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Le dernier film que vous avez vu


Déchet(s) recommandé(s)

Excellent thriller psychologique mettant en vedette Christian Bale dans le rôle de Patrick Bateman.

Christian Bale dans le rôle de bateman, j'ai trouvé ça assez drôle pour le coup!.

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Senna (2010)

Asif Kapadia

http://www.youtube.com/watch?v=HrbJPsPtTyU

Ayrton Senna est le pilote le plus spectaculaire de la F1. Point final. Ce documentaire est un hommage au pilote brésilien mort il y a 17 ans. Son talent de pilote est exceptionnel, on voit les miracles qu'il a fait avec une équipe qui n'était pas compétitive. On voit son ascension vers Lotus et McLaren où il va faire équipe avec le champion à battre, Alain Prost. Cette période a donnée naissance à la plus grande rivalité sportive : le vétéran et la recrue; le pilote by-the-book et l'imprévisible. Oubliez les Yankees/Red Sox, CH/Nordiques, ce ne sont que des rivalités de chandails, de ville. Cette rivalité est entre deux individus qui sont à leur sommet et sont dans la même équipe.

Pour nous, Senna était un pilote formidable, il était très rapide lorsque la piste était mouillée, il fracassait des records lors des qualifications. Son pilotage pouvait briser ses adversaires psychologiquement : il les plaçait dans des situations où seul son adversaire a la décision de perdre sa position ou effectuer une sortie de piste. Au Brésil, il était un héros national. Senna a offert plusieurs millions de dollars pour aider les enfants pauvres.

La mort de Ayrton Senna au Grand Prix de Imola en 1994, un weekend qui a été fatal, car un autre pilote avait perdu la vie la journée d'avant.

Amateur de F1? Regardez-le.

Pas amateur de F1? Regardez-le.

Voilà un hommage que Top Gear a fait pour Senna dans le cadre d'un épisode.

J'ai eu des frissons :P

9/10

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J'ai vu, mais n'ai pas senti Somewhere de Sofia Coppola (2010).

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Coppola fait partie de cette nouvelle génération très prometteuses de réalisateurs (auteurs? hmm) américains qui ne déçoivent que très rarement (voire jamais): P.T. Anderson, Spike Jonz, Wes Anderson et Darren Aronofsky. Dans mon livre, ils ne peuvent pas se contenter de faire des films moyens. Mon jugement est sévère.

Somewhere raconte quelques jours (semaines?) de la vie de Johnny Marco, acteur-vedette internationale blasée qui reçoit la visite de sa fille de onze ans.

À part la présence de la fillette, le dernier opus de Coppola ressemble beaucoup trop au Last Days de Gus Van Sant (c'est ce pas-si-long, mais tellement lent film sur les derniers jours de Kurt Cobain). Parlant de déjà vu, Johnny Marco, joué par Stephen Dorff, ressemble beaucoup au personnage que jouait Bill Murray dans Lost in Translation. En fait, ce Marco pourrait très bien être cet acteur vieillissant qui se rend à Tokyo pour faire une pub de whiskey. À part les muscles de Stephen Dorff en plus et le charisme de Bill Murray en moins, ils sont la même personne: deux putains de pantins qui font ce qu'on leur dit de faire lorsqu'il est question de boulot, mais qui ne font fuck all lorsqu'ils ont du temps plein les mains.

Ce film sur l'ennui n'a pas d'âme. Sofia s'est peut-être inspirée de sa relation avec son Francis Coppola de père pour les moments où Marco passe du temps avec sa fille, ça ne vient pas remplir ce film où tout ce que l'on voit, c'est un type qui a tout, sauf l'essentiel: une personnalité.

Marco n'a d'ailleurs pas d'émotions. Il semble incapable de sentir le plaisir ou la peine sauf lorsque cet éclair de lucidité vient le faire verser des larmes libératrices. I'm fucking nothing qu'il dit. Bien dit, film, bien dit.

En résumé: la bande-annonce me vendait un film beau, quelque chose de contemplatif sur une relation père-fille. Quelque chose comme Lost in Translation sans la tension sexuelle. C'est en fait la contemplation de la dépression d'un riche et célèbre. Ce gars-là n'a d'ailleurs pas grand chose d'un père. On m'a floué.

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Diva (1981 - Jean-Jacques Beineix)

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Le film débute ainsi:

Un jeune postier obsédé par une chanteuse d'opéra se rend a un concert où il fait un enregistrement pirate et vole la robe de la diva.

Je qualifierais ce film de "film policier mystérieux" où l'intrigue se divise; ce qui fait en sorte que le spectateur est quelque peu dérouté. Tantôt on pense que le protagoniste est persécuté pour telle raison, mais il s'avère qu'il en est toute autre. Les événements du début que l'on croirait majeurs dans le film ne sont en fait que seconds en importance. On est gardé en haleine par le déroulement des choses. Tout s'enchaîne très bien, je n'ai pas noté de longueurs.

Les personnages sont intéressants, se distinguant bien les uns des autres de par leur personnalité marquée. Certains sont plus en relief que d'autres (songeons à la petite viet).

Bref, un film bien sympathique que j'ai assez apprécié. Très Français dans les expressions; même que parfois le dialogue en est dur à suivre.

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j'arrive de X-Men first class

Connaissant 20th century fox.... à voir en anglais seulement

J'ai bien aimé le film malgré le fait qui développe vraiment pas beaucoup les dudes.... :o

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(modifié)

J'ai écouté ''le Mécano''

Le mécano: Le lien vers Cinoche.com

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J'ai bien aimer le film, j'aurais crue qu'il y aurais un peu plus d'action à connaitre le genre de Statham, mais l'histoire est excellente donc sa compense amplement. Je peu facilement donner une note de 8/10, film à voir :)

PS: Se soir j'écoute surement Hangover 2 ( Lendemain de veille 2 )

Modifié par Cibi89
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Lorsque Bateman fait la confession de ses meurtres à son avocat, ce dernier se méprend sur sa personne et Bateman se rend compte qu'il s'est mépris lui-même sur la personne de Paul Allen et qu'il n'aurait donc pas détruit la bonne cible. Une supposition pourrait être prise sur le fait que Bateman n'est qu'un pauvre psychotique qui a développé un imaginaire plutôt morbide pour fuir la monotonie de la vie qu'il mène et qu'il déteste (bien qu'elle soit idéale et parfaite).

En fait, je ne sais pas si c'est amener dans le film (m'semble que oui) mais tout le long du livre tout les personnages se méprennent toujours sur l'identité des autres personnages. Beaucoup se méprennent sur Bateman aussi et vice-versa. Mais c'est pas mal fréquent dans les livres d'Easton Ellis la dépersonnification.

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En fait, je ne sais pas si c'est amener dans le film (m'semble que oui) mais tout le long du livre tout les personnages se méprennent toujours sur l'identité des autres personnages. Beaucoup se méprennent sur Bateman aussi et vice-versa. Mais c'est pas mal fréquent dans les livres d'Easton Ellis la dépersonnification.

Ouais, c'est emmené dans le film, mais d'une façon plutôt soft. On doit presque le deviner. C'est plus une espèce de confusion qui règne. Le thème est quand même présent parsimonieusement. Assez pour que l'histoire se tienne et qu'on comprenne à la fin qu'il y a eu méprise sur les personnes.

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Léon: The Professionnal (Luc Besson - 1994)

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Débutons par dire qu'il s'agit d'un excellent film. Les personnages sont touchants et l'émotion est bien rendue. Les dialogues entre Léon et Mathilda sont mignons. L'amour sage qui les unit est beau et pur et l'amour de couple impossible qu'ils ne peuvent consumer vu la tranche d'âge massive qui les sépare; troublant.

Nathalie Portman est une excellente actrice, son rôle est bien senti. Qu'elle joue la jeune fille précoce, sensible, un peu rebelle; elle le fait avec merveille et avec affront envers la caméra. Elle a l'insolence de la gamine "forte-tête". Jean Reno quant à lui nous fait bien vivre la sensibilité de Léon que l'on découvre au fil du film; une belle sensibilité calme et douce. Le film nous fait voir la beauté de ce solitaire qui apprend à s'attacher à une autre personne. Il est magnifique de voir naître l'amour dans un univers que l'on nous dépeint comme criminalisé, froid, violent, sec. Un peu à la manière de la plante qui s'épanouit et qui, oui finit par être plantée, malgré la fin triste, le film se conclue bien dans un grand épanouissement et dans la libération de Léon face au fardeau de la vie; son enracinement dans quelque chose de profond (l'attachement en question qu'il éprouve envers Mathilda).

Le personnage du chef de brigade de "stup" psychopathe est merveilleux. J'adore la scène où il SENT sa future victime (c'est anecdotique, mais j'ai vraiment aimé cette scène). Il a tout la personnalité cassante et exacerbée, toujours au bord de la crise de nerf du maniaque typique.

Un excellent moment de visionnement.

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J'ai vu ce soir Rubber de Quentin Dupieux (Mr.Oizo pour les fans de musique techno)!

Voici la bande-annonce du film:

Et voici le teaser du sound track du film, pour mieux visualiser le style du réalisateur/musicien techno

Oui, c'est l'histoire de Robert (un pneu) qui tue des gens sans raison...

Très belle critique contre le cinéma à plus gros budget et contre le spectateur d'aujourd'hui. Ce film a honnêtement brisé mes attentes! L'intro du film est véritablement un coup de poing dans face! Bref, je le recommande à tous ceux qui aiment regarder quelque chose de nouveau et complètement absurde!

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Je pensais jamais tomber sur quelqu'un qui a écouté ''Rubber''. Cool.

Je l'ai écouté hier au travail(Dans un club vidéo)... c'est... ouan.

Ça m'a bien faite rigoler, mais reste que le 3/4 du film c'est quand même juste un esti d'pneu qui roule vers sa prochaine victime. La première fois qu'il ''tue'' quelque chose (la bouteille de bière si je me rappelle bien) j'ai éclaté de rire.

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Rosemary's Baby (Roman Polansky - 1968)

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Un film intéressant que je ne classifierais pas dans le genre horreur mais plutôt comme thriller. C'est l'histoire d'un jeune couple qui déménage dans un appartement et qui fait la rencontre de voisins envahissants. La jeune femme tombe enceinte et sa grossesse est entourée de mystère.

C'est bien filmé, les couleurs sont belles, le jeu des acteurs "normal", bref un film relativement bien torché pour les années 60. Ce que je reprocherais par contre, c'est les longueurs et les coupures marquées en certains endroits (notamment le ventre qui ne grossit pas graduellement mais d'un coup). Ces petites erreurs font que le film est un peu mal fait. La scène de la fin est aussi, somme toute, assez ridicule. Polansky aurait dû insister sur l'appétit anormalement et insolitement grossissant de Rosemary. Cela reste mon avis.

Néanmoins, je dirais que c'est un film à voir car il s'agit d'un classique. Je vais sans doute lire le livre pour compléter l'histoire.

Blade Runner (Ridley Scott - 1982)

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Excellent film de science-fiction des années 80. Je dois avouer que cela manquait à ma culture.

Dans un monde où la robotique est arrivée à un point près de la perfection, les robots se rebellent (ici nommés replicants). Un homme est engagé pour exterminer ceux qui restent dans la ville.

Au niveau du traitement de l'image, des effets spéciaux, des décors et des costumes tout est bien léché et parfait; on s'y croirait. Les prises de vue sont formidables et donnent au spectateur de très belles images sombres d'un monde où il semble ne faire jamais soleil. Je ferais ici un parallèle avec le film Dark City (1998) pour la thématique futuriste sombre (ils ont sans doute été puiser dans l’esthétique de Blade Runner).

Le jeu de Harisson Ford de détective bourru et alcoolique est très réussi. Nous voyons bien que l'homme est troublé et qu'il a un problème avec les femmes puisqu'il s'éprend lui même d'une replicant ; Rachael (Sean Young). Bien qu'il s'agisse du futur, nous avons droit au personnage classique du détective privé tel que vu dans les films noirs qui va s'éprendre de la femme "ennemie" (enfin bref celle qui ne faut pas-- la fatale).

Vous aimez les intrigues policières et les films de science-fiction? Ceci est pour vous!

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Blade Runner (Ridley Scott - 1982)

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Excellent film de science-fiction des années 80. Je dois avouer que cela manquait à ma culture.

Dans un monde où la robotique est arrivée à un point près de la perfection, les robots se rebellent (ici nommés replicants). Un homme est engagé pour exterminer ceux qui restent dans la ville.

Au niveau du traitement de l'image, des effets spéciaux, des décors et des costumes tout est bien léché et parfait; on s'y croirait. Les prises de vue sont formidables et donnent au spectateur de très belles images sombres d'un monde où il semble ne faire jamais soleil. Je ferais ici un parallèle avec le film Dark City (1998) pour la thématique futuriste sombre (ils ont sans doute été puiser dans l’esthétique de Blade Runner).

Le jeu de Harisson Ford de détective bourru et alcoolique est très réussi. Nous voyons bien que l'homme est troublé et qu'il a un problème avec les femmes puisqu'il s'éprend lui même d'une replicant ; Rachael (Sean Young). Bien qu'il s'agisse du futur, nous avons droit au personnage classique du détective privé tel que vu dans les films noirs qui va s'éprendre de la femme "ennemie" (enfin bref celle qui ne faut pas-- la fatale).

Vous aimez les intrigues policières et les films de science-fiction? Ceci est pour vous!

Un de mes films préférés, mais tu oublies la bande-son mémorable composée par Vangelis.

Non utilisée dans le film mais faisant partie de la B.O:

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(modifié)

Paul

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Je m'attendais à un film nul. Mais j'étais dans le champ, j'ai adoré!

Malheureusement c'est dur de l'écouté avec une bonne qualité!

Modifié par Le Connard
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J'ai vraiment adoré le film! J'ai même oublié que j'étais dans une salle de cinéma avec mes amis... Seul point chiant : Pleins de discours de pro-mutantisme rendu à la fin, c'est chiant.

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Blade Runner (Ridley Scott - 1982)

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Excellent film de science-fiction des années 80. Je dois avouer que cela manquait à ma culture.

Dans un monde où la robotique est arrivée à un point près de la perfection, les robots se rebellent (ici nommés replicants). Un homme est engagé pour exterminer ceux qui restent dans la ville.

Au niveau du traitement de l'image, des effets spéciaux, des décors et des costumes tout est bien léché et parfait; on s'y croirait. Les prises de vue sont formidables et donnent au spectateur de très belles images sombres d'un monde où il semble ne faire jamais soleil. Je ferais ici un parallèle avec le film Dark City (1998) pour la thématique futuriste sombre (ils ont sans doute été puiser dans l’esthétique de Blade Runner).

Le jeu de Harisson Ford de détective bourru et alcoolique est très réussi. Nous voyons bien que l'homme est troublé et qu'il a un problème avec les femmes puisqu'il s'éprend lui même d'une replicant ; Rachael (Sean Young). Bien qu'il s'agisse du futur, nous avons droit au personnage classique du détective privé tel que vu dans les films noirs qui va s'éprendre de la femme "ennemie" (enfin bref celle qui ne faut pas-- la fatale).

Vous aimez les intrigues policières et les films de science-fiction? Ceci est pour vous!

Juste parce que t'a parlé du livre de Rosemary's Baby mais pas de Blade Runner, j'ignore si tu sais que c'est "inspiré" d'un livre (basé sur un livre) : Do Androids Dream of Electric Sheep?

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Unknown

Unknown sur IMDB

Je ne m'attendais pas à grand chose de ce film, mais agréablement surpris. Il y a deux niveau d'intrigue (quand tu comprends l'histoire et quand tu comprends pourquoi). Le réalisateur rends justice à la belle ville de Berlin, le jeu d'acteur est très intéressant et rends l'histoire crédible. Bref. un film à voir.

Le cercle rouge

Le cercle rouge sur IMDB

Mon dernier achat de Criterion. Film français de Jean-Pierre Melville (qui nous a donné l'excellent Army of Shadows et Samurai) sur un trio de bandit anti-héros qui préparent un coup impossible qui est voué à l'échec avant même qu'il commence.

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