Chicken of the infinite 1 mars 2011 Partager 1 mars 2011 Au démérite de la pudeurClame l'incroyable lourdeurD'un oubli de soiDe soie tisse le mensongePour entreprendre le violDe l'incroyable songe. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Esch 1 mars 2011 Partager 1 mars 2011 T'as oublié un vers chez nous:L'OR LOGE DES RÊVES. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chicken of the infinite 1 mars 2011 Partager 1 mars 2011 T'as oublié un vers chez nous:L'OR LOGE DES RÊVES.Ha bon? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lux 11 mars 2011 Partager 11 mars 2011 oi Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Campagnol Latendresse 14 mars 2011 Partager 14 mars 2011 Petit Papa Noël,Écoute avec soin.Pour moi, je ne veux rien;Offre la toléranceAux autres en carence,Une bonne santé, Et un peu de silence.Les guerres éclatéesCausent trop de souffrances. Petit Papa Noël,Je ne demande rienQu’un peu de chaleur vive Pour les gens sans abris; Que des repas arrivent Aux gens qui ont besoin.Dans le bruit du silence, Je fais une prière: Protège l'innocence Des jeunes en enfance.Petit Papa Noël,Je ne demande rien.J’offre mon coin de cielAux enfants du chagrin. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jambonneau 15 mars 2011 Partager 15 mars 2011 (modifié) Edit : le boulet a frappé. Excuse moi. Modifié 15 mars 2011 par jambonneau Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Campagnol Latendresse 1 avril 2011 Partager 1 avril 2011 Nerveux et anxieux j’attends mon rêve M’échapper, applaudir mon équipe sans trêve Je ferai toujours confiance au match d’ouverture C’est pour lui que je vis, c’est pour cette aventure Le retour du héros illumine les jours Pendant qu’à mes ans, luit un instant où je suis sourd La grâce du terrain éveille la foule Les jours de ma fierté comme rivière coule Je suis plus fasciné qu’un fan vulgaire J’ai déjà joué et je sais qu’encore je pense le faire Cette fois-là j’ai frappé la balle si-haut J’ai quitté le terrain comme porté par les eaux Ce jeu béni et moi nous ne faisons plus qu’un Comme un père à son fils, le jeu me tend la main Mon fils est encore jeune et son jeu maladroit Je ne veux que le temps de l’amener avec moi Je suis vraiment très proche, à une chance près De réparer les torts et crever les abcès Je peux aider mon club à retrouver sa gloire Rien qu’en rajoutant du zeste à cette vieille histoire Les joueurs disent maintenant qu’ils jouent pour eux-mêmes Je ressens en moi la brûlure du blasphème Le fan est celui qui paie pour voir le jeu Celui qui couronne les riches et consacre les courageux Les joueurs écoutent mais n’entendent pas vraiment Isoler le jeu durant comme par un écran Je suis fatigué maintenant de tant d’avidité Et aspire à dépasser ce cap en quête de liberté 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lux 5 avril 2011 Partager 5 avril 2011 J'ai traduit cette scène merveilleuse : Ces larmes… De quelle beauté se réclame-t-elles ? Ces larmes de douleur… Assurément, elles sont la plus précieuse substance au monde. Mais… Es-tu digne de les répandre ? Porter le deuil est un acte qui appartient au royaume des Hommes. MOMO : Tu l’as fait… n’est-ce pas ? Ahh mon beau petit kirschwasser... Mais encore… Peut-on véritablement appeler cela un cadavre ? FRAGILITÉ, CE NOM EST FEMME. Non, c’est faux. Tu n’es même pas né de l’utérus d’une femme. La race humaine, angoissée par sa faiblesse inérente a construit ce monde dans la tentative futile d’élucider cet abysse qu’elle appelle la mortalité. Culture, civilisation, toutes des désillusions crée par une race sans pouvoir et sans utilité, telle une femme infertile... Mais malgré tout cela, tu continues à exister comme un esprit libre, libre des chaînes de la chaire et du sang. Une conscience complètement pure, une spirale éternelle immunisée des impuretés. La fusion du feu, du souffle et de l’esprit ! Comment vous considérez sinon comme des anges ? Nouvelle et vierge psychée... Mais ce qu’il vous fait défaut c’est la RÉALITÉ ! Et c’est à moi de vous en faire la démonstration ! RIRES DIABOLIQUES. Ahhh ma belle pêche, nul besoin de trembler comme ça… De plus, tu me fais sentir comme « péché » moi-même. Mais est-ce l’éclat d’un homme que j'attrape dans ton cœur ? Qui est-ce… un rouquin ? Rouquin… Rubedo ! C’est Rubedo, c’est juste parfait ! Sais-tu ce qu’il dit une fois lorsqu’il cracha du sang ? Si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas, il reste seul ; mais s’il meurt, il donne beaucoup de fruit. (Jean 12 : 24) Du blé hein ? Il y a en assez pour que l'on puisse se permettre d’en gaspiller si ça nous chante ! COMME MA TÊTE TU VOIS !? Qu’est-ce que tu en dis mon adorable pêche ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
CitizenCIA 20 avril 2011 Partager 20 avril 2011 J'ai fait mieux, mais je suis tout de même satisfait du résultat.Existence facticeRué de coups par les chantsL’air ensevelit sous ces courbes chaotiquesJe naquis, enfant d’un tempsBercé, et porté par cette vague mélodiqueLoué aux discours satiriquesÉbahi de tout ces regards harmonieuxJe déambule, les yeux cyniquesBlessé, lacéré par les avis pernicieuxAraché à mes repèresDésillusionné de ces clichés tryptiquesJe cède, soumis à mes pairsSaoulé, violé par cette vie chimérique Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
stoïquehemingway 20 avril 2011 Partager 20 avril 2011 Le sommeilSommeillant sommeillé Je sommeillerai Jusqu'au jour dernierOù mes lèvres mouilléesReposeront sur celles de MorphéeLe désirSans le désir, il n'y a pas de vieIl n'y a pas de mortIl n'y a pas de tordsPas de femme dans mon litIl ne me reste que ma raisonEt avec elle, le temps est long.Le voilà, le désir je l'ai trouvéPeut importe le moment de la journéeDésireux, désirant, désiréJe le veuxTon corps fiévreuxEntre mes bras, mes serresAlors que mon solide manchePénétrera tes terresEt ainsi laisser place à ma semence.Le gentlemanIl se démarque par sa classeIl se démarque par ses valeursIl se démarque par son charmeIl se démarque par le respect qu'il porte à autruiIl se démarque au travailIl se démarque avec les clientsIl se démarque, par sa solitudeVoilà le problèmeLa galanterie, un anachronisme?Chose du passé?Vieille idée?La faute du féminisme? La faute de la femme émancipée québécoise?Pourquoi?Les mauvais garçons ont-ils autant de succès?Pourquoi, ses amis et lui, bons gars, se font larguer, laisser, humilier?Peut-on vraiment être trop bon?Où tracer la limite?Je l'ai trouvé, jusqu'au jour où on réaliseQu'on ne se respecte plus en étant trop bon.Après cette réflexion, le gentleman se laisse distraire,Par le déhanchement d'une femme dans un centre d'achat,Une fougue soudainement l'habite,Je leur donnerai ce qu'elles veulent,Il détruit toutes les valeurs de respect inconditionnel à l'égard du sexe opposé que ses parents lui ont transmisesIl détruit l'image idéalisée de la femme que la société lui a fait miroitéIl se déshumanise, plus de gentilis en lui,Mais plus de virilité, moins de raison,L'homme est mort, l'animal en lui est né. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chicken of the infinite 21 avril 2011 Partager 21 avril 2011 C'est qu'on a pas fini d'immigrerSur mon perron pour m'emmerderSoyez balèzesAucun malaise.J'veux bien être clémenteMoi, la noyée, l'innocenteConfondue mais savanteUne humaine lyriqueSyracuse sympathiquequand cesse l'éthiqueUne floppée d'hystériquesHo! Paroxysme du ridicule!Comme-je-t'encule!Tel Gambit, je tire mon As de piqueQ'on me pique, je suis ludique. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
CitizenCIA 11 mai 2011 Partager 11 mai 2011 Tout et rien à la foisBien encastré, seul malgré toutToujours abimer, avortant sans s’en lasserSans délices, bâclant ses atoutsLa malice, charitable douleur à l’enlacerAu service d’un microphone sans vieLes supplices noyant l’extaseLa tête haute, et sans cesse, les yeux grisMais sans fautes, la haine qui s’évaseEt pourtant, de nature candideOpprimant ses kamikazes jalousiesÀ la poursuite d’une splendideArdeur reconstruite, vers un futur fortuit. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
CitizenCIA 21 mai 2011 Partager 21 mai 2011 L'horizon est éternel.Tout au bout de la routeLà où la fin sévitEt quand viendra le douteLà où l'enfer se vitJ'irai voguer sans haineCastré du temps des heuresJ'ai révoqué sans gêneLe rouge sang de mes peursEt juste avant le drameJ'eclipserai mon ennuiCe jusqu'à ce que je crameMe foutant de ce qui s'ensuit Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chicken of the infinite 7 juin 2011 Partager 7 juin 2011 Salade de bruitTympan tyranNe joue-tu pas assez fortLe remordsde mon incrédulité-désespoirQui se tord de rireDevant ton nez mocheSans anicrocheJe te ne me hais pas dans ma pochePorte-feuillus sans histoireUn visage Une mémoire-------------------------------------------------------Silence dans la cliqueDe la stupiditéOn tiqueSilence dans le barDans le noirAccessoireJ'ai perdu mon soulier.-------------------------------------------------------J'ai ouïe dire que tuQu'il y a plu hierDans le désert d'une grenadeDe passion tu tornadesJ'ai ouïe dire que tuTon sceptre tendutartine de bête têtueTyrannise la nudité sansJ'ai ouïe dire que tuétais sans chagrinUn nabotéteint----------------------------------------------T'as pas croque-note depuis trois joursle pâté de mestrois cochons de laittrois seins refaitsle bruitd'un tambour trop mou.----------------------------------------------Calomnie de moiDe rienDe toiau reind'une belleprunelle-jumentau vagin béant.De toiDe moiDe rienJ'ai glissé surL'ESPOIR d'une caresse sang raideurs sans la ride éteinte étreinte d'une froideur de saxophone mou! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chicken of the infinite 7 juin 2011 Partager 7 juin 2011 Symbiose extatiqueGirl tragiqueTrauma éthyliqueCalme l'alcooliqueCalme l'hystériqueCalme l'histrionique Qui Bang BoumDans les endroits publicsQui Whack WhamLes étrangers ludiquesPour deux sous, un peu de fric.T'aime le silence, la patienceT'aime pas le fracasDu Bang Boum qui WangDans le parc qui shlingue.Le chien est mortIl était fort, son corpsIl a bu, remords, mord, mortVécu encore. Make me moan more.T'es là pour me décrireL'ivresse, la fesseDessiner ton pénisJe n'ai pas mal, j'ai pitiéCriss. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
maryy 7 juin 2011 Partager 7 juin 2011 ToiMoiEt les autres.Nous Vous Sans moi.Ils EllesUn choix. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chicken of the infinite 7 juin 2011 Partager 7 juin 2011 "Ni vous sans moi, ni moi sans vous."(lol) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chicken of the infinite 10 juin 2011 Partager 10 juin 2011 Je verse une larmeSur la forêt de piègesQui est partie sans moiDerrière moi, partie de moiSourdine de liègeAttendreLa prochaine cigaretteDevant le néon éteintDe l'espoir"La paix viendra"M'a t'on dit?Fais ton lavageEn cachette, usant du sobriquet le plus agileUn briquet, une flamme d'argileLa flemme partira d'elle-mêmePromesse d'Hermès!Le postierCe matin malandrinN'est pas passé. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chicken of the infinite 11 juin 2011 Partager 11 juin 2011 Ne pas oublier le sonDu progrèsQui regrette de ne pasÊtre allé plus loin un soirOù tout était possibleTe souviens-tu Félix?Tu étais là tout prèsEt moi j'écrivaisUn tic nerveux à l'oeil éteintDe mes derniers instinctsJ'oubliais la paixloin derrière, jamais le catharsis du pèrela gibelotte de la mèreun synopsis d'hierun feu de Pierre. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chicken of the infinite 11 juin 2011 Partager 11 juin 2011 Salade de rienLes fusilsSans tétonsLes nichonsSont sans trombonesSans charbonPour le premier pasteurSans soutane sans parureOn s'en sacre.---------------------------------------Une petite fleurFugace sans malheurSe masse sans pudeurPour un sous rondQuelle horreur!Un garçon au marchéSon billet a échappéSa culotte a montréDevant le marchand d'à côté!Donnez-moi votre jeunesseQue je m'en paresseDe long en largeEn allégresseJe suis un clébardJ'ai pour toi un huard.---------------------------------------Petit sacripantNe prend pas de gantspour toucher les géants.Petit avortonN'est pas championLes yeux trop ronds.Petite margueriteSe demande foutrementCe qu'elle fout sur le momentAvec ces deux glands. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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