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Le dernier film que vous avez vu


Déchet(s) recommandé(s)

Je me suis taper dernièrement :

- Freddy Vs. Jason

- Bronson (excellent film anglais sur un des prisonniers les plus violent d'Angleterre)

- À l'intérieur (Je me demande pourquoi)

- Création de Dieu (Qui a passé à Historis)

Au ciné

- (En TriDi) Jackass 3D

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SPLICE!

Mais pourquoi j'ai fait ca ?

Faut avouer que j'ai bien ri.

''FAK là, le gars fourre avec la créature pis la créature change de sexe pis viole la femme...oh pis la créature ressemble à Bjork pas de cheveux''

ouin...

Le dep est tellement fif que personne te dit de te fermer la yeule...

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Les amours imaginaires

Vous connaissez sûrement l'histoire mais pour les quelques perdus parmi vous :

"L'histoire de Francis et Marie, deux amis qui, épris de la même personne, se livrent à un duel malsain pour la conquérir. De rendez-vous en rendez-vous, la tension monte et, bientôt, chacun interprète de manière obsessionnelle les comportements ambigus et destructeurs de l'objet de leur désir."

C'est rafraîchissant, drôle et efficace. Dolan est définitivement un jeune cinéaste à surveiller.

D'ailleurs... Comment pouvez-vous détester cet être délectable? Bande de sauvages!

Les-amours-imaginaires11.jpg

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D'ailleurs... Comment pouvez-vous détester cet être délectable? Bande de sauvages!

Citation de Xavier Dolan :

D’ailleurs, lorsque je dois tourner une scène émotive durant laquelle je dois pleurer, je n’ai qu’à penser à comment on traite notre cinéma pour fondre rapidement en larmes.

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RED.

Je ne m'attendais à pas grand chose, mais finalement, j'ai été épaté du résultat. Un très solide film d'action mixé avec des répliques savoureuses qui ferait rougir, certain film d'Arnold ou de Sylvester. John Malchovich est vraiment, LA vedette du film, carrément du pur bonbon le voir aller.

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Ça fait longtemps que je veux voir Spirited Away. Ça fait une éternité que j'ai écouté un film d'animation japonais d'ailleurs. T'as aimé ça?

Accompagne-le de Princesse Mononoké et de Le Château Ambulant afin de remporter ton trifecta.

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Date Prévu.

La preview me disait pas grand chose sur le duo Downey Jr/Galifianakis (le barbu de Hangover).. mais c'est diablement efficace et quel film ! L'histoire est très typique,, celle de deux gars qui ne connaissent pas, Peter et Eaton, et qui doivent traverser les States pour que Peter puisse rejoindre sa femme qui va accoucher. Trop banale comme scénario. Prévisible. Ça me fait trop penser à lendemain de veille(même réalisateur d'ailleurs, Todd Phillips) Quelques scènes sont prévisibles comme celle des deux quand ils sont stones.

Mais la complicité des acteurs, leur chimie, fait que l'on fini par oublier cette histoire banal, parce que l'on n'est captivé et on se demande ce qui va se passer. Du moins si on le sait, on se demande, comment ça va se passer.

Je me dis que le personnage du gros Barbu débile va finir par tomber à plat. Zack a déjà fait au moins trois films en tant que personnage véritablement secondaire(Youth in revolt, Dîner de cons et The Hangover(la révélation)). Mais ce n'est pas dans Due Date que ça se passe. Il réussit tout de même à amener quelque chose de différent qui fait que l'on accroche.

4/5.

Génial, en générale.

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Je me suis endormi vers la fin de Cotton Club hier de Francis Coppola. Ça se passe dans un cabaret autour des années 20 où le milieu interlope fait la fête et s'amuse. J'ai trouvé le déroulement du scénario un peu plate, et sans continuité intéressante, mais pour le reste, c'était bien fait.

Je l'ai revu samedi et cette fois complètement.

J'ajouterais que ça se passe en réalité à la fin des années 20.

Le montage est très dynamique, ya aucune coupures entre les scènes.

Les numéros musicaux sont bien foutus, les pitounes bien fringuées.

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J'ai vu Twin Peaks: Fire walk with me. Le film n'est évidement pas à la hauteur de la série et les changements de décors/acteurs nuisent à l'ambiance autant qu'à l'illusion cinématographique. Sommes toutes, cependant, on a droit a un film assez bien réalisé et, compte tenu du fait que plus de deux heures de séquences ont dues être supprimées, ça reste relativement cohérent.

Je ne suggérerais ce film que comme complément à la série qui l'éclipse autant par sa qualité que son originalité.

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Trotsky.jpg

The Trosky - Jacob Tierney

Avec Jay Baruchel, Coelm Feore, Saul Rubinek

Synopsis:

Un adolescent du West Island de Montréal croit être la réincarnation de Léon Trotski, révolutionnaire socialiste et fondateur de l'Armée rouge soviétique. Il tente de créer un syndicat pour les étudiants de son école secondaire.

C'est charmant et drôle, à la fois adolescent et mature. Les personnages sont attachants, même les «méchants». Les dialogues bilingues (english et français, duh) dans la version originale ajoute un agréable réalisme à l'histoire. (Je ne suis pas un avide consommateur de cinéma canadien-anglais, mais c'est toujours le fun d'entendre des francophones parler l'anglais dans un accent cassé et, vice-versa, un anglo parler le français en arrondissant ses R.) ... (La musique utilisée est aussi bilingue, je pense entre autres à K'naan et Malajube.)

La réalisation et le montage n'ont pas particulièrement retenus mon attention. La référence aux marches d'Odessa du Cuirassé Potemkin est amusante et bien amenée. Elle est un peu ridicule, mais même Léon en est conscient.

Nul besoin de connaître la vie de Trotski pour apprécier le film. Il y a peut-être évidemment quelques références ou gags que l'on peut rater, mais ça ne vous fera pas perdre le fil de l'histoire. Si une référence est nécessaire à la compréhension des événements, elle est expliquée.

La scène où les étudiants se rendent au bal de l'année est cool de chez cool. Ce n'est qu'esthétique (vous verrez), mais ça a réchauffé le coeur du révolutionnaire que j'ai été. Tout le film d'ailleurs m'a fait cet effet, mais bon, cette scène. Fin.

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(...) mais ça a réchauffé le coeur du révolutionnaire que j'ai été.

Si ce n'est déjà fait, tu dois absolument voir ceci :

The Edukators

En résumé, c'est l'histoire de trois jeunes activistes qui tentent de de révolutionner la société. La vie les mènera sur un chemin inattendu et leurs idéaux seront mis à l'épreuve.

edukators_poster-small3.jpg

Every Heart is a revolutionary cell.

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Short Night of Glass Dolls

shortnightbig.jpg

Bien que ce soit classé dans le genre Giallo, Short Night of Glass Dolls s'apparente plus à un thriller conspirationniste à propos d'un journaliste déclaré cliniquement mort qui se remémore les évènements qui l'on emmené à être paralysé. Donc tout le film se résume à un gros flashback où le dude en question enquête sur la disparition de sa blonde et de plusieurs autres filles dans la ville de Prague et qui fini par découvrir un lien avec une étrange secte ésotérique qui est fan de papillons et de musique. Bref, ça commence comme une simple enquête banale pour ensuite virer dans la grosse paranoïa chère au 70's. Au niveau de la musique, Ennio Morricone fait une excellente job et donne au film un très bonne ambiance.

Trailer pour les curieux.

http://www.youtube.com/watch?v=_0NTED8SJSI

Modifié par The Eternal
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10½ de Podz

Une raison de plus d'aimer ce réalisateur qui gagne à être connu. Il a déjà son style à lui, soit aucune musique laissant toute la place à l'interprétation personnelle de l'auditeur et une fin qui arrive sans avertissement tout en voulant tout dire.

Un film dur mais pas sur le même plan que Les 7 jours du Tallion. Plutôt dur psychologiquement et malaisant en partie grâce au talent exceptionnel du jeune interprête du personnage principal.

Je le conseil à tout le monde.

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Si ce n'est déjà fait, tu dois absolument voir ceci :

The Edukators

En résumé, c'est l'histoire de trois jeunes activistes qui tentent de de révolutionner la société. La vie les mènera sur un chemin inattendu et leurs idéaux seront mis à l'épreuve.

edukators_poster-small3.jpg

Every Heart is a revolutionary cell.

Hors-sujet, mais je dois exprimer la frustration en moi: celui qu'on a mis en charge de la traduction du titre de ce film mérite la mort. Comment changer un beau titre (Die fetten Jahre sind vorbei, Les années grasses sont terminées, une référence à l'histoire de Joseph dans la Bible), en une connerie.

Haille on va mett' un K, ça fait pas mal allemand.

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The Italian Job (2010)

par Jeremy Clarkson

Le critique/journaliste automobile Jeremy Clarkson est de retour avec une autre itération dans sa série de films : The Italian Job. Il teste une multitude de voitures sur le circuits d'Imola et entre dans une course de Classic Touring Cars.

Véhicules testés

  • Chevrolet Camaro SS
  • Porsche 911 GT3
  • Porsche 911 GT3RS
  • Ferrari 458
  • Lamborghini Gallardo LP 570-4 Superleggera
  • Ferarri 599 GTO
  • Ariel Atom 500
  • Pagani Zonda R
  • Mercedes-Benz SLS AMG

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  • Jpeg a libéré ce sujet

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