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Déchet(s) recommandé(s)

Tokyo Story : Bien. 7/10

Come and See : Encore mieux. Un chef-d’œuvre même. 10/10

300 : Scénario inepte au service d'une propagande vulgaire. Interprétation très affectée de la part du roi (j'imagine que c'est tel qu'il était dessiné dans la bande dessinée originale). 1/10

Iron Man et Avengers : Films ennuyeux et mal chiés. 4/10

DIEU SOIT LOUÉ!

kossé je disais, hein ?

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(modifié)

L'Ange Gardien

Un film qui m'a touché au plus haut point comme quoi la bonté existe encore malgré la sénilité malgré les traumatismes anciens. C'est pas une histoire à tout casser, mais plus le film progresse plus l'histoire devient intéressante.

ange-gardien.jpg

L’ange gardien, c’est le film d’une rencontre improbable. Celle de Normand, un veilleur de nuit renfermé sur lui même et d’une jeune femme, Nathalie, qui vient tout bouleverser sur son passage. Elle a besoin de lui. Et lui, sans le savoir, il a besoin d’elle. Ils se reconnaîtront dans quelques unes de leurs profondes cicatrices. Il s’agit d’un drame tendre et impitoyable, raconté au coeur de la nuit.

Modifié par Nouveau Projet
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  • 2 semaines plus tard...

GrandBudapest.png

The Grand Budapest Hotel

Délicieux, adorable et décalé. Une comédie dramatique aux tons noir pastel, là où se chorégraphient l'avant et l'arrière du rideau avec la poésie du souvenir d'un souvenir d'un souvenir conté dans une brève amitié.

"There are still faint glimmers of civilization left in this barbaric slaughterhouse that was once known as humanity."

Anderson et tous les autres ont encore réussi à charmer la foule d'un art réglé comme une montre suisse. Je ne sais pas comment réussissent-ils encore à surprendre, même si le style "Anderson" embaume la la pellicule comme L'Eau de Panache au nez. Tout est soigné au millimètre près, ça se sent, ça se voit et c'est parfait ainsi.

Rarement ai-je vécu une ovation debout dans une salle de cinéma, l'autre exception étant au festival Fantasia pour "A Fantastic Fear of Everything".

Le sourire tatoué aux lèvres.

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Tom à la Ferme

de

Xavier Dolan

J'ai passé à deux doigts de quitter la salle tant le rythme du début du film était lent et anesthésiant. Heureusement qu'il y a eu cette scène assez jouissive merci où Xavier Dolan lui même mange une volée. L'histoire est tellement tirée par les cheveux que c'en est difficile d'être engloutis complètement dans ce thriller. Le syndrome de Stockholm a le dos large disons. Et la musique est souvent pompeuse pour un rien. Je n'ai pas complètement détesté son film mais disons que j'ai préféré ses deux précédents.

J’ai tué ma mère: 124 375 spectateurs

Les amours imaginaires: 66 149

Laurence anyways: 50 574

Tom à la ferme ?????

Je prédis pas plus que 25 000 spectateurs

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The Grand Budapest Hotel, aussi. Sans doute le projet le plus ambitieux de Wes Anderson, mais aussi son plus silly - pas nécessairement une mauvaise chose.

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Les derniers événements de la vie des membres nous interessent toujours. Par ex. moi, dernièrement j'ai vu un film. Lequel? Comment était-il? Quel intérêt! On s'en fout de ça, le peuple veut savoir les événements de ma vie et c'est le but de ce topic.

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Agreablement surpris par ce film:

SNOWPIERCER_LE-TRANSPERCENEIGE-Affiche-def.jpg

Ca respirait pas le chef d'oeuvre mais ca avait l'air assez copieux pour fitter avec ma grosse assiette ce viande.

Finalement je suis tombé sur une realisation Sud-Coreenne avec un casting imposant et principalement americain, le tout avec un scenario adapté d'une bande dessiné francaise.

En 2014, une tentative de géo-ingénierie contre le réchauffement climatique entraîne un cataclysme : une glaciation de toute la planète, détruisant la vie et exterminant presque toute l'humanité. En 2031, des passagers enfermés dans un train forcé à rouler continuellement sont les seuls survivants sur Terre. Les habitants des derniers wagons, contraints de vivre dans la promiscuité et le rationnement, se révoltent.

On a le droit à des bonnes twist que j'aime associer au cinema Sud-Coreen. Tout comme les passes un brin suréaliste (Le passage dans le wagon école et la halte au stand à sushi).

C'est ca qui est ca....

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(modifié)

bloodsport.jpg

Le film parfait à regarder buzzé avec des chums, véritable petite friandise des années 80, bloodsport pourrait être la vrai adaptation de street fighter : JCV est le soldat américain qui participe à un tournois international de combat où il y rencontrera des gens se prénomant bizarrement "shung li" en passant par le sumo obèse et un des méchant qui fait de la boxe thai et il me semble qu'on entends plusieurs fois le mot Ryu aussi

JCV est beau, JCV est frais et nous donne tout, TOUT, TOUT .....

jcvd_bloodsport04.jpg

On reste scotché à son écran en savourant les différents style de combat qui s’enchaînent et on fait des paris sur quel membre va se briser le premier sur un ring repeint au sang.

Le film n'a pas vraiment de lenteur, il installe un bon suspens et l'issu des combats sont toujours incertains.

Modifié par el_picador
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GrandBudapest.png

The Grand Budapest Hotel

Délicieux, adorable et décalé. Une comédie dramatique aux tons noir pastel, là où se chorégraphient l'avant et l'arrière du rideau avec la poésie du souvenir d'un souvenir d'un souvenir conté dans une brève amitié.

"There are still faint glimmers of civilization left in this barbaric slaughterhouse that was once known as humanity."

Anderson et tous les autres ont encore réussi à charmer la foule d'un art réglé comme une montre suisse. Je ne sais pas comment réussissent-ils encore à surprendre, même si le style "Anderson" embaume la la pellicule comme L'Eau de Panache au nez. Tout est soigné au millimètre près, ça se sent, ça se voit et c'est parfait ainsi.

Rarement ai-je vécu une ovation debout dans une salle de cinéma, l'autre exception étant au festival Fantasia pour "A Fantastic Fear of Everything".

Le sourire tatoué aux lèvres.

Je confirme. Vu hier soir.

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bloodsport.jpg

Le film parfait à regarder buzzé avec des chums, véritable petite friandise des années 80, bloodsport pourrait être la vrai adaptation de street fighter : JCV est le soldat américain qui participe à un tournois international de combat où il y rencontrera des gens se prénomant bizarrement "shung li" en passant par le sumo obèse et un des méchant qui fait de la boxe thai et il me semble qu'on entends plusieurs fois le mot Ryu aussi

JCV est beau, JCV est frais et nous donne tout, TOUT, TOUT .....

jcvd_bloodsport04.jpg

On reste scotché à son écran en savourant les différents style de combat qui s’enchaînent et on fait des paris sur quel membre va se briser le premier sur un ring repeint au sang.

Le film n'a pas vraiment de lenteur, il installe un bon suspens et l'issu des combats sont toujours incertains.

JCV ? Jean-Claude Van ?

JCVD !

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GrandBudapest.png

The Grand Budapest Hotel

Délicieux, adorable et décalé. Une comédie dramatique aux tons noir pastel, là où se chorégraphient l'avant et l'arrière du rideau avec la poésie du souvenir d'un souvenir d'un souvenir conté dans une brève amitié.

"There are still faint glimmers of civilization left in this barbaric slaughterhouse that was once known as humanity."

Anderson et tous les autres ont encore réussi à charmer la foule d'un art réglé comme une montre suisse. Je ne sais pas comment réussissent-ils encore à surprendre, même si le style "Anderson" embaume la la pellicule comme L'Eau de Panache au nez. Tout est soigné au millimètre près, ça se sent, ça se voit et c'est parfait ainsi.

Rarement ai-je vécu une ovation debout dans une salle de cinéma, l'autre exception étant au festival Fantasia pour "A Fantastic Fear of Everything".

Le sourire tatoué aux lèvres.

J'ai moi aussi adoré.

Je suis allé le voir avec une date, et je suis sortie de la salle le sourire béat, tatoué aux lèvres, pour reprendre tes mots.

Ça faisait longtemps que je n'avais pas visionné un film aussi délicieux. Juste assez tout.

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Il pense que vous niaisez et que vous etiez ensemble, comme dans pas a differentes places de la salle(vous tenant par la main, les yeux dans les yeux!)

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  • Jpeg a libéré ce sujet

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