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Comment vous sentez-vous présentement ?


Mr.F
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Déchet(s) recommandé(s)

J'avoue qu'on doit se sentir puissant quand on met quelqu'un KO à travers son écran avec des écrits percutants. Ça c'est atteindre quelqu'un direct dans le mental. C'est pas mal plus dur s'en relever.

Mais c'est aussi pas mal plus grave qu'un coup de poing sur la gueule, imagine s'il se suicidait.

Ah, ce serait malheureux, c'est vrai, mais d'un autre côté, je suivrais parfaitement la doctrine de notre prophète-administrateur.

R.I.P. vous-savez-qui.

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Je ne sais pas qui mais j'ai eu vent d'une telle histoire. C'est malheureux.

J'ai déjà été pas fin dans mon adolescence avec des gens de mon école et j'en ai encore des remords aujourd'hui. Heureusement, ils ont pas commis l'irréparable, mais je m'en serais voulu jusqu'à la mort. Déjà que je m'en veux.

Je crois que j'ai été pardonne par ces gens (ils sont 2) et je ne peux que leur être reconnaissant puisqu'ils ont souffert sans aucune raison.

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Je crois que j'ai été pardonne par ces gens (ils sont 2) et je ne peux que leur être reconnaissant puisqu'ils ont souffert sans aucune raison.

Pas sans raison, ils ont appris à encaisser.

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Je ne saurais par quoi commencer tellement il y a de choses auxquelles je me dois de répondre. Parce que la décence m'intime de donner un souçon de vérité envers toutes les inepties que j'entend. Vous ai-je déjà mentionné que je suis fort aise devant mes accomplissements qui jusqu'ici s'avèrent aussi variés que rocambolesques ? À l'âge de 17 ans, après 6 années passées dans les cadets de l'armée, je me suis enrôlé dans la réserve question de connaître l'effervescence de la bataille, le quotidien du métier de soldat d'infanterie sans avoir pour autant à signer un contrat qui aurait comme objectif de me lier pendant 4 ans à leur organisation pour le moins stricte. Après une année de loyaux services, j'ai pris la décision éclairée de fureter vers le métier d'officier car en tant que soldat je ne me voyait jamais considéré dans le processus de prises de décisions, je désirais obtenir un impact substantiel et laisser de côté l'angle emploi pour celui d'une carrière florissante.

L'Armée était pour moi un synonyme de succès et la seule véritable option ayant été endoctriné dès mon plus jeune âge dans une culture cinématographique à la Commando, Rambo, Platoon et Full Metal Jacket. À six ou sept ans je savais déjà ce que je voulais faire dans la vie. Comme le Collège militaire Royal de Kingston exigeait des candidats exceptionnels à la Peyton Manning avec des notes supérieures à celles des astronautes depuis le secondaire 3, fort de mon secondaire 5, je me suis inscrit à 21 ans comme étudiant libre à l'Université Laval afin de compléter un Baccalauréat me donnant ensuite un accès privilégié à la formation d'officier des forces Canadiennes. D'intégrer un métier de combat, dans le cas présent celui d'officier des blindés.

Lors de mes études à l'Université, j'eusse choisis le baccalauréat en histoire puisque le contingentement y est pratiquement inexistant par opposition aux études en sciences pures ou en médecine, j'ai suivi des cours de science politique. Une autre idéologie venait alors se greffer dans mes valeurs intrinsèques, je n'avais plus le sentiment d'être authentique envers moi-même en participant à des conflits pour des motifs politiques, des combats que des politiciens n'iront jamais livrer en personne, qui seront portés par de la chaire à canon. Je vous épargnerai d'avantage les menus détails en vous résumant la situation; je fut désabusé par ce dont j'ai rêvé pendant toute ma jeunesse.

Ayant été consécutivement militaire puis étudiant à l'université avant l'âge de 25 ans, j'étais relativement fier de ses deux accomplissements professionnels. Il s'en est suivi une courte période de remise en question à savoir ce que je pourrais bien faire de mon existence, qu'est ce qui pouvait bien me faire vibrer, je n'étais pas à la recherche d'un emploi mais bien d'une opportunité de carrière. Cette période creuse fût commune à bien des gens, elle me fait personnellement penser à Rimbaud qui parti alors en Afrique devenir marchand d'armes. Cette période me fait penser à Vincent Van Gogh qui ne vendit qu'une seule de ses oeuvres de son vivant, à son propre frère, qui vécut constamment dans la misère.

Pendant 10 ans j'ai travaillé constamment que ce soit en sécurité ou en hôtellerie. J'eusse commencé par des emplois qui m'ont été des plus désagréables; cuisinier chez McDonald's, manoeuvre dans une usine de transformation de légumes dans le quartier industriel de Vanier puis vinrent les emplois où je me suis senti confortable mais qui n'offraient aucune possibilité d'avancement hormis les années d'expérience cumulées. J'ai été caissier dans des dépanneurs de la franchise Couche Tard, j'ai assisté la gérante dans l'inventaire du magasin, la réception des marchandises par camions de livraison, la réception de caisses de bière, etcetera. Fort d'un curriculum vitae sans cesse grandissant, je réussis ensuite à obtenir des emplois comme agent de sécurité grâce à mon expérience passée dans l'armée canadienne, j'obtenu le permis de sécurité et d'investigation puis j'ai arpenté les couloirs dédaliques de l'hôpital Saint-Sacrement nuit sur nuit, que ce soit pour la surveillance de patients sous contentions, la surveillance de cas psychiatriques violents, l'inspection de la morgue située au deuxième sous-sol. Autant d'expériences qui me permettaient de mettre en perspective mes impressions sur la globalité de notre société. Je faisais intérieurement l'analyse de cas de chaque endroit où j'ai habité, de chaque lieu où j'ai travaillé.

J'étais alors rendu à l'échelon confortable du 18.50 de l'heure en travaillant dans les cégeps. J'étais engagé tantôt comme agent de bureau à la bibliothèque, tantôt comme surveillant d'examens de reprise, comme superviseur d'examens de sélection pour des programmes contingentés que, ironie du sort, je n'avais pas la possibilité de suivre plus tôt dans mon cheminement académique. En parlant de programmes contingentés, je me suis présenté devant une situation ou je devais faire un choix, accepter un poste au QAQ de Beenox ou ma poursuivre ma candidature qui fût retenue dans le cours de game design. J'ai choisi les études, je me voyais game designer à la sortie de mes études, mon diplôme en poche. La réalité fût intransigeante et froide, J'obtenu mon diplôme avec mention mais en ce qui a trait aux postes en conception de jeu, ils sont excessivement rares et difficiles à obtenir.

Moi qui m'était fait une fierté d'avoir été tout au long des 15 mois d'études le président de classe me retrouvait sans autre solution que tenter ma chance où je l'avais laissée, l'assurance qualité. J'ai travaillé sur le dernier opus de Call Of Duty, un jeu qui était reconnu parmi mes pairs comme étant la suite facile d'une recette à succès. Jeu le plus vendu dans le monde entier, j'étais bien fier d'apparaître au générique de fin. Les détails du jeu et de mon expérience demeureront secret, ayant signé des contrats de confidentialité sur le sujet. De même que tout ce qui peut concerner les consoles de nouvelle génération. De toute manière, il n'y a rien d'exceptionnel de ce côté.

Je me vois donc à l'aube d'une nouvelle opportunité, attendant de savoir si je serai ou non présent là ou je le souhaite. Le cas échéant j'ai des scénarios B et C déja en banque. Question de ne pas me retrouver dans une situation inconfortable financièrement. J'ai terminé mes études en Juillet 2013 et j'ai travaillé 625 heures depuis. J'estime que je n'ai point chômé.

Alors voilà qui résume une facette de mon existence, vous serez à même de constater que je ne suis pas un demeuré comme le prétend Carlos. Pour être tout à fait honnête avec vous, un demeuré ne serait même pas en mesure d'écrire une phrase ou deux en gardant du sens dans ce qu'il écrit, ce serait impossible de comprendre son raisonnement car il serait atteint d'une tare génétique, intellectuelle.

Pourquoi aller aussi loin dans l'argumentation et vous écrire tout mon cursus professionnel ? On a dit de moi que j'étais en quête d'attention, que je n'étais pas porteur d'une assurance qui pourtant m'habite. On m'a traité de raté sans connaître ce que j'ai accompli, on m'a suggéré que j'étais un couard quand j'ai fait preuve de courage dans l'adversité. Parce que j'ai des réalisations qui parlent pour moi et que je n'ai pas besoin d'insinuer des faits, d'avancer des idées abstraites tissées de fil blanc par manque d'exemples dans la réalité.

Je serais supposément tenté de me suicider, la question serait risible si ce n'était de la gravité du sujet. J'ai personnellement empêché ma propre mère de s'enlever la vie avec un couteau de cuisine quand j'avais 14 ans et je l'ai portée dans mes bras jusqu'à son appartement, elle qui gisait sur le côté de la rue, qui venait d'ingérer une quantité appréciable de médicaments. Depuis ce temps je vis à quelques mètres de chez elle car j'ai toujours été l'adulte et elle l'enfant depuis que je me souvienne. Elle est aux prises avec la maniaco-dépression j'imagine que vous n'avez pas de blagues sur le sujet ?

Voilà de bonnes raisons de croire que je ne suis pas un demeuré ni un attardé incapable d'avancer des arguments. Si je suis coupable d'un vice ce serait sans-doutes celui de vanité. D'avoir le panache de croire que je suis quelqu'un de bien qui se félicite tous les jours de ne pas boire, de ne pas fumer et de ne pas consommer de drogues. De ne pas frapper de femmes, de ne pas fréquenter les bars de danseuses et de ne pas perdre la totalité de ses biens sur des machines de vidéo-poker ou dans la loterie. Qui ne vole pas son prochain et qui ne vandalise pas les lieux publics sous prétexte que c'est pour faire connaître une cause politique ou tout simplement parce que la situation me permet de le faire. Quelqu'un qui laisse sa place aux personnes agées dans les transports en commun et qui réussi plus souvent qu'autrement à rapporter ses livres à temps à la bibliothèque.

Concernant les femmes, je ne suis pas fasciné par qui que ce soit. Il se trouve que j'ai horreur des bars et des gens superficiels qu'on peut y rencontrer. Je sais que toutes les personnes qui participent à Occupation Double et qui s'inscrivent sur DoYouLookGood pensent qu'elles sont des personnes vraies et profondes mais je ne suis simplement pas du même avis. Je trouve déplorable qu'une personne se fasse juger dans les dix premières secondes où elle se présente à un blind date et ça me prend un contexte fiable pour aborder une femme sans être mal à l'aise en passant dans ma tête pour un opportuniste. La réalité est la suivante : j'aime les femmes que j'estime et que j'admire. C'est la raison pour laquelle je n'ai jamais abordé aucune étudiante au Cégep mais seulement une de mes enseignantes malgré les circonstances qui rendaient la relation impossible. Elle l'est toujours mais c'est pour d'autres raisons dont je ne vois pas la pertinence de partager.

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J'ai tout lu parce que franchement tu t'exprimes plutôt bien. Eut été du contraire j'aurais abandonné après la deuxième ligne. Je me demande toutefois pourquoi tu tentes ainsi de justifier que dans le fond t'es un bon gars. C'est ta réputation de pervers qui te donne cette envie de prouver à la face du monde que tu vaux plus que ça?

Ici sur le Dépotoir c'est peine perdue. On a tous une réputation plus ou moins fausse de que ce nous sommes vraiment et qui nous suit à travers les versions. C'est ce qui fait notre personnage Dépotoirien, et qui fait qu'on est plus ou moins apprécié. Mais qu'est-ce qu'on s'en fout tant qu'on connaît notre réelle valeur en dehors d'ici? Joue donc le jeu et apprends à t'en crisser.

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En ce moment je me sens en tabarnak. Quand j'ai été admis à mon bac à l'été, c'était conditionnel a ce que je passe un test de français dont la date restait a déterminée.

Aujourd'hui, j'ai reçu une lettre disant que mon dossier est fermé parce que je me suis pas présenté au test de français. J'ai appelé à l'université pour savoir WTF et ils m'ont dit qu'ils avaient envoyé un courriel et une lettre postal avec les infos du test. J'ai reçu aucun des deux.

Maintenant mon seul recours, à moins de 2 semaines des intras, c'est une demande de dispense du test qui ne sera peut-être pas accordé puisque la date limite pour la demande est passée. Donc ça se pourrait que je sois juste renvoyé de mon bac dès très bientôt

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Plus de peur que de mal...sont plus sympathiques en personne. Alors qu'au téléphone on me disait qu'il était très possible que je sois desinscrit malgré qu'on soit a la mi-session, c'était une tout autre histoire en personne, même si e parlais aux même gens.

J'ai donné mes bulletins de secondaire, mon formulaire complété et on ma dit tout de suite que j'étais dispensé. Je suis soulagé

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Je ne saurais par quoi commencer tellement il y a de choses auxquelles je me dois de répondre. Parce que la décence m'intime de donner un souçon de vérité envers toutes les inepties que j'entend. Vous ai-je déjà mentionné que je suis fort aise devant mes accomplissements qui jusqu'ici s'avèrent aussi variés que rocambolesques ? À l'âge de 17 ans, après 6 années passées dans les cadets de l'armée, je me suis enrôlé dans la réserve question de connaître l'effervescence de la bataille, le quotidien du métier de soldat d'infanterie sans avoir pour autant à signer un contrat qui aurait comme objectif de me lier pendant 4 ans à leur organisation pour le moins stricte. Après une année de loyaux services, j'ai pris la décision éclairée de fureter vers le métier d'officier car en tant que soldat je ne me voyait jamais considéré dans le processus de prises de décisions, je désirais obtenir un impact substantiel et laisser de côté l'angle emploi pour celui d'une carrière florissante.

L'Armée était pour moi un synonyme de succès et la seule véritable option ayant été endoctriné dès mon plus jeune âge dans une culture cinématographique à la Commando, Rambo, Platoon et Full Metal Jacket. À six ou sept ans je savais déjà ce que je voulais faire dans la vie. Comme le Collège militaire Royal de Kingston exigeait des candidats exceptionnels à la Peyton Manning avec des notes supérieures à celles des astronautes depuis le secondaire 3, fort de mon secondaire 5, je me suis inscrit à 21 ans comme étudiant libre à l'Université Laval afin de compléter un Baccalauréat me donnant ensuite un accès privilégié à la formation d'officier des forces Canadiennes. D'intégrer un métier de combat, dans le cas présent celui d'officier des blindés.

Lors de mes études à l'Université, j'eusse choisis le baccalauréat en histoire puisque le contingentement y est pratiquement inexistant par opposition aux études en sciences pures ou en médecine, j'ai suivi des cours de science politique. Une autre idéologie venait alors se greffer dans mes valeurs intrinsèques, je n'avais plus le sentiment d'être authentique envers moi-même en participant à des conflits pour des motifs politiques, des combats que des politiciens n'iront jamais livrer en personne, qui seront portés par de la chaire à canon. Je vous épargnerai d'avantage les menus détails en vous résumant la situation; je fut désabusé par ce dont j'ai rêvé pendant toute ma jeunesse.

Ayant été consécutivement militaire puis étudiant à l'université avant l'âge de 25 ans, j'étais relativement fier de ses deux accomplissements professionnels. Il s'en est suivi une courte période de remise en question à savoir ce que je pourrais bien faire de mon existence, qu'est ce qui pouvait bien me faire vibrer, je n'étais pas à la recherche d'un emploi mais bien d'une opportunité de carrière. Cette période creuse fût commune à bien des gens, elle me fait personnellement penser à Rimbaud qui parti alors en Afrique devenir marchand d'armes. Cette période me fait penser à Vincent Van Gogh qui ne vendit qu'une seule de ses oeuvres de son vivant, à son propre frère, qui vécut constamment dans la misère.

Pendant 10 ans j'ai travaillé constamment que ce soit en sécurité ou en hôtellerie. J'eusse commencé par des emplois qui m'ont été des plus désagréables; cuisinier chez McDonald's, manoeuvre dans une usine de transformation de légumes dans le quartier industriel de Vanier puis vinrent les emplois où je me suis senti confortable mais qui n'offraient aucune possibilité d'avancement hormis les années d'expérience cumulées. J'ai été caissier dans des dépanneurs de la franchise Couche Tard, j'ai assisté la gérante dans l'inventaire du magasin, la réception des marchandises par camions de livraison, la réception de caisses de bière, etcetera. Fort d'un curriculum vitae sans cesse grandissant, je réussis ensuite à obtenir des emplois comme agent de sécurité grâce à mon expérience passée dans l'armée canadienne, j'obtenu le permis de sécurité et d'investigation puis j'ai arpenté les couloirs dédaliques de l'hôpital Saint-Sacrement nuit sur nuit, que ce soit pour la surveillance de patients sous contentions, la surveillance de cas psychiatriques violents, l'inspection de la morgue située au deuxième sous-sol. Autant d'expériences qui me permettaient de mettre en perspective mes impressions sur la globalité de notre société. Je faisais intérieurement l'analyse de cas de chaque endroit où j'ai habité, de chaque lieu où j'ai travaillé.

J'étais alors rendu à l'échelon confortable du 18.50 de l'heure en travaillant dans les cégeps. J'étais engagé tantôt comme agent de bureau à la bibliothèque, tantôt comme surveillant d'examens de reprise, comme superviseur d'examens de sélection pour des programmes contingentés que, ironie du sort, je n'avais pas la possibilité de suivre plus tôt dans mon cheminement académique. En parlant de programmes contingentés, je me suis présenté devant une situation ou je devais faire un choix, accepter un poste au QAQ de Beenox ou ma poursuivre ma candidature qui fût retenue dans le cours de game design. J'ai choisi les études, je me voyais game designer à la sortie de mes études, mon diplôme en poche. La réalité fût intransigeante et froide, J'obtenu mon diplôme avec mention mais en ce qui a trait aux postes en conception de jeu, ils sont excessivement rares et difficiles à obtenir.

Moi qui m'était fait une fierté d'avoir été tout au long des 15 mois d'études le président de classe me retrouvait sans autre solution que tenter ma chance où je l'avais laissée, l'assurance qualité. J'ai travaillé sur le dernier opus de Call Of Duty, un jeu qui était reconnu parmi mes pairs comme étant la suite facile d'une recette à succès. Jeu le plus vendu dans le monde entier, j'étais bien fier d'apparaître au générique de fin. Les détails du jeu et de mon expérience demeureront secret, ayant signé des contrats de confidentialité sur le sujet. De même que tout ce qui peut concerner les consoles de nouvelle génération. De toute manière, il n'y a rien d'exceptionnel de ce côté.

Je me vois donc à l'aube d'une nouvelle opportunité, attendant de savoir si je serai ou non présent là ou je le souhaite. Le cas échéant j'ai des scénarios B et C déja en banque. Question de ne pas me retrouver dans une situation inconfortable financièrement. J'ai terminé mes études en Juillet 2013 et j'ai travaillé 625 heures depuis. J'estime que je n'ai point chômé.

Alors voilà qui résume une facette de mon existence, vous serez à même de constater que je ne suis pas un demeuré comme le prétend Carlos. Pour être tout à fait honnête avec vous, un demeuré ne serait même pas en mesure d'écrire une phrase ou deux en gardant du sens dans ce qu'il écrit, ce serait impossible de comprendre son raisonnement car il serait atteint d'une tare génétique, intellectuelle.

Pourquoi aller aussi loin dans l'argumentation et vous écrire tout mon cursus professionnel ? On a dit de moi que j'étais en quête d'attention, que je n'étais pas porteur d'une assurance qui pourtant m'habite. On m'a traité de raté sans connaître ce que j'ai accompli, on m'a suggéré que j'étais un couard quand j'ai fait preuve de courage dans l'adversité. Parce que j'ai des réalisations qui parlent pour moi et que je n'ai pas besoin d'insinuer des faits, d'avancer des idées abstraites tissées de fil blanc par manque d'exemples dans la réalité.

Je serais supposément tenté de me suicider, la question serait risible si ce n'était de la gravité du sujet. J'ai personnellement empêché ma propre mère de s'enlever la vie avec un couteau de cuisine quand j'avais 14 ans et je l'ai portée dans mes bras jusqu'à son appartement, elle qui gisait sur le côté de la rue, qui venait d'ingérer une quantité appréciable de médicaments. Depuis ce temps je vis à quelques mètres de chez elle car j'ai toujours été l'adulte et elle l'enfant depuis que je me souvienne. Elle est aux prises avec la maniaco-dépression j'imagine que vous n'avez pas de blagues sur le sujet ?

Voilà de bonnes raisons de croire que je ne suis pas un demeuré ni un attardé incapable d'avancer des arguments. Si je suis coupable d'un vice ce serait sans-doutes celui de vanité. D'avoir le panache de croire que je suis quelqu'un de bien qui se félicite tous les jours de ne pas boire, de ne pas fumer et de ne pas consommer de drogues. De ne pas frapper de femmes, de ne pas fréquenter les bars de danseuses et de ne pas perdre la totalité de ses biens sur des machines de vidéo-poker ou dans la loterie. Qui ne vole pas son prochain et qui ne vandalise pas les lieux publics sous prétexte que c'est pour faire connaître une cause politique ou tout simplement parce que la situation me permet de le faire. Quelqu'un qui laisse sa place aux personnes agées dans les transports en commun et qui réussi plus souvent qu'autrement à rapporter ses livres à temps à la bibliothèque.

Concernant les femmes, je ne suis pas fasciné par qui que ce soit. Il se trouve que j'ai horreur des bars et des gens superficiels qu'on peut y rencontrer. Je sais que toutes les personnes qui participent à Occupation Double et qui s'inscrivent sur DoYouLookGood pensent qu'elles sont des personnes vraies et profondes mais je ne suis simplement pas du même avis. Je trouve déplorable qu'une personne se fasse juger dans les dix premières secondes où elle se présente à un blind date et ça me prend un contexte fiable pour aborder une femme sans être mal à l'aise en passant dans ma tête pour un opportuniste. La réalité est la suivante : j'aime les femmes que j'estime et que j'admire. C'est la raison pour laquelle je n'ai jamais abordé aucune étudiante au Cégep mais seulement une de mes enseignantes malgré les circonstances qui rendaient la relation impossible. Elle l'est toujours mais c'est pour d'autres raisons dont je ne vois pas la pertinence de partager.

tl;dr

ha et je quote au cas où il vienne éditer son post dans un vent de regrets.

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