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Déchet(s) recommandé(s)

(modifié)

Donc, j'ai le temps de répondre à tes questions maintenant. J'ai écris ce synopsis en anglais pour le plaisir de la chose. Essais, erreurs, c'est comme ça qu'on apprend. Je ne serait pas prêt à dire que c'est mauvais, je ne maîtrise pas aussi bien l'anglais que le français et il y a de nombreuses fautes d'accord et de choix de mots aux bons endroits. Cependant ce texte est à mon humble avis intéressant dans le développement de l'action et de ses péripéties mais tu ne peux pas juger un texte sur quelques lignes il faut l'avoir lu en entier avant de pouvoir émettre une opinion valide. C'est élémentaire il me semble.

Qui plus est, je crois que tu n'est pas objectif dans ta manière d'être et cela même avant de lire ce texte, en cachant l'auteur, probablement que ton opinion serait plus mitigée. Si une autre personne l'avait écrit, probablement que tes commentaires seraient non pas élogieux mais constructifs. Ta phrase, elle, est à un film ce qu'est une annonce télévisée.

Voici ce que j'ai écrit la nuit dernière dans le cadre de mon cours de processus narratif.

Coeur de Glace

Acte I

Dans la ville de Stockholm, la population vit dans des conditions précaires. Les survivants d'une ère de glaciation à l'échelle mondiale sont rongés par la famine. Les seules personnes qui vivent encore une vie active sont pourchassées par les bêtes sauvages rôdant à l'extérieur de la ville ainsi que part les tempêtes. Le climat hostile baisse dramatiquement sous les 30 degrés Celsius et la neige semble éternelle. Les tempêtes brisent fréquemment le réseau électrique ce qui rend impossible les communications entre les individus par les récentes technologies. Une fois par semaine, quelques membres intrépides de la communauté se regroupent ensemble et vont à l'extérieur pour y trouver des vivres, de la nourriture ou des objets brisés pour construire des mécanismes et des machines. Ils doivent constamment réparer le réseau électrique et sécuriser les quartiers avoisinant la ville des nombreux prédateurs. Un de ces membres choisi par ses pairs se nomme Cyllian Vadrikah. Cyllian a appris par son oncle Oleg à réparer des moteurs quand il était enfant il est donc un élément très utile pour retrouver des pièces mécaniques ou réparer des génératrices. Ce que désire la population de Stockholm c'est obtenir des ressources pour survivre dans ces conditions très difficiles. Ce que désire Cyllian de son côté c'est de se trouver une femme à l'extérieur de la ville avec qui il pourra vivre l'amour et fonder une famille. Lors d'une mission particulièrement périlleuse, Cyllian fera la rencontre de Veronika Misoki avec qui il vivra une histoire d'amour.

Acte II

Après plusieurs mois de vie commune, Cyllian aura de plus en plus de pression de la part de Veronika pour ne plus partir en mission et risquer ainsi sa vie dans l'objectif d'aider le reste de la population à survivre. Cyllian sera déchiré entre laisser tomber des gens dans le besoin tels que son oncle Oleg qui compte sur lui pour continuer à se nourrir et à supporter les douleurs de ses articulations, lui qui souffre d'arthrite car il est très vieux. D'une certaine manière, Veronika imposera sur Cyllian une manipulation psychologique de plus en plus intense. Celui-ci sera placé dans des situations dangereuses ou il devra combattre pour survivre. Un jour Veronika sera désenchantée par cette situation qui la rend bien malheureuse et commencera à s'intéresser a d'autres hommes vivant dans la ville de Stockholm. Cyllian devra choisir si il laisse partir sa femme avec un autre homme ou si il la garde à ses cotés malgré ses infidélités répétées. Cyllian décidera d'épargner la vie de Veronika et de la laisser partir avec un autre homme du nom de Mandrake mais celui-ci va mourir dans une embuscade montée de toutes pièces par des brigands dans les bas quartiers de la ville.

Acte III

La situation climatique sera si ardue que la vie commencera à disparaître progressivement de la surface de la Terre. La plupart des organismes animaux et végétaux vont se cristalliser avec des températures passant maintenant sous les 40 degrés Celsius. Les scientifiques de Stockholm vont se réunir entre-eux et déterminer qu'il reste tout au plus un an avant que toute vie soit éradiquée puisque la planète aura des conditions inhabitables. Une solution verra le jour, on demandera à Cyllian de faire tout en son pouvoir pour ralentir le processus de glaciation et donner quelques semaines de répit à l'ensemble des êtres vivants, de leur offrir une espérance de vie légèrement supérieure. Cyllian ira aux quatre coins de la Scandinavie pour y installer des panneaux solaires confectionnés à même des couvertures d'aluminium et des morceaux de miroirs raboutés les uns contre les autres. La tâche exercée seul étant insurmontable, il demandera à Veronika de l'aider à accomplir ce projet inspirant. Ensemble, les deux protagonistes permettront aux êtres humains, insectes, plantes et animaux de toutes sortes de vivre plus longtemps avant de mourir inexorablement figés dans la glace. Avant de sentir son dernier souffle le quitter, Cyllian prendra soin de déposer Veronika transie de froid près d'une fournaise dans l'espoir qu'elle trouve une solution avant de mourir à son tour.

Modifié par grmigilber
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Non ce que je te dit c‘est que TOUT LE MONDE écrit, justement. J‘essaie pas d‘être méchant, mais si après 5 lignes je me dit: “Bah, j‘aurais autre chose a lire“ c‘est que tu n‘a pas réussie. C‘est pas tout le monde qui ne lit que pour l‘histoire et sa chute.

Btw, en “cachant l‘auteur“ j‘aurais pas plus continué ma lecture. (Même que d‘ailleurs dans ce thread ci c‘est déjà un peu un miracle que t‘ai eu une réponse.)

Et j‘ajoute, arrête jamais d‘écrire, je te dit pas “tu sux lol ecrit pu jamais“ je dit juste: “I am not impressed.“

(C‘est bon de se le faire dire de temps en temps, notre entourage proche et nos amis sont généralement si facile a impressionner.)

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Je viens d'installer Windows 7 et pour feter cela j'ai écrit un Drabble. Un Drabble est une courte histoire de 100 mots avec une thématique.

Who are you? asked the thin man in the gray smoked forest of this November evening. Is this the last day of our relationship? asked the man with great anger and interrested caution. Why are you keeping silence when I ask you the most important questions of your selfish existence? Aren’t you challenged by the numerous possibilities of different ways to end this story that we have in common? he continues. I can’t barely stand off your attitude! Do you know you should be ashamed for yourself and all your relatives? Then the mushroom didn’t say a single word.

Modifié par grmigilber
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  • 4 semaines plus tard...

Je ne sais pas si ce que je fais est potable/lisible/compréhensible ou que les guerres de paradoxe de mon esprit ne sont lisibles que par celui qui les écrit.. Du moins, voici ce que j'ai fait dans un cours quelconque. Je l'ai retapé par politesse pour le lecteur, j'écris mal.

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Modifié par RogerleMouton
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  • 3 semaines plus tard...

Ecrit en 2010. Il me rappelle de beaux souvenirs maintenant. Des Alexandrins conformes aux règles de l'art et faciles à lire:

LEVER L’ANCRE

Accroché à son ancre, le bateau s’éveillant ,

À l’aurore d’un beau jour, de chaleur de juillet,

À la brise qui se lève, rien qu’un souffle discret,

Va renaître à la vie, s’ébranler lentement.

Pas grand-chose, un soupir, c’est normal à cette heure,

Cette brise est si douce, et même un peu coquine,

La proue de la nacelle, d’une caresse elle taquine,

Enlaçant le bateau, elle le berce en douceur.

Tel un pendule géant, qui glisserait sur l’eau

Il trace un demi-cercle, d’un mouvement large et lent,

Mais retenu par l’ancre, il revient doucement,

Puis aidé par la brise, il en trace un nouveau.

Un rayon de soleil, à travers les hublots,

Balaye la cabine, le bateau pivotant,

Je sens que tout vacille, bien qu’insensiblement,

Mes paupières s’élèvent, se referment aussitôt.

Immobile, étendu, je demeure sur mon lit,

Mon corps est endormi, mon esprit est présent,

Je jouis de ce moment, ou à demi-conscient,

On vit entre deux mondes, alors que fuit la nuit.

Et lorsque vient l’éveil, ce n’est que peu à peu,

J’ouvre alors l’écoutille, remplis mes poumons d’air,

Je regarde dehors, retrouve mes repères,

La nuit s’est bien passée, le bateau est heureux.

Je quitte alors l’avant, me déplace au carré,

La solitude est grande, quand on est seul sur l’eau,

Je me raccorde au monde, ouvre la radio,

La journée sera belle, m’est-il prophétisé.

Sortant de la cabine, je regarde le ciel,

Je vois alors s’éteindre la toute dernière étoile,

Le bateau veut voguer, il demande ses voiles,

Elles lui donnent la vie, elles sont un peu ses ailes.

Et comme pour nous presser, l’eau fait un clapotis,

J’enfile mon harnais, sur le pont je m’affaire,

Je sais qu’en levant l’ancre, je m’arrache à la terre,

Le bateau est joyeux, car nous sommes repartis.

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J'ai écrit une chanson. Ce sera sur de la guitare acoustique de type chansonnier-humoristique. C'est pourquoi j'ai utilisé un langage très "franc-parlé".

Voici le premier jet :)

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Ça fait 3 ans et demi que je joue à Tétris

À temps plein, du lundi au vendredi, de neuf à six

Parfois le soir, souvent le samedi

Et même dans mes moments d'insomnie, sans aucun point bonus de nuit

Au début, tout allait bien, c'était facile

J'éliminais souvent quatre lignes en file

Les formes n'avaient pas le temps de s'accumuler

J'avais même le temps de prendre un café

J'avais de l'ambition, de la fierté

Amenez-en des " L" pis des gros carrés!

Rapidement, le rythme s'est accéléré

Les pièces descendaient vite mais je me plaisais à croire que je pouvais tout gérer

Des trous se formaient, les figures s'amassaient

Mais avec passion, je continuais

Je plaçais les morceaux un peu partout, tant bien que mal

J'aurais vendu ma mère pour deux ou trois barres verticales

Je faisais tout pour reprendre le dessus

J'étais de plus en plus déçue

Je mettais le jeu sur pause à la fin de la journée

Sachant trop bien que le lendemain, tout continuerait de s'empiler

Je buvais des tisanes, je me noyais dans l'art

Mais la nuit, les formes je les voyais encore

EIles se transformaient en lourds prismes diaboliques

Qui envahissaient de plus en plus ma vision périphérique

Un "T" m'a dit : "Franchement, tu devrais aller plus vite que ça!"

Un Z m'a crié : " Incompétente, pourquoi m'as-tu placé là!"

Je m'acharnais dans l'urgence infinie qui planait

Croyant que si j'abandonnais, la Terre exploserait

Il me fallait continuer, c'était trop tard pour reculer

Je me suis laissée cerner

À la vue de la figure suivante, j'ai eu des hauts-le-coeur, tout comme Alex DeLarge

C'est pathétique d'être désillusionnée à un si jeune âge

C'est toujours ben juste Tétris, câlisse.

Shit. GAME OVER.

C'est forcément ce qui arrive quand un jeu ne donne jamais victoire au joueur.

( temps d'arrêt)

Et maintenant? Je pourrais peut-être faire des mots-croisés

C'est difficile, il y a du défi et il faut se concentrer

Mais mon visage serait moins gris

J'aurais des pensées plus jolies

Je pourrais peut-être même prendre des pauses, sortir prendre l'air

J'aurais même le temps de chercher dans le dictionnaire

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C'est pas vraiment un poeme, un récit ou une nouvelle, mais j'voulais partagé sa avec le dépotoir.

Et c'est le sujet qui va le mieux avec mon texte.

Attention c'est très Nerdy.

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Pourquoi Bruce Wayne et ces aventures sont mes antidépresseurs.

Tout commence avec une onomatopée. «BANG». Suit une odeur d'acier dans une ruelle de Gotham.

Un orphelin est laissé seul après une mort futile de ces parents. C'est après multiples années que le prochain événement important dans la vie de l'orphelin, maintenant maître de plusieurs arts martiaux et habile détective. Durant une nuit pluvieuse à Gotham, notre protagoniste est assis dans sa bibliothèque, ensanglanté, touché à l'épaule par une balle suite à une nuit à jouer le justicier. Une massive chauffe-souris défonce une fenêtre de la bibliothèque et se perche droit devant l'homme blessé et lui regarde dans les yeux comme si la bête était sortie tout droit des enfers. L'homme à une révélation et comprend ce qui lui manquait dans son combat contre le crime.

Et la cloche sonna.

C'est pas un secret, j'adore Grant Morrison, c'est bandes dessinées me donne toujours l'impression que j'en ai plus pour mon argent pour une BD de 2,99$ ou 3,99$. On peut toujours relire son oeuvre et en retirer quelques choses de nouveaux ou découvrir des couches a ces histoires.

J'ai été présenté à Grant Morrison par le biais de Final Crisis, et mon dieu, quel mauvais choix!

J'ai complètement détesté à la première lecture, l'histoire ne fait aucun sens, la chronologie des événements est vraiment dure à suivre, l'histoire saute d'un point a,b,c,d,e sans te prévenir et mettre en scène ce qui se passe dans tout l'univers de DC. Et le fait que je n’étais pas un savant lecteur de DC n'a pas aidé. Mais Final Crisis est magnifique quand on revient le lire avec un peu plus de connaissance du médium et du monde DC Comics. C'est un «love letter» pour Jack Kirby et le Silver Age (période ou les BD était vraiment étrange et avec un penchant pour le Sci-Fi durant les années 70 ou les auteurs prenais souvent de la drogue comme le LSD). Final Crisis c'est une histoire qui commence le jour le Mal à gagné la guerre dans les cieux qui se déroulait entre le Panthéon des New Gods(un panthéon crée par Jack Kirby pour DC), et Darkseid à gagné. Mais après leur guerre, New Gods, les bons comme les méchants sont faibles, et doivent prend forme mortelle permit les hommes.

Je ne vais pas essayer d'expliquer la beauté de Final Crisis, c'est un tout autre sujet. Mais ça se résume à ceci: même dans un monde ou le mal à gagner, nos héros vont toujours prendre l'avantage sur les forces du mal dans l'univers de DC. Le bien va toujours trouvé un moyen de reprendre sa place, même s’il faut que Superman crée une machine qui va l'aidé à crée un Deus Ex Machina.

Pour revenir à mon apprentissage chamanique (J'essaie d'être poétique) sous le Maître Morrison a pris la forme de Superman All-Star. Un hymne à l'espoir. C'est Grant Morrison qui essaie de nous faire comprendre que si l'homme a pu crée le concept de Superman, nous avons le potentiel d'être aussi bon et juste que lui. Si une religion basée centrée autour de Superman existait, cette BD est sa bible. Et j'en serai un fier pratiquant. Superman est un meilleur Jésus que Jésus lui même. Jésus ne te demande rien, il va te guérir et partir, mais il est sur terre pour servir une entité plus puissante que lui et ce fait donné plus ou moins une mission par cette entité, il se fait poussé par son père vers le Bien. Superman n'as jamais eu besoin d'être lancé dans une direction, il à été élevé un peu comme Jésus, sur une ferme par des gens de simple et pas riche. Mais la beauté et la pureté de Superman c'est que la seule chose qui l'as poussé à ce battre pour les pauvres et les faibles de Métropolis et le monde de DC en général c'est seulement par la force de son concept et la volonté de deux hommes qui voulais dessiné des BD dans un temps dur de l'histoire des états unis. Y'a pas d'entité invisible, ou des barbus magiques dans le ciel, c'est deux hommes qui étaient tannés de voir les gens souffrir, et leur à donné un héros pur et parfait, qui ne demande jamais rien en échange pour les sauvés.

Bref, Superman est mon Jésus. Et mon Jésus moi il vole à la vitesse du son, il peut levé des immeubles, lancé des lasers de ces yeux et possède un souffle de glace. Oh et il possède le chien plus awesome de l'univers.

Et c'est à ce point là que j'ai commencé à lire la «run» de Grant Morrison sur Batman.

Et c'est à ce moment-là que tout ce que je croyais connaitre et aimer chez Batman s’est fait détruire à grand coup d'amour. Comme beaucoup de monde j'ai adoré Batman Begins et The Dark Knight de Christopher Nolan, et à ce jour j'crois toujours que ce sont de magnifiques films, qui ont rendu surement possible le succès que Marvel avec leurs films, et à mon avis, Marvel ont une meilleure recette et une meilleure approche à leurs films. Marvel n’a pas peur de lancer les spectateurs dans un monde un peu loufoque de Super-Héros en collants. C'est sur que tout est modernisé, mais l'essence de tout ça reste très pure chez Marvel. Mais DC et Nolan ont eu peur d'embrasser ce côté-là, et c'est ce côté-là que Grant m'a fait adoré chez Batman. Il m'as appris à aimer les multiples Robins, les Batgirls, les Batwomen et les même le Batchien, Ace The Hound!

Grant est arrivé dans le monde de Batman et a trouvé triste l'état dans lequel que Batman était rendu. Faut comprendre que DC depuis environ 10 ans poussait Batman vers un trou noir de nihilisme, il était rendu paranoïaque, il avait des plans pour chacun de ces meilleurs amis dans la Justice League, il a même construis un satellite pour surveillé tout le monde sur terre avec un «meta-gêne», l'équivalent d'un mutant chez DC. Donc quand Grant à eu la permission des éditeurs chez DC de pouvoir structuré la vie de Bruce Wayne, et c'est pas un hasard que j'utilise le nom Bruce Wayne et pas Batman, Grant c'est donné la mission de redonner à Bruce Wayne son humanité. Les gens depuis l'horrible Dark Knight Returns de Frank Miller, oui oui, j'ai bien dit horrible en parlant de «DKR», se force à démonisé Batman et lui enlever le peu d'humanité qu'il possède. Ne faut pas que Batman ait un Robin, Bruce Wayne doit être un sombre «loner» qui règne sur Gotham avec une main de fer. C'est pas un hasard que suite à Dark Knight Returns les fans ont voté (Il y'a controverse comme quoi le vote aurais été triché) de laissé le feu vert au Joker de tuer Jason Todd dans l'histoire classique de Death in the Family. Le monde voulait un Batman sombre et destructeur, un être de haine et de vengeance, seul dans les sombres ruelles sales de Gotham.

Donc Grant a fait la seule chose possible pour reforgé Batman. Il décide donc de donner le même traitement qu'il avait donné à Superman durant All-Star Superman, il va en faire un Dieu. Mais si Superman est un dieu soleil, Batman va être le dieu qui nous représente nous l'homme. Superman est l'idée et le concepte de ce que l'homme peut être à son plus haut point, Batman EST l'homme à son plus haut point. Pour revenir à Final Crisis, ce n’est pas Superman qui se sacrifie pour faire trépasser Darkseid vers le vide cosmique pour mourir, c'est Batman. Batman tue grâce à sa ruse Darkseid, le concept même du Mal dans le «DCverse».

Et c'est à ce moment que tout ce que Grant à fait vivre à Batman depuis le numéro 673 jusqu'a l'événement de Batman RIP et Final Crisis, ou Batman à dut ce crée une personnalité au cas ou un vilain décide d'attaqué le peu d'humanité qu'il reste en lui, le petit bout de Bruce Wayne encore ancré dans sa personne, et le vilain Dr. Hurt fait exactement sa. Donc Batman of Zurr-En-Arrh resurgit, un brillant clin d'oeil à une histoire du Silver Age ou Batman tombe sur une planète extraterrestre et rencontre un Batman avec des super pouvoirs similaires à Superman. Mais dans l'histoire de Grant, Batman of Zurr-En-Arrh est un Batman sans Bruce Wayne. Et Batman pour la première fois devient vraiment la vraie personne sous le masque et c'est la qu'on réalise quand sans ça partie de Bruce Wayne sous le masque, Batman est un psychopathe violent et sanguinaire qui va arrêté à rien pour détruire son ennemie. Donc, Grant suite à la «mort» de Bruce Wayne lors de son ultime moment de gloire contre Darkseid, il lui fait vivre une aventure qui pourrait être comparée à un voyage astral ou une vision chamanique.

Darkseid à un pouvoir qui s'appelle «The Omega Sanction» qui est un rayon laser qu'il lance par ces yeux et qui cause une mort qui n'est pas vraiment la mort, mais qui est une torture éternelle qui te hante jusqu'a la limite de l'espace-temps. Et donc, Bruce Wayne se fait propulsé à l'époque des hommes des cavernes. C'est un voyage personnel et important pour Bruce Wayne, Grant Morrison profite de cette allégorie de la mort pour pouvoir reconstruire le mythe de Batman au fil des âges, et on suis Bruce Wayne à travers des moments clés durant Return of Bruce Wayne (une histoire de 6 numéros) ou il laisse sa trace dans l'histoire de l'homme.

Et c'est là que c'est fuuuucking amazing.

Tout le malheur que Bruce Wayne a vécu dans sa vie est un résultat de son sacrifice contre Darkseid. Sa décision de mettre sa vie devant tout pour pouvoir commencé là destruction de l'incarnation même du mal. Parce que l'Omega Sanction va suivre Batman sous des formes diverses prenant une forme que la narration et l'époque ou Bruce Wayne voyage durant les 6 numéros. Au 6e numéro Batman revient au présent. Et c'est à ce moment-là que Bruce Wayne à une révélation. Et c'est cette révélation qui m'a ouvert les yeux et qui m'aide encore à ce jour à ne pas faire de niaiserie face à ma dépression. Pour ceux qui ont lu Batman: Year One écrit par Frank Miller, vous avez surement reconnu là scène de la chauffe souris dans mon intro.

Grant Morrison dans un éclaire de génie nous révèle la seule vérité qui prouve que son désire de rendre Batman et Bruce Wayne humain, et que Bruce Wayne ne soit pas le masque, mais Batman l'est repose sur un détail que Frank Miller à surement même pas vu lui même dans sa narration. Quelle ironie que l'auteur qui à causer une douce destruction du mythe de Batman allait être la source du nouveau mythe de Batman.

Dans son moment de détresse après avoir essayé d'être Batman, mais sans l'intimidant costume de l'homme chauffe-souris, Bruce Wayne regarde droit dans les yeux une de ces peurs les plus intimes, et ce sens inspiré de se costumé pour faire peur au criminel. C'est à ce moment-là que Grant vous blow votre mind en 1000 morceaux et vous dévoile là première et seule vérité de Bruce Wayne.

Malgré la mort de ces parents, il n'a jamais été seul. Il prend la cloche, et appelle son fidèle et presque père Alfred. La cloche est source de tout ce qui est vrai chez Batman. C'est le symbolisme de tout ces alliés.

Que ça soit la «Bat-Family» ou ces amis dans la Justice League, ou Alfred, qui vient soigner son épaule blessée et lui offre un bon thé chaud après une dure nuit.

Et suite à révélation de Bruce Wayne, il décide de crée Batman Inc. Franchisé l'image de Batman pour devenir une marque mondiale de justice. Il transforme la chauffe-souris, un symbole d'horreur et de solitude en une sigil chargée d'amour et une volonté de crée un monde juste et de paix dans tout le monde avec une armée de justicier.

Batman est d'amour, Batman est nous. Mais avant tout Bruce Wayne est Batman, et il est l'exemple le plus pur que malgré les épreuves qui nous bloquent le chemin dans la vie, l'humain peux se dépassé et les enjambés. Faut juste de la volonté et des gens qui nous aiment.

Faite comme Bruce Wayne, à place de craindre nos peurs, faut les nous approprié et les transformés. On est jamais seul, des fois faut juste sonner la cloche et regarder nos démons en face.

Si tout commence avec un BANG, tout devrai finir avec un CLING.

Modifié par Akoji
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Es-tu en... secondaire 2 ?

Non. Pour? Mon français est trop simple? Je voulais pas écrire quelque chose d'un niveau universitaire, c'était juste un texte que j'ai écris pour pas me laissé déprimer.

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Non. Pour? Mon français est trop simple? Je voulais pas écrire quelque chose d'un niveau universitaire, c'était juste un texte que j'ai écris pour pas me laissé déprimer.

Ton texte est ridicule peu importe ce sur quoi on s'attarde. La forme, le fond et les fautes de grammaire. Je ne vois pas de mal dans l'idée d'alléger les tracas avec l'écriture. Seulement, tu aurais pu tout laisser dormir dans l'ombre du fichier Word.
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Comme si ça comptait d’être bon au solitaire.

Il en faut de la patience. C'est mal parti. Y'a pas de vin ici. Des clopes, oui, mais pas de vin. Je perd des points. Je m'enligne pour perdre la game. Le soleil souffle sur la boucane. mon jeu ne va pas mieux. Respire. Penser à quelque chose d'autre. Inspire, expire. Tourne la carte. Lève les yeux. Pense aux pommiers. Pas moyen, tout est flou, tout est si... incompréhensible. Tourne trois cartes. J'ai pas les bons atouts, j'ignore mes acquis. Fuck it, j'ai perdu. Try again qui dise.

Les couleurs me mélangent. Je perd la carte. Où est le nord? Parait que c'est beau par là. Pas chaud, mais beau. Pas pire, j'ai deux as. C'est drôle. On dirait que ça marche. Ou pas. Je sais pu trop. C'est embêttant. J'hésite à regarder plus loin pour ne pas me tromper, je m'en voudrais de devoir recommencé. Quand je commence quelques choses, anyway, je fini toujours par recommencer.

Précipiter les choses, c’est baiser sans embrasser ; C’est avancer sans reculer. Je jouerais aux cartes avec l'option Hint. Ça ou bien Undo. Ce serait facile, je m'y plaierais. Tricher, ça fait plaisir même si c'est pas toujours possible. J'voudrais bien jouer sur le bord de l'eau. En regardant les feuilles tomber. En sentant mon coeur enfler. En étant bien. Le jeu veut pas. Y'a un parti pris, j'cré ben. j'ai perdu.

New game?

Je ne sais pas comment on fait.

On ne me l’a jamais appris.

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  • 4 semaines plus tard...

Voici les deux premiers vers de mon poème sur les COLLANTS :

Collantomanie

C'est un appel tactile d'une forme enivrante,

Moulée, enchanteresse et illuminante.

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  • 3 semaines plus tard...

Ecrit en 2010. Il me rappelle de beaux souvenirs maintenant. Des Alexandrins conformes aux règles de l'art et faciles à lire:

LEVER L’ANCRE

Accroché à son ancre, le bateau s’éveillant ,

À l’aurore d’un beau jour, de chaleur de juillet,

À la brise qui se lève, rien qu’un souffle discret,

Va renaître à la vie, s’ébranler lentement.

Pas grand-chose, un soupir, c’est normal à cette heure,

Cette brise est si douce, et même un peu coquine,

La proue de la nacelle, d’une caresse elle taquine,

Enlaçant le bateau, elle le berce en douceur.

Tel un pendule géant, qui glisserait sur l’eau

Il trace un demi-cercle, d’un mouvement large et lent,

Mais retenu par l’ancre, il revient doucement,

Puis aidé par la brise, il en trace un nouveau.

Un rayon de soleil, à travers les hublots,

Balaye la cabine, le bateau pivotant,

Je sens que tout vacille, bien qu’insensiblement,

Mes paupières s’élèvent, se referment aussitôt.

Immobile, étendu, je demeure sur mon lit,

Mon corps est endormi, mon esprit est présent,

Je jouis de ce moment, ou à demi-conscient,

On vit entre deux mondes, alors que fuit la nuit.

Et lorsque vient l’éveil, ce n’est que peu à peu,

J’ouvre alors l’écoutille, remplis mes poumons d’air,

Je regarde dehors, retrouve mes repères,

La nuit s’est bien passée, le bateau est heureux.

Je quitte alors l’avant, me déplace au carré,

La solitude est grande, quand on est seul sur l’eau,

Je me raccorde au monde, ouvre la radio,

La journée sera belle, m’est-il prophétisé.

Sortant de la cabine, je regarde le ciel,

Je vois alors s’éteindre la toute dernière étoile,

Le bateau veut voguer, il demande ses voiles,

Elles lui donnent la vie, elles sont un peu ses ailes.

Et comme pour nous presser, l’eau fait un clapotis,

J’enfile mon harnais, sur le pont je m’affaire,

Je sais qu’en levant l’ancre, je m’arrache à la terre,

Le bateau est joyeux, car nous sommes repartis.

On aura beau dire, Doupirate a une plume classique impeccable.

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5 poèmes commercials

Hymne au thé glacé en poudre

Ô toi qui me délivre de l'insipidité de source naturelle,

Je te remet le grade de Pourfendeur Émérite,

Puisse être ta commercialisation éternelle,

Pour qu'encore mon coeur palpite,

Au cas où voguerait une disette de fluides,

Je peux me fier à Nestea, pourvoyeur de glucides.

Ode au Bacon

Une poêle, un mouvement rotatif,

du suif.

Imprègnent ma bouche d'un goût rare.

J'attends ton hâle,

Tendre sexe palliatif.

Je te désire déjà encore.

Mes glandes s'activent,

À la seule évocation,

De ton odeur ou de ton nom.

Ô Bacon, que tu m'enivres.

Pepsi-addiction

Notre histoire commence par ton son,

T’éboulant sur ton enveloppe bleutée

Et mon index maintenant crispé,

Tu me jettes un bruit humide,

Promesse d’inspirations.

Ta beauté et ton nationalisme,

M’élèvent vers de tendres cieux,

Bulles miraculeuses et logo-prisme,

Qui a été modernisé, pour le mieux.

Décrire ce goût serait peine perdue,

Car cette absence absolue de vacuité,

Ce charme inné,

Se vivent seulement, lèvres détendues

Tête inclinée.

Notre passion se ponctue par un stress.

Ferraille et bouche de sucre maculée,

Ces seuls vestiges daignes-tu me laisser,

O Pepsi, plaisir assurément renouvelé,

J’aime que tu me tiennes en liesse.

Béat Jarisberg

Tel un mage frottant son sceptre,

Je jubile de cette mystique présence,

Dans une fébrile attente.

Mais ô misère de pauvreté

Ce spectre qui m’en fait tant miroiter,

Ces prix élevés, cette rareté

Ces interstices,

Qui pourtant viennent à peine,

Entacher,

Ta délicatesse,

Ton angélisme.

Yogourt quatuor

Spécialiste du repeuplement,

Tu soignes les estomacs dépéris,

De tes savants mots latins,

Une panse bien remplie.

Ton infini variété,

Gorgée d’un habillage crémeux,

Me renvoie à ta froideur chaleureuse,

À ta vitalité heureuse.

Ta double graphie,

Tu en es digne,

Toi qui s’enorgueilli,

De ne jamais s’abimer - sur mon ivoire,

Préférant arrimer - dans mon frigidaire.

Pour y rester, y transiter, t’y plaire.

Toi qui favorise la régularité,

Et le aisément avalé.

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