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La hausse des frais de scolarité universitaires


Pour des hausses rétroactives  

112 membres ont voté

  1. 1. Voulez-vous que la hausse des frais de session soient rétroactives

    • Oui, que ceux qui ont profité du gel passé payent aussi.
    • Non, je suis droitiste: faisons payer les autres
    • Haussons les impôts à la place
    • Arrêtons le gaspillage: ça va suffire


Déchet(s) recommandé(s)

C'est plutôt pour les étudiants de la classes moyenne dont les parents sont considérés comme pouvant payer pour leurs enfants mais qui ne le font pas.

D'après l'enquête de 2009 de la FEUQ/Léger Marketing sur les modes de financement des étudiants :

69 % des étudiants de 24 ans et moins se voient verser par leurs parents, en moyenne, la totalité du montant des frais de scolarité

C'est déjà pas mal, non?

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Trouvée sur Facebook. Je dirais que c'est beau, et que ça fait peur aussi. Un peu. Comme d'en appeler à un "printemps érable" ou d'un "printemps québécois". Pas que ça ne soit pas une bonne idée d'une refonte de l'état, juste que d'associer ça à ce qui est arrivé outre-mer.

"Les étudiants espèrent être les précurseurs de ce qu'ils appellent "un printemps québécois", dans la mouvance du printemps arabe qui a notamment fait tomber les régimes autoritaires en Égypte, en Libye et en Tunisie, et provoqué une guerre civile qui perdure en Syrie."

http://www.ledevoir.com/societe/education/347009/les-etudiants-veulent-intensifier-la-pression-par-une-autre-grande-manifestation

Une autre manif parce que le mouvement étudiant s'essoufle et qu'on va gonfler ça avec les syndicats? Ou une vraie mobilisation où TOUS pourront prendre parole. Pour ou contre la hausse, pour ou contre le schiste, etc.

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Retour dans le passé. Incroyable, les mêmes revendications et sensiblement le même discours, 25 ans avant.

Éditorial, vendredi 30 mars 1990, p. B2

Etudiants: une lutte à terminer

Dubuc, Alain

Il est difficile, pour ceux qui détiennent les rennes du pouvoir, de dénoncer la grève étudiante contre le dégel des frais de scolarité. Depuis un quart de siècle, chaque génération d'étudiants a fait la grève. Et ces luttes d'hier ont formé les politiciens d'aujourd'hui.

Mais il est frappant de voir à quel point la grève d'aujourd'hui ressemble à celles d'hier. Même thème central, les intérêts économiques des étudiants; même manipulation qui permet à une minorité militante d'imposer un débrayage à une majorité incapable de s'organiser; mêmes chateaux-forts, UQAM et Cégep du Vieux-Montréal, où la lutte étudiante tient presque du folklore.

La liste des ressemblances ne s'arrête pas là. Pour éviter que l'enjeu du conflit ne sombre dans le corporatisme, ses leaders tentent de globaliser le débat, le présenter comme un choix de société, en exigeant que le financement universitaire se fasse par le biais d'un impôt sur les entreprises, puisque ce sont celles-ci qui profitent de la formation des diplômés.

Cette revendication repose sur un constat factuellement faux. Un document, souvent cité, des étudiants de sciences humaines, arts et lettres de l'UQAM, affirme que le Québec est devenu un paradis fiscal, que la part des entreprises dans les revenus de l'État a chuté dramatiquement, passant de 4,4 p. cent il y a dix ans à 1,8 p. cent maintenant. Il suffit d'ouvrir le budget québécois de l'an dernier pour constater que les impôts directs auprès des entreprises comptent pour 13,4 p. cent des revenus de l'État et que cette proportion est en augmentation.

Voilà pour les faits. Quant au fond, on peut fort bien discuter de la pertinence de mettre les entreprises à contribution pour dénouer l'impasse budgétaire. Mais si on le fait, à quoi devraient servir les fonds? A payer les frais de scolarité des étudiants, à investir dans la protection de l'environnement, à financer les besoins criants en santé, à augmenter les ressources pour la formation et le recyclage des travailleurs? Le vrai choix de société, il est là.

Toujours dans les similitudes, une grève étudiante joue une fonction importante sur le plan démocratique en permettant à un groupe sans poids économique et démographique, d'exprimer des frustrations réelles, de faire connaître un point de vue qui autrement ne passerait pas. Mais l'expérience du passé montre aussi que ces grèves tournent en queue de poisson. Il arrive un moment où la majorité des étudiants, préoccupés par leur année scolaire, n'acceptent plus des grèves qu'ils n'ont jamais souhaitées. On en est là. Et il est temps pour les établissements scolaires de rappeler que le moment approche où les sessions seront compromises.

Il y a cependant deux différences notables entre hier et aujourd'hui. D'abord, la cause est légitime. On comprend que les étudiants acceptent très mal une augmentation de 130 p. cent de leurs frais de scolarité en deux ans. Le souhait de la plupart d'entre eux, qui acceptent le dégel, mais le voudraient plus progressif, est raisonnable. M. Ryan devrait les écouter. L'idée d'un impôt universitaire, qui permettrait aux étudiants de payer le coût de leur éducation une fois qu'ils sont sur le marché du travail, aurait mérité plus de considération de la part du ministre, qui devrait accepter de l'étudier.

La seconde différence, c'est que l'antitabagisme a fait son chemin et que les assemblées générales ne sont plus enfumées...

Nouvelles générales, mardi 6 février 1990, p. A1

Claude Ryan: "Une baisse temporaire d'étudiants dans les universités ne serait pas une tragédie"

Pratte, André

Une baisse temporaire des inscriptions dans les universités provoquée par la hausse des frais de scolarité n'aurait rien d'une tragédie, a déclaré hier à La Presse le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Science, M. Claude Ryan.

***

Se basant sur les études faites sur la question aux États-Unis, le ministre prévoit que cette baisse pourrait être de 0 à 5 p. cent la première année. Cette baisse ne serait que temporaire, estime M. Ryan.

Cinq p. cent, sur une clientèle universitaire de 240000 étudiants, cela fait 12000 étudiants. Cela ne fait pas frémir M. Ryan. «Cinq p. cent dans l'ensemble, ça peut être plusieurs milliers d'étudiants, mais si c'est pour un an, ou deux ou trois, et qu'un bon nombre de ceux-ci reviennent aux études après être allés un an ou deux travailler pour épargner un petit peu, je pense qu'il n'y a pas de tragédie là-dedans.»

Invité à commenter les résultats du sondage CROP publié en fin de semaine par La Presse, résultats selon lesquels une majorité de Québécois s'opposent à l'augmentation des frais de scolarité annoncée le 22 décembre, le ministre a souligné que le même sondage montre que beaucoup de Québécois sont mal informés.

«Une majorité d'étudiants ne sont même pas au courant que les frais de scolarité au Québec sont à peu près un tiers de ce qu'ils sont dans l'ensemble du Canada, et dans la population en général, le taux d'ignorance est encore plus élevé.»

«C'est évident qu'il y a un travail d'information qui doit être fait, je pensais qu'on l'avait fait au cours des derniers mois. Il va falloir revenir et expliquer tranquillement que la hausse projetée n'a rien d'arbritraire et d'extravagant quand on tient compte des réalités qui nous entourent», a poursuivi le ministre.

Le sondage laisse croire que les Québécois en général, et les étudiants en particulier, accepteraient une augmentation moins importante que celle qui a été décidée (de 540$ à 1240$ d'ici deux ans). Cela pourrait-il inciter le gouvernement à faire un compromis, à l'approche d'une grève étudiante?

«Pas à moins que le gouvernement trouve de l'argent qu'on n'aurait pas imaginé, mais je ne m'attends pas beaucoup à ce genre de miracle», a répondu M. Ryan. «Si c'était un sujet nouveau dont nous n'aurions pas soigneusement scruté tous les angles, je pourrais vous dire que oui, il y a des possibilités, mais franchement, nous avons fait le tour du jardin autant comme autant.»

«Les résultats du sondage pourraient éclairer le gouvernement pour l'avenir quant à d'autres hausses qui pourraient être envisagées par certains, pas par moi. Ils se rendront compte qu'il y a un plafond qu'on ne doit pas dépasser impunément.»

«Le chat est sorti du sac»

Pour sa part, la secrétaire générale de l'Association nationale des étudiantes et étudiants du Québec (ANEEQ), Josette Côté, a réagi vivement à l'évaluation faite par le ministre de l'Enseignement supérieur de la baisse du nombre d'étudiants que pourrait provoquer le dégel des frais de scolarité. «Le chat est sorti du sac. Que ce soit 5, 10 ou 15 p. cent, on trouve ça inacceptable que des étudiants ne puissent pas aller à l'université pour des raisons financières!»

Mme Côté a elle aussi été appelée à commenter le sondage CROP-La Presse, notamment les données montrant qu'une majorité des étudiants accepteraient une augmentation modérée des frais de scolarité. «C'est vrai que c'est ce qui ressort dans nos discussions avec les étudiants. Mais quand on leur explique qu'on se ferait avoir avec ça, les étudiants changent d'idée.»

«Accepter une hausse modérée, a soutenu Mme Côté, ce serait mettre le doigt dans l'engrenage, et le bras y passerait ensuite. Le gouvernement ne se contenterait pas de ça, parce qu'une hausse modérée ne rapporterait qu'une goutte d'eau dans le budget des universités.»

Le recteur de l'Université Concordia, Patrick Kenniff, qui préside la Conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec (CREPUQ), prie pour que le gouvernement ne fasse pas de compromis. «Les conseils d'administration des universités ont commencé à voter les augmentations. Ce serait une opération plutôt délicate pour le gouvernement de nous obliger à ramener les frais à ce qu'ils étaient avant.»

«Si le gouvernement fait un compromis sans compenser les universités, ça va empirer la situation financière des universités, et ceux et celles qui vont en souffrir, ce sont les étudiants, et la société en général.»

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Hahaha, Claudine Déshautels! Je l'ai eu au Cégep back in the day. Viré une brosse avec elle, un autre prof, 6 filles pis de mes chums dans une chambre d'hôtel à New York. OMG!

Elle avait les cheveux roses dans le temps.

Elle fut aussi une des seules à nous appuyer, mes bros et moi, lorsqu'on a été convoqué au bureau de la directrice de programme pour avoir trasher le film d'un geek prétentieux sur YT. Alors, one love to Claudine!

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Une prof de cégep à Sherbrooke "a un peu honte d'enseigner" aux jeunes en grève qui ne sont pas sur les lignes de piquetage.

Un contribuable du West Island "a un peu honte de payer des impôts" pour payer une prof qui ne fait pas son travail.

Non, mais quelle câlisse d'hypocrite... Je la mets au défi de renoncer à son salaire pendant la période grève pour aller soutenir les étudiants. C'est le genre de connasse qui gueulerait probablement si l'école lui coupait son chèque si elle refusait de donner son cours sous prétexte que certains étudiants ont décidé de boycotter leurs cours.

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Québec Solidaire to the rescue!

Québec solidaire dévoile aujourd’hui sa proposition pour dénouer la crise causée par le refus du gouvernement libéral d’établir un dialogue avec le mouvement étudiant.

« La proposition que nous soumettons aujourd’hui vient démontrer que la hausse dramatique et rapide des frais de scolarité n’est qu’un choix politique idéologique. Il est possible d’améliorer le financement des universités sans augmenter la contribution de des familles et des jeunes de la classe moyenne et ce, tout en gelant les frais de scolarité. Nous voulons démontrer que l’accessibilité universelle à l’université est réalisable si le gouvernement décide d’aller chercher les revenus disponibles en demandant aux institutions financières de faire leur juste part. Actuellement, le gouvernement Charest offre un nouveau bonbon à celles-ci en augmentant l’endettement étudiant », affirme Françoise David, porte-parole de Québec solidaire.

Une élimination rapide des frais de scolarité

Québec solidaire prend des engagements fermes. Un gouvernement solidaire annulera immédiatement les hausses de 500 $ appliquées depuis 2007 ainsi que celles de 1625 $ prévues durant les cinq prochaines années. Ce scénario de sortie de crise verra les frais de scolarité universitaires être ramenés à zéro d’ici 2017-2018. «vPlutôt qu’une hausse de 325 $ par année, nous proposons une baisse de 325 $ accompagnée de mesures pour permettre d’améliorer la qualité de la formation », poursuit Amir Khadir, député de Mercier.

Pour financer la réalisation de l’accessibilité universelle à l’université, Québec solidaire veut mettre à contribution les institutions financières qui ont vu leurs profits augmenter en pleine crise financière mondiale; ces profits se chiffraient à 25,5 milliards $ au Canada pour la seule année 2011.

« Il suffirait d’instaurer une taxe sur le capital des entreprises financières pour permettre de respecter les objectifs de financement universitaire que le gouvernement libéral a lui-même fixés. Un taux de base à 0,3% générerait les 228 millions $ que la hausse veut aller chercher dans les poches des étudiants et de leurs parents. La gratuité scolaire serait quant à elle atteinte avec un taux de base à 0,8% appliqué progressivement », ajoute M. Khadir.

Rappelons que la taxe sur le capital a été réduite progressivement par le gouvernement libéral jusqu’à son abolition complète. Québec solidaire propose de réintroduire une telle taxe, mais uniquement pour les entreprises financières. Québec solidaire propose également de maintenir les mesures de taxation temporaires qui touchent les entreprises financières annoncées par le ministre Bachand pour les prolonger au-delà de 2014.

«Le PLQ et la CAQ veulent imposer une hausse démesurée qui diminue l’accessibilité aux études, peu importe les améliorations apportées au régime de prêts et bourse. L’ambivalence du Parti québécois sur la hausse des frais de scolarité, fait le jeu du gouvernement. Elle renforce la perception qu’il n’y a pas d’autre choix qu’une hausse, puisque l’opposition officielle est contre celle proposée par les Libéraux, sans rejeter une hausse ultérieure. Alors que le PQ prônait la gratuité scolaire sous André Boisclair, il n’a aujourd’hui, rien de mieux à proposer qu’un forum s’il prend le pouvoir. Une belle façon de fuir ses responsabilités », ajoute la candidate de Québec solidaire dans Gouin.

Québec solidaire invite le gouvernement libéral à reconnaître la légitimité des positions définies démocratiquement par les différentes composantes du mouvement étudiant. « Si le gouvernement libéral a su en venir à une entente négociée avec le mouvement syndical dans le secteur public, il devrait être en mesure de s’asseoir avec les étudiants. Mais pour y parvenir, il devra cesser de mépriser les représentants des associations étudiantes. », conclut M. Khadir.

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L'abolition de la taxe sur le capital est la plus grande aberration jamais réalisée par le Parti Libéral du Québec. Là-dessus, Khadir a raison de dire que la remettre, ne serait-ce que moins d'un pourcent, pourrait procurer la gratuité scolaire. C'est extrêmement peu comme taxation et ce fut longtemps le cas au Québec, comme dans le reste des pays anglo-saxons (et autre). Y'en a qui sont taxés beaucoup plus. 0.8% c'est absolument rien.

RIEN.

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L'abolition de la taxe sur le capital est la plus grande aberration jamais réalisée par le Parti Libéral du Québec. Là-dessus, Khadir a raison de dire que la remettre, ne serait-ce que moins d'un pourcent, pourrait procurer la gratuité scolaire. C'est extrêmement peu comme taxation et ce fut longtemps le cas au Québec, comme dans le reste des pays anglo-saxons (et autre). Y'en a qui sont taxés beaucoup plus. 0.8% c'est absolument rien.

RIEN.

C'est plus la taxe sur le capital qui était une aberration; ce n'est pas un hasard qu'elle ait complètement disparu de la plupart des pays du monde.

Prenons maintenant une petite entreprise qui emploie une vingtaine de personnes. Les propriétaires ont investi quatre millions pour construire et équiper l'entreprise. Ils devront donc payer, année après année, 0,4 % de ce montant, soit 16 000$, en taxe sur le capital. Au bout de deux ans, ils décident d'emprunter un million pour moderniser leurs installations. La taxe vise non seulement les capitaux propres de l'entreprise, mais aussi sa dette à long terme. Parce qu'elle a investi pour augmenter sa productivité, la petite entreprise devra maintenant assumer une facture annuelle de 20 000$ en taxe sur le capital, qu'elle fasse ou non des profits.
Source

En plus de rapporter très peu, moins de 1 % du budget, cette taxe est une façon de décourager l'investissement et la modernisation des entreprises. Cela a un impact direct sur la croissance économique. Les calculs économiques montraient que suite à l'abolition de la taxe, 90 % des recettes fiscales étaient tout de même conservées grâce à une croissance économique plus forte.

Bref, il serait difficile d'imaginer une taxe plus contre-productive.

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J'ai toujours l'impression que de montrer un mépris envers les "sciences molles", par oppositions aux "sciences dures" vient jamais des véritables esprits scientifiques. Je veux dire que si tu vas dans un département de science (et là je parle pas d'un dérivé technique comme l'ingéniérie), des gens qui font de la recherche sérieuse et qui sont considéré comme brillant dans leur domaines auraient vraiment une attitude de mépris envers les autres disciplines du savoir.

En fait je peux pas voir comment quelqu'un peut avoir un véritable esprit scientifique, avoir la curiosité, l'ouverture et l'objectivité nécessaire pour carrément mépriser les autres disciplines de cette façon là.

Parce que oui c'est un fait indéniable que les sciences humaines produisent pas des résultats aussi précis et certains que certaines sciences naturelles, mais de penser que de facto ce sont des disciplines qui méritent pas notre attention parce que le résultat est imprécis, c'est tellement "anti-scientifique" comme attitude que j'arrive pas à concevoir un scientifique au sens fort du terme avoir ce préjugé là.

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(modifié)

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Ba-ba-ba-balls of steel.

Le dude de gauche dit :

Bonjour, je suis la personne qui tient la pancarte de gauche. Cédric Legros, étudiant à l'université Sherbrooke en sciences politiques avec un intérêt particulier pour les politiques économiques. Ma pancarte semble déranger plusieurs personnes mal informés. En 1994, il y a eu un gel des frais de scolarité qui à durer 13 ans. Pendant ce temps, l'inflation (Contrôler par la Banque du Canada) augmente de d'un échelle de 2% à 3% par année. L'inflation touche tout. Salaires de toutes personnes affiliés à l'établissement scolaire (soutien, prof, chargée de cours, direction) aux matériaux et coûts de recherche et ainsi de suite. TOUT. En 2007, on annonce un dégel de 500$ sur 5 ans. Ce qui donne en tout, 500$ en 18 ans. Ce qui est loin de couvrir l'inflation des 18 dernieres années. Je n'ai malheureusement pas le budget des associations pour me payer une banderole gigantesque pour vous expliquer tout ceci. J'ai fait mon possible. Merci.

Modifié par Le Messie
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