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Postez vos créations artistiques!


Déchet(s) recommandé(s)

Voici ma dernière création post-moderne.

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Je me sens obligé de vous en décrire les significations, puisque ce n'est pas donné à tout le monde d'apprécier l'oeuvre intense d'un dramaturge du pinceau universel.

Nous pourrions penser, aux premiers abords, à un être symbiotique avec le ciel (étoile dans le visage), à la gauche, tout en vert vêtu de vertus (triangle vert et le visage rose). Cela représente tout de même l'être humain incompris, pris dans son imaginaire si parfait, mais trop poétique pour être apprécié par son univers inconnu, représenté par la forme ronde de droite. Cette forme peu commune qu'on pourrait décrire par un rond, mais qui, comme vous le voyez, n'est pas complète. En effet, nous remarquons dès le premier regard, que le rond sort du champ visible de cette toile. Ce n'est pas sans raison. Certains pourraient évoquer que cela représente le caractère infini, mais incomplet de la vie; de la mort; de l'éternel comme du temps, fini et sans repères. Ici, chaque ligne est dûment réfléchie. Chaque PRÉSENCE dans ce rond représente tout ce que vous pourriez imaginer de la vie; de la mort; de l'éternel comme du temps, fini et sans repères. Les plus futés d'entre tous aurons remarqué qu'une certaine ÉCLAIR vient fracasser à la fois le visage du personnage (certains l'interpréterons plutôt comme un image de l'euphémisme radical des sexes) meurtri par son imaginaire (ciel:étoile). L'imaginaire meurtri fracasse le monde, qui en soit, est à la fois dépendant de celui-ci, tout en réfléchissant son propre univers parallèle en soi. Ce SOI, il est représenté par la forme post-moderne du centre du rond, que certains pourraient méprendre à un caca. Ce serait évidemment, vous l'aurez sans doute deviné, une erreur flagrante, car cette forme... en fait... n'en est pas une. C'est l'absence. Le traumatisme de l'absence du tout, qui en fait se courbe et forme une deuxième forme tout aussi post-moderne, en bleu, un peu plus flou celle-là. Celle-là est la naissance d'un tout: un tout nouveau. Un renouveau. Une étincelle dans la direction. Quelle direction? Celle du vide, de l'infini: du monde intergalactique de l’irréel et de l'imaginaire: du vide. Au final, nous nous retrouvons avec une partie d'oeuvre qui redéfinira, sans l'ombre d'un doute, tout l'art post-moderne que l'on connait. À l'opposé de la direction de ce que certains pourraient considérer comme une flèche, nous retrouvons des signes de communications, emboîtés l'un dans l'autre. Tous aussi beaux que bien agencés. Pourquoi? Car la communication de l'être incompris permet de briser la déchirure fragmentaire de l'univers entre l'idéalisme contemporain et le monde sous-vide, sous-écoute, sous-terre, même, dirais-je, sous-alimenté. Alimenté de sophismes et d'inepties vocables et solubles. Je vous laisse terminer l'interprétation en imaginant ce que veut dire la ligne directrice du haut, celle-ci surplombant aussi le reste de l'oeuvre, comme la communication de gauche.

Il y a tant à dire; à vous révéler. Mais ce serait un gâchis artistique de tout vous donner sur un plateau d'argile universel.

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Voici ma dernière création post-moderne.

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Je me sens obligé de vous en décrire les significations, puisque ce n'est pas donné à tout le monde d'apprécier l'oeuvre intense d'un dramaturge du pinceau universel.

Nous pourrions penser, aux premiers abords, à un être symbiotique avec le ciel (étoile dans le visage), à la gauche, tout en vert vêtu de vertus (triangle vert et le visage rose). Cela représente tout de même l'être humain incompris, pris dans son imaginaire si parfait, mais trop poétique pour être apprécié par son univers inconnu, représenté par la forme ronde de droite. Cette forme peu commune qu'on pourrait décrire par un rond, mais qui, comme vous le voyez, n'est pas complète. En effet, nous remarquons dès le premier regard, que le rond sort du champ visible de cette toile. Ce n'est pas sans raison. Certains pourraient évoquer que cela représente le caractère infini, mais incomplet de la vie; de la mort; de l'éternel comme du temps, fini et sans repères. Ici, chaque ligne est dûment réfléchie. Chaque PRÉSENCE dans ce rond représente tout ce que vous pourriez imaginer de la vie; de la mort; de l'éternel comme du temps, fini et sans repères. Les plus futés d'entre tous aurons remarqué qu'une certaine ÉCLAIR vient fracasser à la fois le visage du personnage (certains l'interpréterons plutôt comme un image de l'euphémisme radical des sexes) meurtri par son imaginaire (ciel:étoile). L'imaginaire meurtri fracasse le monde, qui en soit, est à la fois dépendant de celui-ci, tout en réfléchissant son propre univers parallèle en soi. Ce SOI, il est représenté par la forme post-moderne du centre du rond, que certains pourraient méprendre à un caca. Ce serait évidemment, vous l'aurez sans doute deviné, une erreur flagrante, car cette forme... en fait... n'en est pas une. C'est l'absence. Le traumatisme de l'absence du tout, qui en fait se courbe et forme une deuxième forme tout aussi post-moderne, en bleu, un peu plus flou celle-là. Celle-là est la naissance d'un tout: un tout nouveau. Un renouveau. Une étincelle dans la direction. Quelle direction? Celle du vide, de l'infini: du monde intergalactique de l’irréel et de l'imaginaire: du vide. Au final, nous nous retrouvons avec une partie d'oeuvre qui redéfinira, sans l'ombre d'un doute, tout l'art post-moderne que l'on connait. À l'opposé de la direction de ce que certains pourraient considérer comme une flèche, nous retrouvons des signes de communications, emboîtés l'un dans l'autre. Tous aussi beaux que bien agencés. Pourquoi? Car la communication de l'être incompris permet de briser la déchirure fragmentaire de l'univers entre l'idéalisme contemporain et le monde sous-vide, sous-écoute, sous-terre, même, dirais-je, sous-alimenté. Alimenté de sophismes et d'inepties vocables et solubles. Je vous laisse terminer l'interprétation en imaginant ce que veut dire la ligne directrice du haut, celle-ci surplombant aussi le reste de l'oeuvre, comme la communication de gauche.

Il y a tant à dire; à vous révéler. Mais ce serait un gâchis artistique de tout vous donner sur un plateau d'argile universel.

Attention? t'es près?

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*Jennifer Lefort*

Toi aussi, avec quelques années de pratique et beaucoup de lucidité et de travail, tu pourrais vendre des toiles à 4000.

Ta description est ( oui ironique ) mais complètement bidon. La peinture désormais est loin d'être préoccupé par le rapport des symboles et toutes c'est trucs là. Il y en a beaucoup qui le font toujours, je pourrais en nommer 100. Mais eux, il ne se préoccupe guère de faire avancer l'art.

Tu sais, comme dans le synonyme de en avant, le futur du passé, oublier le présent de demain, blablabla.

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J'ai lu un truc hier de Jean-Francois Lyotard qui parlait de la communauté sociale ( vous, cynique culturelle ).

" La communauté sociale ne se reconnaît pas dans les oeuvres, elle les ignores, elle les rejette comme incompréhensibles, puis elle accepte que l'avant-garde intellectuelle les conserve dans les musées comme des traces de tentatives qui portent témoignage de la puissance de l'esprit et de son dénuement. "

Tada!!

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Dans ma tête, faire avancer l'art = Trouver un raisonnement justifiant le dernier étron pondu.

Exactement.

Dans quelques années, on sera passé à un nouveau concept d'art contemporain, un autre courant random de l'art, et Cheval il dira que "c'était mieux avant".

Ecris de la philo, bordel. C'est pas de l'art d'expliquer un étron pictural pendant deux pages. Ce qu'on veut nous, c'est de l'immatériel.

Pour moi, c'est ce qu'on retire d'une oeuvre visuelle, quelle qu'elle soit, ce n'est pas des mots. C'est un sentiment indéfinissable.

Faire évoluer l'art, non. Faire avancer la science, si tu veux. Tu t'es juste trompé de domaine d'excellence, au vu de ta qualité d'écrivain pour commencer, et au vu de ton état d'esprit.

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Faire "évoluer" l'art est un concept assez vide. En fait, c'est même très prétentieux comme concept. L'expression change et passe de "mode" en "mode", de "concept" en "concept", mais parler d'évolution, c'est très hautain comme façon de voir la chose. Sur, certaines techniques se raffinent et évoluent, mais dire que l'art contemporain est une évolution par rapport à X ou Y, c'est juste vide. Mais bon, Cheval aime ça le vide, lui qui a la tête tellement profondément dans le cul de l'institution. Et ça, c'est sublime (lol).

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Bah. L'évolution existe, mais à notre échelle temporelle elle est très lente.

En dessin, la dernière véritable évolution remonte à Filippo Brunelleschi vers 1415 (reprise par suite par Léonard de Vinci qui l'a développée et codifiée), avec sa démonstration sur la perspective linéaire ou "artificielle" à point de fuite (qui est encore utilisée aujourd'hui d’ailleurs).

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La notion de crédibilité de neglisse échoue à disposer des termes consacrant l'enjeu dans un dessin qui cherche à s'épanouir en dehors d'un beau confort. C'est bien ce que je lui reproche de toujours.

La sublimité, garante de la distinction entre l'oeuvre d'art et le banal dessin, ne saurait que faire d'une crédibilité.

De tel avis sur l'architecture d'une convention son bien peu devant de vrai proposition sublime. Capsule exemple;

Cy Twombly

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Seana Reilly

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Dora Longo Bahia

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C'est que c'est joli tout ça ! J'adore le vert de la dernière image.

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Nous pourrions penser, aux premiers abords, à un être symbiotique avec le ciel (étoile dans le visage), à la gauche, tout en vert vêtu de vertus (triangle vert et le visage rose). Cela représente tout de même l'être humain incompris, pris dans son imaginaire si parfait, mais trop poétique pour être apprécié par son univers inconnu, représenté par la forme ronde de droite. Cette forme peu commune qu'on pourrait décrire par un rond, mais qui, comme vous le voyez, n'est pas complète. En effet, nous remarquons dès le premier regard, que le rond sort du champ visible de cette toile. Ce n'est pas sans raison. Certains pourraient évoquer que cela représente le caractère infini, mais incomplet de la vie; de la mort; de l'éternel comme du temps, fini et sans repères. Ici, chaque ligne est dûment réfléchie. Chaque PRÉSENCE dans ce rond représente tout ce que vous pourriez imaginer de la vie; de la mort; de l'éternel comme du temps, fini et sans repères. Les plus futés d'entre tous aurons remarqué qu'une certaine ÉCLAIR vient fracasser à la fois le visage du personnage (certains l'interpréterons plutôt comme un image de l'euphémisme radical des sexes) meurtri par son imaginaire (ciel:étoile). L'imaginaire meurtri fracasse le monde, qui en soit, est à la fois dépendant de celui-ci, tout en réfléchissant son propre univers parallèle en soi. Ce SOI, il est représenté par la forme post-moderne du centre du rond, que certains pourraient méprendre à un caca. Ce serait évidemment, vous l'aurez sans doute deviné, une erreur flagrante, car cette forme... en fait... n'en est pas une. C'est l'absence. Le traumatisme de l'absence du tout, qui en fait se courbe et forme une deuxième forme tout aussi post-moderne, en bleu, un peu plus flou celle-là. Celle-là est la naissance d'un tout: un tout nouveau. Un renouveau. Une étincelle dans la direction. Quelle direction? Celle du vide, de l'infini: du monde intergalactique de l’irréel et de l'imaginaire: du vide. Au final, nous nous retrouvons avec une partie d'oeuvre qui redéfinira, sans l'ombre d'un doute, tout l'art post-moderne que l'on connait. À l'opposé de la direction de ce que certains pourraient considérer comme une flèche, nous retrouvons des signes de communications, emboîtés l'un dans l'autre. Tous aussi beaux que bien agencés. Pourquoi? Car la communication de l'être incompris permet de briser la déchirure fragmentaire de l'univers entre l'idéalisme contemporain et le monde sous-vide, sous-écoute, sous-terre, même, dirais-je, sous-alimenté. Alimenté de sophismes et d'inepties vocables et solubles. Je vous laisse terminer l'interprétation en imaginant ce que veut dire la ligne directrice du haut, celle-ci surplombant aussi le reste de l'oeuvre, comme la communication de gauche.

Il y a tant à dire; à vous révéler. Mais ce serait un gâchis artistique de tout vous donner sur un plateau d'argile universel.

Je mérite au moins 55 000 points de réputation supplémentaire, crisse.

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En cours de réalisation sur format raisin. C'est la première fois que je travaille sur aussi grand je pense... Et ça donne juste envie de trouver du papier encore plus grand en fait. Je le peindrai à l'aquarelle+feutre aquarellable surement.

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