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Vous et les jobs!


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Il y a 19 heures, Chicken of the infinite a dit :

J'suis contente de te faire rire mon esti de gros crétin! Ouais, je bois sur la job..... mais au pire c'est pas grave et c'est le fun. C'est pas si mal de boire sur la job!

 

Il y a 13 heures, Vicks a dit :

T'expliqueras ça au policier qui te fera souffler dans baloune dans une de tes prochaines scènes de vie cocasses qui sent la pizza, le gas pis la robine. 

Effectivement ça va être le fun! ?

En fais j'suis une menteuse ici. J'pense j'ai fait ça juste une fois, mais ça me fait rire.

Je bois pas sur la job.. mais je connais quelqu'un qui le fait fréquemment.

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Je vais vous donner mon point de vue. Dans la vie il faut savoir répondre à une demande. Trouver ce que les gens cherchent sur le marché de l'offre et de la demande. Si on prend l'exemple du Subway, le franchisé veut te payer pour faire des sous-marins à sa place parce qu'il est trop lâche pour faire ses propres sous-marins. Pendant qu'il t'offre un salaire horaire, tu fais ses sous-marins pour lui. Lui il se rend riche à ne faire que posséder la franchise du Subway en question. Il paie un gérant pour administrer les employés et gérer l'inventaire, il paie des employés pour faire ses cristie de sandwichs qu'il est trop vache pour faire lui-même. Combien de propriétaires travaillent dans leur restaurant en 2019 ? J'ai souvenir d'un casse-croûte où le patron était dans la cuisine et sa conjointe serveuse derrière le comptoir. Que nenni avec les McDonald's et les Burger King et autres KFC. Donc, comme je le mentionnait dans mon exemple ce qu'il faut savoir c'est qu'il existe deux possibilités dans le monde de l'emploi : soit on vend un produit, soit on vend un service. Il faut seulement connaître quel produit on peut créer de toutes pièces ou acheter pour être en mesure de le vendre plus cher ensuite. C'est aussi simple que ça. Ca s'applique à tout et n'importe quoi. Que ce soit la drogue, les armes à feu, des jeux vidéos, des CD, de l'essence, des pommes, des oranges, c'est universel. L'offre et la demande. Je passe à la friperie, je trouve des séries télé à 2.50 $ avec ma carte étudiante que je revend 5 $ l'unité au SOS comptant. Je viens de me faire 2.50 $ l'unité sans avoir travaillé. C'est l'ABC du commerce. L'exemple est anodin, c'est arrivé par hasard, mais ça fonctionne. J'ai vendu une carte de Magic 35 $ sur eBay déballée dans un paquet à 3.50 $. Des opportunités de faire de l'argent y en a des tas. L'important selon moi c'est d'être son propre boss et de ne dépendre d'aucun gouvernement ni d'aucune entreprise. Ne pas avoir de comptes à rendre à personne, tu fais une grosse journée, tu fais beaucoup d'argent. Ca m'arrive de faire 125 $ en dix minutes en allant vendre des cossins dont je n'ai pas besoin. C'est ma propension à tout collectionner. J'ai toujours du stock à écouler à un moment ou un autre. Ce que je veux dire par là c'est que les jobs minables de Couche-Tard et de Stratos Pizzeria vont jamais vous sortir du cercle vicieux d'être l'employé de quelqu'un d'autre. Il faut avoir une mentalité d'entrepreneur. Soit comme vendeur, soit en partant sa propre entreprise. Moi je travaille à contrats comme pigiste par des entreprises qui reconnaissent mon expertise dans un domaine x,y, z. Mais ça ne m'empêche pas de revendre à profit à peu près tout ce qui me tombe sous la main. Ce qui fait de moi un travailleur autonome et pas une victime du système qui se fait exploiter. 

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Quelle lucidité, quelle clairvoyance, quelle maîtrise de l'environnement qui t'entoure. Réussir à tout expliquer avec des sous-marins et des cartes Magic c'est de l'exploit comme on en voit rarement! 

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il y a 20 minutes, Vicks a dit :

Quelle lucidité, quelle clairvoyance, quelle maîtrise de l'environnement qui t'entoure. Réussir à tout expliquer avec des sous-marins et des cartes Magic c'est de l'exploit comme on en voit rarement! 

C'est ce qu'on appelle avoir le don de vulgarisateur. 

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Il y a 3 heures, Chicken of the infinite a dit :

Vicks est encore visiblement meilleur que nous tous.

Merci Vicks de nous surplomber.

Je peux aller me promener dans ton quartier pour que tu puisses me crier après du haut de ton balcon... une expérience unique d'inverser les rôles.

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Il y a 14 heures, RBC a dit :

Je vais vous donner mon point de vue. Dans la vie il faut savoir répondre à une demande. Trouver ce que les gens cherchent sur le marché de l'offre et de la demande. Si on prend l'exemple du Subway, le franchisé veut te payer pour faire des sous-marins à sa place parce qu'il est trop lâche pour faire ses propres sous-marins. Pendant qu'il t'offre un salaire horaire, tu fais ses sous-marins pour lui. Lui il se rend riche à ne faire que posséder la franchise du Subway en question. Il paie un gérant pour administrer les employés et gérer l'inventaire, il paie des employés pour faire ses cristie de sandwichs qu'il est trop vache pour faire lui-même. Combien de propriétaires travaillent dans leur restaurant en 2019 ? J'ai souvenir d'un casse-croûte où le patron était dans la cuisine et sa conjointe serveuse derrière le comptoir. Que nenni avec les McDonald's et les Burger King et autres KFC. Donc, comme je le mentionnait dans mon exemple ce qu'il faut savoir c'est qu'il existe deux possibilités dans le monde de l'emploi : soit on vend un produit, soit on vend un service. Il faut seulement connaître quel produit on peut créer de toutes pièces ou acheter pour être en mesure de le vendre plus cher ensuite. C'est aussi simple que ça. Ca s'applique à tout et n'importe quoi. Que ce soit la drogue, les armes à feu, des jeux vidéos, des CD, de l'essence, des pommes, des oranges, c'est universel. L'offre et la demande. Je passe à la friperie, je trouve des séries télé à 2.50 $ avec ma carte étudiante que je revend 5 $ l'unité au SOS comptant. Je viens de me faire 2.50 $ l'unité sans avoir travaillé. C'est l'ABC du commerce. L'exemple est anodin, c'est arrivé par hasard, mais ça fonctionne. J'ai vendu une carte de Magic 35 $ sur eBay déballée dans un paquet à 3.50 $. Des opportunités de faire de l'argent y en a des tas. L'important selon moi c'est d'être son propre boss et de ne dépendre d'aucun gouvernement ni d'aucune entreprise. Ne pas avoir de comptes à rendre à personne, tu fais une grosse journée, tu fais beaucoup d'argent. Ca m'arrive de faire 125 $ en dix minutes en allant vendre des cossins dont je n'ai pas besoin. C'est ma propension à tout collectionner. J'ai toujours du stock à écouler à un moment ou un autre. Ce que je veux dire par là c'est que les jobs minables de Couche-Tard et de Stratos Pizzeria vont jamais vous sortir du cercle vicieux d'être l'employé de quelqu'un d'autre. Il faut avoir une mentalité d'entrepreneur. Soit comme vendeur, soit en partant sa propre entreprise. Moi je travaille à contrats comme pigiste par des entreprises qui reconnaissent mon expertise dans un domaine x,y, z. Mais ça ne m'empêche pas de revendre à profit à peu près tout ce qui me tombe sous la main. Ce qui fait de moi un travailleur autonome et pas une victime du système qui se fait exploiter. 

je pensais que tu avais atteint ton quota d'inepties vers la fin de ton message. j'ai alors lu cette dernière phrase.

et j'ai éclaté un rire bien gras.

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tu n'as pas tort. c'est mignon.

il me rappelle mes 14 ans, lorsque j'arpentais les boutiques de mon quartier pour vendre au plus offrant ma collection de Dragon Ball et mes romans La Courte Échelle (40 pages, police 18).

je l'imagine faire de même, mais à la place d'une frêle adolescente de 14 ans, le vendeur a affaire à un monsieur bedonnant de 35 piges.

à bien y penser, BMO est mildly cute dans sa façon d'être.  

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Au départ, il chassait les papillons; ces ailés à la poudre de tendresse, virevoltant, dansant sous des airs de chaleurs. Puis, l'éclat d'un soleil minéré l'attrapa au vol, la promesse d'une vie meilleure lui perçant l'oeil de sa stridence d'argent. "Qu'est-ce que cela? Qu'est-ce que ceci?" dit alors la Pie, cherchant de nouvelles fortunes afin d'égayer son nid, "...serait-ce enfin le moyen de ne plus être une victime du système qui se fait exploiter?" 

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