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Postez vos poèmes, récits, nouvelles


Déchet(s) recommandé(s)

  • 2 semaines plus tard...

Petit Papa Noël,

Écoute avec soin.

Pour moi, je ne veux rien;

Offre la tolérance

Aux autres en carence,

Une bonne santé,

Et un peu de silence.

Les guerres éclatées

Causent trop de souffrances.

Petit Papa Noël,

Je ne demande rien

Qu’un peu de chaleur vive

Pour les gens sans abris;

Que des repas arrivent

Aux gens qui ont besoin.

Dans le bruit du silence,

Je fais une prière:

Protège l'innocence

Des jeunes en enfance.

Petit Papa Noël,

Je ne demande rien.

J’offre mon coin de ciel

Aux enfants du chagrin.

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  • 3 semaines plus tard...

Nerveux et anxieux j’attends mon rêve

M’échapper, applaudir mon équipe sans trêve

Je ferai toujours confiance au match d’ouverture

C’est pour lui que je vis, c’est pour cette aventure

Le retour du héros illumine les jours

Pendant qu’à mes ans, luit un instant où je suis sourd

La grâce du terrain éveille la foule

Les jours de ma fierté comme rivière coule

Je suis plus fasciné qu’un fan vulgaire

J’ai déjà joué et je sais qu’encore je pense le faire

Cette fois-là j’ai frappé la balle si-haut

J’ai quitté le terrain comme porté par les eaux

Ce jeu béni et moi nous ne faisons plus qu’un

Comme un père à son fils, le jeu me tend la main

Mon fils est encore jeune et son jeu maladroit

Je ne veux que le temps de l’amener avec moi

Je suis vraiment très proche, à une chance près

De réparer les torts et crever les abcès

Je peux aider mon club à retrouver sa gloire

Rien qu’en rajoutant du zeste à cette vieille histoire

Les joueurs disent maintenant qu’ils jouent pour eux-mêmes

Je ressens en moi la brûlure du blasphème

Le fan est celui qui paie pour voir le jeu

Celui qui couronne les riches et consacre les courageux

Les joueurs écoutent mais n’entendent pas vraiment

Isoler le jeu durant comme par un écran

Je suis fatigué maintenant de tant d’avidité

Et aspire à dépasser ce cap en quête de liberté

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J'ai traduit cette scène merveilleuse :

Ces larmes…

De quelle beauté se réclame-t-elles ?

Ces larmes de douleur…

Assurément, elles sont la plus précieuse substance au monde.

Mais… Es-tu digne de les répandre ?

Porter le deuil est un acte qui appartient au royaume des Hommes.

MOMO : Tu l’as fait… n’est-ce pas ?

Ahh mon beau petit kirschwasser...

Mais encore… Peut-on véritablement appeler cela un cadavre ?

FRAGILITÉ, CE NOM EST FEMME.

Non, c’est faux.

Tu n’es même pas né de l’utérus d’une femme.

La race humaine, angoissée par sa faiblesse inérente a construit ce monde dans la tentative futile d’élucider cet abysse qu’elle appelle la mortalité.

Culture, civilisation, toutes des désillusions crée par une race sans pouvoir et sans utilité, telle une femme infertile...

Mais malgré tout cela, tu continues à exister comme un esprit libre, libre des chaînes de la chaire et du sang.

Une conscience complètement pure, une spirale éternelle immunisée des impuretés.

La fusion du feu, du souffle et de l’esprit !

Comment vous considérez sinon comme des anges ?

Nouvelle et vierge psychée...

Mais ce qu’il vous fait défaut c’est la RÉALITÉ !

Et c’est à moi de vous en faire la démonstration !

RIRES DIABOLIQUES.

Ahhh ma belle pêche, nul besoin de trembler comme ça…

De plus, tu me fais sentir comme « péché » moi-même.

Mais est-ce l’éclat d’un homme que j'attrape dans ton cœur ?

Qui est-ce… un rouquin ?

Rouquin… Rubedo !

C’est Rubedo, c’est juste parfait !

Sais-tu ce qu’il dit une fois lorsqu’il cracha du sang ?

Si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas, il reste seul ; mais s’il meurt, il donne beaucoup de fruit. (Jean 12 : 24)

Du blé hein ?

Il y a en assez pour que l'on puisse se permettre d’en gaspiller si ça nous chante !

COMME MA TÊTE TU VOIS !?

Qu’est-ce que tu en dis mon adorable pêche ?

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  • 2 semaines plus tard...

J'ai fait mieux, mais je suis tout de même satisfait du résultat.

Existence factice

Rué de coups par les chants

L’air ensevelit sous ces courbes chaotiques

Je naquis, enfant d’un temps

Bercé, et porté par cette vague mélodique

Loué aux discours satiriques

Ébahi de tout ces regards harmonieux

Je déambule, les yeux cyniques

Blessé, lacéré par les avis pernicieux

Araché à mes repères

Désillusionné de ces clichés tryptiques

Je cède, soumis à mes pairs

Saoulé, violé par cette vie chimérique

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Le sommeil

Sommeillant sommeillé

Je sommeillerai

Jusqu'au jour dernier

Où mes lèvres mouillées

Reposeront sur celles de Morphée

Le désir

Sans le désir, il n'y a pas de vie

Il n'y a pas de mort

Il n'y a pas de tords

Pas de femme dans mon lit

Il ne me reste que ma raison

Et avec elle, le temps est long.

Le voilà, le désir je l'ai trouvé

Peut importe le moment de la journée

Désireux, désirant, désiré

Je le veux

Ton corps fiévreux

Entre mes bras, mes serres

Alors que mon solide manche

Pénétrera tes terres

Et ainsi laisser place à ma semence.

Le gentleman

Il se démarque par sa classe

Il se démarque par ses valeurs

Il se démarque par son charme

Il se démarque par le respect qu'il porte à autrui

Il se démarque au travail

Il se démarque avec les clients

Il se démarque, par sa solitude

Voilà le problème

La galanterie, un anachronisme?

Chose du passé?

Vieille idée?

La faute du féminisme?

La faute de la femme émancipée québécoise?

Pourquoi?

Les mauvais garçons ont-ils autant de succès?

Pourquoi, ses amis et lui, bons gars, se font larguer, laisser, humilier?

Peut-on vraiment être trop bon?

Où tracer la limite?

Je l'ai trouvé, jusqu'au jour où on réalise

Qu'on ne se respecte plus en étant trop bon.

Après cette réflexion, le gentleman se laisse distraire,

Par le déhanchement d'une femme dans un centre d'achat,

Une fougue soudainement l'habite,

Je leur donnerai ce qu'elles veulent,

Il détruit toutes les valeurs de respect inconditionnel à l'égard du sexe opposé que ses parents lui ont transmises

Il détruit l'image idéalisée de la femme que la société lui a fait miroité

Il se déshumanise, plus de gentilis en lui,

Mais plus de virilité, moins de raison,

L'homme est mort, l'animal en lui est né.

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C'est qu'on a pas fini d'immigrer

Sur mon perron pour m'emmerder

Soyez balèzes

Aucun malaise.

J'veux bien être clémente

Moi, la noyée, l'innocente

Confondue mais savante

Une humaine lyrique

Syracuse sympathique

quand cesse l'éthique

Une floppée d'hystériques

Ho! Paroxysme du ridicule!

Comme-je-t'encule!

Tel Gambit, je tire mon As de pique

Q'on me pique, je suis ludique.

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  • 3 semaines plus tard...

Tout et rien à la fois

Bien encastré, seul malgré tout

Toujours abimer, avortant sans s’en lasser

Sans délices, bâclant ses atouts

La malice, charitable douleur à l’enlacer

Au service d’un microphone sans vie

Les supplices noyant l’extase

La tête haute, et sans cesse, les yeux gris

Mais sans fautes, la haine qui s’évase

Et pourtant, de nature candide

Opprimant ses kamikazes jalousies

À la poursuite d’une splendide

Ardeur reconstruite, vers un futur fortuit.

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  • 2 semaines plus tard...

L'horizon est éternel.

Tout au bout de la route

Là où la fin sévit

Et quand viendra le doute

Là où l'enfer se vit

J'irai voguer sans haine

Castré du temps des heures

J'ai révoqué sans gêne

Le rouge sang de mes peurs

Et juste avant le drame

J'eclipserai mon ennui

Ce jusqu'à ce que je crame

Me foutant de ce qui s'ensuit

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  • 3 semaines plus tard...

Salade de bruit

Tympan tyran

Ne joue-tu pas assez fort

Le remords

de mon incrédulité-désespoir

Qui se tord de rire

Devant ton nez moche

Sans anicroche

Je te ne me hais pas dans ma poche

Porte-feuillus sans histoire

Un visage

Une mémoire

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Silence dans la clique

De la stupidité

On tique

Silence dans le bar

Dans le noir

Accessoire

J'ai perdu mon soulier.

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J'ai ouïe dire que tu

Qu'il y a plu hier

Dans le désert d'une grenade

De passion tu tornades

J'ai ouïe dire que tu

Ton sceptre tendu

tartine de bête têtue

Tyrannise la nudité sans

J'ai ouïe dire que tu

étais sans chagrin

Un nabot

éteint

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T'as pas croque-note

depuis trois jours

le pâté de mes

trois cochons de lait

trois seins refaits

le bruit

d'un tambour trop mou.

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Calomnie de moi

De rien

De toi

au rein

d'une belle

prunelle-jument

au vagin béant.

De toi

De moi

De rien

J'ai glissé sur

L'ESPOIR d'une caresse sang raideurs sans la ride éteinte étreinte

d'une froideur de saxophone mou!

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Symbiose extatique

Girl tragique

Trauma éthylique

Calme l'alcoolique

Calme l'hystérique

Calme l'histrionique

Qui Bang Boum

Dans les endroits publics

Qui Whack Wham

Les étrangers ludiques

Pour deux sous, un peu de fric.

T'aime le silence, la patience

T'aime pas le fracas

Du Bang Boum qui Wang

Dans le parc qui shlingue.

Le chien est mort

Il était fort, son corps

Il a bu, remords, mord, mort

Vécu encore. Make me moan more.

T'es là pour me décrire

L'ivresse, la fesse

Dessiner ton pénis

Je n'ai pas mal, j'ai pitié

Criss.

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Je verse une larme

Sur la forêt de pièges

Qui est partie sans moi

Derrière moi, partie de moi

Sourdine de liège

Attendre

La prochaine cigarette

Devant le néon éteint

De l'espoir

"La paix viendra"

M'a t'on dit?

Fais ton lavage

En cachette, usant du sobriquet le plus agile

Un briquet, une flamme d'argile

La flemme partira d'elle-même

Promesse d'Hermès!

Le postier

Ce matin malandrin

N'est pas passé.

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Ne pas oublier le son

Du progrès

Qui regrette de ne pas

Être allé plus loin un soir

Où tout était possible

Te souviens-tu Félix?

Tu étais là tout près

Et moi j'écrivais

Un tic nerveux à l'oeil éteint

De mes derniers instincts

J'oubliais la paix

loin derrière, jamais

le catharsis du père

la gibelotte de la mère

un synopsis d'hier

un feu de Pierre.

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Salade de rien

Les fusils

Sans tétons

Les nichons

Sont sans trombones

Sans charbon

Pour le premier pasteur

Sans soutane sans parure

On s'en sacre.

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Une petite fleur

Fugace sans malheur

Se masse sans pudeur

Pour un sous rond

Quelle horreur!

Un garçon au marché

Son billet a échappé

Sa culotte a montré

Devant le marchand d'à côté!

Donnez-moi votre jeunesse

Que je m'en paresse

De long en large

En allégresse

Je suis un clébard

J'ai pour toi un huard.

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Petit sacripant

Ne prend pas de gants

pour toucher les géants.

Petit avorton

N'est pas champion

Les yeux trop ronds.

Petite marguerite

Se demande foutrement

Ce qu'elle fout sur le moment

Avec ces deux glands.

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