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Postez vos poèmes, récits, nouvelles


Déchet(s) recommandé(s)

Rigole, gondole, étiole

Ma tronche, la fange, le viol

Simpliste, minable, comptable

Calcule à quel point je suis potable.

T'as foncé dans un mur

Matelassé, tu es tout dur

Calcule-moi un silence énorme

On va courir, se mettre en forme

T'as deux balles dans le crâne

T'as deux cents balles et pas d'âme

Je me divise devant l'infâme

Des racines narquoises qui se pâment.

Il y a des raisons à tout

En tout et pour tout

T'as rien gâché dans le mou

La tâche est image de remous.

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J'en ai un Lux pour toi, puisque tu sembles mon premier fan.

Une fillette se promène

Au pourtour de la ville

Elle fixe une enseigne

Enseignant les débiles.

Faut croire qu'elle en a marre

Elle expire toute qu'une tare

On a barré les catastrophes

On castre les polymorphes.

Polytoxico, ça en fait trop

Pluralité de qui-procos

Elle joue de sa petite guitare

Une sornette en hymne à la gloire.

Gloire de quoi?

Gloire de rien?

On titube, on montre ses seins.

Foire de foutre

Foutre rien

Ferme ta gueule et prend ma main.

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Voici quelque chose que j'ai fait dans mon cours de poésie, cet automne. C'est un poème fait à partir d'une grappe de mots. Sûrement que certains ont déjà travaillé avec ça. On fait une chaîne d'environs 200-300 mots sur une feuille de papier, des mots qui nous font penser à un mot, qui nous font penser à un mot, etc. Puis on écrit un poème sans réfléchir au sujet en essayant de mettre le plus de mots provenant de la grappe. C'était mon premier essai de poésie à vie. Voilà ce que ça donne.

| LA 376e

Le grincement des chaînes

Sur les murs de pierre

L’ondulation légère

De cette mélodie en angles

De ton corps courbé

Une chambre close

La morsure du métal

Sur tes pointes érigées

La morsure de mon chant

Sur l’écho de tes plaintes

La morsure des cordes

Sur ton corps immobile

Mes doigts effilés

Mes mains arachnéennes

Toucher de soie

Sur le sang de tes plaies

Tes veines glacées

Ton sang offert

Poison d’hydromel

Je m’en abreuve

Je m’y baigne

Demain tes ruines

Avec les autres

Pas de croix levée

Tu n’es qu’objet

Une clé vers ma lumière

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Une bonne femme fait son épicerie

Au bras de son obèse de mari

Ils rigolent, rythment la peau molle

Prennent une livre de beurre ''margarinol''

La bonne femme, excitée, serre son poitrail

Un bouton éjecté

Une bouteille de vin brisée.

Une jeune femelle dans le liquide, glisse

Tous se précipitent.

Sa culotte en mode visible

Déclanche dans le pantalon

Du secouriste une érection.

En 1980, il y avait un train

Le train bleu de l’entrain

On l’appelait, reste que ce n’est rien

Un peu de zèle, un peu de fiel.

On y traficotait des choses

Drôles par associations clichées

N’importe quoi qu’on aurait pu imaginer.

Voyez la dame était là, dansant

Sur sa vieille table pleine, d’encens.

Il y avait le conducteur érotisé

À la vue éblouissante du soleil doré.

Et puis, il y avait moi

MOI

MOI

NU

Avec un dildo dans le cul!

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  • 3 semaines plus tard...

lol, une vieille affaire.

Chacune de nos espérances

Abrite un nourrisson fiévreux

Qui chaque nuit

Pleure des lambeaux de chair rance

Qui brûlent le tour de ses yeux

Et quelques cris

De son gosier qui élance

S'échappent tordus vers les cieux

Teintés de gris

Ses doigts se crispent de souffrance

Puis il retourne vers les lieux

D'une autre vie

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  • 2 semaines plus tard...

Déchet

Le sentier et son paysage mort me donnent la chair de poule. Partout, des arbres réduits à squelettes se font balader les bras par un vent glacial d'automne. Mis à part moi, qui traîne de peine et misère son gros sac-poubelle sur le sol accidenté au cœur de cette forêt cadavérique, il n'y a nulle âme qui vive à des kilomètres. Lentement, d'un effort soutenu, je m'enfonce dans les ténèbres grandissants de ce décor inerte. Le sac percute à plusieurs reprises de longues racines fourchues et manque près de s'éventrer avant même d'être arrivé à destination : là où l'inconnu me mène, tant bien que mal. Mon corps et mon esprit progressent avec difficulté, sans jamais abandonner. Enfin, j'arrive au pied d'une pente abrupte. Je hisse le sac et le place sur mon dos tant bien que mal avant d'entamer l'escalade. À chaque pas, je veux faire demi-tour, mais je me dois de continuer. La sueur perle sur mon front, ma peau s'écorche sur des branches qui me barrent le passage, me suppliant de quitter ces lieux. À bout de souffle, je me retrouve dans une clairière, vaste et nue, elle s'étend plus loin que mes yeux ne peuvent le voir. Personne. Sauf moi. Et le gros sac noir aux formes bizarres. Il y en a des centaines. Non, des milliers. Peut-être même des millions. Ce sera l'endroit parfait. Creuser, je dois creuser, encore et encore. Le sol est d'une dureté...ai-je vraiment bien choisi? La petite pelle pourfend la chair de la forêt, qui crache sa douleur en gerbes de terre humide et de racines sectionnées. Pelle de côté, je m'avance vers le sac, et le contemple d'un regard vainqueur, mon visage baignant dans la lueur de la lune en forme de croissant. Je l'empoigne et m'apprête à le coucher dans sa tombe, non pas sans crier de douleur. Ce qu'il peut être lourd ce sac ; de mon passé, de ma douleur, de mon futur, de moi. Je n'y arriverai pas, même aux commandes d'un bulldozer ce sac ne bronchera pas, il contient trop de choses, je ne sais pas comment j'ai pu le mener jusqu'ici. Je suis au bout de mes forces. Demain, oui, demain sera mieux, j'aurai regagné mes forces et je pourrai enfin me débarrasser de ce sac maudit. On me réveille, que se passe-t-il? Je suis enseveli, la panique s'empare de moi, j'aimerais bien crier à l'aide mais ma bouche est aussitôt assaillie par la terre, froide, glacée même, bientôt je ne verrai plus rien. Là-haut, j'entrevois une silhouette qui creuse tel un automate, infatigable, enterrant son calvaire, moi-même, et je lui rends sa vie en sacrifiant la mienne.

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  • 2 semaines plus tard...

Un autre pas grand-chose écrit dans mon cours de poésie. La contrainte était la répétition.

| MORDRE À PLEINES GRIFFES

Je t'ai vue mordre le sol brumeux où nous crachions

dans ce sucre amer qui ronge les soupires

l'organe gorgé de sève goudronnée

Je l'ai vu mordre la scène de ton sexe ouvert au passant

dans l'âcre du satin le baiser des pierres emplumées

l'anneau étiré par les soubresauts du chemin

le fil tendu dans le dédale de nos cheveux

Et moi je mords sans dents dans un corps de marbre

l’eau qui fuit immobile

le rythme de tes chants muets

la chaleur des draps éteints

l’encre pendue à tes mots

l’ouverture creusée par les ailes du vautour

le masque ébréché sur ton sourire dévoilé

Je mords le soleil à m’en geler les doigts

l’oreille ouverte que ne caresse plus ma chaleur

le rouge de ton sol noirci

l’incandescence de l’huile broyée

Je mords à pleines griffes ce ventre déchiré pour voir la rose ténue

l’œuf qui porte la musique cassée

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J'ai envie de prendre une douche de ridicule. Alors voilà.

Je le dis à l'avance: c'est pas fameux. Mais c'est peut-être la chose la plus aboutie que j'ai écrite.

Elle se pencha sur moi. Elle me souriait, comme toujours, lorsqu’elle me rendait visite dans ma

chambre. C’était un sourire sans éclat, comme forcé, perpétuellement figé sur ses traits bien

proportionnés de jeune femme. « Alors, que penses-tu des progrès de notre fils en solfège?

Impressionnant, n’est-ce pas?» Elle approcha de mon champ de vision un papier où l’on avait

griffonné des notes de musique sur une portée. Ses yeux se déplacèrent lentement du bas de

mon corps allongé vers les miens, probablement en quête d’un signe d’approbation. Dans

l’échange de coups d’œil, je cru entrevoir de l’irritation par delà la douceur que l’expression

que ses yeux affectaient. Aussitôt je fus happé par une vague de honte. Je voulais lui répondre

– bien que l’éclairage de ma chambre ne me permît pas de constater clairement ce qui était

si impressionnant à propos de ce papier – mais avant que je ne pusse dire quoi que ce fût,

elle soupira et se leva brusquement de la chaise qu’elle avait installée à mon chevet, comme

désespérant de ma réponse. Elle se mit à faire les cent pas dans la longueur de la chambre. Elle

s’arrêta soudain tout net. « Il voulait venir te voir lui-même pour te montrer ses résultats, mais il

sortait chez des amis ce soir. » Son visage était hors de portée de la lumière émise par la lampe

posée sur ma petite table de chevet, mais dans la pénombre j’arrivais à percevoir l’agitation

qui l’habitait aux gestes nerveux qu’elle avait et dont je distinguais le contour. Elle cherchait

manifestement à gagner du temps avant quelque déclaration relevant de l’inavouable. « Je

voulais te dire… » Elle s’interrompit dans un sursaut d’émotion (était-ce la crainte?), se dirigea

vers ma table de chevet pour éteindre la lampe puis sortit en trombe en claquant la porte, sans

me souhaiter bonne nuit.

Menteuse. C’est la première pensée qui me vint à l’esprit dès lors que je me retrouvai seul

dans ma chambre – moi et ma femme dormions séparés depuis un bon moment déjà. Notre fils

cherchait plutôt à m’éviter par tous les moyens. Pour lui il eût été préférable que je n’existasse

pas. J’étais quelque bestiole monstrueuse – ou la peste elle-même. À chaque soir, par exemple,

je le voyais se faufiler furtivement dans le couloir donnant sur ma chambre vers sa chambre –

ledit couloir donnait aussi sur la sienne. Le petit croyait que je ne le l’apercevais pas. C’en était

presque drôle.

Cela faisait quelques jours que je ne dormais plus. Chaque nuit j’attendais avec impatience le

matin en ressassant mes vieux fantômes. L’un de ces fantômes qui hantaient mes nuits était

le remord. Il surgissait toujours entre les phares des automobiles qui, à travers la vitre de ma

fenêtre, parcouraient rapidement les murs de ma chambre à intervalle irrégulier. Il se penchait

à mon chevet – exactement comme ma femme avait l’habitude de le faire – me susurrait

doucement à l’oreille des mots d’espoir, comme par dérision. Puis il repartait, emportant

toujours davantage de mes rêves passés, et ceux des miens avec.

Ce matin-là, j’attendis comme à l’habitude qu’on vînt m’éveiller de mon profond sommeil

– il me suffisait de fermer les paupières pour affecter le sommeil. L’arrivée de ma femme

m’était d’un réconfort immense, sa beauté comme un clair de lune dans un minuit glacial.

Cependant, comme son irruption matinale dans ma chambre se faisait attendre, je commençai

à me préparer mentalement à me lever et à prendre moi-même les choses en main. Soudain

j’entendis des bruits inhabituels provenant du rez-de-chaussée. Y’avait-il des invités? Je n’en

savais rien, car ma femme ne m’avait pas mis au courant. Ou était-ce de cela qu’elle voulait

m’entretenir lorsqu’elle était dans ma chambre durant la dernière soirée? En tout cas les bruits

étaient maintenant rendus dans l’escalier. Plusieurs personnes montaient les escaliers ensemble

à ce qu’il me semblait. On arrivait dans le couloir, et puis la porte de ma chambre s’ouvrit à la

volée.

Une femme en blouse blanche que ne je n’avais jamais vue entra avec un cartable au bras. Ma

femme la suivit accompagnée de deux hommes de forte taille et à la musculature imposante.

La femme en blouse blanche m’observa avec un regard inquisiteur, puis elle adressa à mon

épouse un sourire complice, avant de hocher la tête. Elle sortit enfin de son cartable un papier

qu’elle tendit à ma femme, pour ressortir de ma chambre, sans m’adresser la parole. Puis ma

femme m’expliqua qu’elle entendait divorcer, que je devais m’en aller. L’agitation trouble

de la veille transparaissait dans sa voix, mais elle semblait autrement plus en possession de

ses moyens. Elle grimaça lorsqu’elle mentionna notre relation, pour en dire qu’en fait, c’était

fini depuis longtemps. Bref, de toute façon, je préférerais nécessairement l’endroit où l’on

allait me placer. Là-bas on s’occuperait mieux de moi et du reste en connaissance de cause.

C’en était assez. Je ne pouvais pas partir de chez moi, de là où j’avais vécu mes dix dernières

années, de la maison que j’avais payée à moitié. Il n’était pas possible non plus que je ne visse

pas mon fils grandir. Il fallait que je me levasse et que je tentasse de la raisonner. Je donnai

l’ordre à mes deux bras de me trouver un appui, de manière à ce que je pusse faire passer

l’ensemble de mon corps hors du lit. Le résultat dut paraître pour le moins comique, car je

sentis mon corps frétiller comme un poisson qu’on aurait jeté hors de l’eau. Devant ce spectacle

pathétique, mon épouse ne put réprimer une grimace de mépris. Je me surpris à cet instant à

penser que si l’humanité était véritablement méchante, cet arrangement particulier des traits

de ma femme devait bien contenir l’essence de la nature humaine.

Les deux hommes me prirent par les bras et me sortirent du lit, pour me transporter hors de

la maison - je ne savais même pas où on allait me mener. Ma femme était restée à contempler

béatement les meubles dans la chambre désormais vacante. Avant de sortir, j’avais croisé

une dernière fois son regard. J’avais voulu crier devant le mépris fulgurant dont ce regard me

foudroyait: « Non! Pas ça! Tue-moi, plutôt! Tue-moi! ». Mais c’était sans compter que depuis

déjà quelques semaines, l’influx nerveux qui devait transmettre les commandes de ma volonté à

mes lèvres avait cessé de remplir efficacement son rôle.

J'ai écrit cette nouvelle y'a un an, en écoutant du Monteverdi, et en pensant à cette foutue maladie qui a bousillé la vie de Jacqueline du Pré(et de bien d'autres...). Je venais de lire La métamorphose de Kafka et je relisais les histoires extraordinaires de Poe.

Modifié par Zvezdolikiy
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J'étais perturber ce soir là, j'm'e questionnais sur la langues Officiel du Canada.

Pu d'anglais, pu d'francais. Non, la langue du futur est le Bilingue ;

NOTEZ QUE CE TEXTE EST QUOTÉ TD;LR.

Welcome at your premier cours of Bill Angue Ouiste.

Session 1 :

Tu know le bill-angue-ouiste is not that pire! Tu juste have to pratique un bit! So there Je suis for toi!

Mon n'âme is Barnardin, je come icitte pour montrer to you comment mal languager deux langues at the même moment!! This seras un big n'importe quoi!! Tu don't have besoin de writé notes.

So premierement, Tu should essayé de mixé ou melanging the deux language without vraiment checké what tu tape. We don't criss nothing pour the orthographe, tu juste type right?

Tu can pas incorporaté some espanol mots, pars'cuz it's deja enought fucké like de même!

Et After avoir lit this premier paragraphe, tu don't veux que sa get pire.

For the premier exemple je will write un text about ;

On vas talké de my journée de today!

This matin, Je juste wake like un guy qui have not dormis enough! Je fall en bas d'my lite like a épais qui can pas walké deboutte! Mon doggy see toute ça, fak ya not really full liké ça, tu know..

In plus, after avoir fallé down du lite, j'ai walké on his queue! So after m'avoir appology, y ma lické le face en cryant like un baby! Any route, this is pas le point of the text..

Every bonne journée begin with a bon breakfeast. But je can be vraiment lazy le matin..

Je take le first affaires mangeable je see in the armoires..

Soup-in-tass, flavoré with cheddar poudre.

J'ai starté le microwave with le soup-in-tass full d'eau ... While it's rechauffing, je read the journal.

But the callise de Soup-in-tass start to bouille vraiment fast en damn! So je open the porte of le microwave very rapide, but instead de just open comme any other porte, Elle à comme blower with le chimical reaction d'la cheddar poudre.

Je receive it drette dans face pars'cuz il a explodé comme un turtle avec a smoke in tha yeule!

After avoir cleané all the marde cela faire au plancher, au wall and the plafond, the chien comme back regarding at me...

Seem like il voulait lické le floor, but y'étais full busy avec his, en tékah, tu know..?

First chose, allé at la banque for retiré du cash. If je want à manger, je need argent.

Je put mes white pantalon pars'cuz il sont te only clothes j'ai wash this semaine..

So apres getting habiller, je go dehort marché to la banque.

Like d'habitude mon card de marde just don't marche encore! Probablement the microwave explosion. So je doit waité some minutes before the banque ouvre les doors..

(..)

Quoi'ce-de fuck is that?! Usualy, Je don't care about ce qui happen during les heures closed. mais behind le door, Il y a some bandits qui try to rub le banque!! Dressed avec une skirt! Holy marde! Ok, usualy, je care peut-être pas, but je begin to be scare since y m'ont vu the face. Je can pas hider nul where!!!

So, quoi'cé je should faire?! Aské if ils peuvent give me another guichet card?!

Damn de shit, J'ai juste pee in mes pants.

Je hope qu'il understand que je will not call la police, pars'cuz le time qu'it take to me de realiser that Je just pee on the plancher, Un of them marche in ma direction avec son skirt in the wind...

Je hold mon rire, just in the cas IL don't think qu'it's drôle. Holding un gun with a big beard and avec une cagoule, c'est may be juste moé, but le skirt is pas the best à agencé with le reste..

Son face did not really seem sympatique to moi.

Mais after avoir see mon pee ring on the plancher, c'est him qui start à rire de moé!

Nice, on a may be maké un first lien..

At deux pieds of the porte, He dit : "Get ton camps ailleur before je decide to shot your face with mon gun!!"

What j'ai do without chialing ... J'ai not planifié de dieé this semaine..

Still avec no argent in mes poches, je asking moi meme oues'que j'vas findé un other banque to retire mon money.. But même with une banque, mon card est not bonne..

The journée vas être very poche if je don't trouve à bank ..

Pendant que je was looking at the ciel, un child avec his red becik hit moé avec the roue of this dernier.. Making moé tombé la face first on le side marche.

"Tu don't regarde where tu go?!"

"Je just pédale Mon sieur! Je suis sorry about ceci.. Je want pas tu pee on ton self pars'cuz je hit toé.."

Je should tu be faché? Je don't pense so..

Je tell to my self ; Don't capote, Il did pas for exprés!

"Tu should pédale on la rue buddy, les sides marches it's pour walker.."

"Have a nice journée.."

If tu savais mon whole day..

But merde of criss, le kid is la cherry sur le Sunday..

J'ai left ma home One heures ago pour manger pars'cuz my Soup-in-tasse blow mon microwave, j'ai wenté to la banque for nothing pentoute, exept the boutte ou je wet mes pants in front of voleur.

Mon day suck gros time. But juste when je decide de turn back, je saw un women the other bord of the rue!!

Tu know, le kind de women qui moé, me make feeling croche! Une tall women, qui wear des short courte! Her bedaine shirt est also very serré, like moé in mes pants at this moment!

Elle have blond, long et curly hair qui reach just like il faut her elbow. Je can't see her yeux from icitte, but il seem clair, probably blue or quelque chose like that.

Fuck de shit! Elle saw me! Why au nom de God, after mon before midi full of caca, je feel so humilié! She souris to moé and cross the rue in ma directions! Avec mon yellow ring on mes pants, If il y a du people on la Lune, Je assure you they can see moé..

But like un cave, je still hope qu'elle did'pas remarque it.. Yeah, sur!

White pantalon and un Yellow spot rond d'un half feet size on mes legs, c'est just impossible she not remarque..

Le child est gone with is becik, damn. The buisson is pas big assez to hide moé au complet.. D'la head au pieds.

Et no, je don't fit in the side marche craque.. So Je get up d'a terre, looking alentour for some chose qui can hide moé..

Je have to face it. Ce day qui à starté vraiment bad, est pas encore finish. I still have la marque du microwave door in mon front, and une girl que je find de mon taste get proche de moé..

Pendant que je tryais to hide mon self behind un lampadaire she dit :

"Tu seem to be perdu! Même scared! Tu look like quelqu'un qui just evade d'un kidnapping! Tu need some aide?"

Damn de criss! Pourquoi in these moment je juste think to say : "Tu have one pantalon de spare?"

But rien come dehort ma bouche at all.. well, may be d'la bave, but rien de big..

So apres Je explique to elle what juste arrive to moé, microwave, banque, rond d'pee.

She try de pas laugh dans my face, but devine! Elle à failé..

Boaf, if je were elle, je probably do la same affaire. Je dois looké ridicule like un pro.

Quinze minutes after avoir commencé to laugh at moé, elle get up d'a terre, clean ses clothes de la dust qui à stické dessus pars'cuz elle rollé on elle même after avoir fallé down while elle m'écoutait..

So after avoir excusé her self, elle nickname moé "Sunny pants".. deviné why.

Then, elle offer moé a diné! And encore more!

Nous went to Zelher pour buyé a nouveau pants for moé..

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J'en ai encore 4 ou 5 textes qui sont aussi longs que celui-ci..

C'est vrai que c'est visuellement atrocement intense à lire

White pantalon and un Yellow spot rond d'un half feet size on mes legs, c'est just impossible she not remarque..

Le child est gone with is becik, damn. The buisson is pas big assez to hide moé au complet..

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Oui et non, le but c'est plus de m'amuser en écrivant un texte absurde.

Ce que je trouve drôle c'est de pousser à l'extreme..

Ma quote était random, j'ai pas full checker avant si c'étais comique.

Sa illustre bien la créolisation.

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Samedi

04 sept 2010

3.01 La Femme à Columbo

Ni de twitter ni de facebook,

En anonyme je poursuis cette vie.

Sans invasifs e-hook,

Ni érection d’un moi désaffaibli.

Snobant le partage de cette spontanéité

Faussement réfléchie, sureprésentée.

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Personnage de party le lendemain d'une veillé.

J'me suis l'ver, tout poker. Encore saoul, maganer.

Fak j'massis, étourdie pis encore endormie.

Sa fait dur en esti, j'vois toute flou!

Jt'ien même pas debout.

L'coloc, ben cramper dans l'cadre de porte.

Y m'dit;

- Yo, j'pense ton chien veux pisser! J'l'ai sortit a matin pendant qu'tu pukais.

Y'a raison c'est mon chien, faudrais ben j'en prenne soins.

J't'un incapable, trop lâche et irresponsable.

Ouin ben Pitou, c'est l'moment d'aller faire ton Poupou.

Dépêche toé, y fait frette, chus tanner! J'veux mes couvertes!

- Esti d'tapette, chus tanner d'te torcher pis d'te voir ben pèté.

J'suis ton chum pas ton père et encore moin ta mère!

Ta 2 choix, le tata! Tu change ou tu t'en vas!

D'puis quand tu joues au Matador?! Tu l'sais ben que j'suis pas faite fort..

Encore une excuse pour pas voir à quel point j'vas trop loin!

Sa suffit, j'arrête ça, drette ici.

- Qu'est-ce ta dit?

Merci, ce seras tout pour aujourd'hui.

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