (heureusement que j'ai accroché sur la performance de l'actrice, sinon, je me serais bien ennuyé).

[HSW]

Viggo est trop génial en Lucifer

[yksinkertaisesti]

Je regarde présentement et ce pour la 2343478534753ieme fois.. Bubba Ho-tep toujours marrant..

[Hari Seldon]

Ce n'est pas un chef d'oeuvre, mais c'est tout de même un film doté un scénario des plus saugrenu et mettant en vedette un Fabrice Luchini en pleine possession de ses moyens. Il lui suffit de lever de temps en autre les sourcils pour jouer à merveille ce comptable gris, dont une femme tombe éperdument amoureux. L'idée fondamentale derrière le film, c'est que le changement de comportement d'un être humain se fait par bond because l'inertie.

Anna a rendez-vous pour un premier contact avec le Docteur Monnier, psychanalyste. Stressée par ce premier rendez-vous, elle se trompe de porte et est accueillie par M. Faber, un conseiller fiscal qui la prend au premier abord, pour une cliente. Elle lui confie ses secrets les plus intimes de sa vie maritale, et lorsqu'il se rend compte de l'erreur, ne trouve pas le courage de lui dire la vérité. Cherchant à la joindre, il va demander ses coordonnées au docteur Monnier, mais se retrouve à plusieurs reprises en consultation avec le psychanalyste. Lorsque Anna découvre la vérité, elle continue à lui rendre visite et lui fait des confidences de plus en plus intimes. Il se lie entre eux une relation étrange, l'un ne pouvant plus se passer de l'autre...

8/10 pour l'originalité du scénario

...

Si le film était un sujet... ça serait celui-ci:

[pga]

L'effet papillon. Avec la fin où il fait le choix de ne pas être.

Je ne l'avais jamais vue. J'en veux plus souvent des films comme ça où la fin est "belle" sans taper dans le happy end. Je ne comprends pas trop les critiques du tomatometer (hormis les effets de retour dans le passé qui sont assez bizarres) qui lui donnent 33/100. Même sur le classement de l'IMDB il est plus que bien placé.

En tout cas, un super film à voir (je ne connait pas les autres fins alternative par contre, donc...).

Le choix final qu'il décide de faire porte à réflexion ...

8/10

[Blaze]

Seven, pour la 15e fois surement, criss de bon film!!

[georugby]

Il y avais un "double bill" à Space en fin de semaine......Starship Troopers 1 et 2 successivement (les patrouilleurs de l'espace). J'ai bien aimé le premier, que je regardais pour la 10ième fois au moins, mais je me tapais le 2ième pour la première fois..........et ce sera définitivement la dernière. Vraiment pas dans le même cadre que le premier, effets poches, et un scénario bizarre.......

Il y a un 3ième volet, Casper Van Diem est de retour dedans, sorti en 2008.....les critiques sont meilleures pour lui que le 2ième volet......je me demande encore si je risque à regarder..

Je sais, je ne suis pas à jour sur cette franchise de film. Mais bon.....

Et un 4ième sortira cet été.

Modifié 31 janvier 2012 par georugby

[Humbert Humbert]

The Bicycle Thieves

Vittorio De Sica, 1948

Un gars qui court pas assez vite se fait voler son bike par un crotté et doit le retrouver pour garder son emploi. On s'attendrait à un film drabe et drainant mais ça se laisse regarder sans ennui. Il y a toujours de nouvelles péripéties et c'est même plutôt prenant. Les acteurs font un travail fantastique, en particulier quand on sait qu'ils ne sont pas acteurs de formation. Un classique qui a fait ses preuves.