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Postez vos poèmes, récits, nouvelles


Déchet(s) recommandé(s)

Je trouve ta prose magnifique. Ça m'a touchée.

Par contre, je retravaillerais la fin, ça vient carrément briser le charme.

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Combien de fois ai-je imaginé

Ce visage candide

Au passé

Au présent j'ai oublié

De t'oublier

Combien de fois me suis-je repassé

Ta solitude?

T'ai-je aimé?

Ne suis-je pas le souffre douleur

De ton souvenir

Que j'ai gâté?

Au futur caustique

oblitérée.

http://www.youtube.com/watch?v=cKpUjssa3v8

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  • 2 semaines plus tard...

J'avais envie de faire dans la gangsta shit.

---

*Clikétique*

T'entends ce son, le marabout?

Fermes ta gueule d'éclectique.

Prends ton trou.

Tel un neg marron,

Tu cours le marathon.

Ta djole débordante de ma semence

Pendant que ma graine, dans ta mère, devient dense.

Vraiment, tu pensais faire fureur?

Tu t'es fait devancer par un violeur

POW! POW! POW!

Tu t'écroules, tu chignes, je te dis ciao.

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J'avais envie de faire dans la gangsta shit.

---

*Clikétique*

T'entends ce son, le marabout?

Fermes ta gueule d'éclectique.

Prends ton trou.

Tel un neg marron,

Tu cours le marathon.

Ta djole débordante de ma semence

Pendant que ma graine, dans ta mère, devient dense.

Vraiment, tu pensais faire fureur?

Tu t'es fait devancer par un violeur

POW! POW! POW!

Tu t'écroules, tu chignes, je te dis ciao.

Est-ce que c'est une blague? Sans doute.

Mais même considéré sous cet angle, ça reste de la marde.

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Est-ce que c'est une blague? Sans doute.

Mais même considéré sous cet angle, ça reste de la marde.

Échec et mat!

Oui, c'était une grosse blague bien merdique, je te l'accorde. Je m'amusais, avec un camarade, a écrire du gros n'importe quoi sur msn et j'ai pondu ça. J'ai voulu partagé mon oeuvre.

Tu ne m'en veux pas trop d'avoir été pris de cette diarrhée littéraire?

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J'écris comme je jappe

La faute à la téloche

Ma langue est engourdie

La faute à la seloche (sloche)

Clébard qu'une voiture happe

La faute à la seloche (sloche)

Nul n'est attendri

La faute à la téloche

...

Dernière fois que j'écris ici. Juré.

Modifié par ChokingDog
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on a des artistes!

joli certains de tes textes chicken of the infinite!

J'ai perdu ce que j'écrivais quand j'ai changé de pc, mais j'arrive plus à ecrire de poésie j'ai perdu ma sensibilité dans ce monde hostile et froid héhé

Par contre je m'amuse à écrire quelque petits machins si j'arrive à en trouver un qui me plait et si j'y pense j'en posterait une partie ici!

J'aime beaucoup etre imaginatif et original, j'espère trouver un jour la motivation de mettre à lecrit certaines nouvelles que j'ai en tête!

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Quand je sort du bain

De l'eau coule de mon vagin.

DISTIQUES AQUAPHILIQUES

L'eau de la fontaine

Coule sur ma graine

*

L'eau du robinet mouille

Mon vit mon cul mes couilles

*

Quand il pleut la flotte

Emplit ma culotte

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  • 1 mois plus tard...
  • 2 semaines plus tard...

J'aime te toucher, bébé.

Je pense à ces moments, miel.

Où nous étions ensemble, sucre.

Nous vivions intensément, chérie.

Comme deux vrais aImants, oui.

Je mens, je meurs, je pleure.

Bébé.

Modifié par Eschyle
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Salade de fruits

Femme fatale trouble

L'encéphale double

Doublement

Douloureux

Doucereux

Un diamant dionysiaque

Un calmant aphrodisiaque

Une pomme

Une poire

Une matraque

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Immersion totale

Dans un cubicule

Au rivage

Du ridicule

J'évolue sans peine

Non pas sans misère

Procession malsaine

Ivresse délétère

J'ai perdu le temps

Échappé un moment

J'ai perdu une feuille

Effleuré un mouvement

Je glisse sur le deuil

De mes plus jeunes tourments

Innocents.

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Insidieusement sans tact

Tu me dévisages

Viol focal au détour

Dans un mirage

J'ai ouvert la porte

Dégagé l'aorte

L'étranger passe

Le copain trépasse

------------------------------

Il est étrange de constater

Tâter un con est étrange

Il est formellement inutile

D'halluciner le firmament

Soit-il beau?

Soit-il grand?

Est-il utile allégrement?

Futilement et ridicule

Quand cesse le geste

Dénigrement

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J'oserais m'imaginer

Enracinée dans le silence

Une nuée d'images

Fascinées par l'absence

D'une moitié

Franchement inexistante

Il est inutile désormais

De s'y étendre.

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Gin Tonic avilissant

Sifflant sur les méandres d’un temps révolu

Oserais-je entendre l’histoire à l’horizon?

Le récit des cendres dispersées dans l’absolu

Où j’observais pendre au loin cette trahison

Lorgnant sur la lune, je boudais la raison

Souillant mes lacunes, j’enviai l’inconnu

Profane de ma censure, subjugué de passion

Qui m’envoie sur le mur où j’aspire à mon dû

Quand, invraisemblable, la frénésie jaillit

Ire intolérable, saccageant le whisky

Preuve illusoire d’une maternité pastiche

Affublé de terreur, et d’un front libertin

Je m’engage en son cœur, par un détour sans fin

Chimère masturbatoire, malgré moi je m’entiche

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  • 2 semaines plus tard...

Le poète a la vie au bout des doigts, fébriles et tremblants, suspendus au dessus de sa feuille, hésitants. Son verbe se délie, ses mots se lient, il se construit sur le papier une autre personnalité. La vie s’écoule par ses extrémités, pris dans son élan il ne peut s’arrêter de peur de cesser d’exister. Son imagination est son tourment chuchotant bas à son oreille. La mitraille de l’esprit épanche son fluide vermeil. Il se presse de la faire taire, insupportable son heurtant sa chair. Il trace et efface les traces de cette farce, qui passe en coulant le long de ses tempes ruisselantes. Frénétique messe de la vie, il confesse son esprit, fait taire ces voix et sonne le glas de la folie.

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l'écho de sa voix ride mes pensées alors que je m'entête à le répéter.

Les souvenirs affluent s'affutent et chutent sur ma tête nue.

tu me fascines, quatre syllabes sibyllines.

paroles prometteuses, émissaires d'une affection ancrée dans sa chair.

ma langue ondule de plaisir, se délecte de ces trois mots, chavire, ne trouve le repos.

son visage se dessine derrière mes paupières closes, me hante, tournoie, ne se pose.

l'appel de la chair est assourdissant, il hurle aux portes de mon esprit, m'emporte dans sa frénésie.

le désir naissant déferle et balaye les derniers pans de raison alors que sonne et résonne ce son : tu me fascines.

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