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Se placer dans la vie


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Il y a (au moins) deux réalités avec le Grand Nord pour les Blancs : travailler dans le Nord ou travailler et vivre dans le Nord. Dans le domaine minier, les travailleurs font plutôt du fly-in fly-out, ils ne vivent pas dans le Nord. Ils vivent sur le chantier, le logement est fourni, il y a un service de cafétéria, un gym. Je suis un peu dubitatif sur le fly-in fly-out sur une semaine par contre. Peut-être pour Fermont, mais pour le Nunavik, genre la mine de Raglan, je serais étonné. J'ai plutôt connu des réalités de 2-2, 3-1, voire 4-2 (quatre semaines de travail, deux semaines off). Sauf que ce n'est pas des semaines de 35h... C'est du 10-12 heures non-stop, du lundi au dimanche. Travailler 14 jours en ligne, ce n'est pas pour tout le monde, même si le salaire est gros.

La situation est différente si tu es enseignant ou infirmière dans un village inuit. Là, effectivement, tu vis à peu près la même chose que la population locale.

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(modifié)
il y a 58 minutes, FosseAsceptique a dit :

Tu peux bien faire 100k par année dans le Nord, mais sais-tu que le coût de la vie est tellement cher qu'en fait il t'en reste moins que si tu restais à Montréal?

La bouffe est extrêmement dispendieuse, car tout est importé par avion... C'est 6$ une seule orange...

Les logements sont rares, et aussi très dispendieux, à moins de vivre dans les placards des travailleurs. Et ne pense pas à te bâtir, t'en auras pour 3 ans à importer les matériaux et ça te coûtera la peau des fesses pour un shack.

yep, pensée magique.

Ben coudonc! Allez faire un DEP en coiffure à la place, travaillez à Montréal pis payez-vous des oranges à 0,50$. Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise?

 

il y a 32 minutes, Ecce Homo a dit :

qu'est-ce qui t'emmène à penser ça ? ça ne semble pas statistiquement correlé puisqu'une femme sur trois en union gagne plus que son conjoint alors qu'en général, elles consacrent  plus d'heures aux tâches ménagères que les hommes. les hommes ne comptent que pour 15% des parents au foyer. alors, bon, le facteur salarial, on repassera, et je me doute bien que tu es toi-même peu convaincu de ton raisonnement puisque tu n'as pas tardé à aborder l'élément biologique. 

Un simple semblant de logique m'emmène à penser qu'une femme médecin avec un potentiel de revenu de 200K$+/année qui a un enfant avec un homme qui oeuvre dans à peu près tout autre corps de métier (principalement chez les jeunes vu le changement statistique des dernières années au niveau des diplômés universitaires homme vs femme), qu'il y a de fortes chances que la femme continue de travailler et que l'homme puisse devenir homme au foyer. C'est quelque chose que l'on aurait difficilement pu voir voilà quelques années seulement. 

Et puis, dans ce même scénario, si le couple décide néanmoins que la femme restera au foyer, ben tant mieux pour eux. Je ne vois pas le problème.

Modifié par Kalias
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Mon frère est informaticien et ma belle sœur est medecin

devine qui est à la maison présentement ? :)

je ne dis pas qu’il y a un prob’eme avec cette situation en soi, je dis que ton raisonnement ne tient pas la route

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Il y a 11 heures, Kalias a dit :

Cela dit, les hommes et les femmes sont fondamentalement différents. Réalité biologique oblige. Il est inhérent à l'homme d'être une créature compétitive, libidineuse et assurée.  La femme, toute en réserve, se montre naturellement plus aimable et affectueuse. Ces traits de caractère m'apparaissent plus en ligne avec les rôles traditionnels réservés aux parents. Les époques changent, mais faudra voir à quel point les caractéristiques innées des sexes changeront au même rythme.

Ces différences que tu tiens comme naturelles sont en bonne partie des construits sociaux acquis très rapidement lors de l'enfance et non des caractères innés. Nous sommes poussés tout au long de notre développement à nous conformer aux archétypes de l'homme ef de la femme. Après, oui le biologique joue un peu dans tout ça mais est-ce que c'est ça qui nous empêcherait de partager les tâches domestiques équitablement INCLUANT le partage de la charge mentale et les congés parentaux de même durée? 

Autre chose, le rôle de parent au foyer, de proche aidant, de bénévole, sont si peu valorisés. C'est une chose de dire que c'est noble, c'en est une autre de reconnaître l'apport essentiel à l'économie et au maintient des structures communautaires ef sociales. Au niveau comptable on ne sait pas reconnaître la valeur que ça a, et c'est décourageant.

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Rien à voir.

Le biologique ne joue pas qu'un peu dans tout ça comme tu dis. Juste pour celle-là tu mérites de te faire lancer de la petite pierre.

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Le 2019-05-30 à 23:19, Goéland a dit :

Ces différences que tu tiens comme naturelles sont en bonne partie des construits sociaux acquis très rapidement lors de l'enfance et non des caractères innés. Nous sommes poussés tout au long de notre développement à nous conformer aux archétypes de l'homme ef de la femme. Après, oui le biologique joue un peu dans tout ça mais est-ce que c'est ça qui nous empêcherait de partager les tâches domestiques équitablement INCLUANT le partage de la charge mentale et les congés parentaux de même durée? 

Autre chose, le rôle de parent au foyer, de proche aidant, de bénévole, sont si peu valorisés. C'est une chose de dire que c'est noble, c'en est une autre de reconnaître l'apport essentiel à l'économie et au maintient des structures communautaires ef sociales. Au niveau comptable on ne sait pas reconnaître la valeur que ça a, et c'est décourageant.

Il est prétentieux de penser que nos construits sociaux aient plus d'impact sur ce qui façonne les hommes et les femmes que des millions d'année d'évolution génétique. L'éducation a évidemment un impact complexe sur notre développement, de même que les construits sociaux (par exemple nous demeurons encore aujourd'hui, au Québec, malgré ce que plusieurs peuvent penser, très fortement influencés par la doctrine chrétienne), mais il n'en demeure pas moins que plusieurs de nos caractéristiques sont innées. Pour le peu que l'on s'intéresse au monde animal, on constate à l'instar de l'humain et de manière quasi-exclusive, que l'exaltation et la compétitivité masculines sont aussi certaines que la réserve féminine. En ce sens, il apparaît évident que les tâches et activités qui sont plus naturelles pour l'homme, le soient moins pour la femme. Et vice versa.

Et quant à nos construits sociaux, je les trouve de plus en plus féminisés. Ils me semblent qu'ils relèvent même d'une mentalité de faible pour reprendre un concept de Nietzsche. On suggère de plus en plus, et il s'agit là d'une mentalité dominante assez globalement acceptée, que le simple fait d'être un homme sera immanquablement toxique pour la société, que nous sommes des criminels et des violeurs dormants dont il faut absolument taire ou réformer. Et pourtant, plus que jamais dans l'histoire de l'humanité, nos jeunes gens sont-ils atteints dans des proportions excessives, de troubles mentaux de tout genre. J'irais même jusqu'à dire que le delta entre notre morale libérale moderne et nos instincts naturels correspond à l'éventail de plus en plus prononcé de nos maladies psychologiques.

Enfin, relativement à ton point sur le rôle de parent au foyer, de proche aidant, etc. Je ne suis pas en désaccord avec toi. Mon seul commentaire serait qu'ironiquement, le vecteur politique étant le plus sensible à cette réalité semble être les mouvements conservateurs et traditionalistes. Ironique en effet, puisque ce sont souvent ces mêmes groupes auxquels on attribue les qualificatifs de réactionnaires, de "moyen âgeux" et de misogynes. 

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Il y a 6 heures, Kalias a dit :

 On suggère de plus en plus, et il s'agit là d'une mentalité dominante assez globalement acceptée, que le simple fait d'être un homme sera immanquablement toxique pour la société

oh boy

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Un petit essaim d'abeilles cucked/LGBTQ+/ANTIFA/ethniques/ouvrièves (mais seulement durant la saison estivale) assaillent mon ami @Kalias.

Je me porterai à la défense d'un camarade contre les attaques de ces progressistes nauséabonds. Armez-vous de votre plus noir dildo, communistes.

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il y a 44 minutes, Esch a dit :

Je me porterai à la défense d'un camarade contre les attaques de ces progressistes nauséabonds. Armez-vous de votre plus noir dildo, communistes.

Il doit être usagé, ou pas?

... C'est pour un ami. :mafia:

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@Esch J'adore la confiture, toutes les confitures.

Mais pourquoi dans la tienne certains arguments sont appuyés par des cas isolés (les deux jumeaux qui choisissent des jouets qui correspondent à leur genre, le garçon castré socialisé comme une fille) pour expliquer des tendances larges? C'est supposé confirmer quelque chose?

Aussi, pourquoi mentionner les chasseurs-cueilleurs alors qu'on ne sait pratiquemment rien sur leur organisation sociale? 

Enfin, je ne comprends pas pourquoi je devrais être lapidé alors que je reconnais les influences biologiques (quoique plutôt faibles en ce qui concerne le cerveau). Je te redemande la question : Est-ce que c'est vraiment ça qui empêcherait un partage équitable des tâches ménagères et du rôle de parent (sauf l'allaitement lol) ?

@Kalias  Tu associes les valeurs féminines à la faiblesse. :/ Est-ce qu'il y a un gène pour justifier ce mépris?

http://www.editions-rm.ca/livres/la-crise-de-la-masculinite/

 

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Il y a 14 heures, Goéland a dit :

@Esch J'adore la confiture, toutes les confitures.

Mais pourquoi dans la tienne certains arguments sont appuyés par des cas isolés (les deux jumeaux qui choisissent des jouets qui correspondent à leur genre, le garçon castré socialisé comme une fille) pour expliquer des tendances larges? C'est supposé confirmer quelque chose?

Aussi, pourquoi mentionner les chasseurs-cueilleurs alors qu'on ne sait pratiquemment rien sur leur organisation sociale? 

Enfin, je ne comprends pas pourquoi je devrais être lapidé alors que je reconnais les influences biologiques (quoique plutôt faibles en ce qui concerne le cerveau). Je te redemande la question : Est-ce que c'est vraiment ça qui empêcherait un partage équitable des tâches ménagères et du rôle de parent (sauf l'allaitement lol) ?

Ce que tu as lu dans l'encadré 1 n'est qu'un exemple fictif illustrant les résultats de l'étude de Cohen-Bendahan, van de Beek, & Berenbaum. Pour dire vrai, je ne pensais pas devoir te le préciser.  :facepalm2: 

Euh... oui. Oui, c'est censé expliquer quelque chose. Le cas de David Reimer fait partie du folklore en psychologie à l'égal du cas de Phineas Gage. Deux cas éminemment célèbres qui ont fait énormément avancer la psychologie de par les relations causales (si rares dans le domaine) qu'ils ont permis d'établir. Ensuite, tu n'aurais pas pu choisir pire exemple pour mettre en doute le mérite des arguments que Paquette et al. ont avancés parce que l'histoire de David Reimer est un cas extrêmement populaire dans les cercles universitaires de gauche pour démontrer que l'identité de genre n'est pas acquise. Oops.

On ne sait rien sur leur organisation sociale? N'importe quoi, l'environnement de l'adaptation évolutive a aussi façonné l'organisation sociale humaine. Ils vivaient en petits groupes, autour de 150 individus. À part ça, ils vivaient sensiblement de la même manière que nous, et se sont aussi organisés similairement. Pour te donner une bonne idée de leur organisation sociale, à titre d'exemple, tu n'as qu'à regarder comment se comporte un enfant aujourd'hui... Je te dis ça parce qu'on considère qu'un enfant de nos jours aurait exactement le même cerveau qu'un enfant chasseur-cueilleur il y a 100 000 ans.

Tu devrais être lapidé parce que les inepties que tu débites en te pensant bien intelligent sont dangereuses pour la jeunesse d'aujourd'hui. Les influences biologiques sont majeures, cher corniaud, pas faibles.

Et finalement, pour répondre à ta question Non, les influences biologiques aussi majeures soient-elles ne devraient pas t'empêcher de faire la vaisselle pour aider ta blonde.

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Il y a 7 heures, Goéland a dit :

@Esch J'adore la confiture, toutes les confitures.

Mais pourquoi dans la tienne certains arguments sont appuyés par des cas isolés (les deux jumeaux qui choisissent des jouets qui correspondent à leur genre, le garçon castré socialisé comme une fille) pour expliquer des tendances larges? C'est supposé confirmer quelque chose?

Aussi, pourquoi mentionner les chasseurs-cueilleurs alors qu'on ne sait pratiquemment rien sur leur organisation sociale? 

Enfin, je ne comprends pas pourquoi je devrais être lapidé alors que je reconnais les influences biologiques (quoique plutôt faibles en ce qui concerne le cerveau). Je te redemande la question : Est-ce que c'est vraiment ça qui empêcherait un partage équitable des tâches ménagères et du rôle de parent (sauf l'allaitement lol) ?

@Kalias  Tu associes les valeurs féminines à la faiblesse. :/ Est-ce qu'il y a un gène pour justifier ce mépris?

http://www.editions-rm.ca/livres/la-crise-de-la-masculinite/

 

Relativement à ta réponse à Esch, je ne rajouterai rien, je crois qu'Esch a déjà répondu avec aplomb à tes commentaires.

En lien avec le commentaire qui m'était adressé, d'abord je mentionnerais qu'on repassera quant à la crédibilité d'un professeur d'études féministes. J'ai toujours trouvé assez surprenant d'ailleurs que des hommes puissent étudier dans ce genre de domaine. La crise de la masculinité, c'est surtout dans un tel scénario qu'elle se manifeste. J'imagine que notre cher François Depuis-Déri a commencé ses études dans ce domaine dans l'espoir de se pogner des filles. Reste à savoir s'il a réussi à sortir de la friend-zone depuis cette époque...

Et si j'associe le discours féministe à la faiblesse, c'est que je trouve que c'est un discours défaitiste qui rejette toute prise de responsabilité. Si le monde va mal, si ma vie est chaotique, ce n'est pas ma faute, c'est de la faute de la société patriarcale qui est programmée pour me faire perdre. Je trouve ce genre de discours dangereux. Abject. Dans cette forme de dévoiement de la réalité, on renie tout responsabilité individuelle en cherchant à attribuer tous les maux de la terre à une fabulation qu'est la société patriarcale.

Ça me rappelle une phrase que mon coach d'hockey au collège nous répétait souvent et qui est encore aujourd'hui bien gravée au fond de ma tête. C'est une phrase toute simple, apparemment banale et évidente, mais dont on tend à oublier si facilement: "les perdants trouvent des excuses: les vainqueurs trouvent des solutions." Je pense que cet adage s'applique bien ici pour illustrer en quoi je trouve le discours féministe comme un discours de faible. 

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Il y a 20 heures, Kalias a dit :

Il est prétentieux de penser que nos construits sociaux aient plus d'impact sur ce qui façonne les hommes et les femmes que des millions d'année d'évolution génétique.

C'est plate, Paquette et al. que cite Esch disent le contraire :

«En fait, nos aptitudes et nos traits de personnalité sont autant de phénotypes : ils résultent de l’effet combiné de prédispositions biologiques (potentiel génétique) et de l’environnement, bien qu’on tienne généralement l’apprentissage pour plus déterminant chez notre espèce.»

T'appelles à la rescousse la science pour asseoir ton discours, pour lui donner un semblant de légitimité et de neutralité, mais tu baignes dans l'idéologie. Y a pas de mal à l'idéologie, c'est juste que t'as pas l'air de l'assumer en enfilant ton beau sarrau blanc. Comme une forme d’hypocrisie ou de manque d'assurance. Certains diraient que c'est un comportement de femelle. Es-tu une femelle, Kalias ?

Pour le reste, déduire de faits naturels (avérés ou non) des normes pour l'organisation politique et culturelle de la société, c'est le degré zéro du raisonnement. Ça ne vaut pas grand-chose.

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La lutte des sexes est un processus constant et naturel au même titre que la lutte des classes. Il n'y a pas de conspiration en Occident qui conduit à ce que les femmes fassent statistiquement plus souvent certaines tâches que les hommes, ou qu'elles soient moins payées en général que les hommes. Il n'y a pas un scientifique qui sait pour sur si c'est  surtout l'environnement social ou nos processus biologiques qui prédisposent nos comportements. Par contre, puisque l'on voit partout dans le monde qu'en général depuis des millions d'années les hommes ont tendance à faire certaines taches plus que les femmes et vice-versa, on peut tout à fait croire à une grande influence biologique sur le comportement. 

Ce sont des rapports à une énorme échelle, à la grandeur de la planète, régulés par des milliards d'humains . Oui, certains courants de pensée comme la religion peuvent restreindre dans une bonne mesure le comportement des sexes et rétrécir la femme à une usine à bébés, mais à un tel moment, c'est aux femmes à se battre pour faire reconnaitre leurs droits. 

L'Occident n'est pas patriarcal, bien au contraire, il se fend le cul pour forcer une égalité entre les sexes ce qui est bien loin de rendre service aux femmes. Il a été démontré à de multiples reprises pourquoi les femmes sont payées moins que les hommes. 

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Il y a 3 heures, Athos a dit :

Pour le reste, déduire de faits naturels (avérés ou non) des normes pour l'organisation politique et culturelle de la société, c'est le degré zéro du raisonnement. Ça ne vaut pas grand-chose.

En réalité, les individus d'une société s'organisent selon la loi du moindre effort. Étant donné les différences biologiques qu'on observe généralement entre les hommes et les femmes, il est normal que les hommes et les femmes (encore là, en général) s'occupent de tâches qui tirent parti de leurs forces et ne font pas trop appel à leurs lacunes.
C'est pareil dans la préhistoire, où les hommes allaient chasser (force physique, stratégie, agressivité) pendant que les femmes restaient à cueillir des fruits et s'occuper des enfants (empathie, altruisme, bonté).
Et, en passant, c'est le même principe lorsqu'une personne qui est bonne en maths, mais pas très bonne en français choisit de travailler dans un métier de la science ou du génie. La loi du moindre effort. Ça n'a rien à voir avec des "normes pour l'organisation politique et culturelle de la société".

Le degré zéro du raisonnement, c'est de constater une telle organisation et d'en conclure qu'elle est forcément l'aboutissement d'années de lavage de cerveau, de répression et de mise en place de "construits sociaux". Pire encore, souhaiter forcer l'organisation naturelle des choses à être autrement que ce qu'elle est au moyen de lois (par exemple, en instaurant des quotas) parce qu'on croit à tort qu'elle est le résultat d'une injustice.

Ironiquement, la seule fois où j'ai des doutes quant au fait que la masculinité et la féminité soient peut-être des "construits sociaux", c'est quand je vois des gars comme toi, Gamin et compagnie, à qui il suffit de 5 années à baigner dans les théories féministes pour se transformer en lavettes absolues dénuées de quoi que ce soit qui ressemble à de la testostérone.

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Je pense que Goéland est, de loin, le plus dévirilisé des deux. Ses conflits internes se sont manifestés ici avec une beauté et une dépravation inégalée.

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