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Déchet(s) recommandé(s)

Hum en fait... il va me foutre dehors sous peu. Mon état dépressif l'énerve et je peux le comprendre. bon... voilà. Je vais essayer de positiver.

C'est ça. Positive au max. C'est urgent. Ne perds pas ton coloc surtout. C'est hyper-important.

Bonne chance, et surtout, dis-toi qu'il y en a des pas mal plus mal pris qui ont compris qu'ils n'ont pas d'autre choix que d'être positifs. C'est la base quand on est dans le trouble...

Doupirate

Modifié par Ulysse
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LEVER L’ANCRE

Accroché à son ancre, le bateau s’éveillant ,

À l’aurore d’un beau jour, de chaleur de juillet,

À la brise qui se lève, rien qu’un souffle discret,

Va renaître à la vie, s’ébranler lentement.

Pas grand-chose, un soupir, c’est normal à cette heure,

Cette brise est si douce, et même un peu coquine,

La proue de la nacelle, d’une caresse elle taquine,

Enlaçant le bateau, elle le berce en douceur.

Tel un pendule géant, qui glisserait sur l’eau,

Il trace un demi-cercle, d’un mouvement large et lent,

Mais retenu par l’ancre, il revient doucement,

Puis aidé par la brise, il en trace un nouveau.

Un rayon de soleil, à travers les hublots,

Balaye la cabine, le bateau pivotant,

Je sens que tout vacille, bien qu’insensiblement,

Mes paupières s’élèvent, se referment aussitôt.

Immobile, étendu, je demeure sur mon lit,

Mon corps est endormi, mon esprit est présent,

Je jouis de ce moment, ou à demi-conscient,

On vit entre deux mondes, alors que fuit la nuit.

Et lorsque vient l’éveil, ce n’est que peu à peu,

J’ouvre alors l’écoutille, remplis mes poumons d’air,

Je regarde dehors, retrouve mes repères,

La nuit s’est bien passée, le bateau est heureux.

Je quitte alors l’avant, me déplace au carré,

La solitude est grande, quand on est seul sur l’eau,

Je me raccorde au monde, ouvre la radio,

La journée sera belle, m’est-il prophétisé.

Sortant de la cabine, je regarde le ciel,

Je vois alors s’éteindre la toute dernière étoile,

Le bateau veut voguer, il demande ses voiles,

Elles lui donnent la vie, elles sont un peu ses ailes.

Et comme pour nous presser, l’eau fait un clapotis,

Je m’attache au bateau, sur le pont je m’affaire,

Je sais qu’en levant l’ancre, je m’arrache à la terre,

Le bateau est joyeux, car nous sommes repartis.

par Doupirate 2010/09/16

Bon, on revient à nos moutons. Pis, c'est pas pire ou bedon, c'est mauvais?

Modifié par Ulysse
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Idée saugrenue qui m'amusait:

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Si Isaac Newton s’était fait fermier, la gravité n’aurait jamais été inventée et l'on pourrait encore marcher au plafond et sauter du haut d’une falaise sans se fracasser la tête. Si Napoléon avait mesuré six pieds, il n’aurait pas ressenti le besoin d’autant se bagarrer. Si ces deux hommes s’étaient rencontrés par contre, ils auraient sans doute joint leurs forces pour faire carrière en tant que duo comique. Soit ces hypothèses ne font ni queue ni tête, soit je suis un génie.

Le livre d’histoire de Tim était rempli de ces âneries. Il n’était pas un cancre, loin de là. Il était même trop brillant pour les autres étudiants. Ses notions d’histoire dépassaient de beaucoup ce qui était décrit dans son livre, et elles étaient pour la plupart moins biaisées. Mais le passé était rempli d’horreurs qu’il préférait oublier. C’est pourquoi il s’était mis en tête de réécrire l’histoire. Hitler était donc devenu un marchand de fleurs, l’inquisition espagnole était désormais le nom d’une pièce de théâtre portant sur un éléphant parlant et Israël avait été déclaré la nation officielle de la paix. Il préférait son univers d’illusions plutôt que l’affliction de la réalité.

Il prenait même fréquemment part à ses réinventions historiques. Il avait ainsi pu prendre le thé avec Mussolini, manger des pommes dans le jardin d’Éden et gambader sur les plages de Normandie. Un jour, il ramena de ses escapades une certaine Margaret Thatcher, une vendeuse d’allumettes. Il la présenta à son père et ce fut le coup de foudre instantané. Ils se marièrent et, deux ans plus tard, ils eurent des jumeaux qu’ils nommèrent Boule et Bill.

Le monde de Tim fonctionnait en parallèle avec le vrai monde. Les deux univers se croisaient parfois lorsque Tim se sentait chamboulé, et leurs réalités s’entremêlaient. Il arrivait même que les figures historiques rencontrent leurs homologues pacifistes imaginaires. Mais tout rentrait dans l’ordre après que Tim se soit remis les idées en parallèle. Il ne voulait pas souiller la perfection de sa création avec l’impureté de la réalité.

Dans son monde, pas de guerre, pas de famine, pas de pauvreté. Que de la gaité. Dans son monde, il était le centre d’attention, le héros, tout le monde l’admirait et tout le monde l’aimait. Il n’avait plus à penser au divorce de ses parents, aux mœurs légères de sa sœur aînée, aux petits voyous qui venaient toujours lui voler son argent de poche à l’école et à la petite rouquine sur sa rue qui ignorait jusqu’à son existence.

Tim passait désormais plus de temps dans son monde que dans le nôtre. Et quand il daignait nous faire l’honneur de sa présence, il était triste, déprimé… il n’avait qu’une idée en tête, retourner là d’où il venait. Plus le temps passait, moins il nous visitait. Si bien qu’un jour, il coupa pour de bon le pont entre sa réalité et la nôtre. Il décida de ne plus jamais revenir. On l’a cherché pendant quatre semaines. Les recherches allaient être abandonnées, lorsque sa dépouille fut retrouvée au pied d’un pommier, avec un mot dans la main qui disait : « Tout ce qui monte doit redescendre. »

J'aime! Par contre, je trouve que ça fait un peu trop «énumération» tout au long du texte. Tu aurais aussi pu développer davantage le personnage, selon moi.

Mais sinon, j'aime bien. Bravo!

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J'aime! Par contre, je trouve que ça fait un peu trop «énumération» tout au long du texte. Tu aurais aussi pu développer davantage le personnage, selon moi.

Mais sinon, j'aime bien. Bravo!

Alors tu nous réserves le style est intéressant et l'histoire est bien ficelée pour ta prochaine mémorable critique, petite?

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Alors tu nous réserves le style est intéressant et l'histoire est bien ficelée pour ta prochaine mémorable critique, petite?

Je peux savoir qu'est-ce que t'as contre moi? Tout d'abord tu m'enlève de la rep pour un message totalement pas rapport dans un sujet où tu n'a rien posté et qui n'avait aucun lien avec toi (Qui avez-vous croisé), puis tu sembles t'acharner sur moi.

Je peux savoir ce que je t'ai fait?

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Je peux savoir qu'est-ce que t'as contre moi? Tout d'abord tu m'enlève de la rep pour un message totalement pas rapport dans un sujet où tu n'a rien posté et qui n'avait aucun lien avec toi (Qui avez-vous croisé), puis tu sembles t'acharner sur moi.

Je peux savoir ce que je t'ai fait?

Il t'accuse de manquer d'originalité et toi tu l'accuses de jouer les grands méchants loups.

Fais dont une plotte de toé.

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J'aime! Par contre, je trouve que ça fait un peu trop «énumération» tout au long du texte. Tu aurais aussi pu développer davantage le personnage, selon moi.

Mais sinon, j'aime bien. Bravo!

Oui, c'est les commentaires que j'ai eus en gros. Je vais tenter de développer ça davantage.

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  • 2 semaines plus tard...

La nuit, mon amie la mélancolie aime bien me faire composer quelques vers.

J'ai déjà fait mieux (selon moi), je sais pas si c'est bien clair comme message. En fait, que ça le soit ou pas... J'aime bien le résultat.

L'amertume du vivant

Dérangé, abattu par ces inepties

L’âme infime sous-louée à l’anarchie

Obsédé, incongrue pâté d’infamie

Larmes d’infirme soutirées sans sympathie

Et au-delà des prédictions d’antan

Sans famille, fissuré pour l’instant

Héro de sa désillusion d’un temps

S’en rhabille, trituré et pourtant…

Sans accroche, mais surtout indécis

Cette symphonie mal aimée de son qi (chi)

S’en rapproche, plaie d’un tout adouci

Cette nostalgie pale drainée qui sévit…

Modifié par CitizenCIA
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  • 2 semaines plus tard...

Une soliste de travers

Qui ne comprenait pas

On clanche sur les nerfs

Ce qu'on ne saisit pas.

Une armure sans frontières

Qui ne répond pas

N'a pas de manière

Avec c'qu'elle n'aime pas.

Une horloge mal remontée

Ne donne pas la bonne heure

Des questions sans réponse

Des hurlements sans son

Un silence qui murmure:

Où es ta raison?

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Le chagrin d'une fleur

A fait pleurer la nuit

Comme l'étoile au ciel,

En sa robe de glace,

Illumine ta solitude,

Les rayons de la lune

Sont ta seule musique...

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Les oiseaux n'étaient pas morts

Mais si transparents

Que nos yeux fatigués

D'avoir tant regardé

A travers l'opaque vitre

Ne les virent que demain...

Modifié par Requiem
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Un petit exercice de description dans un de mes cours en hiver dernier. J'hésite à le séparer en plusieurs posts, mais allons-y d'un coup, pourquoi pas. Ne vous laisser pas berner par les deux ou trois premières phrases, ce n'est pas une critique d'album. C'est de la description enchanteresse.

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Le 2 février dernier, le projet rock de l’artiste Lil Wayne, fût mis en vente : Rebirth. L’album fût mal accueilli par les critiques. Ces derniers scandent que les racines de Lil Wayne résident dans le rap et non le rock. Pourtant, Rebirth est riche, en plus de contenir des textes saisissants et des musiques enchanteresses. Analysons cet opus sans nous préoccuper du sens des paroles. Effectivement, concentrons-nous plutôt sur ce que la musique nous inspire. Nous allons observer quelques chansons en tentant de décrire quel univers il est possible de dégager de chacune d’elle. Les descriptions qui suivent ne sont aucunement liées à Lil Wayne, elles sont purement fictives.

Le rockeur de 27 ans ouvre le bal avec la chanson American Star. Une atmosphère très précise se dégage de cette pièce. Nous pourrions nous retrouver en Californie, à Beverly Hills, lors d’une journée particulièrement chaude. Le protagoniste marche dans les rues, où il sent les semelles de ses chaussures frotter sur l’asphalte ardent. Tout semble bien aller pour lui. Il ère au centre ville, où chaque côté de lui, des bâtiments aux 1001 vitrines miroitantes et palmiers aux 101 feuilles foisonnantes grimpent vers un ciel bleu azuré. Un fin jet de fumée est parfois visible lorsqu’un avion transperce le firmament. Le personnage s’écarte pour rendre visite à un sémillant marchant de limonade qui lui offre une boisson fraiche faite à partir de citrons tout juste pressés en échange d’un dollar. Il dépose le verre en plastique à ses lèvres et savoure le délicieux goût du jus doucereux qui se mélange aux tranches de citrons et aux cubes de glaces fondants. Puis, il continu sa balade vers l’horizon, où quelque manoir semble se dresser, entouré de piscines, de voitures luxueuses, de splendides bosquets de roses, et possiblement d’une ou deux charmantes demoiselles.

Nous éprouvons un tout autre sentiment en écoutant le deuxième morceau, qui s’intitule Prom Queen. Une ambiance plus obscure est présentée dans cette pièce. Nous pouvons nous imaginer dans un environnement urbain nocturne. Une fine pluie mêlée à un épais brouillard tend à créer un décor morose et mélancolique. La lumière jaunâtre des réverbères se reflète sur la chaussée humide. Tandis que nous avançons, une odeur de ciment humide pénètre l’air. Malgré l’heure tardive, la rue est bondée de gens de toutes classes. Les femmes se pavanent tandis que les hommes se trimbalent. De chaque côté de la voie, la lueur de la pleine lune s’embrouille avec celle des innombrables néons multicolores des boîtes de nuits étincelantes, cabarets somptueux et bistrots distingués.

La quatrième piste de l’album, Da Da Da, est très rythmée. Je ne peux m’imaginer autre chose qu’une folle soirée dans un parc d’attraction. Nous circulons dans les allées entourées de forains extravagants qui s’exhibent sans retenu. Leur voix est portée à des milles à la ronde grâce à leur mégaphone. Ils nous invitent à venir tenter notre chance dans différents jeux d’adresse. Nous pouvons apercevoir des jeunes hommes tenter de remporter diverses peluches pour leur copine en lançant des anneaux de caoutchouc sur des goulots de bouteilles, ou des pères moustachus essayant de gagner des chapeaux vaguement loufoques pour leurs enfants en frappant la base d’un mât lumineux avec un lourd maillet, sous les acclamations d’une demi-douzaine de spectateurs plus ou moins en délire. Alors que nos papilles olfactives se délectent de parfums de barbe à papa, de pommes en tire et de maïs soufflé au cheddar blanc, nous poursuivons notre chemin. Lorsque la cadence de la chanson s’intensifie, l’action semble se déplacer vers une activité très mouvementée ; dans une montagne russe, par exemple. Vu de loin, ce massif manège ressemble à un gigantesque dinosaure endormi, étendu sur le sol. Lorsque que les wagons grimpent tranquillement vers le sommet, la tension est à son comble. Le bruit classique de la base du fourgon s’engrenant dans les chaînes rouillées double le stress des passagers. L’angoisse est palpable alors que le wagon commence à se redresser, au sommet de la gigantesque structure de bois. Ce moment précis, qui dure environ deux secondes, nous apparaît étrangement comme une éternité. Nous regardons les étoiles qui brillent, telles des milliers d’êtres protecteurs qui veillent sur nous, accrochés sur cette immense toile bleue marine. Puis, ces douces pensées sont brusquement interrompues alors que le fourgon entame sa violente descente. C’est à ce moment que le dinosaure semble prendre vie, poussant autant de cris que le nombre de passagers qui se trouvent sur son dos.

Le cinquième morceau, Paradice, est effroyablement affligeant. Les notes de guitare durant les premières secondes nous plongent dans la chambre d’un motel peu luxueux. Une femme est étendue sur un lit dont l’édredon jaunit par le temps affiche plusieurs brûlures de cigarettes. Des cernes de saleté sont visibles sur les murs à la peinture défraichie. Une brise froide qui fait remuer imperceptiblement de fins rideaux pénètre la chambre par l’entremise d’une discrète fenêtre rectangulaire. La solitude est manifeste, le désespoir est tangible. Puis, lorsque la cadence de la chanson accélère légèrement, cela nous laisse croire que la jeune demoiselle, dont les traits tirés trahissent un sinistre passé, est profondément plongée dans ses tristes songes. Son cœur et son âme sont vidés, mais elle est cruellement consciente qu’il n’y a plus aucune source d’espoir, tel un vagabond mourant de soif qui déambule seul dans un quelconque désert dépourvu d’oasis.

Une autre chanson majeure de l’album se nomme Drop The World. Le côté plus électronique de cette piste nous fait plonger dans un portait dissemblable à ce qui a été analysé jusqu’à maintenant. Dès l’instant où l’instrumentation propage sa symphonie, un monde majestueux nous vient en tête. Comme si un groupe d’enfants entraient dans un coffre-fort de taille monumentale et que l’éclat de la montagne de bijoux qui s’y trouvent leur procurerait un sentiment d’ivresse. Les hauts plafonds donnent l’impression qu’ils se trouvent dans une basilique géante. Au moment où ces gamins marchent entre ces monceaux de joyaux, le bruit de leurs pas sur le sol de marbre foncé fait retentir un écho particulièrement puissant dans l’immense pièce aux murs de bronze. Une fillette ne peut s’empêcher de prendre délicatement un sceptre en or bordé par des centaines de minuscules émeraudes scintillants d’un côté, et par trois lourdauds rubis écarlates de l’autre. Un faible tintement se fait retentir lorsqu’elle le redépose parmi les autres merveilles. Il est impossible de ne pas remarquer les yeux écarquillés de la troupe lorsqu’ils se rendent compte, juste avant de quitter les lieux, que les colonnes colossales qui couvrent le carrelage sont constellées de capiteuses calcédoines.

Bref, comme nous pouvons le constater, en ayant un peu d’imagination et d’inspiration, il suffit de posséder un album de musique que nous chérissons pour recréer mentalement une série de petites scènes envoutantes, funestes, cocasses, sinistres ou pittoresques.

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Espoir_*

Je considère ton message comme un mouton noir considérant la philosophie du boudoir.

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J'ai juste voulu briser les séries de petits poèmes sur la nuit et les oiseaux.

Dans un cours de création l'année dernière on lisait des textes et TOUTES les connes parlaient de VIOL and shit, même une fille qui disait que le penis du voleur était comme les PATTES DE LAPIN, what the fuck sérieusement dog.

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Espoir_*

J'vous suis, on devrait voir le tueur poignarder sa victime quand on passe notre souris sur l'icône du boudoir.

Je veux de la rage fuck je veux du bizarro

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J'te frappe dans l'torse pis c'est dur comme de l'écorce, coudonc,

Prends-tu de la dope que'qu'chose, mangerais-tu d'l'éléphant rose?

J't'arrache un bras pis c'qui r'pousse c'est un cobra.

Si tu saigne, c'est-tu fluo; que j'te canarde pour ma déco?

Si j'te frappe dans' face avec que'qu'chose comme une masse,

Y'aurais-tu des chance que la masse explose, qu'est-ce t'en pense?

En millions d'briques rouge ou b'en donc en un serpent qui bouge,

En feu bleu ou encore en deux ou trois bateaux des dieux?

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tonnerre frappe la terre

eclair, epargne mes freres

galère, vogue vers la mer

cest un petit exercice pour latelier de création du club de poesie de varennes... le mentor a dit: "3 vers maximum, parler dune grande peur, de votre famille et dun grand voyage a venir"

vous devriez faire lexercice, vous aussi, cest tres enrichissant pour soi

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  • 2 semaines plus tard...

La Virtuose

Au milieu de l'impersonnalité générale,

Entre deux amoncellement d'urbanité,

À EXplorer,

Se manifeste une fille scandale,

Cherchant les instants vibrants,

À en extirper.

Ahh Divine juvénilité !

Que restera-t-il de nos songes ?

Qu'un coeur comme une éponge,

Qui toujours refuse,

L'inanité,

D'un monde décoloré.

Sortez de vos sacs artifices !

Qu'émergent bonhommes diffus et silhouettes tordues,

Et vous sauvez-la du vice,

Et de l'Ordre des pendus !

Elle investie par la Beauté,

Ce fardeau, cette félicité.

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